Yvré-l'Évêque
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Modèle:Infobox Commune de France
Yvré-l'Évêque est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref> (les Yvréens).
La commune fait partie de la province historique du Maine<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, et se situe dans le Haut-Maine (Maine roux).
Géographie
Yvré est situé à l’entrée est de l'agglomération mancelle sur les bords de l'Huisne.
Accès et transports
La ville est reliée au Mans par la ligne 23 des bus du réseau Setram qui l'amène directement à la place des Comtes du Maine et dépose les usagers à une rue de la station tramway de la République. Une autre ligne est spécialement disponible pour desservir les lycées Montesquieu et Bellevue. Les arrêts dans la ville d'Yvré sont au nombre de dix : Le Luard, Cimetière, Guy Bouriat, George-Sand, Perche, Maine, Pivoine, Narcisse, Pasteur, Yvré-Terminus.
La rocade du Mans est à 5 minutes en voiture du centre d'Yvré, ce qui permet d'atteindre rapidement la majeure partie de l'agglomération mancelle.
La route historique de Paris à Nantes (route nationale 23) via Le Mans passe au bord de la cité. L'autoroute A28 et la déviation Sud-Est qui passent sur la commune (échangeurs) offrent un accès direct aux grands axes routiers nationaux de communication.
La ville est desservie par le service de transport de la SETRAM par la ligne de bus Modèle:Correspondances
Lieux-dits et écarts
- Le Polucan
- Parence
- Béner
- les Logis de l'Huisne.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Yvré-l'Évêque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine du Mans, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Mans dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38 %), terres arables (24,4 %), forêts (17,6 %), zones urbanisées (9,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Eviriaco est attesté en 802<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le nom d'Yvré viendrait d'Evracius ou Yvriacus, Modèle:Référence nécessaire. Les évêques du Mans y possédaient une habitation, d'où le surnom<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Yvré-sur-l'Huisne<ref name=Cassini/>.
Histoire
La Compagnie des chemins de fer de l'Ouest met en service sur la commune une station, dédiée uniquement au service voyageurs, dénommée « Auvours » le Modèle:Date-<ref name="Gallica1854p20">Site Gallica, Département de la Sarthe : rapport du préfet et procès-verbal des délibérations du conseil général, Le Mans, 1854 lire en ligne (consulté le 2 mars 2011).</ref> lors de l'ouverture du service voyageurs de sa ligne de l'Ouest jusqu'au Mans.
Guerre de 1870
Pendant la Guerre franco-allemande de 1870, durant la Bataille du Mans (1871) se déroula, le Modèle:Date-, sur le territoire de la commune, des combats connu sous le nom de « charge du plateau d'Auvours », par les soldats de l'Armée de Bretagne, armée auxiliaire à l'Armée de la Loire. Sous la neige et par un froid glacial de -12°, le général Gougeard, à la tête de ses hommes reprit le plateau d’Auvours à l’ennemi<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, au prix de lourdes pertes, avant de décrocher suivant les ordres de l’état major. Modèle:Article détaillé
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres dont le maire et sept adjoints<ref name=ʺof-municipales-2020ʺ />.
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abbaye de l'Épau (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), classée Monument historique<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Elle abrite deux retables, des peintures monumentales et une statue classées à titre d'objets<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
- Église Saint-Germain (en partie du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), abritant un tableau de Jean Broc, Les Envoyés de Dieu exposé au salon parisien de 1833. Un tableau, une statue et une plaque funéraire sont classées à titre d'objets. Le chœur est inscrit aux Monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Pont Romain, sur l'Huisne.
- Fontaine de Gérence.
- Haras des Bouleries (Bouleries jump).
- Croix de Boëssé, du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, inscrite aux Monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Monument d'Auvours, monument aux morts de la guerre franco-allemande de 1870.
- Vallée de l'Huisne.
- Stade de l'Ormeau.
- Parc d'attractions Papéa Parc.
Activité, label et manifestations
Label
La commune est une ville fleurie (une fleur) au concours des villes et villages fleuris<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- René Simier (1772 - 1843 à Yvré-l'Évêque), relieur du roi Louis-Philippe.
- Eugène Caillaux (1822-1896), ingénieur et homme politique, maire d'Yvré-l'Évêque de 1890 à 1896.
- Joseph Caillaux, son fils, (1863-1944), homme politique.
- André Jousseaume (1894 à Yvré-l'Évêque - 1960), double champion olympique (1932 - 1948) de dressage par équipe.
- Guy Bouriat (1902-1933), pilote automobile, originaire d'Yvré-l'Évêque.
- Jean-François Bach (né en 1940 à Yvré-l'Évêque), professeur.
- Philippe Bigot (1942 à Yvré-l’Évêque - 2018), boulanger.
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune
Notes et références
Notes
Cartes
Références
- Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes<ref>Site de l'IGN.</ref>.