Saint-Valery-en-Caux

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Valery-en-Caux (prononcé Modèle:MSAPI), Saint-Valdy en normand, est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

L'ajout d'un accent aigu sur le « e » est une pratique incorrecte. Modèle:Sommaire

Géographie

Situation

Situé sur le littoral du pays de Caux, à environ Modèle:Unité au nord de Rouen, Saint-Valery-en-Caux est le chef-lieu d'un canton de l'arrondissement de Dieppe. Saint-Valery-en-Caux se trouve à Modèle:Unité de Dieppe et de Fécamp et à une dizaine de kilomètres de la centrale nucléaire de Paluel qui se situe plus précisément au lieu-dit Conteville. Modèle:Multiple image

Communes limitrophes

Caractéristiques

C'est une petite station balnéaire équipée d'un port, d'une médiathèque, d'un centre culturel (Le Rayon Vert), d'une piscine (piscine du Littoral), d'un casino avec cinéma et night-club. Elle possède également une église du Moyen Âge, un clocher (le clocher Saint-Léger), un cloître (le cloître des Pénitents) et une chapelle.

Fichier:0 Saint-Valery-en-Caux - Maison dite de Henri IV.JPG
Maison dite de Henri IV.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Valery-en-Caux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Valery-en-Caux, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Valery-en-Caux, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nb, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,3 %), zones urbanisées (25 %), prairies (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), zones humides côtières (1,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Modèle:... Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctum Walaricum en 990, Sancti Walarici vers 1025<ref>Jean Adigard des Gautries. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, Modèle:8e année, Modèle:N°, 1958. Page 161.</ref>, Ecclesia Sancti Walarici (ou Walerici) entre 1130 et 1164, Sancto Walarico in Planis en 1273, Saint Valeri ès plains en 1282, De Sancto Wallarico in planis en 1284<ref name="Archives">Archives de Seine-Maritime 7 H.</ref>, Sanctus Valericus in Planis en 1337, Saint Valier ès plains en 1374<ref name="Archives"/>, Saint Valery ès plains en 1456<ref name="Archives"/>, Saint Valery ès plains en 1456<ref name="Archives"/>, Saint-Valery-en-Caux en 1953<ref name="Dictionnaire topographique de la France">Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 939.</ref>.

Saint-Valery s'écrit Saint-Wary en picard. Le nom est sans rapport avec le latin Valerius dont sont issus Modèle:Page h' et Modèle:Page h'. Il procède du nom germanique Walaric, ce qui explique le e muet. On retrouve le même phénomène dans la commune de Saint-Valery-sur-Somme.

L'hagiotoponyme fait référence à Valery de Leuconay pour lequel Guillaume le Conquérant avait une grande vénération, il fit prélever une partie de ses reliques et les emporta dans différentes églises d’Angleterre. Il en déposa aussi en Normandie, dans ce lieu qui prit plus tard le nom de Saint-Valery-en-Caux. On peut voir aussi un gisant dans l’église Saint-Valery de Varengeville-sur-Mer.

Le pays de Caux est une région naturelle de Normandie appartenant au Bassin parisien.

Histoire

Fichier:Affiche-Chemin-de-Fer-Saint-Valery-en-Caux-1892.jpg
Affiche de 1892.
Fichier:Johan Barthold Jongkind 002.jpg
Jongkind, (1852)
Port de St Valery en Caux
musée Kröller-Müller, Otterlo.

Le nom de Saint-Valery-en-Caux apparaît pour la première fois dans un document datant de 990, selon la charte dans laquelle [[Richard Ier de Normandie|Richard {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], duc de Normandie, octroie une partie de ses biens personnels à l’abbaye de Fécamp. Cette charte a aujourd’hui disparu, mais une copie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est actuellement conservée à la bibliothèque municipale de Rouen. Cette citation confirme l’existence de la ville à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais le mystère demeure sur l’époque à laquelle lui fut donné ce nom. La légende de la création de la ville dit qu’elle aurait été fondée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle lorsque l’évangélisation des campagnes se développe sous l’impulsion des rois francs. Ainsi, Walaric<ref>D'où Modèle:Page h avec -e- [ø] et non -é- [e], ce nom étant sans rapport étymologique avec le prénom Valérie. En français [a] latin ou germanique a donné un e "muet" [ø].</ref> fondateur du monastère de Leuconaüs (Saint-Valery-sur-Somme), fut appelé « l’apôtre des falaises » en portant la bonne parole sur tout le littoral. Selon la même légende, il aurait fondé un prieuré au fond de la vallée de Néville, là-même où sera plus tard construite l’église de Saint-Valery-en-Caux. La population des alentours se fixa autour de ce prieuré afin de suivre la pratique du culte, donnant ainsi naissance à la ville.

En 1472, après avoir levé le siège de Beauvais, Charles le Téméraire met Saint-Valery et toute la contrée à feu et à sang.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Port-le-Pelletier<ref name=Cassini/>.

