Villers-la-Montagne
Modèle:Voir homonymes {{#invoke:Bandeau|ébauche}}
Modèle:Infobox Commune de France
Villers-la-Montagne est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
Située au sud de Longwy et de ses trois frontières, Villers-la-Montagne est la "porte" d'entrée vers les villages alentour car elle longe la voie rapide (N 52). Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Urbanisme
Typologie
Villers-la-Montagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villers-la-Montagne, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,3 %), forêts (23,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), prairies (5,6 %), zones urbanisées (4,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
- Du latin médiéval carolingien Villare qui signifie « domaine rural/ferme ».
- Du vieux haut allemand wīlāri qui signifie village
- Du moyen haut allemand wīler qui veut dire petit village
- Villare (926), Wilere (962), Willare (1096), Wilre (1235), Willarium (1236), Villiers (1571), Ville-la-Montagne (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
- Bergweiler en allemand et Biergweiler en Luxembourgeois standard. (se prononce "Birch")
- Villers-la -montagne se trouvait jadis du côté germanique de la frontière linguistique mosellane
- Berg a été traduit par erreur par "montagne" alors que la bonne traduction est "colline" (ce n'est pas une zone de montagne, c'est le haut-plateau lorrain avec ses collines)
- La toponymie de Villers-la-Montagne et la même que celle de Bergweiler (près de Trêves) : Villaris (1056), Villari (1171), Villare (1184), Vilare (1190), Wilare (1219), Wilre (1243), Wiler (1417), Wilre (1428), Wyler (1487), Bergwiler (1569).
Histoire
Elle doit son nom à une villa gallo-romaine détruite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Elle était siège d'une châtellenie dépendant du château de Longwy. Elle était également le siège d'une prévôté en 1718, puis d'un bailliage en 1751 qui appartenait au diocèse de Trèves.
En 1817, Villers-la-Montagne, village de l'ancienne province du Barrois, avait pour annexes la ferme de Hussigny et le moulin de Signy. À cette époque il y avait Modèle:Nombre répartis dans Modèle:Nombre. Dans la forêt de Selomont, ruines d'un ancien village.
L'histoire de la commune de Villers-la-Montagne a été étudiée et écrite par l'historien local Felix Jacob en 1995<ref>Félix Jacob - Villers la Montagne sa prévôté son bailliage - AGM Imp Idéalys Tiercelet - Édition à compte d'auteur - Juin 1995</ref> et développée en 2001 dans un très beau livre par l'historien Olivier Cortesi<ref>Olivier CORTESI - Villers la Montagne le refuge des saisons - Cœur d'Occident éditions - 2001</ref>.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Tilleul qui aurait été planté au moment de l'édit de Nantes (1598), début 1981, il a été décapité.
- Deux anciens moulins à huile, dont l'un a été rasé.
- Ouvrage du Mauvais-Bois.
- Ouvrage du Bois-du-Four.
- Église paroissiale Saint-Sylvestre, fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou du début Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dont il subsiste la tour clocher (à l'exception du dernier niveau) et la chapelle ou l'ossuaire accolé à la façade sud. Nef, chœur et sacristie reconstruits au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, peut-être en 1704, à l'époque où la tour clocher est restaurée (date 1704 donnée par des ancres sur la façade est de la tour) . Réfection de la flèche et du niveau du beffroi en 1865. Édifice détruit en Modèle:Date- et restauré entre 1946 et 1950. L'église comporte un maître-autel en bois sculpté dont le tabernacle est orné d'un agneau pascal, surmonté d'une "monstrante tournante" décorée d'une descente de croix. Les vitraux sont des ateliers GROSS de Nancy (1952). Le beffroi accueille trois cloches : Eugénie-Marie, Françoise-Léonie (1923, renouvelée en 1982), et Henriette-Marie. L'église est totalementModèle:Référence nécessaire décimée par la tempête de Modèle:Date-. Les murs et voûtes de l'ancien chœur et de l'ossuaire sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref name=église>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Au cours des travaux, des peintures murales sont découvertes dans la crypte et sont l'objet d'une inscription à l'inventaire des monuments historiques en 1991<ref>Bulletin Modèle:N° Association Préservation du Patrimoine, édition à compte d'auteur 23 décembre 2003</ref>,<ref name =peinture>Modèle:Base Palissy.</ref>. Après travaux, l'inauguration a lieu le Modèle:Date-.
Personnalités liées à la commune
- Jacques Jean Louis Pierron né en 1762 à Villers-la-Montagne et décédé à Paris en 1794, homme politique.
- Jordan Tresson, pilote automobile Nissan ayant participé au Championnat du monde d'endurance FIA 2012 ainsi qu'aux 24 Heures du Mans 2012.