André Léo

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Victoire Léodile Béra, dite André Léo, née le Modèle:Date à Lusignan (Vienne) et morte le Modèle:Date à Saint-Maurice, est une romancière, journaliste militante féministe entre socialisme et anarchisme, française, membre de la Première Internationale.

Biographie

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André Léo en famille en 1856.

Victoire Léodile Béra naît de Thalie Belloteau et de Louis Zéphirin Béra à Lusignan, dans la maison sise au no 4 de la place où se trouve aujourd'hui la mairie. Elle y demeure jusqu’en 1830, quand sa famille part s'installer non loin de là, à Champagné-Saint-HilaireModèle:Refnec.

Elle grandit dans un milieu cultivé de la bourgeoisie éclairée. Son grand-père fut un révolutionnaire, fondateur en 1791 de la Société des amis de la Constitution. Son père, qui a été officier de marine, était notaire à Lusignan et devient ensuite juge de paix<ref name="huma 200110826 p20">L'Humanité, 26 août 2011, Modèle:P.20.</ref>.

Après le coup d'État de Napoléon III du Modèle:Date-, elle rejoint son fiancé, le journaliste Grégoire Champseix, intellectuel progressiste disciple de Pierre Leroux, rédacteur de La Revue sociale condamné à plusieurs mois de prison en 1849. Ils se retrouvent en Suisse où il réside depuis le printemps de 1849. Ils s'y installent et s'y marient<ref name=":0">Modèle:Ouvrage</ref> le Modèle:Date- de la même année à Assens, dans la région de Lausanne, le père de Léodile ayant donné son consentement auparavant. Ils ont deux enfants de leur union nés le Modèle:Date-. Mais Grégoire meurt en 1863 laissant Léodile seule pour élever ses enfants.

Engagement social et féministe

Fichier:Lusignan (Vienne) 020.jpg
Plaque commémorative à Lusignan.

C'est depuis la Suisse que Léodile Béra publie son premier roman, écrit dans la Vienne, Une vieille fille, en 1859, bien que cette première édition Bruxelloise soit noté à tort 1851<ref>Bibliographie d’André Léo sous la direction de Cecilia Beach pdf</ref>. Ce premier roman est signé Léo, contraction de son prénom Léodile, et sera suivi de nombreux autres qui vont lui assurer une réelle notoriété dans le monde des lettres. Elle prend plus tard le pseudonyme d’André Léo<ref name=":0" />, qui reprend son précédent pseudonyme mais aussi les prénoms de ses deux fils jumeaux<ref name=Dictionnaire>Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social : notice biographique.</ref> et vit de sa plume comme romancière et journaliste.

Dans la revue La Coopération, elle publie en 1867 des reportages sur le travail et plaide et milite également pour la création d'associations ouvrièresModèle:Refnec.

Revenue à Paris en 1860, elle s’engage avec les républicains, milite avec la féministe Paule Minck et l'anarchiste Louise Michel<ref name=":0" />. Elle adhère à l'Association Internationale des Travailleurs fondée à Londres en Modèle:Date-. En Modèle:Date-, elle crée l'« Association pour l'amélioration de l'enseignement des femmes » et en Modèle:Date-, elle publie un texte défendant l'égalité des sexes qui est à l'origine de la première vague féministe en France<ref name=":0" />,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Très liée à Noémie Reclus et aux frères Élie et Élisée Reclus<ref>Jean-Paul Bord, Raffaele Cattedra, Ronald Creagh, Jean-Marie Miossec, Georges Roques, Élisée Reclus - Paul Vidal de la Blache, le géographe, la cité et le monde, hier et aujourd'hui, Paris, L'Harmattan, 2009, lire en ligne.</ref>, c'est chez elle, en 1869, qu'est créée la « Société (mixte) de revendication des droits de la femme »<ref name="Dictionnaire" />. Marie La Cécilia est la secrétaire de cette société<ref name=":02">Modèle:Lien web</ref> et les deux femmes resteront amies longtemps<ref name=":3">Modèle:Lien web</ref>. Avec Noémie, Léo projette la création d'une école primaire laïque de jeunes filles<ref name=biographique>L'Éphéméride anarchiste : notice biographique.</ref> pour laquelle La Cécilia serait professeur de comptabilité<ref name=":3" /> mais la guerre de 1870 contrarie ce plan<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref>.

