Saint-Laurent-en-Royans

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Laurent-en-Royans est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

La commune, traversée par le [[45e parallèle nord|Modèle:45e nord]], est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ Modèle:Unité).

Localisation

Saint-Laurent-en-Royans est situé à Modèle:Unité à l'est de Romans-sur-Isère.

Relief et géologie

Hydrographie

  • Source du Cholet<ref name=":1" />.

Climat

Modèle:Article connexe

Voies de communication et transports

Modèle:...

Urbanisme

Typologie

Saint-Laurent-en-Royans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), terres arables (6,7 %), prairies (4,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,9 %), zones urbanisées (2,7 %), cultures permanentes (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Toponymie

Attestations

  • 1086 : ecclesia Sancti Laurentii de pago Royano (cartulaire de Romans, 161)<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>.
  • 1313 : domus Sancti Laurencii in Royanis (Inventaire des dauphins, 219)<ref name=":0" />.
  • 1314 : domum Sancti Laurencii in Roanis, que fuit condam Militie Templi (archives de l'Isère, B 2704)<ref>Modèle:Ouvrage, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k66971n/f19.item.r=Sancti#%7C{{ #if: bpt6k66971n/f19.item.r=Sancti# |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.
  • Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle: preceptoria de Royano (parcellaire)<ref name=":0" />.
  • 1449 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Laurentii in Royanis (pouillé hist.)<ref name=":0" />.
  • 1662 : Sainct Laurans en Rouyans (parcellaire)<ref name=":0" />.
  • 1662 : preceptoria de Royano (parcellaire)<ref name=":0" />.
  • 1789 : Saint Laurans en Roïans (Instr. pour les communautés)<ref name=":0" />.
  • 1793 : Montagne de Larps [appellation révolutionnaire]<ref name=":0" />.
  • 1891 : Saint-Laurent-en-Royans, commune du canton de Saint-Jean-en-Royans<ref name=":0" />.

Étymologie

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Histoire

Modèle:Article connexe

Protohistoire

Territoire de la tribu gauloise des Voconces<ref name=":1" />.

Antiquité : les Gallo-romains

Fichier:Cippe gallo-romain, Saint-Laurent-en-Royans.jpg
Cippe gallo-romain.
  • Présence gallo-romaine : sarcophages, pierre tombale avec inscription, ascia<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref>.
  • À l'entrée du cimetière se trouve un pilier quadrangulaire portant des inscriptions latines. Il s'agit d'un cippe funéraire datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Plus massif qu'une stèle, il fait office de pierre tombale et d'autel. Des plantes occupent le creux aménagé dans la pierre pour recevoir les offrandes.
On peut y lire l'épitaphe : « T(ito) Sammio Ter / tiolo scrib(ae) / aerarii defu / ncio ann(orum) XXVI / Connia Con / niola con / iugi optimo / et Sammius / Connius patri. », ce qui signifie : « À Titus Sammius Tertiolus, employé aux écritures de l’aerarium (trésor public), mort à vingt-six ans, Connia Conniola à son excellent mari et Sammius Connius à son père. » (Numéro du petit patrimoine : 26311_1)Modèle:Refnec.

Du Moyen Âge à la Révolution

La seigneurie :

  • Possession des dauphins du Viennois puis, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, des évêques de Die<ref name=":1" />.
  • Au point de vue féodal, Saint-Laurent-en-Royans faisait partie du marquisat du Pont-en-Royans (voir Le Royans)<ref name=":0" />.
  • Le commandeur y avait quelques droits seigneuriaux qu'il tenait en fief des dauphins<ref name=":0" />.

1652 (démographie) : il y a 134 chefs de famille<ref name=":0" />.

Avant 1790, Saint-Laurent-en-Royans était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église dépendait premièrement de l'abbaye de Romans, puis d'une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem établie dans cette paroisse dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et unie, dès le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à celle de Saint-Vincent de Charpey qui fut elle-même unie à celle de Valence et dont le titulaire était collateur et décimateur dans la paroisse de Saint-Laurent-en-Royans<ref name=":0" />.

