Saint-Damase (La Matapédia)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Municipalité du Canada Saint-Damase est une municipalité de paroisse canadienne du Bas-Saint-Laurent d'environ Modèle:Nombre située à l'extrémité nord-ouest de la municipalité régionale de comté (MRC) de La Matapédia au Québec.
Toponymie
[[Fichier:Damasus 1580 Cavalieri engraving.png|vignette|gauche|Portrait imaginaire du pape [[Damase Ier|Damase {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]]]] Le nom de l'abbé Damase Morisset, curé fondateur de la paroisse, est à l'origine du nom de celle-ci. Saint Damase est le nom du pape [[Damase Ier|Damase {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]]. La municipalité partageant son nom avec Saint-Damase dans Les Maskoutains, elle est souvent appelée Saint-Damase-de-Matapédia afin de la différencier. L'endroit a d'abord été appelé colonie de MacNider après la fondation de Baie-des-Sables en 1869 reprenant ainsi le nom du canton de MacNider dans lequel il est situé, nommé en l'honneur du nom d'une famille propriétaire de la seigneurie de Mitis<ref name="toponymie"/>,<ref name="centenaire26">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. Lorsque la mission catholique fut fondée en 1874, l'endroit adopta son nom actuel de Saint-Damase<ref name="toponymie"/>. Ce nom fut officialisé en 1884 avec l'érection canonique de la paroisse<ref name="toponymie"/>.
Géographie
Saint-Damase est situé sur le versant sud du fleuve Saint-Laurent à Modèle:Unité au nord-est de Québec, à Modèle:Unité à l'ouest de Gaspé et à Modèle:Unité au nord de la frontière du Nouveau-Brunswick à vol d'oiseau. La municipalité est située approximativement au centre du triangle formé par les villes de Matane, de Mont-Joli et d'Amqui à une distance d'environ Modèle:Unité de chacune d'elles<ref name="toponymie">Saint-Damase sur Commission de toponymie du Québec</ref>,<ref name="centenaire23"/>. Elle est située à moins de Modèle:Unité au sud du fleuve Saint-Laurent, à la hauteur de Baie-des-Sables<ref name="toponymie"/>,<ref name="centenaire23"/>. Les municipalités limitrophes de Saint-Damase sont Métis-sur-Mer et Baie-des-Sables au nord, Sayabec et Saint-Noël au sud, Saint-Antoine-de-Padoue à l'ouest ainsi que Saint-Ulric et Saint-Léandre à l'est<ref name="centenaire23"/>. Toutes ces municipalités à l'exception de Saint-Léandre sont reliées directement à Saint-Damase par la route<ref name="centenaire23"/>.
La municipalité de paroisse de Saint-Damase fait partie de la municipalité régionale de comté de La Matapédia dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent<ref name=mamrot>Modèle:Lien web</ref>. La paroisse catholique éponyme de Saint-Damase fait partie de l'Archidiocèse de Rimouski, plus précisément, dans la région pastorale de La Matapédia. La municipalité fait également partie de la sous-région touristique de la vallée de la Matapédia dans la région touristique de la Gaspésie. Politiquement, la municipalité appartient à la circonscription provinciale de Matapédia. Cependant, elle a d'abord appartenu à la circonscription de Rimouski jusqu'en 1890 avant d'appartenir à celle de Matane jusqu'en 1923<ref name="centenaire23">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. La municipalité fait partie du canton de MacNider.
Le territoire de la municipalité couvre une superficie de Modèle:Unité dont la moitié est occupée par la forêt<ref name="centenaire23"/>. Seulement Modèle:Unité du sol de Saint-Damase sont propices à l'agriculture selon le Bureau d'aménagement de l'Est du Québec<ref name="centenaire24"/>. Ce territoire comprend une vingtaine de lacs. La géographie du village est sise dans celle de la chaîne de montagnes des Appalaches sur un flanc des monts Chic-Chocs formant la vallée de la Matapédia et, plus précisément, dans la section des monts Notre-Dame.
Municipalités limitrophes
Histoire
Les premiers colons sont arrivés à cet endroit vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="centenaire24">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. Baie-des-Sables fut fondée en 1869 avec les six premiers rangs du canton MacNider ; le territoire de Saint-Damase prit alors le nom de colonie de MacNider. Les colons du sixième rang étaient surtout attirés par la qualité des érablières, car le sol y est très accidenté<ref name="centenaire24"/>. Ils arrivaient grâce au chemin Royal suivant le fleuve entre Métis et Matane et à celui pénétrant dans les terres pour rejoindre le chemin Matapédia (ou chemin Kempt)<ref name="dompierre">La Matapédia</ref>. En fait, les premiers colons à s'établir sont arrivés de Baie-des-Sables en 1868<ref name="toponymie"/>. La mission catholique fut créée en 1874 par l'abbé Damase Morisset qui venait d'être nommé à la cure de Baie-des-Sables par Modèle:Mgr Jean Langevin, évêque de Rimouski<ref name="centenaire26-27">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. Le curé Morisset décida de rattacher le sixième rang du canton MacNider à la colonie plutôt qu'à Baie-des-Sables de par sa situation géographique portant ainsi le nombre de familles établies dans la colonie à 17<ref name="centenaire27">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. Cependant, une quarantaine de propriétaires terriens attendaient la venue d'un prêtre avant de s'établir<ref name="centenaire27"/>. Le curé Morriset entreprit les démarches afin d'établir une mission ou une desserte catholique auprès de la Corporation épiscopale catholique romaine de Saint-Germain de Rimouski et, début 1875, Joseph Jean offrit gratuitement un demi-lot d'une superficie de Modèle:Unité et demi pour la construction des édifices religieux situé dans la moitié sud-ouest du lot 25 du septième rang<ref name="centenaire27"/>. Le lettres patentes de cette transaction datent du Modèle:Date<ref name="centenaire27"/>.
Le Modèle:Date, Modèle:Unité adressèrent une requête à l'évêque de Rimouski pour obtenir la permission de construire une chapelle ; requête qui fut accordée le Modèle:Date<ref name="centenaire27"/>. La première messe dans cette chapelle de Modèle:Unité de long par Modèle:Unité de large construite par David Berger fut célébrée le Modèle:Date, anniversaire de saint Damase<ref name="centenaire28">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. C'est aussi à cette date que la dénomination de colonie de MacNider fut remplacée par mission de Saint-Damase<ref name="centenaire28"/>. Jusqu'en 1878, le curé Morisset venait lui-même célébrer les offices religieux en la mission de Saint-Damase une fois par mois ; après cela, il se faisait représenter par son vicaire<ref name="centenaire28"/>. En décembre 1882, Saint-Damase reçut son premier missionnaire résidant : l'abbé Ulfranc Saint-Laurent<ref name="centenaire28"/>. Le Modèle:Date, Ulfranc Saint-Laurent envoya une requête signée par Modèle:Unité à Modèle:Mgr Jean Langevin, évêque de Rimouski, pour ériger la paroisse canoniquement ; cette érection canonique fut décrétée officiellement le Modèle:Date et Ulfranc Saint-Laurent devint le premier curé de Saint-Damase<ref name="centenaire23"/>,<ref name="centenaire29">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. À cette date, la paroisse comptait Modèle:Unité et son territoire couvrait une superficie de Modèle:Unité<ref name="centenaire23"/>,<ref name="centenaire30">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. L'abbé Réal Cayouette, devenu curé de la paroisse en 1888, entreprit la construction du presbytère en 1891<ref name="centenaire34">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. Jusque-là, les curés résidaient dans un endroit aménagé dans le sous-sol de la sacristie<ref name="centenaire34"/>. Ce presbytère mesurait Modèle:Unité de long et Modèle:Unité de large et fut utilisé jusqu'en 1959 après avoir été parachevé en 1909 et agrandi en 1923<ref name="centenaire34"/>. À l'automne 1890, le curé Cayouette a béni la première croix de chemin de Saint-Damase érigée à l'intersection du rang 9 et de la route de l'église<ref name="centenaire34"/>. Le territoire de Saint-Damase a été divisé à trois reprises pour la formation de Saint-Ulric en 1889, de Saint-Moïse en 1897 et de Saint-Noël en 1951<ref name="centenaire23"/>. D'un autre côté, en 1916, son territoire a été élargi avec l'annexion de neuf lots de la paroisse de Saint-Antoine-de-Padoue du canton de Cabot<ref name="centenaire23"/>. En 1906, les besoins pour la construction d'une église se firent sentir ; un débat opposa les habitants de Saint-Damase quant à l'emplacement de celle-ci : une partie était partisane de la construire à l'emplacement de la chapelle qui servait depuis Modèle:Unité et une autre partie souhaitait qu'elle se rapproche du centre géographique de la paroisse<ref name="centenaire41">Centenaire de Saint-Damase 1884-1984, Modèle:P.</ref>. Le curé de Saint-Damase en ce temps était Georges-Guillaume Frève qui était d'accord avec le fait de construire l'église près du centre de la paroisse puisqu'il voyait dans les terres au sud-est un bon emplacement pour le développement<ref name="centenaire41"/>. D'ailleurs, le curé Frève alla lui-même faire l'examen des terres boisées près du rang 9 qui présentaient des sols cultivables et entreprit les démarches pour la construction d'un pont au-dessus de la rivière Blanche afin de les rendre accessibles<ref name="centenaire41"/>. Ce pont de Modèle:Unité de long fut construit en 1908 entre les rangs 8 et 9<ref name="centenaire43-44">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. Cependant, le débat s'envenimait et l'évêque André-Albert Blais, malgré le fait qu'il était tacitement d'accord avec le choix d'un nouvel emplacement, décida de réaffecter le curé Frève en 1907<ref name="centenaire41"/>. En 1908, le curé Joseph-Romuald Léonard fit exécuter des travaux de réfection du presbytère qui était trop froid en hiver<ref name="centenaire43">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. En 1909, il entreprit à ses frais la finition extérieure en le lambrissant de bardeaux de cèdre, en l'entourant de galeries et de vérandas, en décorant sa façade et en le peinturant<ref name="centenaire44">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. Il entreprit l'établissement d'une caisse populaire à Saint-Damase et invita Alphonse Desjardins, le fondateur des Caisses Desjardins, à venir présider lui-même la fondation de la Caisse populaire de Saint-Damase le Modèle:Date<ref name="centenaire44"/>. La question de l'emplacement de la future église demeura en suspens pendant le ministère du curé Léonard ; celui-ci informant l'évêque Blais sans parti pris et étudiant la question en détail<ref name="centenaire44"/>. L'évêque Blais était plus rassuré en changeant de site pour l'avenir de la paroisse et c'est pourquoi il accepta un terrain de huit arpents de la part de Joseph Lamarre sur le haut du lot 21 du rang 8<ref name="centenaire44"/>. Cependant, le problème ne fut pas aussitôt réglé étant donné que les titres de propriété de ces terrains demeuraient introuvables<ref name="centenaire44-45">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. Le lot 21 avait été patenté en 1847 pour Simon-Joseph Chalifour et brocanté plusieurs fois à dix-sept autres lots<ref name="centenaire45">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. L'évêque voyant que le vrai propriétaire de ce terrain demeurait inconnu proposa une solution à moyen terme en plaçant l'église sur le bas du rang 8 au bord du lac Blanc<ref name="centenaire45"/>. Cependant, les habitants des rangs 9 et 10 n'ont pas accepté ce compromis et ont affirmé qu'ils préféraient voir l'église demeurer à son emplacement actuel plutôt que de la voir se construire à mi-chemin<ref name="centenaire45"/>. En 1914, il était clair que les titres légaux du terrain offert au rang 8 ne pourraient être établis<ref name="centenaire49">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. Cette option fut donc écartée et la nécessité d'une nouvelle église était d'autant plus pressante étant donné que la chapelle était inadéquate pour les Modèle:Unité et qu'elle menaçait de tomber en ruines<ref name="centenaire49"/>. La question fut étudiée un an durant et l'évêque envoya même les curés de Baie-des-Sables et de Val-Brillant, respectivement les curés Chénard et Michaud, afin d'étudier les deux sites, celui de la chapelle et celui du lac Blanc, et de lui envoyer un rapport<ref name="centenaire49"/>. Les deux ont démontré l'inutilité de déplacer le lieu de culte au lac Blanc<ref name="centenaire49"/>. De plus, le curé Lepage présenta à l'évêque le fait que les habitants les plus éloignés dans rangs 9 et 10 ont plus de facilité à se déplacer jusqu'à l'église que les gens les plus éloignés du rang 6, car ils ont de meilleurs chemins de manière générale<ref name="centenaire49"/>. De plus, l'utilisation du site de la chapelle permet d'utiliser le presbytère déjà en place<ref name="centenaire49"/>. La question fut finalement réglée lorsque l'abbé Chamberland qui remplaçait le curé Lepage malade à l'hôpital de Trois-Rivières qui enclencha les procédures afin d'obtenir le décret de construction en faisant signer le Modèle:Date une requête par la majorité de ses paroissiens francs-tenanciers<ref name="centenaire49-50">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. L'évêque Blais envoya son vicaire, François-Xavier Ross, à Saint-Damase afin qu'il marque l'emplacement de l'église et qu'il détermine ses dimensions<ref name="centenaire50">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. Le décret de construction fut finalement émis le Modèle:Date par l'évêque Blais pour une église de Modèle:Unité de long par Modèle:Unité de large comprenant une sacristie en pierre de Modèle:Unité de long par Modèle:Unité de large<ref name="centenaire50"/>. L'emplacement choisi est situé à environ Modèle:Unité à l'ouest du presbytère<ref name="centenaire50"/>. Les travaux d'édification des nouveaux bâtiments débutèrent en mai 1917 sous la direction du curé Lepage<ref name="centenaire50"/>. Les travaux allèrent bon train et l'évêque a béni la pierre angulaire lors de sa visite pastorale du Modèle:Date<ref name="centenaire50"/>. L'église fut inaugurée à Pâques 1919<ref name="centenaire51">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. L'évêque Joseph-Romuald Léonard qui est un ancien curé de Saint-Damase vint effectuer la bénédiction solennelle le Modèle:Date<ref name="centenaire51"/>. Le Modèle:Date-, il a béni les nouvelles cloches<ref name="centenaire51"/>. Le premier couvent de Saint-Damase fut construit en 1918<ref name="centenaire52">Modèle:Ouvrage, Modèle:P.</ref>. La première salle publique fut quant à elle construite en 1920<ref name="centenaire52"/>.
En 1927 un pont couvert est construit, encore visible aujourd’hui il s’agit du dernier pont couvert de la vallée de la Matapédia.
Au début de son second quart de siècle d'existence, Saint-Damase a connu une période assez prospère : aménagement et amélioration des terres cultivables, des fermes et des troupeaux, choix de l'industrie laitière en tant qu'économie de base, perfectionnement de la voirie et construction de l'église en pierre<ref name="centenaire46">Modèle:Ouvrage</ref>. De plus, sa population dépassait maintenant les Modèle:Nombre<ref name="centenaire46"/>. La principale vente des cultivateurs de Saint-Damase au début des années 1910 était la pomme de terre<ref name="centenaire46"/>. Cependant, à la suite de la Première Guerre mondiale (1914-1918), plusieurs fermiers ont dû quitter la paroisse pour se rendre en ville afin de travailler, car les revenus générés par la ferme étaient devenus insuffisants<ref name="centenaire46"/>. Lors de la Grande Dépression qui débuta en 1929, le chômage s'abattit sur les villes et l'État, par le biais du plan Gordon qui finançait l'établissement sur un lot de terre et donnait des primes au travail, décida de faire revenir les travailleurs à la campagne afin que les familles de la classe ouvrière puissent survivre en s'adonnant à la culture<ref name="centenaire46"/>. Aux côtés du plan Gordon, il y avait le plan Vautrin qui est la source de la création de plusieurs paroisses dans la région<ref name="centenaire46"/>. Le gouvernement donnait aussi du secours direct en faisant exécuter des travaux publics, comme la construction de la route reliant Saint-Ulric et la confection de trottoirs de bois dans le village<ref name="centenaire46"/>.
Nom | Dates |
---|---|
Abbé Damase Morisset (curé de Baie-des-Sables) | Modèle:Date - octobre 1878 |
Abbé Antoine Leblanc (vicaire du curé Morisset) | 1878 - 1879 |
Abbé François-Xavier Delâge (vicaire du curé Morisset) | 1879 - 1880 |
Abbé Pierre Brillant (vicaire du curé Morisset) | 1880 - 1881 |
Abbé Émile Pouliot (vicaire du curé Morisset) | 1881 - 1882 |
Abbé Ulfranc Saint-Laurent (premier missionnaire et curé résidant) | décembre 1882 - novembre 1885 |
Abbé François-Xavier Cloutier | 1885 - 1888 |
Abbé Réal Cayouette | 1888 - 1893 |
Abbé Augustin Duval | 1893 - 1896 |
Abbé Elzéar Dufour | 1896 - 1898 |
Abbé Georges Gagnon | 1898 - 1901 |
Abbé Antoine-Philippe Bérubé | 1901 |
Abbé Joseph-Cajétan Bérubé | 1901 - 1906 |
Abbé Georges-Guillaume Frève | 1906 - 1907 |
Abbé Joseph-Romuald Léonard | 1907 - 1912 |
Abbé Enoch Lepage | 1912 - 1920 |
Abbé Adélard Richard | 1920 - 1929 |
Abbé Philippe Langlois | 1929 - 1936 |
Démographie
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Administration
Les élections municipales se font en bloc pour le maire et les six conseillers<ref>https://www.electionsquebec.qc.ca/francais/municipal/carte-electorale/liste-des-municipalites-divisees-en-districts-electoraux.php DGEQ - Liste des municipalités divisées en districts électoraux</ref>.
Saint-Damase Maires depuis 2001 | |||
Élection | Maire | Qualité | Résultat |
---|---|---|---|
2001 | Bertrand Lavoie | Voir | |
2005 | Voir | ||
2009 | Jean-Marc Dumont | Voir | |
2013 | Voir | ||
2017 | Voir | ||
déc. 2019 | Martine Côté | Mairesse-suppléante (conseillère #5) | Voir |
oct. 2020 | Martin Carrier | Conseiller ~10 ans<ref name=StD2>Modèle:Lien web</ref> | Voir |
2021 | Voir | ||
Élection partielle en italique Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises |
Économie
L'économie principale est l'agriculture, ensuite, viennent l'industrie forestière et les érablières. L'industrie forestière est représentée par trois entreprises principales à Saint-Damase : une usine de transformation du bois en lattes, une usine de sciage et une usine d'assemblage de meubles<ref name="grandquebec">Saint-Damase sur grandquebec.com</ref>. Pour l'industrie agricole, la production laitière est la principale activité; viennent ensuite l'élevage de porcs et de bœufs de boucherie<ref name="grandquebec"/>. L'économie devant se diversifier avec la décroissance des secteurs de l'industrie forestière et de l'agriculture, une base permanente de plein air nommée Centre de Plein Air Familial de Saint-Damase Inc. a été fondé en 1971 dans le cadre du Programme fédéral des Initiatives Locales<ref name="centenaire24"/>.
Devise
La devise de Saint-Damase est « Par la foi et la charrue »<ref>Michel Pelletier, Mon coin de pays… La Matapédia!, 1995, Modèle:ISBN.</ref>.
Tourisme
Plusieurs activités sont offertes aux touristes durant la saison estivale à Saint-Damase dont la pêche à la truite sur l'un des nombreux lacs ainsi que des pièces de théâtre.
Représentations politiques
Modèle:Pays : Saint-Damase fait partie de la circonscription provinciale de Matane-Matapédia. Cette circonscription est actuellement représentée par Pascal Bérubé, député du Parti québécois.
Modèle:Pays : Saint-Damase fait partie de la circonscription fédérale de Avignon—La Mitis—Matane—Matapédia. Elle est représentée par Kristina Michaud, députée du Bloc québécois.
Notes et références
Annexes
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage. Modèle:Plume
- Modèle:Ouvrage. Modèle:Plume
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- DVD La Matapédia, un milieu de vie authentique, produit par le CLD de La Matapédia et la télévision communautaire vallée-de-la-Matapédia, textes de PLUME-ART, scénario et montage de Yidam Boudhi, 2009.
Articles connexes
- Rivière Blanche, un cours d'eau
- MacNider
- La Matapédia, une MRC
- Vallée de la Matapédia
- Bas-Saint-Laurent
- Rivière Blanche Sud, un cours d'eau