Communarde

Fichier:AndreLeoPortrait3.jpg
André Léo dans les années 1860.

Pendant la guerre avec la Prusse, elle milite au sein du comité de vigilance de Montmartre et, le Modèle:Date-, elle est arrêtée avec Louise Michel lors d'une manifestation réprimée par l'armée.

Elle fonde le journal La République des travailleurs et participe à la Commune de Paris. Membre du Comité des citoyennes du Modèle:17e, elle collabore alors à l'Union des femmes pour la défense de Paris et les soins aux blessés.

Outre ses éditoriaux dans La Sociale<ref name=":0" />, elle publie à 100 000 exemplaires un appel « Au travailleuModèle:Refnecr des campagnes ». « Cette préoccupation – nouer le dialogue entre le prolétariat urbain et les travailleurs ruraux, déjouer le discours antiparisien de Thiers – est l’une des thématiques dominantes des textes d’André Léo durant l’insurrection. On la retrouve notamment dans « Appel aux consciences » (La Commune du Modèle:Date- et La Sociale du 23) et bien sûr dans « Le socialisme aux paysans », qui présente, dans La Sociale du Modèle:Date-, l’« Appel aux travailleurs des campagnes » (signé « Les travailleurs de Paris » mais attribué à André Léo) que la Commune tente de diffuser par ballon en province. »<ref name="journaliste">Charlotte Cosset et Gilles Malandain, « André Léo journaliste. Engagement et témoignage (1866-1871) », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique, 132, 2016, en ligne</ref> Modèle:Citation bloc

Dans les débats de la Commune, elle est favorable à la lutte armée contre les Versaillais, mais quand la Commune décide de supprimer les journaux d'opposition, elle demande le respect sans condition de la démocratie : Modèle:Citation bloc

« La mise à l’écart des femmes, ou leur insuffisante intégration dans la lutte insurrectionnelle, est pour André Léo l’une des clés principales de son échec inexorable »<ref name="journaliste"/>. Parvenue à échapper à la répression de la Semaine sanglante en se cachant chez son amie Lucienne Prins<ref name=":2">Modèle:Ouvrage</ref>, elle s'exile en Suisse<ref name=":0" />, où elle vit avec le syndicaliste Benoît Malon, rencontré avant la commune. Les deux contractant un « mariage libre » en 1872 mais elle rompt en 1878<ref name="Dictionnaire" /> et se fixe à Formia, en Italie.

En 1871, elle publie à Neuchâtel, La Guerre sociale, où elle raconte l’histoire de la Commune, texte du discours qu’elle prononce au Modèle:5e de la Ligue de la Paix et de la liberté à Lausanne en Modèle:Date-<ref name=":0" />. Elle adhère à l'Alliance internationale de la démocratie socialiste fondée par Bakounine<ref name="Dictionnaire" />. Elle collabore au journal La Révolution sociale dans lequel, anarchiste<ref>Maurice Ulrich, « Léodile Bera (dite André Léo). Écrire, combattre, être femme », L'Humanité, 26 août 2011, texte intégral.</ref>, elle se livre à de vigoureuses attaques contre Karl Marx<ref name="Dictionnaire" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>, jugé autoritaire, et s'inquiète de l'influence politique grandissante qu'il gagnait dans l'Association internationale des travailleurs<ref name="biographique" /> dont elle était également adhérente.

Elle prend une part éminente dans la publication de la revue Le Socialisme progressif.

Voyageant en Europe, elle se consacre à l'étude de la condition féminine de son temps.

Dernières années

André Léo rentre en France après l'amnistie de 1880 et collabore épisodiquement à la presse socialiste.

En 1899, Coupons le câble est sa dernière œuvre<ref name=":0" />, elle y plaide la séparation entre l’Église et l’État, six ans avant la loi de 1905.

Elle meurt le Modèle:Date- à Saint-Maurice<ref>https://data.bnf.fr/fr/12183784/andre_leo/</ref> ; elle est incinérée au crématorium du cimetière du Père-Lachaise, puis ses cendres sont transférées au cimetière d'Auteuil où elle repose depuis près du père de ses enfants.

Par testament, elle lègue une petite rente à la première commune de France qui voudra tenter une expérience collectiviste<ref name="biographique" />.

Œuvre

Modèle:Section à sourcer Elle laisse une œuvre considérable : de nombreux romans, contes et essais, des dizaines d’articles et textes politiques. Ses écrits expriment maintes idées qui gardent toute leur actualité. Sa vie riche et généreuse reste sous bien des aspects mystérieuse et, après avoir été longtemps méconnue, elle suscite de plus en plus d'intérêt chez les historiens.

Elle ne sépare pas l'écriture romanesque et l'engagement ; elle lutte ainsi par le moyen de la fiction en faveur de l'égalité de l'homme et de la femme. Son roman Un mariage scandaleux, notamment, est une critique du caractère inégalitaire du mariage<ref>Modèle:Article</ref>.

Citations

Modèle:Citation bloc Modèle:Citation bloc

Liste des œuvres

  • Une vieille fille, Bruxelles, Alphonse Lebegue, 1859 (année erronée sur la couverture 1851)
    • {{#invoke:Biblio | ouvrage

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  • Attendre-Espérer, Paris, L. Hachette, 1868
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  • La Femme et les Mœurs : monarchie ou liberté, à compte d’auteur, 1869
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    • La Femme et les mœurs, Le Lérot éditeur, Tusson, 1990
  • Un mariage scandaleux, Paris, Hachette éd., 1862 (Modèle:2e éd., 1863, A. Faure éd. ; Modèle:3e éd., 1866, A. Faure éd. ; Modèle:4e éd., 1883, C. Marpon et E. Flammarion éd.)
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    • Un mariage scandaleux, Association des publications chauvinoises, nouvelle édition 2000
  • Un divorce, Paris, bureaux du « Siècle », 1862 (Modèle:2e éd., 1866, Librairie Internationale, A. Lacroix, Verboeckhoven & C. éd. ; Modèle:3e éd., 1869, ibid.)
    • {{#invoke:Biblio | ouvrage

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  • Les Deux Filles de Monsieur Plichon, Paris, A. Faure éd., 1865 (Modèle:3e éd., 1868, L. Hachette éd.)
    • {{#invoke:Biblio | ouvrage

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  • Jacques Galéron, Paris, A. Faure éd. (Modèle:2e éd., 1865, ibid. ; Modèle:3e éd. 1868, bureaux de « La Coopération »)
    • {{#invoke:Biblio | ouvrage

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  • L’Idéal au village, Paris, Hachette et Cie, 1867 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8630417j%7C{{ #if: bpt6k8630417j |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}
  • Aline-Ali, Paris, Librairie Internationale, A. Lacroix Verboeckhoven & C. éd., 1869 (Modèle:3e éd., 1869, ibid.), réédition présentée et annotée par Cecilia Beach, Caroline Granier et Alice Primi, Publications Chauvinoises, 2011.
    • Aline Ali, présenté et annoté par Cecilia Beach, Caroline Granier, Alice Primi, Association des publications chauvinoises, 2011
  • La Guerre sociale, Neuchâtel, Imprimerie G. Guillaume Fils,1871
  • Le Père Brafort. Initialement publié dans Le Siècle en 1872. Réédité aux Presses Universitaires de Rennes. Collection Textes Rares. Introduction et notes d'Alice Primi et Jean-Pierre Bonnet. 2019.
  • Légendes corréziennes, Hachette, 1870 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148//bpt6k86306837%7C{{ #if: /bpt6k86306837 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}
    • Légendes corréziennes, La Découvrance éditions, La Rochelle, 2006 ; nouvelle édition, PyréMonde (éd. des Régionalismes), 2012
  • La Commune de Malenpis, Librairie de la bibliothèque démocratique, 1874
    • La Commune de Malenpis, dans l’anthologie Demain, la Commune !, éditions Publie.net, 2021
    • La Commune de Malenpis, édition et présentation par Alice de Charentenay, éditions Le Temps des Cerises, 2022 Modèle:ISBN.
  • La Grande Illusion des petits bourgeois, Paris, bureaux du « Siècle », 1876.
  • Marianne, Paris, bureaux du « Siècle », 1877, réédité (Modèle:2e 2006) par l’Association des publications chauvinoises (Chauvigny)
    • {{#invoke:Biblio | ouvrage

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| 

}})

    • Marianne, Association des publications chauvinoises ; nouvelle édition 2006
  • Grazia, Paris, bureaux du « Siècle »
  • L’Épouse du bandit, Paris, bureaux du « Siècle », 1880
  • L’Enfant des Rudère, Paris, bureaux du « Siècle », 1881 (Modèle:2e éd., s.d., S.é. Monillot)
  • Les Enfants de France, Poitiers, 1890
  • La Justice des choses, Poitiers, P. Blanchier, 2 vol., 1891 (Modèle:2e éd., 1893, ibid.), Modèle:1re : Une maman qui ne punit pas ; Modèle:2e : Les aventures d’Edouard
  • Le Petit Moi, Paris, M. Dreyfous éd., 1892
  • En chemin de fer. Aux habitants des campagnes, Nancy, impr. Nancéienne, 1898
  • La Famille Audroit et l’éducation nouvelle, Paris, E. Duruy, 1899
  • Coupons le câble, Fischbacher, 1899
    • Coupons le câble, préface et notes d'Alice Primi, Éditions Dittmar, 2012
  • Le Père Brafort, feuilleton paru en russe dans la revue Besieda, Moscou, Modèle:N°, Modèle:N°, Modèle:N°, janvier-décembre 1872 puis dans Le Siècle, 26 novembre 1872-8 février 1873, puis dans le Musée littéraire, 1ère série, tome 45, p. 211-336, Bureau du Siècle, 1875.

Hommage

En 2021, la ville de Paris rend hommage à André Léo en donnant son nom à la passerelle traversant le jardin de Reuilly dans le [[12e arrondissement de Paris|Modèle:12e de Paris]]<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Notes et références

Sources

Modèle:Section à wikifier

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XXI|-| – | XXI }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle

}}]], Paris, Presses universitaires de France, 2017, Modèle:ISBN, Modèle:Lire en ligne.

Notes

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

Ouvrages

  • Modèle:Ouvrage.
  • Alain Dalotel, André Léo, La Junon de la Commune, Associations des Publications Chauvinoises, 2004.
  • Cecilia Beach, « Liberté, Égalité, Sororité: André Léo’s Marianne », Women in French Conference, Claremont, CA in April 2004.
  • Modèle:Article.
  • Antje Schrupp, Nicht Marxistin und auch nicht Anarchistin. Frauen in der ersten Internationale, Ulrike Helmer Verlag, 1999.
  • Roger Picard, Femmes célèbres du Poitou et des Charentes, Martelle Éditions, 1998.
  • Françoise Tarrade, "André Léo. Une femme entre deux luttes, socialisme et féminisme". éd.Ressouvenances, 2020.

Articles

Article connexe

Liens externes

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