Épistaxis

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Confusion Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Wikidata {{#if:|Modèle:Infobox V3/Séparateur|}} Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte {{#if:Modèle:WikidataModèle:WikidataModèle:Wikidata |Modèle:Infobox V3/Tableau finModèle:Infobox V3/Tableau début |}} Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata {{#if:|Modèle:Infobox V3/Tableau fin Modèle:Infobox V3/Tableau début|}} Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Wikidata Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Fin avec Wikidata{{#if:||{{#if:Epistaxis (Nose Bleed).jpg|{{#if:||}}|}}}} Une épistaxis (étymologie : du grec épi- « sur » et stázô « couler goutte à goutte ») est une hémorragie extériorisée par les fosses nasales. On l'appelle communément un saignement de nez. Bien que très fréquente et sans gravité dans la grande majorité des cas, certaines épistaxis peuvent comporter un risque vital par leur importance ou la fragilité du terrain sur lequel elles surviennent.

Mécanisme

L'épistaxis est due à une lésion du riche réseau vasculaire qui irrigue la muqueuse nasale. Cette muqueuse se caractérise par l'existence d'une zone particulièrement richement vascularisée appelée tache vasculaire de Kiesselbach Escat (ou plexus de Kiesselbach), principale zone pourvoyeuse d'épistaxis et situé dans la partie antéro-inférieure de la cloison nasale, où se rejoignent les deux réseaux artériels principaux vascularisant la muqueuse nasale :

La tache vasculaire de Kiesselbach Escat constitue la localisation de plus de 90 % des épistaxis<ref name="nejm2009"/>. Le reste sont dite postérieures, en règle plus difficiles à contrôler, concernant la partie postérieure du septum, le plancher ou l'une des parois latérales<ref name="Seikaly 2021">Seikaly H, Epistaxis, N Eng J Med, 2021;384:944-951</ref>.

Épidémiologie

C'est un symptôme très fréquent, touchant, tôt ou tard, près de 60 % de la population mondiale<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Viehweg TL, Roberson JB, Hudson JW, « Epistaxis: diagnosis and treatment » J Oral Maxillofac Surg. 2006;64:511-518</ref>. Elle est plus fréquente avant l'âge de 10 ans et sa fréquence croît après l'âge de 50 ans<ref name="nejm2009">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Schlosser RJ, « Epistaxis » N Eng J Med. 2009;360:784-789</ref>.

Causes

Épistaxis bénigne essentielle

Fichier:Boxing children - bloody nose.jpg
Les enfants battaient dans le sang

C'est le cas de loin le plus fréquent, volontiers rencontré chez les enfants et les adultes. L'épistaxis essentielle demeure cependant un diagnostic d'élimination, qui ne doit être évoqué que lorsque les autres causes ont été écartées (on peut être amené à réaliser une fibroscopie nasale dans cette optique). Les épistaxis cessent en général spontanément après la puberté, mais des saignements à répétition peuvent amener à faire effectuer une cautérisation de la tache vasculaire dont la fragilité est responsable des symptômes.

Causes locales

Causes traumatiques

L'épistaxis est une complication fréquente de l'administration de médicaments par voie nasale, du fait de l'irritation provoquée (même dans le cadre d'un placebo, elle survient dans près de 10 % des cas)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Waddell AN, Patel SK, Toma AG Modèle:Et al. « Intranasal steroid sprays in the treatment of rhinitis: is one better than another? » J Laryngol Otol. 2003;117:843-5.</ref>.

Causes tumorales

Les tumeurs responsables peuvent être malignes comme un cancer du cavum, un cancer du sinus, etc ou bénignes comme un fibrome nasopharyngien. Ce dernier est fréquent chez le jeune garçon : il s'agit d'une tumeur développée au niveau du foramen sphéno-palatin, très richement vascularisée, responsable d'épistaxis à répétition. Son traitement repose sur l'embolisation suivie d'une exérèse chirurgicale.

Causes inflammatoires

Causes générales

L'association avec une hypertension artérielle est classique mais non démontrée<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Fuchs FD, Moreira LB, Pires CP Modèle:Et al. « Absence of association between hypertension and epistaxis: a population-based study » Blood Press. 2003;12:145-148</ref>. En particulier, la survenue du saignement n'est pas corrélée avec le niveau moyen de la pression artérielle<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Knopfholz J, Lima-Junior E, Précoma-Neto D, Faria-Neto JR, « Association between epistaxis and hypertension: a one year follow-up after an index episode of nose bleeding in hypertensive patients » Int J Cardiol. 2008.</ref>. La présence de chiffres tensionnels élevés au décours immédiat de l'épistaxis peut être la conséquence de cette dernière et non sa cause.

La sécheresse (due, par exemple, à la chaleur des maisons pendant les mois d'hiver, les changements de température) est une circonstance favorisante classique<ref name="nejm2009"/>.

Diagnostic

Distinguer l'épistaxis bénigne de l'épistaxis grave

  • L'épistaxis bénigne est unilatérale, avec une extériorisation antérieure (par la narine uniquement), l'état général du patient est conservé (absence de signes de mauvaise tolérance), elle cède facilement après une compression digitale appropriée.
  • L'épistaxis grave est volontiers bilatérale, avec extériorisation antérieure et postérieure (dans la gorge, avec déglutition de caillots sanglants), altération de l'état général (pâleur, tachycardie, sueurs, asthénie, hypotension), ne cédant pas avec les mesures de compression. Elle nécessite l'hospitalisation pour prise en charge et bilan.

Faire un premier bilan par l'interrogatoire

Il convient de se renseigner sur l'âge du patient, le volume de sang perdu (en général surestimé), la durée de l'épisode, la présence d'antécédents d'épisodes similaires, leur traitement et l'efficacité de celui-ci.

Certains antécédents doivent être systématiquement recherchés comme une hypertension artérielle, une rhinite chronique ou allergique, une notion familiale d'épistaxis, un troubles de la coagulation, la prise d'un traitement affectant l'hémostase (c’est-à-dire altérant la coagulation sanguine), un traumatisme crânien, une chirurgie nasale récente, la présence d'un facteur de risque de cancer du cavum/hypopharynx : travailleurs du bois, du nickel, du chrome, du cuir.

Rechercher des signes de gravité

Certains signes, pouvant témoigner d'une mauvaise tolérance, doivent être systématiquement recherchés : pâleur, sueurs, pouls rapide (tachycardie), tension artérielle diminuée voire signes de choc, troubles de la conscience, terrain fragilisé (patient âgé, polypathologique), présence de troubles de la coagulation ou d'un traitement anticoagulant, échec des méthodes simples de traitement, pertes sanguines majeures, hypertension artérielle.

Le bilan para-clinique de première intention, réalisé face à une épistaxis grave, consiste en un hémogramme. Il peut montrer un taux d'hémoglobine diminué, signant une anémie (inférieure à Modèle:Unité) avec une hématocrite inférieure à 35 %, un taux de plaquettes bas (inférieures à 80 000/mm³).

Les critères de gravité majeure de l'épistaxis sont une perte sanguine plus de 1 à Modèle:Unité, un taux d'hémoglobine inférieur à Modèle:Unité, une hématocrite inférieure à 35 %, l'échec de l'hémostase par tamponnement.

Traitement

Fichier:BleedingNose.jpg
Compression manuelle d'une épistaxix

La prise en charge des épistaxis a fait l'objet de la publication de recommandations. Celles, américaines, datent de 2020<ref>Tunkel DE, Anne S, Payne SC et al. Clinical practice guidelines: nosebleed (epistaxis), Otolaryngol Head Neck Surg, 2020;162(suppl 1):S1-S38</ref>.

Dans tous les cas, il faut prendre en charge les facteurs favorisants : contrôler la tension artérielle, discuter, quand c'est possible, la diminution ou l'arrêt transitoire d'un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire.

Épistaxis bénigne

Il faut commencer par rassurer le patient et son entourage, ne pas s'affoler devant la quantité apparente de sang perdu, qui peut parfois être impressionnante (jusqu'à un volume équivalent à un verre, sans que cela soit grave).

