Philippe Vayringe
{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Biographie2 Philippe Vayringe (né à Nouillonpont dans le Duché de Lorraine le Modèle:Date et mort à Florence le Modèle:Date<ref>Relevé généalogique sur Geneanet</ref>) est issu d'une famille paysanne pauvre. Il apprend à lire et à écrire dans une école meusienne.
D'abord serrurier à Nancy, il apprend l'art du fer forgé et l'horlogerie puis travaille à l'Hôtel de la Monnaie de Nancy sous la direction du célèbre médailler Ferdinand de Saint-Urbain.
Il apporte au duc de Lorraine Léopold une série d'outils scientifiques qu'il a créés et qui font de lui l'horloger et le machiniste du duc. Celui-ci l'envoie en Angleterre en 1721, où il apprend l'algèbre et la géométrie.
Il revient en France, où il est nommé en 1731 professeur de physique expérimentale à l'Académie de Lunéville. Il enseigne notamment les trois lois du mouvement de Newton.
Vayringe part avec son maître François III de Lorraine lorsqu’il reçoit la Toscane en 1737. Il y meurt neuf ans plus tard, en 1746.
Œuvres
Manuscrit numérisé des Bibliothèques de Nancy, Ms. 1355 : Modèle:Ouvrage
Notes et références
Bibliographie
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- Jérémy Filet, « Philippe Vayringe », dans Isabelle Guyot-Bachy et Jean-Christophe Blanchard (dir.), Dictionnaire de la Lorraine savante, Metz : Éditions des Paraiges, 2022, p. 307-309.