Paul Delvaux

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Paul Delvaux, né le Modèle:Date de naissance à Antheit (Belgique) et mort le Modèle:Date de décès à Furnes, est un peintre post-impressionniste, expressionniste puis surréaliste belge.

Biographie

Subissant l'ascendant d'une mère autoritaire et possessive, Paul Delvaux est élevé dans la crainte du monde fémininModèle:Référence nécessaire.

Il a également subi l'influence de son meilleur ami, éminent artiste peintre lui aussi, Émile Salkin, qui l'a entrainé à dessiner et l'a notamment amené au musée d'histoire naturelle de Bruxelles, où ils ont tous deux dessiné et peint des squelettes<ref>Modèle:Lien web]</ref>.

Durant ses études à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles<ref>inscrit au registre de l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles sous le numéro matricule 18572 - de 1916 à 1920 - source archives de l'ARBA-ESA [1]</ref>, il se forme au dessin avec le peintre symboliste Jean Delville et à la peinture décorative avec Constant Montald. Montald a appris à Delvaux le sens de la composition, l'importance du paysage peint d'après nature, et il l'a initié au nu. L'attirance de Montald pour les sujets mythologiques, son goût pour les grandes toiles lisses se retrouveront plus tard dans les toiles de Delvaux<ref>Modèle:Ouvrage </ref>.


Delvaux réalise d'abord des tableaux post-impressionnistes, puis expressionnistes, influencés, notamment, par James Ensor. Son univers favori est la gare de chemin de fer (« Trains du soir »). Cependant, à chacun des changements d'inspiration, Paul Delvaux détruit ses tableaux (1920-1924).

Fichier:Museum Paul Delvaux.JPG
Le Musée Paul Delvaux à Saint-Idesbald en Belgique.
Fichier:Casa de La Moneda. Donación botero.jpg
Les Belles de nuit.

Au début des années 1930, Delvaux trouve son inspiration dans ses visites à la Foire du Midi de Bruxelles, où le musée Spitzner, une attraction de curiosités médicales, présentait en devanture des squelettes et une Vénus mécanique dans une embrasure encadrée de rideaux de velours rouge. Ce spectacle a captivé Delvaux, lui fournissant des motifs qui apparaissent tout au long de son travail ultérieur<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Marc Rombaut, Paul Delvaux, New York : Rizzoli, 1990 Modèle:ISBN, Modèle:P.</ref>.

C'est en découvrant un tableau de Giorgio De Chirico « Mélancolie et mystère d'une rue », que Delvaux a la "révélation" du surréalisme (1934). Sans jamais adhérer au mouvement, il commence, avec « Femmes en dentelle », une série d'œuvres d'une unité si profonde que n'importe lequel de ses tableaux se reconnait au premier coup d'œil. On le classe plutôt dans le courant du réalisme magique, avec des artistes à l'univers proche comme Carel Willink ou Balthus.

Il expose ses œuvres à l'exposition des surréalistes de Paris en 1938.

Les thèmes récurrents de l'œuvre de Paul Delvaux se caractérisent par la représentation de femmes nues, d'hommes habillés en costume et des éphèbes dans une attitude hiératique et figée au sein d'un paysage ou d'un milieu urbain tout aussi figé.

Il a peint également de grandes compositions murales comme celles du Casino-Kursaal d'Ostende, du Palais des Congrès de Bruxelles, de l'Institut de Zoologie à Liège. Ou encore, lors de l'exposition universelle de 1958 (l'« Expo 58 »), il réalisa avec ses élèves, La Carte littéraire de Belgique<ref> M. Quaghebeur (dir.), L’œuvre en chantier. Deux siècles de littérature francophone en Belgique, Bruxelles, Archives et Musée de la Littérature, 2008</ref>, une œuvre que le Ministre de la Culture Française, Henri-François Van Aal, installa en 1976 dans la salle de lecture des Archives et Musée de la Littérature, au troisième étage de la Bibliothèque royale de Belgique. Depuis 1978, la station Bourse du métro de Bruxelles est également décorée d'une de ses fresques.

Élu correspondant de l'Académie royale de Belgique (Classe des Beaux-Arts), le Modèle:Date- ; membre, le Modèle:Date-.

Paul Delvaux a reçu une faveur nobiliaire du roi des Belges mais il n'y donna pas suite.

Dans le village de Saint-Idesbald, dans la commune flamande de Coxyde, sur la côte belge où il a vécu longuement depuis 1945, on trouve, depuis 1982, un musée privé qui lui est consacré. Attenant à la Fondation Paul Delvaux, fondée de son vivant par l'artiste lui-même, ce musée renferme la plus importante collection, au monde, de toiles, dessins et estampes de Paul Delvaux.

Œuvres

Huiles sur toile, sauf indication contraire
  • Vieille Gare du Luxembourg, 1922, huile sur bois, 68 × 79,5 cm, Fondation Paul Delvaux, Saint-Idesbald, Belgique<ref>Reproduction dans Artension Modèle:N°, mai-juin 2009, Modèle:P.7</ref>
  • Vue de la gare du quartier Léopold, 1922, huile sur bois, 125 × 120 cm, Fondation Paul Delvaux, Saint-Idesbald, Belgique<ref>ibid, Modèle:P.9</ref>
  • Paysage mosan, 1925, huile sur toile, 85 × 100 cm
  • Le Couple, 1929, 150 × 135 cm<ref name="bar">Barbara Emerson, Delvaux, 1985, édité par le fonds Mercator à Anvers, Modèle:ISBN</ref>,<ref name="mic">Michel Butor, Jean Clair, Suzanne Houbart-Wilkin, Delvaux: Catalogue de l’œuvre peint, 1975, Production de la Société Nouvelle d'Éditions Internationales, Bruxelles.</ref>
  • Jeunes Filles à la campagne, 1929, 190 × 135 cm<ref>Collection privée. Reproduction dans "Parcours des arts" Modèle:N°, juillet-août-septembre 2011, Modèle:P..</ref>
  • Les Amies, 1930, 109 × 98 cm<ref>Dépôt Musée d'Ixelles. Reproduction dans "Parcours des arts" Modèle:N°, juillet-août-septembre 2011, Modèle:P..</ref>
  • Jeune Femme, 1931, 100 × 80 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Dame rose, 1934, 100 × 120 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Femmes et Pierres, 1934, 80 × 100 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Palais en ruines, 1935, 70 × 90 cm
  • Le Paravent, 1935, 60 × 80 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Miroir, 1936, 120 × 140 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Femme dans une grotte, 1936, 71 × 91,5 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Fenêtre, 1936, 110 × 100 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Rose, 1936, 130 × 190 cm<ref name=mic/>
  • Les Belles de nuit, 1936, 100 × 100 cm<ref name=mic/>
  • Le Cortège des dentelles, 1936, 115 × 158 cm<ref name=mic/>
  • Propositions diurnes, 1937, 105 × 130 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Naissance du jour, 1937, 120,5 × 150,5 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Récitant, 1937, 70 × 80 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Rubans roses, 1937, 121,5 × 160 cm, au Musée royal des beaux-arts d'Anvers|Musée royal des beaux-arts, à Anvers.
  • L'Appel de la nuit, 1938, 109,75 × 145 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Nymphes des eaux, 1938, 130 × 150 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Salut, 1938, 90,5 × 120,5 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Ville endormie, 1938, 135 × 170 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L’Éveil de la forêt, 1939, 150 × 200 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Nocturnes, 1939, huile sur bois, 94 × 123 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Pygmalion, 1939, huile sur bois, 117 × 147,5 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Visite, 1939, 100 × 110 cm, collection particulière<ref>Reproduction dans Azart, hors-série Modèle:N°, mars 2009, Modèle:P.36</ref>
  • Les Phases de la lune autre titre Les phases de la lune I, 1939, 139,5 × 160 cm
  • L'Homme de la rue, 1940, 130 × 150 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Entrée de la ville, 1940, 170 × 190 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Aube sur la ville, 1940, 175 × 215 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Songe, 1941, 110 × 130 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Congrès, 1941, 160 × 180 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Courtisanes, 1941, 90 × 100 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Ville inquiète, 1941, 200 × 247 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Ville antique, 1941, 65 × 100 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Phases de la lune 2, 1941, 143 × 175 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Phases de la lune 3, 1942, 155 × 175 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Village des sirènes, 1942, 105 × 127 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Prisonnère, 1942, huile sur bois<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Musée Spitzner, 1943, 200 × 240 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Vénus endormie, 1943, 74 × 158 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Femmes devant la mer, 1943, 105,5 × 166,5 cm8
  • L'Echo, 1943, 105 × 128 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Courtisanes, 1943, 122 × 186 cm<ref name=bar/>
  • Squelette, 1943, huile et media sur panneau, 85,5 × 58,5 cm<ref name=mic/>
  • Squelette à la coquille, 1944, huile sur masonite, 122 × 100 cm<ref name=mic/>
  • Le Canapé vert, 1944, 130 × 210 cm
  • L'Appel, 1944, 155 × 150 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Squelettes dans un bureau, 1944, 97 × 123 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Vénus endormie, 1944, 60 × 126 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Ville lunaire, 1944, 107,5 × 238 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Visite, 1944, 82 × 102 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Squelette à l'atelier, 1945, 156 × 59,5 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Belle du couchant, 1945, huile sur bois, 122 × 123 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Tentation de Saint Antoine, 1945, 114 × 147 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L’Énigme, 1946, huile sur panneau<ref name=bar/>
  • Nus à la statue, 1946, 122 × 183 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Pénélope, 1946, huile sur masonite, 120 × 175 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Ville noire, 1946, 122 × 183 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Escalier, 1946, huile sur bois, 122 × 152 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Tramway, porte rouge, Éphèse, 1946, huile sur bois, 83 × 68 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Train de nuit, 1947, huile sur bois, 153 × 210 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Promeneuses, 1947, 130 × 180 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Grandes Sirènes, 1947, huile sur unalite, 203 × 305 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Eloge de la mélancolie, 1948, huile sur panneau<ref name=bar/>
  • L'Escalier, 1948, huile sur panneau, 146 × 118 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Léda, 1948, huile sur bois, 153 × 95 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Voix (voie) publique, 1948, huile sur bois, 152,5 × 254 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Temple, 1949, huile sur bois, 110 × 143 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Descente de croix, 1949, huile sur triplex, 180 × 260 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Dames aux cerfs-volants, 1950, huile sur bois, 80 × 100 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Olympie, 1950, huile sur bois, 180 × 265 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Âge du fer, 1951, huile sur bois, 153 × 241 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Crucifixion, 1951/1952, huile sur bois, 178,5 × 266,5 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Hiver, 1952, huile sur verre, 175 × 225 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Lustre, 1952, huile sur bois, 120 × 150 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Mise au tombeau, 1953, huile sur bois, 175 × 300 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Annonciation, 1955, huile sur multiplex, 109,5 × 149,5 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Solitude, 1955, huile sur panneau de bois, 99,5 × 124 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Nuit de Noël, 1956, huile sur masonite, 120 × 170 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Orphée, 1956, huile sur panneau, 120 × 170 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Mise au tombeau, 1957, huile sur bois, 130 × 120 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Ecce Homo, 1957, 270 × 200 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Antinoüs, 1958, huile sur unalite, 122 × 183 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Trains de banlieue, 1958, 151 × 219 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'École des savants, 1958, 150 × 220 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Petite gare de nuit, 1959, 140 × 170 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Carte littéraire de Belgique, 1958, 305 × 490 cm7, 8
  • La Gare forestière, 1960, 160 × 220 cm, Fondation Paul Delvaux, Saint-Idesbald, Belgique<ref>Reproduction dans Artension Modèle:N°, mai-juin 2009, Modèle:P.8</ref>
  • La Genèse , 1960, 661 x 1196 cm, Institut de zoologie de Liège|Institut de zoologie Van Beneden à Liège<ref>à la demande du recteur Marcel Dubuisson, fresque murale monumentale intitulée « La Genèse ». Péristyle de l'amphithéâtre; in Historique de l'Institut, Sonia Wanson, 2008</ref>,<ref>http://www.aquarium-museum.ulg.ac.be/fr/pdf/publications/documents_thematiques/historique_institut.pdf</ref>
  • Le Veilleur 2, 1961, huile sur unalite, 122 × 226,5 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Printemps, 1961, 119 × 138 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Petit chemin, 1961, huile sur bois, 122 × 122 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Astronomes, 1961, 155 × 255 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Demoiselles de Tongres, 1962, 160 × 250 cm, Isy Brachot, Paris/Bruxelles<ref>Reproduction dans "Beaux-Arts magazine" Modèle:N°, juin 1989, Modèle:P.98</ref>
  • Le Veilleur III autre titre Horizons, 1962, 170 × 270 cm<ref name=mic/>
  • Le Sabbat, 1962, 160 × 260 cm7, 8
  • Toutes les lumières, 1962, 150 × 130 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Douce nuit, 1962, 130 × 185 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Gare le jour, 1963, huile sur unalite, 77 × 53 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Gare la nuit, 1963, huile sur unalite, 77 × 53 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Petite place de la gare, 1963, 110 × 140 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Cortège, 1963, huile sur unalite, 122 × 244 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Aurore, 1964, huile sur toile, marouflée sur panneau, 122 × 244<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Abandon, 1964, 140 × 160 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Ville oubliée, 1964, 140 × 180 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Mer est proche, 1965, 140 × 190 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Ombres, 1965, 125 × 231 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Vierges sages, 1965, 180 × 280 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Acropole, 1966, 150 × 230 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Mirage, 1967, 210 × 190 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Chrysis, 1967, 160 × 140 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Canapé bleu, 1967, 140 × 180 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Pompéi, 1970, 160 × 260 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Sérénité, 1970, huile sur masonite, 122 × 152 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Jardin, 1971, 140 × 190 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Hommage à Jules Verne, 1971, 150 × 210 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • L'Office du soir, 1971, huile sur bois, 85 × 125 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Les Vestales, 1972, 140 × 190 cm<ref name=mic/>
  • Les Ruines de Sélinonte, 1972/1973, 140 × 220 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Rendez-vous d'Éphèse, 1973, 150 × 240 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • Le Dialogue, 1974, 150 × 260 cm<ref name=bar/>,<ref name=mic/>
  • La Robe de mariée, 1976<ref name=bar/>
  • Nuit sur la mer, 1976<ref name=bar/>
  • Le Tunnel, 1978<ref name=bar/>
  • La Pose, 1979<ref name=bar/>
  • La Route de Rome, 1979<ref name=bar/>
  • La Messagère du soir, 1980<ref name=bar/>
  • Hommage à Federico Fellini|Fellini, 1981<ref name=bar/>
  • Les Dioscures, 1982<ref name=bar/>
  • La Rue, 1982<ref name=bar/>

Hommages

Fichier:Paul Delvaux J1.jpg
Statue en hommage à l'artiste à Furnes.

Bibliographie

Bibliographie musicale

  • Paul-Baudouin Michel, « Hommage à Paul Delvaux », op. 135, pour saxophone alto et clavecin, 1988.

Notes

<references/>

Voir aussi

Articles connexes

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Liens externes

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