La bataille de Saint-Valery

Le centre-ville fut presque entièrement détruit par les bombardements lors du siège de la ville, du 10 au Modèle:Date. En effet, dès le Modèle:Date-, la 7e Panzerdivision menée par Rommel perce jusqu'à la Seine les positions du Modèle:9e d'armée français du général Ihler ainsi que de la 51e division d'infanterie (Highland) du major-général Fortune, et les isole. Rommel, devinant l'intention des Alliés de s'embarquer pour l'Angleterre fait encercler Fécamp le Modèle:Date-. Par ses tirs d'artillerie, il oblige la Navy à s'éloigner : deux de ses navires sont endommagés. Les troupes alliées se replient sur Saint-Valery-en-Caux, dernier port de la poche. Le 11, Rommel fait pilonner la ville et le port de Saint-Valery-en-Caux. Le général André Berniquet, commandant la 2e division légère de cavalerie, y perd la vie. Lors de cette journée, les Alliés opposent une résistance tenace, afin de pouvoir embarquer un maximum de troupes dans l'hypothèse de l'arrivée de la Royal Navy. Un épais brouillard empêche tout embarquement de nuit. Au matin du Modèle:Date-, le cargo armé français le Cérons<ref>Le Cerons - navire réquisitionné par la marine française</ref> engage un duel avec les canons allemands juchés sur la falaise d'amont de Saint-Valery. Après avoir détruit deux canons de Modèle:Unité allemands, le patrouilleur est coulé. Le cargo français réquisitionné Granville est touché par un obus de char allemand et coule au large de Paluel. Rommel accepte la reddition du général Ihler en début de soirée sur la place détruite de la ville.

La Modèle:7e Panzer a dû mobiliser tous ses moyens pour réduire la défense franco-écossaise mais est récompensée par la prise de douze généraux alliés dont Ihler et le major-général Victor Fortune commandant la Modèle:51e division d'infanterie (Highland). En outre, entre douze mille et vingt-six mille soldats, dont au moins huit mille Britanniques, une centaine de canons, cinquante-huit blindés légers et trois cent soixante-huit mitrailleuses, ainsi que des milliers de fusils et de camions sont capturés par l'armée allemande. À la suite de la bataille de Saint-Valery, Rommel écrira à sa femme : Modèle:Citation bloc

Saint-Valery-en-Caux sera libérée par les Alliés le Modèle:Date-<ref>http://www.xn--armes-dsa.com/ossian-seipel-fr-07.htm</ref>.

Aix-en-Provence marraine de guerre

Après la bataille qui a lieu du 10 au Modèle:Date-, Saint-Valery-en-Caux est détruite à près de 70 %. En particulier, la majorité des bâtiments administratifs sont anéantis, mais également la plupart des habitations. Le Modèle:Date-, Alexandre Pujes et Michel Saffier, respectivement préfet délégué et sous-préfet de Dieppe, sont en visite à Saint-Valery et constatent l'état catastrophique dans lequel la ville se trouve encore depuis Modèle:Date-. Le maire, André Retel, suggère alors que la ville soit adoptée par une ville marraine de guerre, comme cela a pu déjà se faire lors de la Première Guerre mondiale.

Le conseil municipal d'Aix-en-Provence reçoit la requête envoyée par Alexandre Pujes le Modèle:Date-. La décision est prise de verser un premier secours de Modèle:Unité. Saint-Valery-en-Caux apprend l'adoption le Modèle:Date-. Son annonce officielle et celle du premier versement survient lors du conseil municipal du Modèle:Date-.

Afin de pouvoir soutenir sa filleule, Aix-en-Provence multiplie les actions, ce qui permet d'envoyer à Saint-Valery plusieurs secours.

Après la Libération

Le Modèle:Date, à la suite d'une panne du système de freinage, un train transportant des soldats de l'armée américaine ne parvient pas à s'arrêter et traverse la gare terminale de Saint-Valery. Le bilan est lourd : 89 soldats américains sont tués et 152 sont blessés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:… Modèle:Article connexe Modèle:Article connexe

Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste menée par le DVD Jean-François Ouvry remporte le scrutin avec 798 voix (51,75 % des suffrages exprimés), devançant les listes menées par Joël Sallé (DVG, 462 voix, 29,96 %) et par Raphaël Distante (DVD, 282 voix, 18,29 %), l'abstention s'étant élevée à 47,49 %<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu

Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Distinctions et labels

Modèle:Référence nécessaire.

Jumelages

Saint-Valery-en-Caux est jumelée à :

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Fichier:StValeryEnCaux2009.JPG
La vente du poisson sur le Quai d'Amont.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:StValeryEnCauxMaisonHenriIV détail.JPG
Maison Henri-IV : détail de la façade.
Cette maison fut en effet construite par Guillaume Ladiré, riche armateur, en 1540. L'inscription au-dessus du porche en témoigne :
« l'an mil V cens XXXX ceste meson fvt faicte P.Gville Ladiré A.Q Diev done bone vie »,
soit :
l'an mil(le) cinq [5] cent quarante [XL / 40... 1540] cette maison fut faite P[ar / Pour ?] Guill[aum]e Ladiré A[rmateur] / À Qui, auquel / A[fin] Que Dieu [lui] donne bonne vie.
Le nom de Maison Modèle:Souverain- serait issu de la tradition orale selon laquelle, en 1593, lors de campagnes militaires contre la Ligue dans la région, entre Dieppe et Fécamp, Modèle:Souverain- s'y serait arrêté coucher.
Sa construction remonterait au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle selon une inscription mentionnant l'année 1530 sur une colonne dans la tour du clocher. L'église est faite d'une nef et de deux collatéraux. C'est un bâtiment entièrement en grès, avec une toiture en ardoise. Des vitraux du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de Claudius Lavergne sont encore visibles aujourd'hui. Les confessionnaux, datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sont classés monuments Historiques. L'orgue, restauré en 2008 est signé Nicolas Antoine Lété (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). Par ailleurs, un vitrail a été offert par les Écossais d'Inverness, en souvenir de la Modèle:51e division d'infanterie (Highland).

Personnalités liées à la commune

Natifs de Saint-Valery-en-Caux

Leurs noms sont liés à Saint-Valery-en-Caux

Saint-Valery-en-Caux et le cinéma

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

  • Modèle:Ouvrage
  • Modèle:Ouvrage
  • Pays'ages de Saint Valery En Caux (coffret double dvd sur l'histoire de la commune)
  • Pays'ages de Saint Valery En Caux (coffret simple dvd : période 1940 1965)

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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