Mer Hayrenik
Modèle:Titre en italique Modèle:Infobox Hymne « Notre Patrie » (en arménien: Modèle:Langue, Mer Hayreníkh) est le nom de l'hymne national de l'Arménie. Adopté le Modèle:Date, il est directement inspiré de l'hymne de la Première République d'Arménie, avec cependant des paroles différentes<ref name="presidency">Modèle:Lien web.</ref>. Les paroles ont été écrites par Mikaël Nalbandian et ont été mises en musique par Barsegh Kanachyan.
En 2006 a eu lieu un débat sur un possible changement d'hymne, auquel le Dashnak s'est fortement opposé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le parlement a tranché en faveur de Mer Hayrenik<ref>Modèle:Lien web.</ref> (loi relative à l'hymne de la République d'Arménie<ref name="Law">Modèle:Lien web.</ref>), mais en 2008, le gouvernement a indiqué son intention de vouloir organiser un concours pour un nouvel hymne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'altiste italien Marco Misciagna a composé Introduction and Variations on Mer Hayrenik pour alto solo et en 2018 l'a joué en concert à la Komitas Chamber Music House<ref>Modèle:Citation</ref>.
Paroles
Paroles officielles
Texte arménien original | Traduction française | ||||||
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<poem>Notre patrie, libre et indépendante,
Qui a vécu de siècle en siècle, 𝄆 Ses enfants l'appellent aujourd'hui, Arménie libre et indépendante. 𝄇 Voici, frère, un drapeau pour toi, Que j'ai fait de mes mains 𝄆 Les nuits où je ne dormais pas, Je l'ai lavé de mes larmes. 𝄇 Regarde-le, tricolore, Notre symbole sacré, 𝄆 Qu'il flamboie face à l'ennemi, Que l'Arménie soit toujours glorieuse. 𝄇 La mort est partout la même, Chacun ne meurt qu'une fois, 𝄆 Mais heureux qui se sacrifie Pour libérer sa nation. 𝄇<ref>Modèle:Lien web.</ref></poem> |
Paroles originales
La version originale de l'hymne national arménien est basée sur les première, troisième, quatrième et sixième strophes du poème « La chanson d'une Italienne »<ref>Kʻnar haykakan. Mikhail Misropovich Miansarov. 1868</ref>.
Arménien | Translitération | Traduction |
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<poem>Մեր հայրենիք, թշուառ, անտէր,
Մեր թշնամուց ոտնակոխ, Իւր որդիքը արդ կանչում է Հանել իւր վրէժ, քէն ու ոխ: Ահա՛, եղբայր, քեզ մի դրoշ, Որ իմ ձեռքով գործեցի, Գիշերները ես քուն չեղայ, Արտասուքով լուացի։ Նայի՛ր նորան, երեք գոյնով, Նուիրական մեր նշան, Թո՛ղ փողփողի թշնամու դէմ, Թո՛ղ կործանուի Աւստրիան: Ամենայն տեղ մահը մի է, Մարդ մի անգամ պիտ մեռնի. Բայց երանի՜, որ իւր ազգի Ազատութեան կը զոհուի:</poem> |
<poem>Mer Hayreníkh, thshuárr, antér,
Mer thshnamúts votnakóx, Iur vordíkhe ard kanchúm e Hanél iur vrezh, khen u vox. Aha, yeghbáyr, khez mi drosh, Vor im dzerrkhóv gortzetsí, Gishernére yes khun chegháy, Artasukhóv luatsí. Nayír norán, yerékh goynóv, Nuirakán mer nshan, Thogh phoghphoghí thshnamú dem, Thogh kortzanuí Austrián: Amenáyn tegh máhe mi e, Mard mi angám pit merrní. Bayts yeraní, vor iur azgí Azatutheán kzohuí.</poem> |
<poem>Notre patrie, misérable, abandonnée,
Opprimé par nos ennemis, Ses fils appellent maintenant Pour la vengeance, la rancune et la méchanceté. Voici, frère, un drapeau pour toi, Que j'ai fait de mes mains Les nuits où je ne dormais pas, Je l'ai lavé de mes larmes. Regarde-le, tricolore, Notre symbole sacré, Qu'il flamboie face à l'ennemi, Que l'Autriche soit détruite. La mort est partout la même, Chacun ne meurt qu'une fois, Mais heureux qui se sacrifie Pour libérer sa nation.</poem> |