Victorin Lurel

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Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Infobox Personnalité politique

Victorin Lurel, né le Modèle:Date de naissance à Vieux-Habitants (Guadeloupe), est un homme politique français.

Membre du Parti socialiste (PS), il occupe entre 2001 et 2012 les mandats de maire de Vieux-Habitants, de député et de président du conseil régional de la Guadeloupe. Il est ministre des Outre-mer de 2012 à 2014 au sein des Modèle:Page h'.

Après la défaite de la gauche aux élections municipales de 2014, il quitte le gouvernement, retrouve son siège de député et se fait réélire président du conseil régional de la Guadeloupe. Sa liste est ensuite battue lors des élections régionales de 2015.

Il est élu sénateur lors des élections sénatoriales de 2017 et réélu lors de celles de 2023.

Modèle:Sommaire

Situation personnelle

Victorin Lurel naît dans une famille pauvre de petits paysans, il est le troisième d'une fratrie de douze enfants<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Après un baccalauréat en Guadeloupe, il obtient un DEA en économie à l'[[Université Panthéon-Assas|université Paris-Modèle:II]] avant d'intégrer, de 1978 à 1979, l'IEP de Paris<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont il sort sans être diplômé. En 1988, il est initié à l'obédience maçonnique du Grand Orient de France au sein de la loge maçonnique « L'Acacia des Tropiques »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Victorin Lurel a un fils unique, Nicolas (né le Modèle:Date- et retrouvé mort dans sa voiture le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>).

Parcours politique

Débuts

Élu d'opposition au conseil municipal de Vieux-Habitants à partir de 1989, puis au conseil régional de la Guadeloupe à partir de 1992, il entre au conseil général en 1994 et en devient vice-président en 1998<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il devient maire de Vieux-Habitants en 2001, après avoir devancé de Modèle:Nombre Aramis Arbau lors des élections municipales.

Député

Au second tour des élections législatives de 2002, il est élu député dans la quatrième circonscription de la Guadeloupe face à Philippe Chaulet, député sortant du RPR, avec Modèle:Nombre d'avance<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il devient le premier député socialiste de cette circonscription sous la Cinquième République.

En 2003, il est l'un des rares hommes politiques à s'opposer au projet de réforme institutionnelle préconisant la création d'une collectivité administrée par une assemblée unique se substituant à la région et au département actuels. Lors du référendum, 75 % des votants rejettent ce projet<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette victoire du « non » ouvre la voie à sa candidature aux élections régionales de 2004.

Au second tour des élections législatives de 2007, il est réélu député face à Albert Dorville, maire sans étiquette de la commune de Trois-Rivières soutenu par la droite. Il obtient Modèle:Nombre, soit 52,6 %<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Lors de l'installation de la nouvelle Assemblée nationale, il devient l'un des quatorze vice-présidents du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.

Président du conseil régional de la Guadeloupe

À la tête d'une liste d'union de la gauche réunissant le Parti socialiste, Guadeloupe unie, socialisme et réalités et le Parti progressiste démocratique guadeloupéen, il s'impose aux élections régionales de 2004 en Guadeloupe face à Lucette Michaux-Chevry, présidente sortante apparentée UMP, qui était en poste depuis 1992<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, il démissionne de son mandat de maire de Vieux-Habitants pour se mettre en conformité avec les dispositions législatives sur le non-cumul des mandats. En avril suivant, il conduit la liste de la majorité municipale sortante et gagne l'élection partielle dès le premier tour face à Aramis Arbau. Son premier adjoint, Georges Clairy, prend sa succession à la tête de la mairie<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Secrétaire national du PS chargé de l'outre-mer

En Modèle:Date-, Victorin Lurel est désigné secrétaire national du Parti socialiste chargé de l'Outre-mer par le premier secrétaire François Hollande, en remplacement d'Axel Urgin, qui a mené campagne pour le « non » au référendum sur le projet de Constitution européenne du Modèle:Date- malgré l'opposition de la direction du PS<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, Victorin Lurel annonce sa démission de cette fonction pour protester contre le non-respect par la direction nationale du PS de son engagement à mieux représenter la « diversité » à travers les investitures pour les élections législatives de 2007, et en particulier les originaires de l'outre-mer. George Pau-Langevin est finalement investie comme candidate. Victorin Lurel retrouve par la suite son poste<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Soutien de Ségolène Royal pour la primaire socialiste de 2006 puis pour l'élection présidentielle de 2007, il occupe les fonctions de responsable et de porte-parole de sa campagne dans l'Outre-mer<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Homme fort de la gauche en Guadeloupe

Ancrage local

Fichier:DGObamaJdSLurel.jpg
Victorin Lurel lors d'un débat à La Courneuve sur les enjeux de la candidature de Barack Obama (2008).

À l'issue des élections municipales et cantonales de Modèle:Date-, Victorin Lurel demeure l'homme fort de la gauche guadeloupéenne grâce aux succès enregistrés par plusieurs candidats qu'il a soutenus personnellement comme Hélène Vainqueur-Christophe aux Trois-Rivières, Éric Jalton aux Abymes, Ferdy Louisy à Goyave, Jean-Claude Malo à Bouillante et Georges Clairy, son successeur à Vieux-Habitants. Il favorise la réélection du sénateur Jacques Gillot à la présidence du conseil général de la Guadeloupe, grâce au soutien du groupe socialiste, républicain et citoyen (SRC), premier groupe de l'assemblée départementale avec Modèle:Nombre sur 40<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, il représente le Parti socialiste français à la convention démocrate d'investiture de Barack Obama à Denver (Colorado)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En Modèle:Date-, il est invité au Caucus noir du Congrès, la réunion des parlementaires afro-américains, à Washington<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date-, à l'issue d'un vote des militants socialistes guadeloupéens, Victorin Lurel est officiellement investi comme tête de liste du Parti socialiste pour les élections régionales de 2010. Lors de ces élections, sa liste est la seule dans les Modèle:Nombre françaises à l'emporter dès le premier tour avec Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dans une élection marquée par une faible participation (49,8 %) et une abstention record (50,2 %). Il est réélu président du conseil régional de la Guadeloupe le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Congrès de Reims

Quand s'engagent les débats internes en vue du congrès de Reims du PS de Modèle:Date-, Victorin Lurel signe une contribution thématique sur les outremers intitulée Les outremers, laboratoire d'idée pour la République. Elle est signée par les principaux responsables du parti (François Hollande, Ségolène Royal, Martine Aubry, Benoît Hamon)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Victorin Lurel, fidèle à François Hollande, signe la contribution de celui-ci, puis rejoint la motion A constituée autour du premier secrétaire sortant et de Bertrand Delanoë, en se déclarant favorable à un large rassemblement incluant Ségolène Royal<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Victorin Lurel, comme les principales fédérations d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, La Réunion), choisit de soutenir Ségolène Royal face à Martine Aubry pour l'élection du premier secrétaire du Parti socialiste<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Défaite d'extrême justesse au niveau national, Ségolène Royal l'emporte largement dans les Outre-mer, en particulier en Guadeloupe où elle obtient 82 % des voix<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les contestations portées sur les conditions de vote dans les Outre-mer provoquent la colère du secrétaire national sortant et des militants socialistes ultramarins<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Victorin Lurel quitte ses fonctions de secrétaire national. Au conseil national du Modèle:Date-, il n'est pas remplacé, le poste de secrétaire national demeurant « à pourvoir » jusqu'en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Ministre des Outre-mer

Nomination

En Modèle:Date-, il figure parmi les soutiens de François Hollande, candidat à la primaire citoyenne de 2011 en vue de l'élection présidentielle de 2012. En Modèle:Date-, il refuse de recevoir Claude Guéant lors de sa visite en Guadeloupe, en réaction à ses propos sur les civilisations<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Après l'élection de François Hollande à la présidence de la République, il est nommé ministre des Outre-mer le Modèle:Date- et intègre le premier gouvernement Ayrault.

Le Modèle:Date-, au premier tour des élections législatives, il est élu pour la troisième fois député dans la [[Quatrième circonscription de la Guadeloupe|Modèle:4e de la Guadeloupe]], avec 67,2 % des suffrages exprimés, face notamment à la candidate de l'UMP Marie-Luce Penchard, ancienne ministre de l'Outre-mer, qui obtient 22,9 % des voix<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est le ministre et le député le mieux élu de France, avec une participation de 42,5 % et une abstention de 57,5 %. Le Modèle:Date-, après la victoire de la gauche aux élections législatives, il est reconduit à ce poste dans le deuxième gouvernement Ayrault.

Actions au ministère

Il se fixe pour objectif principal la lutte contre la vie chère dans les Outre-mer. Le Journal officiel publie la loi Modèle:N° du Modèle:Date- relative à la régulation économique outre-mer et portant diverses dispositions relatives aux outre-mer<ref>Modèle:Légifrance.</ref>, puis le décret Modèle:N° du Modèle:Date- relatif aux accords annuels de modération de prix de produits de grande consommation de l’article Modèle:Nobr du code de commerce le Modèle:Date-<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.

Après une décision du tribunal administratif de Basse-Terre suspendant provisoirement l'épandage aérien de pesticides (pratique interdite en France depuis une directive de l'Union européenne de 2009<ref name="Épendage aérien">Modèle:Lien web.</ref>) au-dessus des bananeraies de Guadeloupe, Victorin Lurel annonce une saisine du Conseil d'État, le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date- suivant, le tribunal administratif de Basse-Terre annule les arrêtés d'autorisation du préfet de région qui permettaient aux planteurs de bananes d'avoir recours à l'épandage aérien de pesticides. Le Modèle:Date-, Victorin Lurel se déclare de nouveau favorable à la reprise de l'épandage aérien en Guadeloupe, provoquant ainsi la colère des écologistes antillais<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Un mois plus tard, une trentaine d'organisations écologistes, syndicales et politiques, ainsi que des médecins et des apiculteurs manifestent leur mécontentement à Pointe-à-Pitre<ref name="Épendage aérien"/>. Le Modèle:Date-, le tribunal administratif de Basse-Terre s'oppose pour la troisième fois à l'épandage aérien de pesticides en Guadeloupe<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, alors qu'il n'est plus ministre depuis environ un mois, Victorin Lurel se dit Modèle:Citation de la décision de Ségolène Royal de mettre fin aux épandages aériens dans les bananeraies des Antilles françaises<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date-, le Journal officiel publie les « décrets Lurel » réglementant les prix des produits pétroliers ainsi que le fonctionnement des marchés de gros pour la distribution de ces produits dans les départements de la Guadeloupe, de la Guyane, de La Réunion et de la Martinique<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date-, il annonce la création du Conseil représentatif des Français d'outre-mer (CReFOM)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Obsèques d'Hugo Chávez

En Modèle:Date-, alors qu'il représente la France aux funérailles nationales d'Hugo Chávez, il suscite la polémique en déclarant : Modèle:Citation, ajoutant que Chávez, Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les représentants de l'UMP, Jean-François Copé et Hervé Mariton, ainsi que la patronne du Medef, Laurence Parisot, condamnent ces propos. Du côté de la majorité présidentielle, Anne Hidalgo déclare : Modèle:Citation, tandis que Julien Dray se dit compréhensif de la Modèle:Citation de Victorin Lurel par rapport à Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les propos de Victorin Lurel suscitent l'indignation de la communauté juive de France en raison des relations entre Hugo Chávez et Mahmoud Ahmadinejad. L'American Jewish Committee France<ref>Modèle:Lien web.</ref>, le B'nai B'rith France<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la Confédération des Juifs de France et Amis d’Israël<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'Union des étudiants juifs de France<ref>Modèle:Lien web.</ref> et l'Union des patrons et des professionnels juifs de France<ref>Modèle:Lien web.</ref> condamnent ces propos.

Élections municipales de 2014

Au premier tour des élections municipales de 2014, la liste du maire sortant de Vieux-Habitants, George Clairy, sur laquelle Victorin Lurel figure en Modèle:29e, est battue par celle de l'ancien maire de droite Aramis Arbau<ref>Modèle:Lien web.</ref>. C'est la première défaite électorale de Victorin Lurel depuis les élections législatives de 1997<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Figurant parmi les ministres engagés dans le scrutin municipal et battus, il n'est pas reconduit dans ses fonctions dans le gouvernement Valls et est remplacé par George Pau-Langevin au ministère des Outre-mer<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Retour en Guadeloupe

Fin de mandature régionale

Le Modèle:Date-, il est réélu président du conseil régional de Guadeloupe après la démission de Josette Borel-Lincertin qui en avait assurée la présidence durant son mandat ministériel<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et le Modèle:Date-, il retrouve son siège de député qui était tenu par sa suppléante Hélène Vainqueur-Christophe<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date-, Victorin Lurel est directement mis en cause par Mediapart dans l'affaire de détournement de fonds publics et d'escroquerie aux subventions en bande organisée du Ceregmia (centre d’étude et de recherche en économie, gestion, modélisation et informatique appliquée de l'université des Antilles et de la Guyane), dirigé par Fred Célimène<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, il publie son droit de réponse au site Mediapart en évoquant la Modèle:Citation de Serge Letchimy<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, le site internet Free Pawol publie un mail de Fred Célimène adressé en Modèle:Date- à Pascal Saffache, alors président de l'université des Antilles et de la Guyane, dans lequel apparaît le nom de Victorin Lurel<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

À l'occasion de la commémoration nationale de l'abolition de l'esclavage, le Modèle:Date-, le président de la République François Hollande inaugure le Mémorial ACTe, porté par Victorin Lurel<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en présence des chefs d'État d'Haïti Michel Martelly, du Sénégal Macky Sall, du Mali Ibrahim Boubacar Keïta et du Bénin Thomas Boni Yayi<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est chargé par François Hollande d'une mission parlementaire sur l'égalité réelle entre l'Outre-mer et l'hexagone<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Défaite aux élections régionales de 2015

À l'issue du premier tour des élections régionales de 2015 en Guadeloupe, sa liste obtient 41,1 % des suffrages exprimés et est devancée par la liste d'Ary Chalus, qui obtient 43,6 % des suffrages exprimés. Au second tour, sa liste obtient 42,6 % des suffrages exprimés, tandis que celle d'Ary Chalus obtient 57,4 % des suffrages exprimés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date-, il redevient secrétaire national du PS chargé de l'outre-mer<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Scrutins nationaux de 2017 et sénateur

En Modèle:Date-, Victorin Lurel annonce qu'il pourrait être candidat à la primaire citoyenne de 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il n'est finalement pas candidat.

Après le renoncement de François Hollande, Victorin Lurel décide de soutenir Manuel Valls à la primaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Après la défaite de celui-ci, il décide de soutenir le vainqueur Benoît Hamon, qui termine en Modèle:5e position en Guadeloupe avec 9,6 % des voix au premier tour, alors qu'en 2012, François Hollande obtenait 57 % des voix dès ce tour. Après la défaite de Benoît Hamon, il appelle à voter pour Emmanuel Macron, qui bénéficiait déjà du soutien d'Ary Chalus et d'Éric Jalton au premier tour<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Victorin Lurel décide de ne pas se représenter aux élections législatives de 2017. Il soutient sa suppléante Hélène Vainqueur-Christophe dans la quatrième circonscription. Dans la première circonscription, il propose la candidature du socialiste Georges Hermin. Ce dernier avait pourtant été condamné en appel en début d’année 2017 pour complicité d’escroquerie dans une affaire de fraude à la défiscalisation, tout comme son suppléant, Maurice Lorquin, condamné pour faux et usage de faux en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Victorin Lurel est élu sénateur aux élections sénatoriales de 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il devient dans la foulée secrétaire du Sénat jusqu'au renouvellement de 2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est réélu en 2023<ref name="Sénatoriales 2023">Modèle:Lien web.</ref>.

Pour la première fois depuis 2004, il n'est pas tête de liste aux élections régionales de 2021 en Guadeloupe<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il figure toutefois en sixième position sur la liste conduite par Josette Borel-Lincertin (PS)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est réélu conseiller régional lors de ce scrutin, cette liste obtenant 27,6 % des suffrages exprimés au second tour<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Détail des fonctions et des mandats

Au gouvernement

À l’Assemblée nationale

Au Sénat

Au niveau local

Synthèse des résultats électoraux

Élections législatives

Année Parti Circonscription Modèle:1er Modèle:2d Issue
Voix % Rang Voix % Rang
1997<ref>Modèle:Lien web.</ref> rowspan="4" Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs| PS [[Quatrième circonscription de la Guadeloupe|Modèle:4e de la Guadeloupe]] 3 801 18,8 Modèle:2e 9 286 37,4 Modèle:2e Battu
2002<ref name="data.gouv.fr">Modèle:Lien web.</ref> 8 543 38,7 Modèle:2e 14 234 50,8 Modèle:1er Élu
2007<ref name="data.gouv.fr"/> 10 994 48,8 Modèle:1er 15 830 52,6 Modèle:1er Élu
2012<ref name="data.gouv.fr"/> 18 178 67,2 Modèle:1er Élu

Élections sénatoriales

Année Parti Circonscription Voix % Rang Sièges obtenus
2017<ref>Modèle:Lien web.</ref> rowspan="2" Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs| PS Guadeloupe 301 38,8 Modèle:1er Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
2023<ref name="Sénatoriales 2023"/> 178 23,0 Modèle:2e Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

Élections régionales

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

Année Parti Région Modèle:1er tour Modèle:2d tour Sièges obtenus
Voix % Rang Voix % Rang
2004<ref>Modèle:Lien web.</ref> rowspan="3" Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs| PS Guadeloupe 65 964 44,3 Modèle:1er 100 886 58,2 Modèle:1er Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> 78 261 56,5 Modèle:1er Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
2015<ref>Modèle:Lien web.</ref> 57 717 41,1 Modèle:2e 78 261 42,6 Modèle:2e Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

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