François Soubeyran
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François Joseph Louis Soubeyran, né le Modèle:Date de naissance à Dieulefit (Drôme) et mort le Modèle:Date de décès à Montélimar (Drôme)<ref>Modèle:Lien web</ref>, est un chanteur français, membre du groupe vocal des Frères Jacques.
Biographie
François Soubeyran naît dans une famille de fermiers drômois<ref name=LM/>. Il est issu d'une famille protestante, et apparenté à la pédagogue et résistante Marguerite Soubeyran.
Il est mobilisé en 1939, puis rejoint la résistance en 1942<ref name=GC>« Hommage aux Frères Jacques », sur gerardchambre-tribute.ch (blog) Modèle:Lire en ligne</ref>. À la fin de la guerre, il monte à Paris, où il prend des cours d'art dramatique<ref name=LM/>. Dès 1944, il participe à la fondation par André Bellec<ref name=Bellec>Modèle:Lien web.</ref> du quatuor vocal des Frères Jacques, composé de quatre barytons, outre eux deux, de Georges Bellec<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Paul Tourenne. Ce nom est donné en référence à l'expression « faire le Jacques ». Le groupe vocal accède à une notoriété par la qualité de leurs chansons, au total, 400 chansons écrites par Vian, Brassens, Prévert, ou encore Ferré<ref name=Bellec/>, Modèle:Citation et Modèle:Citation<ref name=LM/>. Ils sont connus pour Modèle:Citation. François Soubeyran porte quant à lui un justaucorps rouge et est « le grand »<ref>Olivier Merlin, « Du cabaret au boulevard », sur le lemonde.fr, Modèle:Date-, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Après la séparation du groupe en 1982 et une ultime représentation du quatuor pour son jubilé en 1996<ref>Véronique Mortaigne, «Les Frères Jacques fêtent en chansons leur jubilé», sur lemonde.fr, Modèle:Date- Modèle:Lire en ligne</ref>, François Soubeyran se retire à Montjoux-La Paillette, près de Dieulefit, où il meurt à l'âge de 83 ans<ref name=LM>Modèle:Lien web.</ref>.
Œuvre
- 1949 : Les Gaités de l'escadron de Georges Courteline, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre de la Renaissance
Distinctions
- 1966 : chevalier des Arts et Lettres<ref name=GC/>
- 2000 : chevalier de la Légion d'honneur<ref>Décret du 30 décembre 2000, J.O Modèle:N° du 2 janvier 2001
