Les Dames du bois de Boulogne

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin Les Dames du bois de Boulogne est un film français réalisé par Robert Bresson sorti en 1945, inspiré de l'histoire de Madame de La Pommeraye dans Jacques le Fataliste et son maître, de Denis Diderot.

Synopsis

Hélène souffre d'être délaissée par son amant Jean. Elle feint de ne plus l'aimer pour voir sa réaction, et comprend avec horreur qu'il est soulagé par cette révélation mensongère. Ils se séparent, mais Hélène, blessée, décide de se venger. Agnès, la fille de Madame D., est danseuse de cabaret depuis la faillite de sa mère. Hélène paie leurs dettes, installe mère et fille dans un appartement de Port-Royal et organise la rencontre de Jean et d’Agnès au bois de Boulogne, près de la Grande Cascade. Jean s'éprend d'Agnès. Celle-ci repousse d'abord ses avances, puis tente de lui avouer son passé mais sans succès, car Hélène continue de tirer les ficelles.

Tournage

Fichier:Grande Cascade du bois de Boulogne, Paris 16e 1.jpg
Devant la Grande Cascade du bois de Boulogne, un des lieux de tournage.

Les conditions de tournage du film ne sont pas simples ; la France est toujours occupée et les Alliés bombardent régulièrement Paris. Robert Bresson et son équipe doivent ainsi affronter de nombreuses coupures d’électricité, des alertes aux bombardements et différentes restrictions imposées par les Allemands ou les circonstances<ref name="siecle">Vincent Pinel, Le Siècle du cinéma, Modèle:P..</ref>. La Libération de Paris interrompt le tournage commencé fin Modèle:Date-. Il reprend quelques mois plus tard avec une équipe technique en partie différente<ref name="a">Télé 7 jours Modèle:N°, semaine du 3 au 9 mai 1975, page 51, article de Geneviève Coste.</ref>.

Lors d'une scène, il est prévu que Maria Casarès verse quelques larmes. Elle commence par plisser les yeux et grimacer pour les faire venir mais Bresson n'est pas satisfait. Il lui propose d'utiliser des larmes de glycérine. L'actrice refuse et s'acharne à battre des cils et à froncer le nez pour réussir à pleurer. Cela ne convient pas au réalisateur qui veut à tout prix un visage immobile : Modèle:Citation Elle réussit à y parvenir mais, perfectionniste, Bresson exige de tourner sept prises du plan. Maria Casarès a donc réussi sept fois de suite à pleurer tout en conservant un visage impassible<ref name="siecle"/>.

Maria Casarès garde donc un très mauvais souvenir du tournage, ainsi qu'elle en a témoigné : Modèle:Citation

Fiche technique

Distribution

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Autour du film

Références

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Voir aussi

Bibliographie

  • Jean-Michel Frodon, Robert Bresson, Paris, Cahiers du cinéma, 2008, p. 18-23
  • Vincent Pinel, Le Siècle du cinéma, Bordas, 1994
  • Paul Guth, Autour des Dames du Bois de Boulogne : journal d’un film, Paris, Julliard, 1945 ; rééd. Ramsay poche cinéma, 1989
  • Les Dames du Bois de Boulogne, Avant-scène cinéma n° 196, Modèle:Date-

Liens externes

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