Les Ripoux

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Modèle:Infobox V3/Séparateur Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin {{#if:Ripoux contre ripouxLes Ripoux |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} Modèle:Infobox V3/Séparateur

Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin

Les Ripoux est un film français réalisé par Claude Zidi, sorti en 1984.

Grand succès au box-office avec 5,8 millions de spectateurs, le film reçoit en 1985 trois César, dont celui du meilleur film et du meilleur réalisateur.

Synopsis

Dans les années 1980, René Boisrond, inspecteur en poste au commissariat du [[18e arrondissement de Paris|Modèle:18e de Paris]], mène une vie bien tranquille, entre sa concubine Simone, une ex-prostituée, et son travail qui consiste essentiellement à encaisser pots-de-vin et commissions occultes en tous genres, lui permettant d'assouvir sa passion pour les courses hippiques.

Le train-train de ce flic « ripou » (c'est-à-dire « pourri » en verlan) est quelque peu chamboulé par l'arrivée au commissariat de l'inspecteur Lesbuche, jeune provincial frais émoulu de l'école de police, plein d'ambition et pétri de hauts principes moraux, avec qui il doit faire équipe. En effet, ce dernier arrive en remplacement de Pierrot, ancien coéquipier de Boisrond, que ce dernier a fait envoyer en prison à sa place à cause d'une arrestation « hors procédure » dont il ne voulait pas assumer les conséquences.

Lesbuche, d'abord choqué par les méthodes de Boisrond, se fait progressivement une raison, devenant un « ripou » comme son collègue<ref>Modèle:Lien web.</ref> pour finalement entraîner celui-ci contre son gré dans un vol de grande ampleur.

Fiche technique

Distribution

Modèle:Début de colonnes

Modèle:Fin de colonnes

Production

Les scènes de bistrot sont tournées au Bistrot La Renaissance, rue Championnet dans le Modèle:18e arrondissement de Paris<ref>Modèle:Article</ref>. Modèle:Vide

Distinctions

Récompenses

Nominations

Suites

Grand succès populaire, Les Ripoux donna lieu à deux suites : Ripoux contre ripoux (1990) puis Ripoux 3 (2003).

Adaptations en jeux

Autour du film

Modèle:Anecdotes

  • Un extrait du film est aperçu dans le documentaire Modèle:Lien.
  • L'affiche des Ripoux est visible dans le commissariat du film L.627<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
  • Dans le film, René (Philippe Noiret) explique à François que l'usage du coup de « bottin » sur la tête est efficace et ne laisse pas de marques. Dans le film L'Horloger de Saint-Paul (1974), le personnage incarné par Jean Rochefort expliquait exactement la même chose au personnage incarné par Philippe Noiret.
  • Lors de la promotion des ripoux, Philippe Noiret est devenu grand père.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Modèle:Portail