Émile Küss

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2

Émile Küss (ou Kuss), né le Modèle:Date de naissance à Strasbourg, mort à Bordeaux le Modèle:Date de décès, est un professeur de médecine, un journaliste et un homme politique alsacien. Il fut maire de Strasbourg pendant quelques mois, du Modèle:Date- jusqu'à sa mort spectaculaire le jour où les députés de l'Assemblée nationale décidèrent de céder l'Alsace et la Lorraine à l'Allemagne.

Biographie

Modèle:Article connexe Issu d'une famille alsacienne, fils de Jean-Georges Kuss, passementier et ancien officier installé à Strasbourg, et de Sophie Widemann, Émile Kuss fait ses études secondaires au gymnase Jean-Sturm de Strasbourg et obtient son diplôme de bachelier ès-lettres à l'âge de 18 ans. Il étudie la médecine dans sa ville natale sous la direction de Jean Lobstein et Thomas Lauth. Il se rend à Paris en 1835, où il prend part au concours de préparateur au musée de la faculté de médecine. Il revient à Strasbourg en 1836 pour conduire des recherches sous la direction de son maître Thomas Lauth qui l'initie aux recherches microscopiques et à la physiologie. Reçu docteur en médecine en 1841<ref>Questions sur diverses branches des sciences médicales. Thèse pour le doctorat en médecine présentée à la faculté de médecine de Strasbourg … 31 août 1841 par Emile Kuss, Dannbach, Strasbourg, 1841, 34Modèle:Nb p.</ref>, il devient chef des travaux anatomiques en 1843, puis agrégé en chirurgie l'année suivante<ref>De l'emploi du caustique en chirurgie, thèse d'agrégation de Chirurgie, Strasbourg, 1844, 52Modèle:Nb p.</ref>. Il obtient la chaire de physiologie de l'université de Strasbourg en 1846 à la suite de Lauth, avec un mémoire de thèse intitulé Appréciation générale de la physiologie depuis Bichat, qui lui valut le titre de «précurseur de la théorie cellulaire»<ref>Appréciation générale de la physiologie depuis Bichat, thèse présentée et soutenue devant le jury. Concours pour la chaire de physiologie, ouvert à la faculté de médecine de Strasbourg, impr. L.F. Le Roux, Strasbourg, 1846, 57Modèle:Nb p.</ref>. Malgré des publications peu nombreuses<ref>Histoire de la médecine, d'Hippocrate à Broussais et ses successeurs par J.-M. Guardia, Doin (Paris), 1884, p.471-3 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2066120/f487%7C{{ #if: bpt6k2066120/f487 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref>, son enseignement jouit d'une grande audience et attire de nombreux élèves ; ses cours sont retranscrits, réédités plusieurs fois, et traduits en anglais (États-Unis) et en espagnol. Il est également à la tête de la clinique de dermatologie et de syphilis de Strasbourg après 1846<ref> Syphilis et blennorragie : mémoire présenté à la Société de médecine pratique de Paris par le Modèle:Dr, impr. de A. Gérente (Aix-les-Bains), 1877, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54080703%7C{{ #if: bpt6k54080703 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>. Il dirige la thèse de médecine d'Alphonse Laveran en 1867<ref>Recherches expérimentales sur la régénération des nerfs par Alphonse Laveran, Imp. Sibermann, Strasbourg, 1867,Texte intégral</ref>.

Le Modèle:Date-, il devient membre de la Société des amis du muséum d'histoire naturelle de Strasbourg<ref>(1868) - « Liste des membres composant la Société des sciences naturelles de Strasbourg, inscrits suivant l'ordre alphabétique », Bulletin de la Société des sciences naturelles de Strasbourg Modèle:1re - tome I, Société des sciences naturelles de Strasbourg, Strasbourg, Modèle:P.</ref>.

La Révolution de 1848 arrête l'élan scientifique d'Émile Küss. Gérant responsable du journal Le Démocrate du Rhin (hebdomadaire en langue allemande) en 1849, il est, avec neuf autres prévenus, poursuivi pour attentat ou complot « ayant pour but de changer ou de détruire le gouvernement de la République, soit d'exciter la guerre civile en portant les citoyens à s'armer les uns contre les autres »<ref>Cour d'assises de la Moselle. Procès des accusés de Strasbourg, Audience du 17 [-22] octobre 1849, imp. de J.-P. Toussaint (Metz), 1849, Modèle:Nb p.{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56964858%7C{{ #if: bpt6k56964858 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref>. Il est détenu dans la cellule où séjourna Louis Napoléon treize ans auparavant. Il lui est reproché d'avoir publié le Modèle:Date- un article débutant par les mots : « La patrie est en danger ! », et le 16 juin 1849, un article comportant les harangues suivantes : «Le peuple seul est souverain [...] Rallions-nous donc tous aux cris de Vive la Constitution! Vive la République !». Défendu par Jules Favre, il est acquitté au procès de Metz (17 au Modèle:Date-). Il fonde, en 1851, le journal La République populaire du Bas-Rhin.

Ses opinions républicaines marquées, jointes à son statut de savant et à son patriotisme, lui permirent de bénéficier, lors du déclenchement de la guerre de 1870, d'une forte popularité auprès de ses concitoyens.

Depuis le Modèle:Date-, Strasbourg était investie par l'armée du général prussien August von Werder. Ce n'est que le Modèle:Date- que les Strasbourgeois apprirent l'instauration de la Modèle:IIIe République, proclamée à Paris le Modèle:Date-. Le même jour, Émile Kuss est nommé maire de la ville par la Commission Municipale.

Il fait preuve d'une extraordinaire énergie pour défendre la ville jusqu'au dernier moment, et la capitulation du Modèle:Date-<ref>Histoire générale de la guerre franco-allemande (1870-71)par le Lt-Colonel Rousset, Librairie illustrée (Paris), 1900, Modèle:P. {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k200714d/f245%7C{{ #if: bpt6k200714d/f245 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref> fut pour lui une épreuve très douloureuse à vivre<ref>Histoire de la révolution de 1870-1871 par Jules Claretie, bureaux de L'Éclipse (Paris), 1872-1875, Modèle:P. {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5758411q/f298%7C{{ #if: bpt6k5758411q/f298 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}, p. 545 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5758411q/f552%7C{{ #if: bpt6k5758411q/f552 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}, p. 555-78 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5758411q/f562%7C{{ #if: bpt6k5758411q/f562 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref>. Malgré cela, dans les semaines qui suivent, il met toute son énergie à négocier et à modérer les exigences de l'occupant<ref>Les allemands chez nous : Metz, Strasbourg par Paul Mahalin, L. Boulanger (Paris), 1885, Modèle:P. {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5765623z.f270%7C{{ #if: bpt6k5765623z.f270 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref> et à réorganiser la ville endommagée par les bombardements. Lors des élections du Modèle:Date-, il est élu représentant du Bas-Rhin à l'Assemblée nationale avec Modèle:Unité voix sur Modèle:Unité votants, soit plus de 96 % des suffrages exprimés.

Malgré sa santé précaire, il se rend à Bordeaux pour faire entendre les protestations de l'Alsace<ref>France-Alsace : conférences et articlespar Paul-Albert Helmer, préf. de Maurice Barrès, l'Éd. française illustrée (Paris), 1915, p.246-7, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5456949j/f263%7C{{ #if: bpt6k5456949j/f263 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref>,<ref>Paul Bondois, Histoire de la guerre de 1870-1871 et des origines de la troisième République (1869-1871) (Modèle:2e), Picard et Kaan, Paris, 1893, Modèle:P. {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5855109x/f378%7C{{ #if: bpt6k5855109x/f378 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref>, mais ne put y siéger. Lorsqu'il apprend, le Modèle:Date- à minuit, que ses collègues de l'Assemblée nationale siégeant au Grand Théâtre de Bordeaux avaient décidé d'abandonner l'Alsace et la Lorraine, il est victime d'une défaillance cardiaque à laquelle il succombe.

Ses obsèques (aux frais de l'État<ref>Recueil des traités, conventions, lois, décrets et autres actes relatifs à la paix avec l'Allemagne.I [publ. par Alfred de Villefort], Impr. nationale (Paris), 1872-1879, Modèle:P. {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213767b/f353%7C{{ #if: bpt6k213767b/f353 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref>), qui ont eu lieu le Modèle:Date- à Bordeaux, rassemblent une foule immense<ref>Chalamet, Antoine : Jean Felber, histoire d'une famille alsacienne, la guerre franco-allemande, excursions à travers la France, descriptions, le sentiment de famille, l'amour de la patrie, le soldat : lectures courantes (Édition spéciale au département du Nord), Picard et Raan (Paris), 1891, p. 137{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5529888n/f200%7C{{ #if: bpt6k5529888n/f200 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}</ref>, comprenant tous les députés de l'Alsace et de la Lorraine. Elles sont l'occasion pour Léon Gambetta de prononcer les paroles suivantes : Modèle:Citation bloc

Fichier:Emile Schweitzer-Obsèques de M. E. Kuess, Maire de Strasbourg.jpg
Funérailles à Strasbourg
(Émile Schweitzer, 1897).

Les funérailles solennelles ont lieu à Strasbourg le Modèle:Date-<ref>Discours prononcés le Modèle:Date- aux funérailles de M. Émile Küss, Treuttel et Wurtz, Strasbourg, 1871, Modèle:Nb p.</ref>. Il est inhumé au cimetière Sainte-Hélène de Strasbourg<ref>Cimetière Sainte-Hélène, Guide des cimetières Modèle:N° de la Ville de Strasbourg, 2009, Modèle:P..</ref>.

Hommages

Une rue du [[13e arrondissement de Paris|Modèle:13e de Paris]] porte son nom : rue Küss ainsi qu'une école primaire située dans celle-ci. La rue faisant face à la gare de Strasbourg a reçu le nom de « Rue du Maire Kuss » ; le « pont du Maire Küss » construit en 1896, enjambant le canal du faux-rempart, lui fait suite. Un pavillon de gériatrie de l'Hôpital de la Robertsau du CHU de Strasbourg porte son nom.

Œuvres et publications

  • Questions sur diverses branches des sciences médicales , [s.n.], Strasbourg , Modèle:Date-.
  • De l'emploi du caustique en chirurgie, [s.n.], Strasbourg, 1844.
  • De la vascularite et de l'inflammation, Treuttel et Würtz (Strasbourg), 1846, 56Modèle:Nb p.
  • Appréciation générale des progrès de la physiologie depuis Bichat, [Thèse présentée et soutenue devant le jury. Concours pour la chaire de physiologie ouvert à la Faculté de Médecine de Strasbourg], Impr. L.F. Le Roux, 1846, 57 p.
  • Cours de physiologie professé à la Faculté de Médecine de Strasbourg, par É. Küss, rédigé par le Docteur Mathias Duval, J.-B. Baillière et fils (Paris), 1872 (plusieurs éd. ultérieures), XXXV-575 p. (avec une Notice sur le Professeur Küss).
  • Cours de physiologie, d'après l'enseignement du professeur Küss, publié par le Dr Mathias Duval, 2e édition, complétée par l'exposé des travaux les plus récents, Baillière (Paris), 1873, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6216028w%7C{{ #if: bpt6k6216028w |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}; Traduction en anglais par Robert Amaury, Campbell, Boston, 1876 : A course of Lectures in Physiology as delivered by Professor Küss, Texte intégral ; traduction en espagnol par Jaime Mitjavila y Ribas : Curso de Fisiología según la enseñanza del Profesor Küss. Con prologo de Ramón Coll y Pujol, Imp. Lázaro Maroto, Madrid, 1876, 585 p.
  • Cours de physiologie, d'après l'enseignement du professeur Küss, publié par le Dr Mathias Duval, 3e édition, complétée par l'exposé des travaux les plus récents, Baillière (Paris), 1876,{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6215586r%7C{{ #if: bpt6k6215586r |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}
  • La formule de concorde dans ses rapports avec le Nouveau Testament, Thèse présentée à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg, Silbermann (Strasbourg), 1859 Texte intégral

Notes et références

Modèle:Références

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Emile Küss in: Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. Quatrième série, F-K. Tome seizième, INH-KYT / publ. sous la dir. de A. Dechambre [puis de] L. Lereboullet ; L. Hahn secrétaire de la dir. [puis] directeur-adjoint, Masson [puis] Asselin [puis] Asselin et Houzeau, Paris, 1877-1889 , {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k31303p/f783%7C{{ #if: bpt6k31303p/f783 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
  • Emile Küss in: Traité élémentaire de physiologie. Partie 1, par Mathias Duval et Eugène Gley, page V (préface), Baillière et fils (Paris), 1906-1909.{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6216096q/f11%7C{{ #if: bpt6k6216096q/f11 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
  • Emile Küss dans la Base de données des députés français depuis 1789 du site de l'Assemblée Nationale.
  • Emile Küss sur le site de la Société des Études saint-simoniennes.
  • Meyer A. : Biographies alsaciennes avec portraits en photographie. Série 4, A. Meyer (Colmar), 1884-1890, 5 vol. in-8°, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5497438f/f253%7C{{ #if: bpt6k5497438f/f253 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
  • Charles Baechler, Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, Modèle:Vol., Strasbourg, Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace, 1982, Modèle:ISBN, Modèle:P..
  • Jean-Pierre Kintz, « Émile Kuss, maire de Strasbourg en 1870, journaliste et militant politique sous la Seconde République (1848-1851) », Annuaire de la Société des amis du vieux Strasbourg, no 2, 1971, Modèle:P..
  • Louis-Albert Kissel, Notes biographiques sur Émile Küss : professeur à la Faculté de médecine, maire de Strasbourg (1815-1871), Impr. E. Mazel, Largentière (Ardèche), 1932, 64Modèle:Nb p. (thèse de doctorat de médecine, Faculté de médecine de Strasbourg, 1932)
  • Herrgott: Notice sur le professeur Küss, Maire de Strasbourg, Représentant du Bas-Rhin. Lue à la séance annuelle de la Société de Médecine de Strasbourg le Modèle:Date-., J. Noiriel, 1871, 31 p.
  • P. de Labaroche: Prof. Emile Kuss (1815-1871). Maire von Strasbourg in schweren Zeiten. Extr. de : Le Nouvel Alsacien, 1965.
  • Louis Kissel: Notes biographiques sur Emile Küss, professeur à la Faculté de Médecine, Maire de Strasbourg (1815-1871)Impr. Elie Mazel, 1932, 64 p.
  • Adolphe Robert, Edgar Bourloton et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français : comprenant tous les membres des assemblées françaises et tous les ministres français depuis le Modèle:Date- jusqu'au Modèle:Date-, avec leurs noms, état civil, états de services, actes politiques, votes parlementaires, etc, vol. 4, Bourloton, Paris, 1891 (réédité en facsimile par Slatkine reprints, Genève, distribué par H. Champion, Paris, 2000)
  • Édouard Sitzmann, Dictionnaire de biographie des hommes célèbres de l'Alsace, depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, vol. 2, Éditions du Palais Royal, Paris, 1973, Modèle:ISBN, Modèle:P..
  • Xibaut, Bernard :Strasbourg enterre le maire Kuss, Modèle:Date- in:Almanach Sainte-Odile, 2004 [1]
  • Le Minor J.M., Sick H. : Les modèles anatomiques en plâtre des strasbourgeois Robert et Kuess (1840), in: Histoire des sciences médicales, 1990, vol. 24, Modèle:P..
  • « La famille Kuss à Bouxwiller », Pays d'Alsace, no 41, 1963.
  • Modèle:Chapitre

Articles connexes

Liens externes

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