Lamanère

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Lamanère <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le sud du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Elle possède la particularité d’être la commune la plus méridionale de la France continentale. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Lamanère, la rivière del Castell, Torrent du Corral et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Lamanère est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1851. Ses habitants sont appelés les Lamanérois ou Lamanéroises.

Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Carte communes limitrophes

Localisation

Modèle:Maplink La commune de Lamanère se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Perpignan<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Céret<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité d'Amélie-les-Bains-Palalda<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Amélie-les-Bains-Palalda<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Serralongue (Modèle:Unité), Prats-de-Mollo-la-Preste (Modèle:Unité), Le Tech (Modèle:Unité), Saint-Laurent-de-Cerdans (Modèle:Unité), Montferrer (Modèle:Unité), Coustouges (Modèle:Unité), Corsavy (Modèle:Unité), Arles-sur-Tech (Modèle:Unité). Lamanère est à 615km à vol d'oiseau des côtes algériennes et à 973km de Bray-Dunes, la commune du département du Nord,la ville la plus septentrionale de France.

Sur le plan historique et culturel, Lamanère fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 66091.png
Situation de la commune

Le point culminant du ban communal qui est le Puig de Coma Negra, d'une altitude de Modèle:Unité, est aussi le point le plus méridional de la France continentale, ce qui confère à Lamanère le statut de commune la plus méridionale du territoire continental national.

Géologie et relief

Fichier:Lamanere00.jpg
Vue d'ensemble sur Lamanère

Modèle:… La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Modèle:... Le village est situé à la confluence de la rivière de Lamanère et de son affluent sur la rive droite la rivière d'El Taix (ou Teix).

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s'agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des relief<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 4,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 6,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Serralongue », sur la commune de Serralongue, mise en service en 1985<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « Baga de Bordellat et vallée du ruisseau de Malrems » (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : « le Vallespir » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Lamanère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,6 %), prairies (4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

La seule route permettant de se rendre à Lamanère est la route départementale D44, en provenance de Serralongue, au nord.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Lamanère est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre 1 - Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations et mouvements de terrains<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risque particulier

La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines<ref name=DDRM-Mine>Modèle:Lien web, partie 3 - chapitre Risque minier.</ref>.

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lamanère est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

La première mention du nom pourrait être villa Menera de Bassegoda (1225) à une époque où le territoire dépendrait alors du château de La Roca de Bassegoda. Mais cette mention pourrait aussi être en fait une référence aux mines de Bassegoda, situées à quelques kilomètres plus au sud-est, à Albanyà. De manière plus certaine, une famille dite de La Menera est mentionnée du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=pc2>Modèle:Le pays catalan 2.</ref>. Le nom est aussi attesté dans un texte de 1427, qui cite le lloch appellat La Menera<ref name="Lamanere">Site de Jean Tosti</ref>.

En catalan, le nom de la commune est Modèle:Langue<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le nom catalan été francisé de manière erronée par confusion du premier -e de menera avec un -a neutre et par agglutination de l'article et du nom<ref name=lb>Modèle:Toponymie historique de Catalunya Nord.</ref>.

Menera serait issu du celtique *meina, puis du gallo-roman *mena, terme désignant le minerai. Plus tard, mener prend le sens de mine et menera est utilisé pour un ensemble de mines, puisque la région produisait à la fois du fer, du plomb, du cuivre et de la houille. Le nom a alors été utilisé à la fois pour la localité et pour la rivière<ref name=lb/>.

Il s'agit d'une formation toponymique catalane francisée par la suite, dont le radical men- représente une variante du terme mina « mine », suivi du suffixe -eria, d'origine latine -aria<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, d'où le sens global de « la minière », c'est-à-dire « l'endroit où il y a une mine »<ref name="Lamanere" />. Menera a donc la même origine que le mot catalan Modèle:Langue qui signifie l'Modèle:Citation<ref>Modèle:OuvrageModèle:P..</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Histoire

Modèle:... Dépendant du territoire de Serralongue, Lamanère est au Moyen Âge inféodé aux seigneurs de Cabrenç, eux-mêmes vassaux des vicomtes de Castelnou. Après la Révolution française, Lamanère devient une commune en 1790<ref name="offlam">Site officiel, section La Menera, Village le Plus au Sud de la France continentale !</ref>.

Politique et administration

Administration municipale

Le conseil municipal de Lamanère comprend sept membres, avec deux adjoints et quatre conseillers municipaux en plus du maire<ref>Site officiel de la commune, section Conseil municipal</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut

Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie ancienne

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Modèle:Tableau population

Note : 1730 : comptée avec Serralongue.

Démographie contemporaine

Modèle:Population de France/section

Modèle:Tableau rang commune de France

Enseignement

Modèle:...

Manifestations culturelles et festivités

Santé

Il n'y a pas de médecin à Lamanère. Les plus proches sont situés à Prats-de-Mollo-la-Preste ou Saint-Laurent-de-Cerdans<ref>Recherche de médecins sur le site des Pages jaunes.</ref>.

Sports

Le village de Lamanère est le point de départ de nombreuses randonnées dans les environs<ref>Site officiel, section Randonnée</ref>, ainsi que d'une course en montagne annuelle de Modèle:Unité qui a lieu au mois de juin<ref>Site officiel, section Course de montagne</ref>.

Économie

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 83,3 % d'actifs (58,3 % ayant un emploi et 25 % de chômeurs) et 16,7 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 10 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 14, soit un indicateur de concentration d'emploi de 88,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 39,6 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 14 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 60 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 66,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 26,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités

Peut-être déjà connues durant l'Antiquité, les mines d'argent, de fer, de cuivre et d'étain de Lamanère sont mentionnées et exploitées dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=pc2/>. L'exploitation du fer, du cuivre et du plomb a perduré jusqu'au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=offlam/>.

Comme dans plusieurs villages des environs, il y avait jadis à Lamanère une importante activité de production d'espadrilles. Le dernier fabricant a fermé en 1981<ref name=offlam/>.

Seule l'activité agricole a subsisté, avec notamment encore quelques éleveurs de bovins présents sur la commune<ref name=offlam/>.

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Personnalités liées à la commune

Modèle:...

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:...

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail