Polymnie

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Autre4 Modèle:Autre4 Modèle:Infobox Divinité Dans la mythologie grecque, Polymnie ou Polhymnie (en grec ancien Modèle:Grec ancien / Modèle:Lang ou Modèle:Grec ancien / Modèle:Lang) est la Muse de la Rhétorique, donc de l'éloquence. On lui prêtait la faculté d'inspirer les aèdes et auteurs des poèmes et des récits les plus admirables. Elle est couronnée de fleurs, quelquefois de perles et de pierreries, avec des guirlandes autour d'elle, et habillée de blanc. Sa main droite est en action comme pour haranguer. Elle tient de la main gauche tantôt un sceptre, tantôt un rouleau sur lequel est écrit le mot latin suadere (persuader). Elle est la fille de Mnémosyne et Zeus <ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Évocations antiques

Dans l’œuvre de Platon

Dans Le Banquet, Platon fait entendre des voix différentes pour parler d'amour, et de beauté, qui sont affaires du Bien<ref>En grec ancien : Modèle:Grec ancien.</ref>. Dans ce dialogue, Éros est représenté différemment en fonction des personnages du dialogue. Dans le Phèdre<ref>Modèle:Harvnb.</ref>, Éros est une divinité primordiale, Modèle:Cita. Suit un éloge de l'amour vertueux, fidèle, non attaché au corps. Faisant parler Éryximaque, Platon approuve la distinction des deux Éros faite par Pausanias et la complète : l'Éros ne réside pas seulement dans l'âme mais aussi dans la beauté, Modèle:Cita. L'Éros légitime et céleste est celui de la muse Uranie. Modèle:Cita<ref>Modèle:Harvnb.</ref>.

Dans l’œuvre de Diodore de Sicile

Dans Bibliothèque historique, rédigée en grec au Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle, Diodore de Sicile évoque combien les grandes louanges de Polymnie donne de la distinction aux écrivains dont les œuvres ont conquis une renommée immortelle.

Évocations modernes

Fichier:Charles Meynier - Statue of Polyhymnia in a landscape.jpg
Charles Meynier, Statue de Polymnie sur fond de paysage,
(musée de la Révolution française).

Dans l’œuvre de Dante

Elle est nommément évoquée avec le groupe des muses au chant XXIII du Paradis de la Divine Comédie de Dante, où il est dit qu'elle et ses sœurs ont nourri de leur lait les récits modernes du passé.

Dans l’œuvre de Claudel

Muse du Chant, Polymnie est utilisée dans la poésie, comme dans ce poème de Paul Claudel, dans la première des Cinq Grandes Odes<ref>1910, NRF, Gallimard.</ref> : Modèle:Citation

Voir aussi

Bibliographie

Article connexe

Liens externes

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Notes et références

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