Windtalkers : Les Messagers du vent

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin Windtalkers : Les Messagers du vent ou La Voix des vents au Québec (Windtalkers) est un film de guerre américain réalisé par John Woo et sorti en 2002. Il retrace l'épopée des Indiens Navajos, recrutés comme code talkers par l'armée américaine durant la Seconde Guerre mondiale, notamment lors de la bataille de Saipan.

Le film reçoit des critiques et est un échec au box-office.

Synopsis

Le caporal des Marines Joe Enders a été gravement blessé à l'oreille lors de la campagne des îles Salomon contre l'armée impériale japonaise. Voulant à tout prix retourner au combat, il parvient à fausser les tests d'aptitude avec l'aide de l'infirmière Rita. Contre toute attente, il va être affecté à un poste bien particulier. Il doit être « l'ange gardien » d'un des Indiens Navajos recrutés par l'armée américaine durant la Seconde Guerre mondiale et affectés comme opérateurs radio code talker. La langue navajo, rare, permet de sécuriser les communications américaines. Les Japonais sont ainsi dans l'incapacité de traduire les messages qu'ils interceptent. Pour leur protection, ou plutôt celle du code, ils sont chacun affublés d'un soldat, dont Joe et Peter Henderson. Ces derniers doivent absolument protéger la vie de ces Navajos. Mais s'il existe un quelconque risque que leur Navajo tombe entre les mains des Japonais, alors l'ange gardien doit se transformer en ange exterminateur : il faut protéger le code à tout prix. Promu sergent, Joe fait équipe avec Ben Yahzee.

Fiche technique

Modèle:Source Imdb

Distribution

Modèle:Source RS DoublageModèle:Source Doublage Québec

Production

Modèle:... Le projet est lancé par les productrices Alison R. Rosenzweig et Tracie Graham. Alison R. Rosenzweig avait découvert via un membre de sa famille l'histoire méconnue des code talkers durant la Seconde Guerre mondiale. Elle voulait en faire un film : Modèle:Citation. Finalement, c'est un long métrage de fiction qui est développé<ref name="secrets-tournage">Secrets de tournage - Allociné</ref>. Ce projet a séduit le réalisateur John Woo : Modèle:Citation

Le scénariste John Rice explique que le mot Windtalkers renvoie à la culture des Navajos : Modèle:Citation

Attribution des rôles

Avant le tournage, la plupart des acteurs ont suivi un programme d'entrainement militaire sur la base Marine Corps Base Hawaii dans la baie de Kaneohe avec le sergent-major Jim Dever<ref name="secrets-tournage" />.

Roger Willie, qui incarne ici le Soldat Charlie Whitehorse, avait initialement été engagé comme consultant/coach en langue navajo. Il a ensuite passé un bout d'essai concluant<ref name="trivia">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:trivia|trivia|reference}} {{#if:||Trivia}} sur l’Modèle:Lang</ref>.

Tournage

Le tournage a lieu principalement à Hawaï<ref name="secrets-tournage" />, notamment à Mokulēia et dans la vallée de Kaʻaʻawa. Les prises de vues se déroulent également à Monument Valley (Utah et Arizona), dans la réserve Nation navajo dans l'Arizona ainsi qu'en Californie (Los Angeles, Acton, Santa Clarita)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:locations|locations|reference}} {{#if:||Locations}} sur l’Modèle:Lang</ref>.

Montage

Avec ce film, John Woo voulait se focaliser sur le drame et s'éloigner de son style de film d'action habituel. Cependant, la Metro-Goldwyn-Mayer a voulu accentuer l'action et en faire un film de guerre. Le studio demandera à plusieurs reprises au cinéaste de modifier le montage du film pour coller à leur désir. Cela retarde la sortie du film<ref name="trivia" />. Quelque temps plus tard, John Woo refait le montage du film et sort une version director's cut plus proche de sa vision initiale. Cette version, plus longue d'environ 20 minutes, contient des scènes inédites et davantage de scènes violentes, qui avaient coupées pour éviter un classement NC-17 en salles<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:alternateversions|alternateversions|reference}} {{#if:||Alternate versions}} sur l’Modèle:Lang</ref>.

Accueil

Critique

Modèle:... Le film reçoit des critiques globalement négatives. Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, il ne récolte que 33% d'opinions favorables pour 167 critiques et une note moyenne de Modèle:Frac. Le consensus suivant résumé les critiques compilées par le site : Modèle:Citation. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de Modèle:Frac pour 35 critiques<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En France, le film obtient une note moyenne de Modèle:Frac sur le site AlloCiné, qui recense 19 titres de presse<ref name="allopresse">Modèle:Lien web</ref>.

Box-office

Le film est un des plus gros échecs au box-office. Il ne récolte que 77 millions de dollars dans le monde, bien loin des 115 millions estimé du budget<ref name="mojo"/>

Modèle:Box-office

Distinctions

Source : Internet Movie Database<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:awards|awards|reference}} {{#if:||Awards}} sur l’Modèle:Lang</ref>

Récompenses

Nominations

  • Golden Schmoes Awards 2002 : plus grosse déception de l'année
  • Taurus World Stunt Awards 2003 : meilleure cascade avec du feu pour Al Goto et David Wald, meilleure cascade high work pour Spencer Sano

Notes et références

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Annexes

Articles connexes

Liens externes

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Modèle:Portail