Il faut faire asseoir la victime, éventuellement par terre s'il n'y a pas de chaise à proximité (la victime peut ressentir une sensation de faiblesse, notamment en raison de l'anxiété, courante dans ce contexte) et tenter de moucher le nez, des deux côtés, jusqu'à évacuation des caillots.

La compression des ailes du nez, fermement à l'aide du pouce et de l'index, et d'un mouchoir si possible, pendant 15 à 20 minutes<ref name ="Seikaly 2021"/>, en penchant la tête en avant (et non en arrière selon l'idée la plus répandue, afin d'éviter que le sang ne coule dans la gorge pour éviter un début de nausée), est, le plus souvent, efficace. Il convient de bien attendre dix minutes car c'est le temps que met le sang à coaguler ; si l'on relâche la compression avant, le saignement risque de reprendre, il faudra alors tout recommencer (mouchage et compression). Dans les rares cas où le saignement n'a pas cessé après 10 minutes, une consultation médicale urgente est requise. On pourra utilement contacter la régulation médicale pour savoir où se rendre (consultation à domicile, cabinet médical, maison de la médecine, urgences de l'hôpital) en fonction de la gravité et de l'affluence dans les établissements.

Traitement hospitalier

Il n'est nécessaire qu'en cas d'échec d'une compression digitale bien conduite.

Traitement local

Dans certains cas, l'administration d'un spray nasal vasoconstricteur (oxymetazoline par exemple) peut faire arrêter le saignement<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Krempl GA, Noorily AD, « Use of oxymetazoline in the management of epistaxis » Ann Otol Rhinol Laryngol. 1995;104:704-706</ref>. Ces traitements n'ont pas d'effet systémique et n'augmentent pas, en particulier, la pression artérielle<ref>Bellew SD, Johnson KL, Nichols MD, Kummer T, Effect of intranasal vasoconstrictors on blood pressure: a randomized, double-blind, placebo-controlled trial, J Emerg Med, 2018;55:455-464</ref> mais de rares accidents cardiaques ont été décrits<ref>Montastruc F, Montastruc G, Taudou M-J, Olivier-Abbal P, Montastruc J-L, Bondon-Guitton E, Acute coronary syndrome after nasal spray of oxymetazoline, Chest, 2014;146:e214-e215</ref>. L'intérêt de l'acide tranexamique est discuté, avec un niveau de preuve jugé comme faible<ref>Joseph J, Martinez-Devesa P, Bellorini J, Burton MJ, Tranexamic acid for patients with nasal haemorrhage (epistaxis), Cochrane Database Syst Rev, 2018;12:CD004328-CD004328</ref>.

En cas d'échec le traitement repose sur le Modèle:Citation. Ce dernier est contre-indiqué si l'épistaxis est causée par une fracture. Il est tenté dans des conditions strictes de réalisation :

  1. mouchage soigneux des fosses nasales afin d'en évacuer les caillots ;
  2. mise en place pour 10 minutes d'une compresse (Modèle:Citation) vendue en pharmacie.
  3. le tamponnement est laissé en place 48 heures en vérifiant régulièrement leur efficacité. La prescription d'antibiotiques est habituelle mais sa nécessité n'est pas démontrée<ref name="nejm2009"/>.

Il existe deux méthodes principales : le tamponnement antérieur (la mèche est introduite par la narine) et le tamponnement postérieur, de réalisation un peu plus délicate, plus inconfortables, avec plus de complications<ref>Viducich RA, Blanda MP, Gerson LW, Posterior epistaxis: clinical features and acute complications, Ann Emerg Med, 1995;25:592-596</ref>, et réservé à certaines situations (la mèche est introduite par l'arrière-gorge). L'ablation du tampon peut être une cause d'irritation, pouvant provoquer une récidive d'épistaxis, en règle générale peu importante. Il existe également des mèches, dites résorbables, se délitant spontanément au bout de quelques jours et ne nécessitant donc pas d'ablation. Elles sont plus confortables que les mèches traditionnelles<ref>Murray S, Mendez A, Hopkins A, El-Hakim H, Jeffery CC, Côté DWJ, Management of persistent epistaxis using Floseal Hemostatic Matrix vs. traditional nasal packing: a prospective randomized control trial, J Otolaryngol Head Neck Surg, 2018;47:3-3</ref>. Ces mèches peuvent être imprégnées d'un produit hémostatique.

Enfin, la cautérisation peut être proposée aux patients souffrant d'épistaxis bénigne à répétition, après avoir éliminé une cause grave. Elle consiste à provoquer la coagulation des vaisseaux de la tache vasculaire par électrocoagulation ou photocoagulation laser, éventuellement par application d'un cautérisant (nitrate d'argent). Elle est toujours faite que d'un seul côté au cours d'une séance (risque hypothétique de perforation de la cloison), et, idéalement, sous anesthésie locale<ref name ="Seikaly 2021"/>. La cautérisation chimique est moins efficace que l'électrique<ref>Mcleod RWJ, Price A, Williams RJ, Smith ME, Smith M, Owens D, Intranasal cautery for the management of adult epistaxis: systematic review, J Laryngol Otol, 2017;131:1056-1064</ref>.

Traitements régionaux

Ils sont discutés en cas d'échec des traitements locaux et consiste à obturer (emboliser) par différentes méthodes, la ou les artères responsables de l'épistaxis. On peut avoir recours à la radiologie interventionnelle avec embolisation par particules résorbables ou non d'une ou plusieurs artères au cours d'une artériographie<ref>Willems PWA, Farb RI, Agid R, Endovascular treatment of epistaxis, AJNR Am J Neuroradiol, 2009;30:1637-1645</ref>. Cette méthode n'est pas disponible dans tous les hôpitaux et requiert des médecins très entraînés. La chirurgie artérielle permet elle aussi de tarir le saignement en ligaturant l'artère incriminée. Elle est proposée lorsque la radiologie interventionnelle est impossible ou indisponible. La ligature de l'artère sphénopalatine est très efficace<ref>Kumar S, Shetty A, Rockey J, Nilssen E, Contemporary surgical treatment of epistaxis: what is the evidence for sphenopalatine artery ligation?, Clin Otolaryngol Allied Sci, 2003;28:360-363</ref>. La cautérisation de cette artère semble mieux marcher, avec un taux de complications comparable<ref>Kitamura T, Takenaka Y, Takeda K, et al. Sphenopalatine artery surgery for refractory idiopathic epistaxis: systematic review and meta-analysis, Laryngoscope, 2019;129:1731-1736</ref>.

La comparaison entre embolisation et ligature artérielle montre que les résultats sont équivalents, avec cependant une tendance à plus de complications avec l'embolisation<ref>de Bonnecaze G, Gallois Y, Bonneville F, Vergez S, Chaput B, Serrano E, Transnasal endoscopic sphenopalatine artery ligation compared with embolization for intractable epistaxis: a long-term analysis, Am J Rhinol Allergy, 2018;32:188-193</ref>.

Traitements généraux

Ils reposent sur les activateurs de la coagulation. Leur efficacité et leur utilité sont contestées, leur prescription demeure exceptionnelle.

Il n'existe pas de traitement médicamenteux pour prévenir efficacement les épistaxis récidivantes bénignes de l'enfant<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Burton MJ, Dorée CJ, « Interventions for recurrent idiopathic epistaxis (nosebleeds) in children » Cochrane Database Syst Rev. 2004;1:CD004461-CD004461</ref>.

Croyances et superstitions

En Asie et plus particulièrement au Japon<ref>Giard A, L'imaginaire érotique au Japon - parties 4 & 5</ref>, un saignement de nez qui survient sans raison chez un homme est associé souvent à une excitation sexuelle. Ainsi, dans de nombreux mangas par exemple, on peut trouver des scènes, souvent à but humoristique, où un personnage masculin se met subitement à saigner du nez après avoir vu un personnage féminin attirant, voire nu, dans une situation inattendue. Ces saignements de nez surviennent parfois aussi chez les personnages qui sont des filles ou des femmes, mais ces scènes ne sont pas forcément comprises par les lecteurs occidentaux, faute de savoir ce fait.

D'après Jordanès, le grand Attila serait mort ivre durant sa nuit de noces avec Ildico (Gudrun), à la suite d'une épistaxis<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Palette Coagulation sanguine Modèle:Portail