Éric Jalton

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Modèle:Infobox Personnalité politique

Éric Jalton, né le Modèle:Date aux Abymes (Guadeloupe), est un homme politique français.

Biographie

Études et formation

Éric Jalton suit des études secondaires à Pointe-à-Pitre puis à Paris où il obtient son baccalauréat (série C), puis un doctorat en chirurgie dentaire à l'université Diderot. Durant ses études à Paris, il est membre de la section socialiste du [[18e arrondissement de Paris|Modèle:18e]] et de SOS Racisme.

Débuts en politique

En 1988, Éric Jalton rentre dans sa commune natale, Les Abymes, et est élu en 1990 au conseil d’administration de la section socialiste des Abymes en qualité de secrétaire administratif, puis secrétaire fédéral de la jeunesse. Il en devient secrétaire général en 1996 après la mort de son père, Frédéric Jalton.

En 1992, il est élu conseiller régional de la Guadeloupe (après la démission de son père pour cause de cumul des mandats<ref>Modèle:Lien web.</ref>) et réélu en 1993 après l’annulation des élections. En 1995, il entre au conseil municipal des Abymes, puis est élu en 1998 conseiller général au premier tour dans le canton des Abymes-1, et réélu conseiller régional sur la liste d’union de la gauche.

Le tournant de 2002

Il conduit la liste du Rassemblement abymien pour le progrès aux élections municipales de 2001 aux Abymes.

En 2002, il quitte le PS et est élu député dans la première circonscription de la Guadeloupe, battant le député-maire socialiste des Abymes, Daniel Marsin.

En 2004, il est réélu conseiller général au premier tour et conseiller régional. Pour se conformer à la loi sur le cumul des mandats, il choisit de démissionner de son mandat de conseiller régional de la Guadeloupe. Au cours de ce mandat, il est un des acteurs de premier plan à l'automne 2005 de l'affaire Olivier Grenouilleau.

Éric Jalton est réélu député le Modèle:Date- avec plus de Modèle:Unité des suffrages. Il est rattaché au groupe socialiste.

Lors des élections municipales de 2008, il l'emporte sur Daniel Marsin, maire sortant des Abymes, au second tour en obtenant Modèle:Unité des suffrages et Modèle:Nombre sur 49. Battu aux élections régionales de 2010 (il arrive en troisième position), il est une nouvelle fois élu député lors des élections législatives de 2012.

Lors des élections municipales de 2014, sa liste l'emporte dès le premier tour avec Modèle:Unité des suffrages, devançant le candidat dissident socialiste Olivier Serva<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'année suivante, il est de nouveau battu aux élections régionales, alors qu'il figurait en troisième position sur la liste du député-président de région sortant, le socialiste Victorin Lurel.

Il soutient le candidat En marche Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle de 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En raison de la loi sur le cumul des mandats, il décide de ne pas se représenter aux élections législatives et de soutenir son adjoint à la mairie des Abymes, Rosan Rauzduel, qui reçoit l'investiture de la Modèle:Abréviation discrète, mais pas de La République en marche.

Lors des élections municipales de 2020, sa liste l'emporte dès le premier tour face à Olivier Serva, désormais député LREM, avec Modèle:Unité des suffrages<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assiduité à l'Assemblée nationale

Le Modèle:Date-, le site nosdeputes.fr recense Modèle:Nombre d'activité à l'Assemblée, Modèle:Nombre en commission, Modèle:Nombre dans l’hémicycle, Modèle:Nombre écrit, Modèle:Nombre écrite et Modèle:Nombre orale du député Éric Jalton sur les douze derniers mois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

À la fin de la législature, le site révèle qu'entre 2012 et 2017, Éric Jalton n'a été présent qu'à Modèle:Nombre, n'a pris la parole que Modèle:Nombre dans l'hémicycle et n'a écrit aucune proposition de loi ni aucun rapport<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Pour venir à Paris, il bénéficiait pourtant de Modèle:Nombre par an en avion, offerts par l'Assemblée nationale<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Affaires judiciaires

En Modèle:Date-, un policier municipal abymien, Gérard Flory, dépose quatorze plaintes contre Éric Jalton. Les motifs portent sur des affaires d’attouchements, de détournement et d'infraction sur mineur de Modèle:Nobr, de fraude et d'escroquerie à l'assurance, et de travaux illicites qui auraient été opérés en Modèle:Date- au moment des élections municipales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Début Modèle:Date-, il est mis en examen par le parquet de Pointe-à-Pitre pour Modèle:Citation et Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il aurait notamment fait bitumer des routes privées juste avant la campagne de 2014. L'entrepreneur Sylvère Fifi aurait, en outre, reçu des contrats d'enrobage en contrepartie d'un financement électoral. Fifi est mis en examen également pour Modèle:Citation. Enfin, Éric Jalton aurait utilisé les fonds de la Modèle:Abréviation discrète pour le financement de sa campagne. Le mandataire financier du parti, Frantz Velayoudom, est mis en examen pour Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Détail des mandats et fonctions

À l’Assemblée nationale

Au niveau local

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Portail