Augers-en-Brie

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Modèle:Infobox Commune de France

Augers-en-Brie '<templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune est située à environ Modèle:Unité au nord de Provins<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.

Communes limitrophes

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier d'Augers-en-Brie.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 13 juillet 2018</ref>.

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le Modèle:Date- et mis en révision en 2018, au sein du Bassin Seine-Normandie. Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de Modèle:Unité, parcouru par un réseau hydrographique de Modèle:Unité de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l’Etang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon<ref name="SAGE-yerres">Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »<ref>site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Augers-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (98,3 %), forêts (1,7 %), zones humides intérieures (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le Modèle:Date- et approuvé le Modèle:Date-, porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont le hameau de Couperdrix.

Logement

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nobr, dont 100 % de maisons.

Parmi ces logements, 85,7 % étaient des résidences principales, 6,3 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 79,7 % contre 17,8 % de locataires et 2,5 % logés gratuitement<ref name="insee">Statistiques officielles de l'Insee.</ref> -<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Albioderus vicus au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Dans un codex mérovingien attribué à Frédégaire.</ref>, Pago Aliodrense en 632, Aujorra vers 1163<ref name="Ernest Nègre">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Ce toponyme issu du latin Albiodurum (« lieu fortifié »), avec un o de liaison accentué, tire certainement son nom d'un propriétaire Albius, et du gaulois romanisé durum « forteresse »<ref name="Ernest Nègre"/>.

Histoire

C'est sur les hauteurs d'Augers que s'appuyait la ligne principale de défense allemande lorsque commença la bataille de la Marne, le Modèle:Date<ref>Guide illustré des champs de bataille, première édition La Marne Volume 2 page 66</ref>.
Après avoir refoulé les avant-postes du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} corps allemand, le [[18e corps d'armée (France)|Modèle:18e d'armée Français]] parti de Voulton bivouaqua, le soir, autour d'Augers-en-Brie.
Durant la bataille, Augers fut bombardée successivement par les Français et les Allemands, chacun des adversaires croyant l'autre dans le village, alors qu'il occupait les alentours. L'église saint-Étienne souffrit particulièrement lors de ces bombardements<ref>La Bataille de la Marne dans le Provinois sur 1914ancien.free</ref>.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la commune d'Augers-en-Brie ne dispose pas d'assainissement collectif<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

La population d'Augers-en-Brie était de 260 au recensement de 1999, 299 en 2006 et de 305 en 2007. La densité de population est de 22,61 habitants par km². Le nombre de logements a été estimé à 134 en 2007<ref name=cartesfrance>Modèle:Lien web.</ref>. Ces logements se composent de 115 résidences principales, 7 résidences secondaires ou occasionnels ainsi que 12 logements vacants.


Modèle:Population de France/section

Sports

Un terrain d'airsoft, nommé « Area 51 », a élu domicile dans la commune jusqu'à l'été 2010. Depuis cette date, l'équipe gérante du terrain a changé de lieu.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nobr, représentant Modèle:Nobr et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 750 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2017», consulté le 19 janvier 2021</ref>.

Emploi

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72 % contre un taux de chômage de 6,7 %. Les 21,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,7 % de retraités ou préretraités et 8,3 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consulté le 19 janvier 2021</ref>.

Entreprises et commerces

En 2018, le nombre d'établissements actifs était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans les activités immobilières, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consulté le 19 janvier 2021</ref>.

En 2019, Modèle:Nobr entreprise individuelle a été créée sur le territoire de la commune.

Au Modèle:1er janvier 2020, la commune disposait de Modèle:Nobr d’hôtels dans un établissement et ne possédait aucun terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consulté le 19 janvier 2021</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Augers-en-Brie est sur le parcours de l'ancienne voie romaine Senlis-Provins. Des fouilles archéologiques ont permis d'y découvrir de nombreux témoignages de la période gallo-romaine, comme des fibules.

Personnalités liées à la commune

Léo Pierron Marillier, jeune violoniste, est né à Augers-en-Brie en 1995. En 2006, il est admis dans la classe de violon de Larissa Kolos au CNR de Paris. Il remporte les « Clés d'Or » en 2008. Il est également le premier Français de l'histoire du concours à avoir gagné « Balys Dvarionas » en 2008. En 2009, il remporte le prix d'interprétation spécial pour ses deux interprétations d'œuvres de Tchaïkovski et est demi-finaliste et plus jeune violoniste du 6th International Tchaïkovski competition for young musicians (Séoul) et le Prix d'Honneur au concours Léopold-Bellan en 2013. Il entre à 15 ans dans la classe d'Alexis Galpérine au CNSMDP de Paris et sort premier nommé en 2013 pour rejoindre Miriam Fried au New England Conservatory à Boston, soutenu dans ses études par un Merit Award et la Fondation franco-américaine Florence Gould. Après avoir obtenu son Master, il continue à se perfectionner auprès de Miriam Fried, Midori et Mihaela Martin. Premier disque « Fantaisies d'opéra » enregistré en 2013 avec Alexandre Lory au piano. Débuts avec orchestre à l'âge de 13 ans avec le LOH Orchestra, puis avec Klaipeda Orchestra, KYSO Orchestra, Wiener-Concert Verein, Orchestre Symphonique Inter-Universitaire de Paris.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail