Peyroules
Modèle:Infobox Commune de France
Peyroules est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le nom de ses habitants est Peyrouliens<ref name="tresor"/>.
Géographie
La Bâtie est située essentiellement sur un promontoire.
Peyroules est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.
Localisation
La commune est établie autour de la source de deux rivières : celle de l’Artuby, affluent du Verdon qui s’écoule vers le sud et les Alpes-Maritimes, et celle du Jabron, lui aussi affluent du Verdon<ref name="IGN">Modèle:Géoportail</ref>. Modèle:...
Relief
Crête de la Blachette. Modèle:...
Environnement
La commune compte Modèle:Unité de bois et forêts, soit plus de 54 % de sa superficie<ref name="tresor"/>. Modèle:...
Hameaux-écarts
- le Village (ou la Rivière) ;
- la Bâtie ;
- la Foux de Peyroules ;
- le Mousteiret.
Écarts :
- Granges du Mousteiret (les)<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> ;
- Granges de la Bâtie (les)<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Voies de communications et transports
Voies routières
Transports en commun
Peyroules est traversée par la route Napoléon (route nationale 85).
Le village de La Foux est desservi par la ligne 40 du réseau de bus Sillages (réseau des transports publics dans le pays de Grasse) reliant la ville de Grasse à celle de Saint-Auban. Cela avec 4 A/R en semaine et 3 A/R le samedi<ref>Fiche horaire de la ligne Grasse - Saint-Auban</ref>.
Risques naturels et technologiques
La commune de Peyroules est également exposée à trois risques naturels<ref name="prim"/> :
- feu de forêt,
- inondation,
- mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort<ref name="ddrm37"/>.
La commune de Peyroules est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route<ref name="ppr"/>. La départementale 4085 (ancienne route nationale 85) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses : elle passe à proximité de deux hameaux, la Bâtie et le Mousteiret<ref name="ddrm80"/>.
Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2006 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et de séisme<ref name="ppr"/> et le Dicrim n’existe pas<ref name="dicrim"/>.
La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994 et 2011<ref name="prim"/>.
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient Peyroules est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
- rivière le Jabron (affluent du Verdon) ;
- rivière l'Artuby ;
- vallons des Demuèyes, de Sainte-Anne ;
- torrent des Bonnes Fonts ;
- ruisseau du col des Lattes ;
- ravins de Blay, de Canebiers, de Mal Bouisset, du Fonduas, de Ville, du Gabre, de Trébec, de la Colle, du Villard, de la Pégourière, de la Route, de la Couissine, de la Séouve, de la Buissière, de Barrissi, de la Péguière.
Climat
Modèle:… Le climat est plutôt montagnard : basse températures l'hiver et l'été assez chaudesModèle:Article détaillé
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes vers 1045 sous la forme Peirolas, puis de Petrolis (1300) et Perrolas au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ce qui désigne un ensemble de pierres<ref name="TGF"/>, un endroit pierreux, voir une ruine<ref name="Fénié-90"/>.
Le Mousteiret est une autre forme du mot monastère, et indique donc la présence d’un couvent ou d’un prieuré<ref name="Fénié-59"/>.
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 98 personnes, dont 19 chômeurs<ref name="insee-dossier-local5"/> (15 fin 2011<ref name="insee-dossier-local8"/>). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (56 salariés et 24 indépendants)<ref name="insee-dossier-local7"/> et travaillent majoritairement hors de la commune (76 %)<ref name="insee-dossier-local7"/>.
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 14 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié<ref name="insee-dossier-local16"/>.
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de sept en 2010. Il était de neuf en 2000<ref name="otex"/>, de 19 en 1988<ref name="exploitations-insee"/>. Modèle:Quand, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage ovin (quatre exploitants spécialisés)<ref name="otex"/>. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement augmenté, de 555 à Modèle:Nombre<ref name="exploitations-insee"/>. Elle s’est ensuite effondrée, à Modèle:Nombre en 2010<ref name="otex"/>.
Artisanat et industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait sept établissements, employant un seul salarié<ref name="insee-dossier-local16"/>.
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (avec un emploi salarié), auxquels s’ajoute l’unique établissement du secteur administratif, salariant une personne<ref name="insee-dossier-local16"/>.
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant<ref name="atlas-hébergement6"/>, l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande<ref name="atlas-hébergement7"/>. Les seuls hébergements spécialisés sont des meublés labellisés<ref name="atlas-hébergement32"/>. Les résidences secondaires constituent l’essentiel de la capacité d’accueil<ref name="atlas-hébergement44"/> : au nombre de 174, elles représentent 57 % des logements<ref name="insee-dossier-local17"/>,<ref name="insee-tourisme"/>.
Histoire
Le site de la grotte de Mousteiret est fréquenté à plusieurs moments distincts au néolithique. Toujours au Mousteiret, une enceinte préhistorique a été retrouvée.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1045 (Peirolas)<ref name="archeo-provence"/>. Le village est alors situé sur une petite colline, proche du site actuel. Les Castellane sont les seigneurs du lieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, puis les Valbelle leur succèdent jusqu’à la Révolution française<ref name="AHP">Modèle:Atlas historique de la Provence, p. 189</ref>. La paroisse relevait de l’évêque de Senez, alors que le prieuré Saint-Jean-de-la-Foux relevait de l’abbaye de Lérins<ref name="archeo-provence"/>. La communauté relevait de la viguerie de Castellane<ref name="archeo-provence"/>.
Au Moyen Âge, les habitants du Mousteiret et de La Bâtie (La Bastida Jabroni<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, la Bastide du Jabron en 1251) formaient deux communautés autonomes<ref>Baratier, Duby & Hildesheimer, Modèle:Opcit, p. 163</ref>,<ref>Baratier, Duby & Hildesheimer, Modèle:Opcit, p. 186</ref>. La paroisse du Moustier d’Aups relevait de l’abbaye de Lérins qui en percevait les revenus (à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle). En 1441, ce prieuré est réuni à celui de Gratemoine (à Séranon) ; il semble alors disparaître en tant que prieuré, puis c’est son église, utilisée jusqu’au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle qui disparaît<ref name="archeo-provence"/>.
Les communautés se réunissent progressivement : Le Mousteiret est annexé par celle de Peyroules dès 1278 ; La Bâtie est annexée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, fortement touchés par la crise du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans)<ref name="AHP"/>.
Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la chapelle Sainte-Anne du hameau de la Rivière devient l’église paroissiale, ce qui concrétise le déperchement de l’habitat<ref name="archeo-provence"/>.
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du Modèle:Date- précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1834 que le cadastre dit napoléonien de Peyroules est achevé<ref>Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XXI|-| – | XXI }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
}}, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. Modèle:ISBN, Modèle:P.10.</ref>.
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : Peyroules, avec deux habitants traduits devant la commission mixte, est relativement peu touchée<ref>Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, Modèle:P.72.</ref>.
Comme de nombreuses communes du département, celle de Peyroules se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède trois, installées au village chef-lieu, à la Bâtie et à la Foux, qui dispensent une instruction primaire aux garçons<ref name="labadie9"/>. Aucune instruction n’est donnée aux filles : si la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants<ref name="labadie16"/>, ne concerne pas Peyroules, la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, n’est pas appliquée<ref name="labadie18"/>. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Peyroules sont régulièrement scolarisées.
Héraldique
Modèle:Article détaillé Modèle:Blason commune
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
La commune possède un point-lecture informatisé<ref>Catalogue en ligne sur le site des médiathèques A3V.</ref>.
Intercommunalité
Peyroules a fait partie, jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Teillon. Depuis le Modèle:Date-, elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Urbanisme
Typologie
Peyroules est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le Modèle:Date avec effet le Modèle:Date, regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)<ref>Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), prairies (5,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 0,99 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 0,96 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Date | 1278 | 1315 | 1471 | 1504 | 1698 |
---|---|---|---|---|---|
Peyroules | 25 | 52 | 12 | 46 | 85 |
La Bâtie | 10 | 14 | inhabitée | ||
Le Mousteiret | 12 | 10 |
Modèle:Population de France/section
L’histoire démographique de Peyroules, après la saignée des {{#switch: XV
| e | er | = {{#switch: XV
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}} et le long mouvement de croissance jusqu’au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure jusqu’en 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. Dans les années 1920, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841<ref name="vidal">Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute- Provence depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle », Provence historique, tome 21, Modèle:N°85, 1971, Modèle:P.288.</ref>. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1970. Succède alors à ce mouvement séculaire une croissance continue de 1975 à nos jours.
Enseignement
Santé
Cultes
Lieux et monuments
L'ancien village, ou Vieux-Peyroules, est un bourg castral, établi à proximité d’un château fort (en ruines).
L’église de Peyroules dite de Ville<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, placée sous le vocable de Saint-Pons (romane, construite dans la seconde moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle selon Raymond Collier, fondée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et remaniée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle selon la DRAC) y a été restaurée (les derniers travaux datant de 2013<ref>« Peyroules : report de l’inauguration de la chapelle », La Provence, 2 novembre 2013, Modèle:P.12.</ref>) : éclairée seulement de baies étroites comme des meurtrières, la nef débouche dans une abside semi-circulaire. Le portail principal, sur la façade méridionale, est en plein cintre, avec des claveaux. Elle est inscrite comme monument historique<ref>Modèle:Collier-Haute-Provence, p 58</ref>,<ref>Arrêté du 11 septembre 2006, notice de la Base Mérimée, consultée le Modèle:1er décembre 2008.</ref>.
Au bourg de Peyroules, ou de la Rivière, la mairie est installée dans l’ancienne maison seigneuriale, date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (réparée en 1844)<ref>Raymond Collier, Modèle:Opcit, Modèle:P.271.</ref>. L’église paroissiale Sainte-Anne<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> abrite une bannière de procession représentant L’Adoration du saint sacrement (Modèle:Unité sur 73), où le saint sacrement est adoré par des anges. Datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, elle est protégée comme objet inscrit depuis 1987<ref>Arrêté du 19 novembre 1987, Modèle:Base Palissy, consultée le 23 février 2014.</ref>.
Monument aux morts<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> et plaques commémoratives<ref>Modèle:Base Palissy deux plaques commémoratives de la guerre de 1914-1918</ref>.
La Foux
La Foux est également un bourg castral<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>notice de la Base Mérimée, consultée le Modèle:1er décembre 2008</ref>, dont le château est construit au lieu-dit croix de Peyssivier dans la seconde moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Église Saint-Jean-Baptiste et sa cloche de 1560<ref>Modèle:Base Palissy cloche de l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste</ref>, à La Foux<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, une séquence du film Jeux interdits y fut tournée ;
- L'oratoire Notre-Dame et Saint-Jean-Baptiste<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> ;
- Ferme fortifiée à La Foux également, avec pigeonnier.
La Bâtie
La Bâtie est également un ancien bourg castral, appelé autrefois la Bastide-du-Jabron, fondée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>notice de la Base Mérimée, consultée le Modèle:1er décembre 2008</ref>.
La chapelle de La Bâtie, sous l’invocation de la Transfiguration<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy cloche de l'église paroissiale Saint-Sauveur, puis de la Transfiguration de Notre-Seigneur</ref> mais appelée communément Saint-Sauveur, ancienne succursale de la paroisse de Peyroules<ref name="archeo-provence"/>, date de 1651. Son clocher-mur se trouve au-dessus de la façade occidentale<ref>Raymond Collier, Modèle:Opcit, p 232</ref>.
Mousteiret
Au Mousteiret, se trouve un autre bourg castral<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, avec un abri troglodytique, très difficile d’accès<ref>notice de la Base Mérimée, consultée le Modèle:1er décembre 2008</ref>.
Chapelle Notre-Dame, actuellement ferme<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Gilbert Sauvan né à Peyroules, maire de 1983 à 2008 et député.
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Collier-Haute-Provence
- Modèle:Atlas historique de la Provence
- Cavité naturelle des fées, Baume di Fodo
- Peyroules sur Archéoprovence
- Peyroulles , de Castellane, sur le site Dignois
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavité souterraine naturelle des fées, Baume di Fodo
Articles connexes
- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- Modèle:Autorité
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Bases
- Peyroules sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes