Claude Allard

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 1 juillet 2022 à 21:57 par >Simon Villeneuve (→‎Liens externes : wikif)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Claude Allard est un prêtre et écrivain français, né à Laval au commencement du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Biographie

Après de solides études au collège de la Flèche et à Paris, il est précepteur du prince de Talmont et du comte de Laval.

Il aurait été pendant quelque temps d'après Ansart<ref>Ansart, Bibliothèque littéraire, p. 29.</ref>, directeur des religieuses de l'Abbaye Sainte-Croix de Poitiers. Pourvu d'abord d'une chapelle de Balazé<ref>Qui devait être d'après M. Paris-Jallobert, le bénéfice de Saint-Eutrope-de-Vaufleury.</ref>, il permute avec Claude de Mesme, chantre de Saint-Tugal de Laval, le Modèle:Date<ref>Et non 1634, comme cela a été dit.</ref>.

Le duc de la Trémoille, seigneur de Laval, l'envoie à Rome et à Venise pour son service : désirant néanmoins que les sept messes de sa charge à Saint-Tugal fussent acquittées, on arrêta qu'à l'avenir cinq seraient dites au château et les deux autres à la prison.

Claude Allard travailla beaucoup à mettre de l'ordre dans les archives du trésor du chapitre de Saint-Tugal.

On a la preuve qu'il effectue des recherches historiques dans le chartrier du chapitre. Il compose un livre : Le miroir des Ames religieuses...<ref>de médiocre valeur (d'après l'abbé Angot) </ref>. Il meurt à Laval, le Modèle:Date de mort, et est enterré le lendemain. Fevret de Fontette attribue par erreur au même auteur l'ouvrage suivant : Crayon des grandeurs de Saint-Antoine de Viennois Paris, 1653, in-12<ref>Le titre de ce livre porte le nom de Claude Allard; mais ce Claude Allard n'est pas le chantre de Saint-Tugal, qui meurt en 1672 ; c'est un religieux Antonin, dont Fevret de Fontette inscrit la mort à l'année 1658.</ref>.

Publications

  • Le Miroir des ames religieuses, ou la Vie de très haute et très religieuse princesse, Madame Charlotte Flandrine de Nassau, très digne abbesse du monastère de Sainte-Croix de Poitiers. Poitiers, Thoreau, 1653, in-4. Ce livre divisé en 6 parties, est un éloge outré de l'abbesse de Sainte-Croix, fille de [[Guillaume Ier d'Orange-Nassau|Guillaume {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} d'Orange-Nassau]], prince d'Orange, et de Charlotte de Montpensier, morte à Poitiers le Modèle:Date. Il le composa sur les notes qui lui avaient été envoyées par les religieuses de Sainte-Croix, ce qui a permis de supposer qu'il avait été leur directeur avant d'être chantre de Saint-Tugal.

Source

Modèle:AbbéAngot

Notes et références

Modèle:Références

Liens internes

Liens externes

Modèle:Liens de biographie

Modèle:Portail