Le Noyer-en-Ouche

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Commune de France

Le Noyer-en-Ouche est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Le Noyer-en-Ouche est une commune du Centre du département de l'Eure, dans le pays d'Ouche<ref>Modèle:Lien web.</ref>, situé à Modèle:Unité au sud-est de |Bernay, Modèle:Unité à l'ouest d'Évreux, Modèle:Unité au sud-ouest de Rouen et Modèle:Unité à l'ouest de Paris.

Il est desservi par la RD 140 qui le relie à Bernay et à Conches-en-Ouche.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Fichier:Le Noyer-en-Ouche-La Risle.JPG
La Risle.

Le territoire communal est drainé par la Bave<ref>Modèle:Sandre.</ref> et la Risle<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui est considérée comme le dernier affluent de la Seine qu'elle rejoint en rive gauche au niveau de son estuaire<ref group="Note">La Risle se jetant dans la Seine au niveau de son estuaire, se pose la question de sa dénomination : fleuve ou rivière. Le SANDRE, tout comme L'agence de l'eau Seine-Normandie et les dictionnaires Larousse ou Petit Robert des noms propres, qualifient la Risle de rivière, cette dénomination a donc été choisie.</ref>,<ref name=sandre>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 2,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menneval », sur la commune de Menneval, mise en service en 1962<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Le Noyer-en-Ouche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), forêts (23,4 %), prairies (12,4 %), cultures permanentes (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 178, alors qu'il était de 181 en 2013 et de 167 en 2008<ref name="LogCom" group="I"/>.

Parmi ces logements, 58,6 % étaient des résidences principales, 37 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Noyer-en-Ouche en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (37 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,2 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement au Noyer-en-Ouche en 2018.
Typologie Notre-Dame-du-Hamel<ref name="LogCom" group="I">Modèle:Lien web.</ref> Eure<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 58,6 85,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 37 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 4,5 8,3 8,2

Toponymie

Le village est attesté sous les formes latinisées Nucearium (charte de Robert, comte de Meulan)<ref name="de Blosseville">Modèle:Ouvrage.</ref>, de Nuccario au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>François de Beaurepaire (préface Marcel Baudot), Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 154.</ref>, Noetium en 1210 (cartulaire de Lyre)<ref name="de Blosseville"/>: Ce nom est une latinisation médiévale savante du lieu nommé [nuɛje] par la population, issu du vieux français, mentionné pour la première fois vers 1150 sous la forme noiers (au pluriel), puis Noyer en Ouche en 1722 (reg. de la Chambre des comptes), Le Noyer-sur-Rile en 1828 (Louis Du Bois)<ref name="de Blosseville"/>.

Le toponyme est sans doute peu ancien et évoque un arbre remarquable. Les noyers étaient beaucoup plus fréquents autrefois en Normandie qu'ils ne le sont de nos jours<ref name="Beaurepaire">François de Beaurepaire, op. cit.</ref>.

Après s'être appelée « Noyer » tout court, la commune a pris le nom de Noyer-près-Beaumont à la Révolution.

Le pays d'Ouche est un pays normand qui comprend le nord-est du département de l'Orne et le sud-ouest de celui de l'Eure.

Les anciennes paroisses du Châtelier-Saint-Pierre et de Châtel-la-lune ont été rattachées au Noyer-en-Ouche en 1792.

  • Le Châtelier-Saint-Pierre (Chasteler 1215) évoque un endroit fortifié, homonyme des nombreux Catelier / Câtelier de type normand au nord de la ligne Joret. Ce nom n'a bien évidemment aucun rapport avec des fortifications romaines, inexistantes dans les campagnes normandes.
  • Châtel-la-Lune (Castrum Lune, {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:s| s }} }}) évoque un château, forme du normand méridional équivalent de Catel (cf. Radicatel) ou Câtel au nord de la ligne Joret. Le sens du mot « lune » en toponymie est obscur<ref>François de Beaurepaire, op. cit. p. 91.</ref>, mais pourrait venir du terme demi-lune : Dans l’architecture militaire, construction retranchée, placée devant la courtine d’un front bastionné ou d'une motte féodale. Elle est généralement formée de deux faces en angle aigu<ref>Eugène Viollet-Le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle, 1856.</ref>.

Il existe aussi treize hameaux : le Village, la Godinière (anciennement la Gaudinière, d'une famille Gaudin, avec suffixe -ière, caractéristique des formations médiévales tardives dans le sud de la Normandie notamment), le Long-Bois, Bois-Chevreuil, le Milan, le Hamel, la Jouannière (chez les Jouanne), la Brunetière (chez les Brunet), le Fouesnard, la Hermeraye, Quatre-Houx, la Noë et Grammont.

Le nom du Milan est obscur. En l'absence de formes anciennes, il est difficile de le déterminer. On peut cependant le rapprocher de Guettelan, lieu-dit au Fidelaire (à 9 km), où l'on note la même terminaison -lan, que Jean Renaud considère comme étant le vieux norrois land « terrain »<ref>Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, OREP éditions 2009. p. 58.</ref>, bien qu'on ne dispose également d'aucune forme ancienne. Le mot land étant commun aux langues germaniques, il est impossible de déterminer de quelle langue il s'agit précisément.

Le Hamel représente le mot normand d'origine anglo-saxonne hām, diminutif en -el d'un ancien terme ham « village » et qui a donné le français hameau.

Le Fouesnard peut être interprété de manière conjecturelle, en l'absence de formes anciennes et d'homonymes, comme un composé fou-esnard, c'est-à-dire fou hêtre, forme ancienne du nom de cet arbre utilisée en Normandie, parallèlement à son dérivé futel (cf. le Futel) et foutel. Le second élément -esnard est peut-être le nom de personne d'origine germanique Esnard (germ. Eginhard. cf. Éginard) que l'on retrouve par exemple dans Champenard dans l'Eure ou Mesnil-Esnard en Seine-Maritime. Ce genre d'association d'un nom d'arbre avec un nom de personne se retrouve ailleurs. Fauguernon (Calvados) présente peut-être un parallèle.

Le nom de Quatre-Houx (Catehou 1174, Cathoux s. d.) semble le plus ancien, on est tenté d'y reconnaître un nom en -hou, fréquent en Cotentin, mais plus rare en Haute-Normandie, où l'on dénombre cependant le Conihout (Conihou fin XIIe) à Jumièges et plusieurs le Hou<ref>François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 46.</ref>. Il s'agit probablement de l'appellatif vieil anglais hōh signifiant « talon », puis « promontoire en forme de talon, escarpement rocheux, rivage abrupt », ou encore « légère élévation »<ref name = NLF>Auguste Longnon, Les noms de lieux de la France, Paris, 1920-1929 (rééd. Champion, Paris, 1979), p. 184, § 748.</ref>,<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 552a.</ref>,<ref name="Beaurepaire"/>. Le premier élément semble s'expliquer par le nom de personne norrois Kati que l'on rencontre dans Flancourt-Catelon (Catelunti Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ou Catteville (Manche Catevilla vers 1090) aussi nom de plusieurs hameaux en Seine-Maritime<ref name="Beaurepaire"/>.

La Noë s'explique par le vieux français noë, noue qui signifie « terre grasse et humide », terme issu du gallo-roman NAUDA, d'origine gauloise *(s)nauda « terrain marécageux »<ref>Site de l'arbre celtique : (s)nauda</ref>. On retrouve ce mot dans la Noë-de-la-Barre, ancienne paroisse rattachée à la Barre-en-Ouche en 1792<ref>François de Beaurepaire, op. cit.. p. 151.</ref>.

Histoire

Le Châtel-la-Lune était au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle un château fort, placé au bord de la terre qui appartenait à [[Robert Ier de Meulan|Robert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Meulan]]. Il existait encore en 1526, mais a été ruiné depuis. Robert de Meulan donna vers 1180 le moulin de Châtel-la-Lune au prieuré de la Sainte-Trinité<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> de Beaumont. En 1320, on comptait 80 feux dans la paroisse.

Son ancienne église paroissiale, placée sous le patronage de la Trinité de Beaumont puis de l'Abbé du Bec, était dédiée à saint Jacques et saint Christophe. Elle a été construite par Roger de Beaumont peu avant 1168. Elle a subi d'importants travaux aux {{#switch: XVII

 | e | er | = 
   {{#switch: XVII
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}. Elle fut démolie en 1847.

Les amas considérables de laitier, que l'on voit encore au Châtel-la-Lune, prouvent l'existence et l'importance de ses anciennes forges ; mais d'autres documents démontrent qu'au milieu de cette petite agglomération d'habitants, se trouvait le centre d'une fabrication de poteries dont les échantillons anciens sont aujourd'hui aussi rares que recherchés<ref>Notes sur la poterie de Châtel-le-Lune par M. l'abbé Porée, H. Delesques, 1897.</ref>. Les potiers de Châtel-la-Lune ont fabriqué des épis de faîtage, des pots, des soupières. Le musée des beaux-arts de Bernay possède quelques belles céramiques de Châtel-la-Lune. Une soupière serait conservée au Musée de ConchesModèle:Référence nécessaire.

En 1178, Robert II, comte de Meulan y fonda sous l'invocation de Saint Étienne, le prieuré de Grandmont-lès-Beaumont pour des religieux qui s'occupaient du défrichement et de la culture des terres<ref>Cette fondation fut confirmée par une charte du Roi Richard Modèle:1er Cœur de Lion donnée à Tours le 13 novembre 1189.</ref>. Vers 1670, il y avait cinq ou six moines au prieuré de Grandmont et le prieuré de La Bellière (Orne) en était une annexe. Il fut détruit à la Révolution.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Bernay du département de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Beaumesnil<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bernay Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Eure. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Le Noyer-en-Ouche était membre de la petite communauté de communes du canton de Beaumesnil, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité ne regroupait que deux communes.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le Modèle:Date-, la communauté de communes dénommée Intercom Bernay Terres de Normandie dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Modèle:Article connexe

Démographie

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

La commune du Noyer-en-Ouche compte plusieurs édifices inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • l'église Notre-Dame ({{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVIe{{#if:s| s }} }} (?), {{#switch: XIX
 | e | er | = 
   {{#switch: XIX
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}})<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. À l'intérieur, se trouvent des toiles du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de Michel Hubert Descours<ref>Peintre né en 1707 à Bernay (Eure), mort en 1775 à Bernay.</ref>, des statues du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Modèle:Refnec ;

  • l'église Saint-Pierre ({{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVe{{#if:s| s }} }}, {{#switch: XVII
 | e | er | = 
   {{#switch: XVII
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}) au lieu-dit le Châtellier Saint-Pierre<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Le chœur de l'église date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les percements ont été remaniés au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et le mur ouest a été reconstruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ;

 | e | er | = 
   {{#switch: XIX
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}) au lieu-dit Grammont<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Aujourd'hui, il reste une cave voûtée en berceau plein cintre, renforcé par deux arcs doubleaux. Sur le mur en face de l'escalier se trouve le départ d'une fenêtre coupée au départ de l'arc ; cette fenêtre est bouchée. Il reste en outre, le pignon Ouest de l'église sur une hauteur d'environ un mètre. Une fort belle entrée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle subsiste ainsi qu'un pigeonnier, mais leur état est critique ;

  • un édifice fortifié des {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:s| s }} }}, {{#switch: XVIII
 | e | er | = 
   {{#switch: XVIII
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}} au lieu-dit la Jouannière<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ne subsistent que les douves. Quant au manoir et aux bâtiments agricoles, ils datent des {{#switch: XVIII

 | e | er | = 
   {{#switch: XVIII
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}} ;

  • trois manoirs : un des {{#switch: XVIII
 | e | er | = 
   {{#switch: XVIII
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}} au lieu-dit la Noé<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, un autre des {{#switch: XIX

 | e | er | = 
   {{#switch: XIX
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}} au lieu-dit le Châtellier Saint-Pierre<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et un dernier des {{#switch: XIX

 | e | er | = 
   {{#switch: XIX
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}} au lieu-dit le Bois Chevreuil<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ;

Sont également inscrits à cet inventaire trois édifices qui étaient situés au lieu-dit le Châtel-la-Lune et qui sont aujourd'hui détruits : un château fort des {{#switch: XVI

 | e | er | = 
   {{#switch: XVI
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, le prieuré de bénédictins Saint-Christophe du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et l'église Saint-Christophe-Saint-Jacques des {{#switch: XVI

 | e | er | = 
   {{#switch: XVI
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Modèle:...

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Portail