Association des sports de glace de Tours
Modèle:Infobox Équipe de hockey sur glace
L'Association des Sports de Glace de Tours (ASGT) est un club français de hockey sur glace, champion de France en 1980 et disparu en 2010. L'équipe porta le surnom de Mammouths de Tours (nommage de l'hypermarché Mammouth appartenant au groupe Docks de France dont le siège social était Tours), puis celui des Diables noirs de Tours.
Historique
1972-1980, de la fondation au titre
Le club est créé en juin 1972 en vue de l'ouverture de la patinoire au mois de septembre. 47 Jeunes s'inscrivent au Hockey sur Glace<ref name ="asgt2">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Après une participation en Coupe d'Armor, l'équipe débute en championnat de France Nationale C lors de la saison 1973-74. Grâce au travail de son entraineur Patrick Sawyerr, elle est championne de Nationale C dès sa seconde saison en remportant également la Coupe de France<ref name="asgt.fr">Historique sur asgt.fr</ref>.
En 1975-76, Jean-Claude Sozzi, gardien de l'équipe de France arrive à Tours. Le club finit champion de Nationale B (donc pour sa première saison à ce niveau) mais échoue en barrage pour l'accession en Nationale A, (face à Briançon et Lyon)<ref name="asgt.fr"/>.
En 76-77, c'est l'arrivée du canadien Jean Lussier. Accompagnant un nouveau titre de Nationale B, l'équipe réussit ses barrages et se qualifie en Nationale A. Elle atteint également la Finale de la coupe de France (défaite 4-5 face à Villard-de-Lans)<ref name="asgt.fr"/>.
Pour sa première saison en élite (1977-1978), Tours recrute 2 internationaux, Guy Galiay (ex-Grenoble) et Pascal Delmonaco (ex-Briançon) et confie le poste d'entraineur à Michel Lussier, frère de Jean. Les débuts en élite sont difficiles mais l'équipe gagnant en cohésion finit par atteindre la troisième place<ref>Saison 1977-1978 sur hockeyarchives</ref>. Elle gagne également la Coupe de France face à Croix (6 à 4 a.p.)<ref>Tours - Croix (29 avril 1978) sur hockeyarchives</ref>.
1978-1979 : Nouveau début de saison laborieux, l'ASGT finit Modèle:5e de la première phase. En poule finale, le titre se joue entre Chamonix, Tours et St-Gervais. Mais lors de la dernière journée, où le match entre Chamonix et St-Gervais est capital pour l'attribution du titre (le nul sacrant Tours), les chamoniards réussissent à l'emporter 4 à 3 en marquant à 1 min 40 s de la fin. L'ASGT finit vice-champion de France<ref>La saison 1978-1979 sur hockeyarchives</ref>.
1979-1980, voit la consécration pour le club, qui remporte le titre de champion de France, sous la direction d'Adolf Sprincl. Premier club professionnel et premier club de plaine à remporter le sacre<ref>La saison 1979-1980 sur hockeyarchives</ref>, Tours, misant également sur un recrutement de joueur franco-canadien, ne fait pas l'unanimité au sein du hockey français, et héritera vite d'une image de club de "mercenaires".
Les champions de France 1980
Cette section présente l'effectif de l'équipe de Tours qui remporte le championnat de France de 1980<ref name=photo>Modèle:Lien web. </ref>.
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1980-1991 : Parcours en élite
Après ce titre, entraîné par Richard Jamieson, Tours continue à faire partie des favoris et est vice-champion en 1981<ref>Championnat de France 1980/81 sur hockeyarchives</ref> et 1982 tout en étant le club qui a attire le plus de spectateurs dans sa patinoire<ref>Championnat de France 1981/82 sur hockeyarchives</ref>.
La domination s'achève en Saison 1982-1983<ref>Championnat de France 1982/83 sur hockeyarchives</ref>, où l'équipe tourangelle finit à la Modèle:8e, malgré l'arrivée du joueur de Ligue nationale de hockey Pat Daley. Le retour de Patrick Sawyerr comme entraîneur<ref name="histooff">Historique du club sur le site officiel</ref> ne change rien et Tours finit la saison suivante avec une Modèle:9e<ref>Championnat de France 1983/84 sur hockeyarchives</ref>.
L'ASGT, qui sauve sa place en élite par deux fois en poule de relégation, est finalement condamné à la descente en 1985-1986<ref>Championnat de France 1985/86 sur hockeyarchives</ref> quand la nationale A est réduite à dix clubs. Dès la saison 1986-1987, Tours termine le championnat Nationale 1B invaincu et remonte directement en Nationale 1A<ref>Championnat de France 1986/87 sur hockeyarchives</ref>.
En 1989-1990 arrive un nouvel joueur/entraineur : Robert Millette<ref name="histooff" />. les résultats s'améliorent avec une Modèle:6e et Tours participe à la création en 1990 de la Ligue Nationale, ligue « professionnelle » fermée, à gestion autonome, dont les clubs sont censés accéder sur dossier<ref>Championnat de France 1990/91 sur hockeyarchives</ref>. Mais cette ligue ne dure qu'une saison, la plupart des clubs ont des soucis financiers<ref>Championnat de France 1991/92 sur hockeyarchives</ref>. Tours ne fait exception, le club creuse son déficit avec un canadien recruté en trop<ref name ="Branchu140">Marc Branchu, Histoire du hockey sur glace en France, ed. Alan Sutton, 2007, Modèle:P.</ref>, et comptant sur des revenus de sponsoring qui ne viendront pas<ref name ="Branchu139">Marc Branchu, Histoire du hockey sur glace en France, ed. Alan Sutton, 2007, Modèle:P.</ref>. Tours atteint les quarts de finale mais coule financièrement à la fin de cette saison et repart au plus bas niveau, en Division 3.
1992-2001 : La remontée
L'équipe tourangelle redémarre en 1991-1992 en Division 3, dans la zone Île-de-France, avec Martin Bouliane comme nouvel entraineur. L'année suivante, Tours finit vice-champion de cette division et remonte en Division 2<ref>Championnat de France 1992/93 sur hockeyarchives</ref>.
Après une Modèle:22e la première année, Tours se rapproche du haut de tableau mais reste tout de même 5 saisons dans cette division, changeant d'entraineur chaque année : Vladimir Kovine, Christer Eriksson, Sébastien Hache puis Normand Roy se succèdent à la tête de l'équipe<ref name="histooff" />. C'est en 1997-1998, grâce à ce dernier que les tourangeaux finissent second de Division 2 et accèdent à la nationale 1B<ref>Championnat de France 1997/98 sur hockeyarchives</ref>.
C'est Marc Leroux qui devient l'entraineur pour 3 saisons où l'ASGT, bien qu'atterrissant toujours en poule de maintien, progresse chaque année : dernier en 1998-1999, puis Modèle:13e en 1999-2000 puis Modèle:11e en 2000-2001<ref>Classement français de 1998/99 à 2008/09 sur hockeyarchives</ref>.
Entretemps, les Mammouths changent de nom et deviennent les Diables Noirs de Tours en 1999.
2001-2009 : L'ère Millette
2001-2005
En 2001, nouvel entraineur : Robert « Bob » Millette, ancien entraineur-joueur de 1988 à 1991 revient en Touraine. Dès cette première saison à la tête du club, il réalise un recrutement international, qui fait débat<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Le Chamboulement de la ligue élite pour 2002-2003, qui est restructurée en 2 poules regroupant chacune 8 équipes, permet à Tours, Modèle:3e de D1 la saison précédente, de faire son retour en élite française<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Bien que « promu », les diables ne font pas que de la figuration : L'ASGT finit Modèle:5e de la poule Nord (manquant ainsi d'une place la qualification en poule magnus), à égalité de point avec Dijon<ref>Résultats du Super 16 2002-2003 sur hockeyarchives</ref>. En poule de maintien (dite poule nationale), Tours prouve que sa place est bien au sein de l'élite, en remportant cette poule sans concéder la moindre défaite, ni le moindre match nul.
En 2003-2004, comme lors des 2 précédentes saisons, la patinoire de Tours est déficiente et perturbe la préparation<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref> et comme les années précédentes, les départs et les arrivées sont nombreuses<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Une défaite en Normandie contre Rouen en prolongation<ref>2003-10-11-Rouen-Tours</ref> et une victoire à domicile à l'arraché (5-4)<ref>Compte-rendu du match de hockey sur glace Tours - Rouen (29 novembre 2003)</ref> permettent à Tours de finir à égalité de point avec les dragons mais devant au classement. L'ASGT accède ainsi aux play-offs, dès sa deuxième saison en élite. Les diables noirs finissent derniers de la poule Magnus (poule de classement) avec seulement 3 victoires en 14 matchs. Ils doivent donc affronter les Brûleurs de loups de Grenoble, arrivés premier, en quart de finale. La différence de niveau est trop grande et Tours s’incline en 3 matchs secs<ref>Résultats de la saison sur hockeyarchives</ref>.
Saison après saison, l'ASGT progresse dans la hiérarchie française et vise en 2004-2005 une nouvelle participation aux play-offs, dans ce championnat élite qui s'appelle désormais Ligue Magnus.
Avec leur nouveau gardien Ramon Sopko, ainsi que les deux Québécois Jonathan Roy et Éric Perricone<ref>Modèle:Lien web</ref>, les diables noirs changent de statut et après avoir atteint la tête du classement au mois d'octobre<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref> l'équipe finit la saison régulière à la deuxième place, à égalité de point avec Rouen et Grenoble et juste devant Mulhouse<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
En play-offs, l'ASGT élimine successivement les Ducs d'Angers (3 matchs à 1) puis les Brûleurs de loups de Grenoble (3 matchs à 2) et arrive en finale. Elle se joue en match aller-retour et face aux Scorpions de Mulhouse, équipe impressionnante comptant même un joueur de LNH, Steven Reinprecht dans ses rangs. Les noirs, épuisés après leur série difficile en 5 matchs contre Grenoble<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>, ne font pas le poids : une première défaite 6-2 en Alsace<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>, suivi d'une deuxième 3-0<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref> à domicile, laisse le club à la seconde marche du championnat national, résultat inespéré en début de saison<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>. Mais ce résultat est vite terni à l'intersaison : en effet, on apprend en juin<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref> que les clubs de Tours et Mulhouse ne sont pas validés en ligue Magnus pour la saison suivante, à cause d'un passif financier trop important et pour non-respect des conditions budgétaires d'engagement de la saison écoulée. À la suite de cette décision, le bureau du club démissionne et l'ASGT est rétrogradée dans la première division où une place est disponible, et atterrit en Division 2<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
2005-2010
Bob Millette reste entraineur mais le bureau dirigeant est remplacé et c'est Rémi Delmas qui devient président du club. Rétrogradé, celui-ci veut remonter au plus tôt dans la hiérarchie française et prouver que c'est là que se trouve sa vraie place. L'objectif annoncé est la remontée en 2 ans en élite<ref name="2005-10-division2.htm">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Niveau recrutement, on s'appuie également largement sur un effectif de ligue Magnus (retour d'anciens joueurs comme Vladimir Sabol), qui entraîne encore des débats sur ces « mercenaires » étrangers qui ne laissent pas de place aux juniors de la région<ref name="2005-10-division2.htm" />. Favori, les diables remportent la première partie de leur pari, en remportant le titre de Division 2 2005-2006, avec une nette domination : 22 matchs, 20 victoires, 2 nuls, aucune défaite<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Le titre de champion division 2 en poche, et la dette de 2005 annoncé comme quasiment remboursée, l'objectif du club est ambitieux, mais pas hors de sa portée : remporter la Division 1 et retrouver la ligue Magnus dès la saison prochaine<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Objectif réussit encore une fois sans discussion possible : En poule finale, le club remporte : 12 victoires et 2 nuls<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref> en 14 journées. La division 1 se disputant alors sans série éliminatoire, le titre de champion est acquis dès le Modèle:11e, contre Gap<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>, pourtant principal rival<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Le club tourangeau revient donc en Ligue Magnus pour la saison 2007-2008 et poursuit sa lancée en avant avec une Modèle:7e et passant un tour en séries<ref>Bilan de la saison 2007-2008, sur hockeyarchives</ref>.
En 2008-2009, l'équipe est largement recomposée de joueurs d'origine canadienne<ref>Tours, plus Canada que Dry Présentation des clubs de Ligue Magnus 2008/09 : Tours</ref>. Mais pour la première fois depuis longtemps, les résultats sont décevants et la saison sportive finit sur une Modèle:10e et une élimination directe en play-offs<ref>Bilan de la Ligue Magnus de hockey sur glace 2008/09</ref>. Mais c'est également du côté financier que les nouvelles sont inquiétantes : Dès le mois de novembre, l'entraineur Bob Millette évoque une dette de 100 000€<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cette dette se confirme en fin de saison<ref>Le club tourangeau entre galères et joies, 24/06/2009, La Nouvelle République</ref> et la fédération ne valide pas le dossier de Tours pour la saison 2009-2010<ref>Fédération française, actualités</ref>, qui risque de descendre en Division 3<ref>Pas de cadeau pour l'ASGT , 08/08/2009, La Nouvelle République</ref>.
Finalement après un appel, puis une demande d'avis au CNOSF, Tours est validé en Division 2<ref>Communiqué : Tours, de la Ligue Magnus à la D2, pour 2 saisons au moins</ref>, sans possibilité de participer aux play-offs, la première année. La saison se déroulant avec succès<ref>Championnat de France 2009/10 : division 2 sur hockeyarchives</ref>, le club fait un nouveau recours juridique pour participer aux phases finales et obtient gain de cause<ref>Communiqué FFHG : Club de Tours, FFHG, 01/03/2010.</ref>. Les diables sont cependant éliminées par Toulouse en Quarts de finale<ref>Tours - Toulouse (Division 2, 1/4 de finale retour), hockeyarchives, Nicolas Leborgne, 29 mars 2010</ref>.
À l'aube de la saison 2010-2011, lors de l'AG du club, une nouvelle équipe prend les rênes du club pour un petit mois seulement et ne peut que constater un déficit de Modèle:Unité portant la dette du club à Modèle:Unité. Devant ce constat les nouveaux dirigeants ne peuvent que déposer le bilan. La liquidation judiciaire est prononcée par le tribunal de grande instance de Tours dans la matinée du 17/07/2010<ref>Tours met la clé sous la porte, lanouvellerepublique.fr, 10/06/2010.</ref>.
Palmarès
Titres collectifs
- Championnat de France (1)
- Coupe de France (2)
- Championnat de France Division 1 (4)
- Champion : 1976, 1977, 1987, 2007
- Championnat de France Division 2 (2)
- Champion : 1975, 2006
- Vice-champion : 1974, 1998
Trophées individuels
- Meilleur pointeur 1989-90 (trophée Charles-Ramsay) : Jean-François Sauvé (né le Modèle:Date, à Sainte-Geneviève, Canada), avec 43 buts et 62 assistances en 35 matchs (105 points).
- Meilleur gardien 1982-1983 (trophée Jean-Ferrand) : Charles Thillien (né le Modèle:Date, à Chaudron-en-Mauges, Maine-et-Loire).
- Meilleur entraîneur 2004-2005 : Robert Millette (né le Modèle:Date, à Saint-Jean-sur-Richelieu, Canada).
Records d'équipe
- Invincibilité (hors Coupe de France) : 14 mois et 1 semaine (35 victoires et 2 nuls) entre le 17 septembre 2005 et le 25 novembre 2006 (Division 2 et Division 1) ; 13 mois (31 victoires et 1 nul) entre le 13 septembre 1986 et le 10 octobre 1987 (Nationale 1B et Nationale 1A).
- Invincibilité à domicile (hors Coupe de France) : 18 mois et 3 semaines (23 victoires et 2 nuls) entre le 17 septembre 2005 et le 7 avril 2007 (D2 et D1).
- Plus grand nombre de victoires à domicile en une saison (play-off compris) : 16 en 20 matchs (Ligue Magnus, 2004-2005). Les autres résultats : 1 nul contre Clermont-Ferrand (saison régulière) et 3 défaites face à Briançon (saison régulière), Grenoble (demi-finale) et Mulhouse (finale).
- Plus grand nombre de buts marqués en une saison : 297 en 30 matchs (Nationale 1B, 1986-87), soit 9,9 buts par match.
- Plus petit nombre de buts marqués en une saison : 85 en 29 matchs (Ligue Magnus, 2003-2004), soit 2,93 buts par match.
- Plus petit nombre de buts concédés en une saison : 40 en 26 matchs (Division 2, 2005-06), soit 1,538 but par match.
- Plus grand nombre de buts concédés en une saison : 241 en 31 matchs (Nationale 1A, 1990-1991), soit 7,77 buts par match.
Parcours européen
À la suite de son titre de champion en 1980, l'ASG Tours prit part à la coupe d'Europe 1980-1981. Au premier tour, ils s'imposèrent face aux champions espagnols du CH Txuri Urdin. Au deuxième tour, lors du match aller contre Mannheimer ERC, ils s'inclinèrent 5-6 après avoir été menés 0-6 à l'issue de la première période. Cependant, la défaite au retour mit un terme à la seule campagne européenne du club<ref>passionhockey.com Coupe d'Europe 1981 sur hockey365.celeonet.fr</ref>.
Au total, l'ASG Tours joua 4 matchs pour un bilan d'une victoire, un nul et deux défaites, 19 buts inscrits et 19 encaissés.
- Récapitulatif du parcours européen
Saison | Compétition | Adversaire | Score |
---|---|---|---|
1980-1981 | Coupe d'Europe | Premier tour Espagne CH Txuri Urdin Deuxième tour Modèle:FRG-d Mannheimer ERC |
Fichier:Symbol neutral vote.svg 2-2 Fichier:Symbol support vote.svg 10-2 Fichier:Symbol oppose vote.svg 5-6 Fichier:Symbol oppose vote.svg 2-9 |
Joueurs
Joueurs de la Ligue nationale de hockey et Association mondiale de hockey
10 joueurs de l'ASG Tours ont joué en Ligue nationale de hockey ou en Association mondiale de hockey<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Liste des joueurs de la LNH ayant joué pour l'ASG Tours sur legendsofhockey.net sous les dénominations ASG Tours et HC Tours</ref> :
Joueur | Période à l'ASG Tours | Nombre de matchs | |
---|---|---|---|
LNH | AMH | ||
Pierre Aubry | 1989-1991 | 202 | - |
Paulin Bordeleau | 1980-1981 | 183 | 234 |
Roland Cloutier | 1981-1983 | 34 | - |
Patrick Daley | 1982-1985 | 12 | - |
David Jensen | 1987-1988 | 18 | - |
Pierre Lacroix | 1990-1991 | 274 | - |
Michel Mongeau | 1987-1988 | 54 | - |
André Peloffy | 1979-1980 | 9 | - |
Jean-François Sauvé | 1989-1991 | 782 | - |
Gaston Therrien | 1990-1991 | 22 | - |
Michel Mongeau fut le seul qui joua en LNH après son passage à Tours.
Supporters
Le club de supporters encourageant les Diables Noirs de Tours s'appelait Les En'diablés.
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Site Officiel des Diables noirs de Tours
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Site officiel des Mammouths (anciens joueurs de l'ASGT)
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Dossier thématique sur le site La Nouvelle République
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} La saison du titre de champion de France 1980
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Interview de Christophe Blanchet, entraîneur des gardiens de Tours sur HockeyHebdo.com
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Interview audio de Robert Millette sur HockeyHebdo.com
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Interview d'Adam Russo sur HockeyHebdo.com