De la Révolution à nos jours

En 1790, la commune fait partie du canton de Saint-Jean-en-Royans<ref name=":0" />.

Politique et administration

Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Jumelages

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Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Services et équipements

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Enseignement

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Santé

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Manifestations culturelles et festivités

  • Fête patronale : troisième dimanche après Pâques<ref name=":1" />.
  • Fête communale : second dimanche d'août<ref name=":1" />.

Loisirs

  • Randonnées<ref name=":1" />.
  • Pêche et chasse<ref name=":1" />.

Sports

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Médias

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Cultes

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Économie

En 1992 : bois, pâturages (bovins, ovins), vergers (fruits), céréales, porcins<ref name=":1" />.

  • Produits locaux : ravioles, morilles, écrevisses<ref name=":1" />.

Tourisme

  • Station climatique d'été<ref name=":1" />.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Le monastère orthodoxe Saint-Antoine-le-Grand

Fichier:Monastère orthodoxe Saint Antoine le Grand.jpg
Monastère orthodoxe Saint-Antoine-le-Grand.

Le Modèle:Lien se trouve dans la reculée de Combe Laval. De culte orthodoxe, il est une dépendance du monastère Simonos Petras (Mont Athos). Il est dirigé par l'archimandrite Placide Deseille, traducteur et écrivain spirituel. Les fresques murales sont l’œuvre de Yaroslav et Galina Dobrynine<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Patrimoine culturel

  • Artisanat d'art : sculpture sur bois<ref name=":1" />.

Patrimoine naturel

  • Parc naturel régional du Vercors<ref name=":1" />.
  • Forêts domaniales de Côte-Belle et de la Sapine<ref name=":1" />.
  • Site naturel exceptionnel du cirque de Combe Laval, situé entre le massif du Vercors et la dépression du Royans : les falaises qui enserrent la Combe Laval se referment à l'amont, au col de la Machine, en un large cirque, superbe exemple de « reculée ». La route de Combe Laval (départementale D 76), taillée à flanc de falaise, est spectaculaire et domine la vallée à plus de Modèle:Unité. Le cirque de Combe Laval et le col de la Machine, qui dominent le sud-ouest de la commune, sont en fait situés sur le territoire de la commune voisine de Saint-Jean-en-Royans. On peut y accéder depuis le sud de la commune par la route départementale D 2 entrant sur quelques centaines de mètres dans la commune de Bouvante, en reprenant alors la D 76 vers le nord et Saint-Jean-en-Royans, ou continuer vers le sud-ouest pour contourner le cirque par le sud afin de traverser la réserve biologique intégrale du Val-Sainte-Marie et rejoindre alors par de petites routes en lacets les villages de Bouvante, Saint-Martin-le-Colonel et Saint-Jean-en-RoyansModèle:Refnec.
  • Vues des rochers de Laval sur la Combe-Laval<ref name=":1" />.
  • Grottes<ref name=":1" />.
  • Fleurs sauvages<ref name=":1" />.

Personnalités liées à la commune

Fichier:Grave.jpg
La tombe Aubert
  • Suzanne Aubert (1835-1926) dont les parents ont vécu à Saint-Laurent-en-Royans, au château du Cholet. On peut voir leur tombe dans le cimetière. Suzanne Aubert a été surnommée la « Mère Teresa » de Nouvelle-Zélande<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Paul-Jacques Bonzon (1908-1978), originaire du département de la Manche, rejoint la Drôme en 1935, il y effectuera toute sa carrière. D'abord nommé à Espeluche en 1937, il est affecté à Chabeuil où il reste jusqu'en 1949 avant de s'installer à Saint-Laurent avec son épouse.

Héraldique, logotype et devise

Modèle:Blason-ville-fr

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Louis Fillet (abbé), Histoire religieuse de Saint-Laurent-en-Royans, 1895.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail