Arzacq-Arraziguet

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Arzacq-Arraziguet (en gascon Arzac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Encadré texte

La commune d'Arzacq-Arraziguet se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine<ref name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité d'Artix<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta/>. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie d'Arzacq-Arraziguet<ref name=meta/>

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Vignes (Modèle:Unité), Poursiugues-Boucoue (Modèle:Unité), Méracq (Modèle:Unité), Poursiugues-Boucoue (Modèle:Unité), Coublucq (Modèle:Unité), Philondenx (Modèle:Unité), Cabidos (Modèle:Unité), Mialos (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Arzacq-Arraziguet fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Accès

La commune est desservie par les routes départementales D 944 et D 946 ainsi que par les D 32 et D 264.

Deux lignes de bus la relient à Pau (Citram et Marette)<ref>Page transports sur le site de la commune</ref>.

Lieux-dits et hameaux

Modèle:Colonnes

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Arzacq-Arraziguet.

La commune est drainée par le Luy, le Louts, le ruisseau l'arblech, un bras du Luy de France, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.

Le Luy, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Le Louts, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Thèze et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Téthieu, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 6,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pomps », sur la commune de Pomps, mise en service en 1974<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Arzacq-Arraziguet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), prairies (31,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (3,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Arzacq-Arraziguet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Louts et le Luy. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2008 et 2009<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:64063-Arzacq-Arraziguet-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arzacq-Arraziguet.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 67,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risque technologique

La commune est en outre située en aval de barrages de classe AModèle:Note. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

Le toponyme Arraziguet apparaît sous la forme altérée Raviguet (1793 ou an II<ref name="Cassini2">Modèle:Cassini-Ehess.</ref>) et n’est pas mentionné sur la carte de Cassini (fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Grosclaude">Modèle:Dictionnaire toponymique des communes du Béarn</ref>). Michel Grosclaude<ref name="Grosclaude"/> indique que l’origine du toponyme est arrasic (« racine » en gascon), augmenté du suffixe collectif -etum, ce qui donne « amas de racines, souches ».

Le toponyme Arzacq apparaît sous les formes Arsac (1385<ref name="Grosclaude"/>, censier de Béarn<ref name="censier">Modèle:Censier de Béarn</ref>), Lo marcat d'Arsac (1542<ref name="Raymond">Modèle:Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées</ref>, réformation de Béarn<ref name="Réformation de Béarn">Modèle:Réformation de Béarn</ref>), marché auquel on venait de la Soule et le Basse-Navarre, Arzac (1620<ref name="Grosclaude"/>, relation du voyage de Louis XIII à Pau) et Arzac sur la carte de Cassini (fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Grosclaude"/>).

Son nom, gascon, est écrit Arsac<ref>Modèle:Lien web.</ref> ou Arzac<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'hypothèse d'un ancien propriétaire gallo-romain *Arsius<ref name="Mairie histoire">Page histoire du site de la mairie</ref>,<ref name="Grosclaude"/> (dans un terroir alors aquitanien) ne tient pas. Arzac s'explique comme la contraction d'un *arrazac de même sens qu'Arraziguet (http://www.gasconha.com Arzacq-Arraziguet).

Cherre désignait un hameau d’Arzacq, mentionné par le dictionnaire de 1863<ref name="Raymond"/>.
Le toponyme Vialé apparaît sous la forme Le Vialé (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>).

Histoire

Arzacq est une bastide à la limite de la Chalosse. Ancien évêché de Lescar mais Généralité d'Auch. Sa trève Vignes (Binhes) était en Béarn. Arzacq a été pénétré d'influences venues de la plaine béarnaises (architecture du XVIIIe s.).

Les 14 et 15 octobre 1620, Louis XIII fit étape à Arzacq en se rendant à Pau. Les deux jurats de la ville étaient alors Pierre Dubern et Dominique de Meylon. En 1790, le canton d'Arzacq comptait les mêmes communes qu'aujourd'hui à l'exception du village de Riumayou, mais avec la commune de Momas.

Arraziguet s'est unie à Arzacq le 7 septembre 1845<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

En 1922, après la Première Guerre mondiale, Arzacq-Arraziguet parraine la reconstruction du village de Violaines dans le Pas-de-Calais. La commune s'engage, lors du conseil municipal du 24 juin 1922, à prendre à son compte le remboursement d'un emprunt de 100 000 francs sur 30 ans<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu actuel Modèle:Élu

Modèle:ÉluFin

Intercommunalité

Arzacq-Arraziguet appartient à trois structures intercommunales<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

Arzacq-Arraziguet est le siège de la communauté de communes du canton d'Arzacq.

Jumelages

Au 3 septembre 2019, Arzacq-Arraziguet est jumelée avec<ref name="JUMEL">

 Modèle:Lien web.</ref> :

Population et société

Démographie

Le nom des habitants est Arzaqués, francisé Arzacquois<ref>Gentilé sur habitants.fr</ref>,<ref name="Jobbé">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Modèle:Population de France/section De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arzacq, encore séparé d’Arraziguet, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous<ref name="Cassini2"/>.

Modèle:Tableau population

Enseignement

La commune dispose d'une école élémentaire<ref>Site de l'école élémentaire</ref> et d'un collège<ref>Site du collège d'Arzacq</ref>.

Arzacq possède également une maison de la formation et un relais assistance maternelle.

Sports

Économie

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine civil

La période gallo-romaine<ref name="Mérimée"/> de la commune fait l'objet d'une description par le ministère de la Culture.

La commune possède un ensemble fortifié, nommé motte la Tourette<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, dont la construction s'est étendue du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et qui comprend une église, une basse-cour, une motte, un fossé et une enceinte.

Des fermes d'Arzacq-Arraziguet (lieux-dits Castetber<ref name="Castetber">Modèle:Base Mérimée.</ref>, Gibardéou<ref name="Gibardéou">Modèle:Base Mérimée.</ref>, Cruhot<ref name="Cruhot">Modèle:Base Mérimée.</ref>, Salles<ref name="Salles">Modèle:Base Mérimée.</ref>, Tristan<ref name="Tristan">Modèle:Base Mérimée.</ref>) datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

De même un lavoir<ref name="Labère">Modèle:Base Mérimée.</ref> fut construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle près du lieu-dit Labère.

Des maisons de maître, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sont également recensées par le ministère de la Culture telles que celles de la place du Marcadieu (maison Mimbielle<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> des {{#switch: e

 | e | er | = 
   {{#switch: e
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXX

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}} et une maison<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la poste<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), des maisons de la place de la République<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> datant pour l'une des Modèle:S mini-, Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècles et d'autres<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> du {{#switch: e

 | e | er | = 
   {{#switch: e
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXIX

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, la maison presbytère<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). Il faut également noter l'actuelle boucherie<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> de la place de la République qui date des Modèle:S mini-, Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècles. Sur cette même place se dresse un manoir<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> qui tient ses origines du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et qui a été remanié durant les siècles suivants, servant aujourd'hui de café.

Enfin un monument aux morts<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> de la guerre de 1914-1918 est également recensé par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel) sur cette même place.

La mairie possède un tableau<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> de Paul Mirat représentant l'arrivée de Louis XIII à Arzacq le 14 octobre 1620.

Un musée du jambon se trouve à Arzacq, et retrace l'histoire du jambon de Bayonne.

Les arènes dédiées aux courses vasconnes ou courses de vaches "landaises" ont été rebâties.

Patrimoine religieux

L'église Saint-Pierre<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle recèle des sculptures<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, divers mobiliers<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> et vingt-trois verrières<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> d'Émile Thibaud, recensés par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel).

Arzacq-Arraziguet est une étape sur la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins contemporains du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle. À ce titre, le blason de la ville s'orne de trois coquilles.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blasonnement

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail