Les Clefs de bagnole
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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Les Clefs de bagnole est un film français réalisé par Laurent Baffie, sorti le Modèle:Date.
Synopsis
Il est difficile de réaliser un bon film. Laurent Baffie l'a compris et emmène Daniel Russo dans une aventure ubuesque et décalée, à la recherche des clefs de bagnole qu'il a perdues. En réalité, ses clefs sont dans sa poche gauche, mais tout cela n'est qu'une allégorie de la vie, de l'amitié et de l'aventure. Une aventure dans laquelle Baffie joue son propre rôle, à la fois d'acteur, de réalisateur, de scénariste, de producteur et de personnage.
Fiche technique
Distribution
La distribution du film fait appel à de très nombreuses personnalités de la télévision, du cinéma et de la scène française. Modèle:Colonnes
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Dani
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Gérard Depardieu
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Alain Chabat
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Michel Galabru
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Jean-Marie Bigard
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Marcel Gotlib
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Jamel Debbouze
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François Rollin
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Chantal Ladesou
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Guy Lecluyse
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Maxime Le Forestier
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Chantal Lauby
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Nelson Monfort
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Thierry Ardisson
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Geneviève de Fontenay
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Sophie Marceau
Au début du film, Baffie demande à de grands producteurs du cinéma français de financer son film. Dans l'ordre apparaissent : Modèle:Début de colonnes
Ensuite, plusieurs comédiens sont filmés en train de refuser de jouer dans le film. Ces comédiens sont (dans l'ordre d'apparition) :
Autour du film
- Ce film ne rencontre pas le succès escompté (environ Modèle:Nombre sur la France) et place Laurent Baffie, également producteur, dans une situation financière critique. Ce dernier mettra sept ans pour rembourser ses dettes<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Le slogan publicitaire pour le lancement du film était « N'y allez pas, c'est une merde ! ».
- Le film s'ouvre sur une séquence au cours de laquelle une série d'acteurs français célèbres disent à Laurent Baffie qu'ils refusent de jouer dans son film. Les bonus du DVD montrent d'ailleurs des « nouveaux refus inédits », dont ceux d'acteurs américains comme Michael Madsen et Andy Garcia, mais aussi ceux de Pierre Palmade, Jean-Pierre Marielle, Bernard Giraudeau, François Berléand, Éric Judor, Ramzy Bedia, Vincent Cassel, Bernard Tapie, Christophe Lambert, Guillaume Depardieu, Richard Bohringer, Romain Duris, Michel Serrault, Anthony Delon et Alain Delon.
- Lors de la scène du hold-up, Daniel Russo parle de Quentin Tarantino. Or, Daniel Russo a travaillé sur le doublage de deux de ses films : Reservoir Dogs et Pulp Fiction. En effet, il a longtemps été la voix française de Harvey Keitel.
- Lors de la dernière de l'émission Tout le monde en parle (juillet 2006), Laurent Baffie annonce sur un ton ironique qu'il compte faire une suite à ce film. Cette suite s'intitulerait Les Clefs de bagnole 3 et le slogan serait « Le 2 était tellement nul qu'on l'a jeté ». En 2016, Brice 3, suite de Brice de Nice, utilise cette idée, en expliquant « Parce que le 2, je l'ai cassé ».
- Ce film comprend énormément de références au nombre 23, nombre fétiche de Laurent Baffie.
- Le film recèle une allusion au fameux « dobitchu » dans Le père Noël est une ordure avec l'apparition du personnage de Monsieur Preskovitch (là aussi joué par Bruno Moynot) traversant l'écran en disant Modèle:Citation.
- Dans l'émission Happy Hour du Modèle:Date- (19:52), Laurent Baffie affirme que son film a fait non pas 100 000, mais 200 000 entrées et déclare « Ce n'est pas beaucoup, c'est 200 000, mais c'est plus que 100 000 et j'y tiens ».
- Durant le film, on peut remarquer que des établissements portent le nom Les 400 Coups, La Guerre des boutons, Un singe en hiver et Dupont Lajoie, en référence aux films culte réalisés respectivement par François Truffaut, Yves Robert, Henri Verneuil et Yves Boisset<ref>http://cineclap.free.fr/?film=les-clefs-de-bagnole&page=scene-01336#.WMS6o2819dg</ref>.
- Le bar central du film se nomme L'Écailler du cinéma, en référence à la revue cinématographique les Cahiers du cinéma. Dans ce bar on peut également voir accroché au mur, un clap avec inscrit à la craie le film La Cuisine au beurre.
- Le DVD du film contient le court métrage Hot Dog.
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