Avernes-sous-Exmes

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Ancienne commune de France

Avernes-sous-Exmes est une ancienne commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de Modèle:Dernière population commune de France habitants<ref group="Note">Population municipale Modèle:Dernière population commune de France.</ref>. Au Modèle:1er janvier 2017, Avernes-sous-Exmes est devenu commune déléguée de la commune nouvelle Gouffern en Auge.

Géographie

Modèle:Communes limitrophes

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Auvernes vers 1335, Avernes en 1373<ref name="negre1">Modèle:Ouvrage</ref>. La commune a porté le nom d'Avernes jusqu'en 1830Modèle:Référence nécessaire, date à laquelle elle devient par décret Avernes-sous-Exmes pour la distinguer de celle d'Avernes près de Vimoutiers qui devient à la même époque Avernes-Saint-Gourgon.

Pour Albert Dauzat, il est peut-être issu du gaulois areverno- ou un type toponymique semblable au latin Averna<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, tandis que René Lepelley y décèle le germanique afisna « pâturage », comme pour Modèle:Page h' ; le s aurait été ici altéré en r<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, selon un phénomène fréquemment observé en phonétique française. On trouve en vieil anglais un terme æfesn « pâturage », issu du germanique commun.

Avernes est-il un ancien *Avesnes, comme Avernes-Saint-Gourgon, Orne, Avesnis en 1214) et semblable aux nombreux Avesnes de Haute-Normandie et du Nord de la France ?
L'absence de formes suffisamment anciennes rend peu sûre une interprétation du toponyme dans ce sens, cependant il est probable qu'il faille exclure les propositions d'Albert Dauzat dans la mesure où il ne connaissait pas de formes anciennes (il n'en cite aucune, contrairement à son habitude), car on ne trouve pas trace d'un hypothétique *Arvernes : il n'y a jamais de r devant le v. Par comparaison avec les formes plus anciennes des autres Avernes comme Avernes-Saint-Gourgon déjà évoqué et le composé Authevernes (Eure, Altavesne en 1051 - 1056), la proposition de René lepelley empruntée à François de Beaurepaire est plus forte.

Le déterminant complémentaire sous-Exmes est celui de la commune d'Exmes, limitrophe au sud.

Le gentilé est Avernais.

Histoire

Le dernier seigneur en était Jean-Jacques, comte de Beausobre et marquis de Brisseuil, seigneur de Grébert, la Folie, les Basses-Londes, Croisilles, etc. par permission spéciale du roi, né le 15 mars 1704, maréchal de camp et lieutenant-général d'armée ; il est chevalier (1738) puis grand-croix de l'ordre de l'Aigle rouge de Brandebourg (1765). Il se retire et meurt au château de Brisseuil.

En 1821, Avernes-sous-Exmes (252 habitants<ref name="Cassini"/>) absorbe Grebert (120 habitants<ref>Modèle:Cassini-Ehess</ref>).

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Le conseil municipal était composé de sept membres dont le maire et deux adjoints<ref name="of-municipales2014"/>.

Démographie

Modèle:Introduction population d'article de commune de France Avernes-sous-Exmes a compté jusqu'à 314 habitants en 1841, mais les deux commune d'Avernes-sous-Exmes et Grébert, fusionnées en 1821, totalisaient alors 372 habitants. Avernes-sous-Exmes est la commune la moins peuplée du canton d'Exmes.

Modèle:Tableau population d'article de commune de France

Modèle:Graphique population d'article de commune de France

Économie

Modèle:…

Lieux et monuments

Activité et manifestations

Modèle:…

Personnalités liées à la commune

  • Louis-Stanislas Estienne de Colleville, médecin et archéologue né au manoir des Loges (Avernes 1797-Le Bourg-Saint-Léonard 1883), auteur de nombreuses notes et études historiques publiées pour la plupart dans la revue de la Société des antiquaires de Normandie dont il était membre titulaire.
  • Léon Bazalgette (Paris 1873-1928), écrivain et journaliste, premier biographe et traducteur de Walt Whitman et de Henry David Thoreau. Il y possédait une maison de campagne, le Moulin des Noés, où il passa l'été de 1900 à sa mort. Il est enterré dans le cimetière communal où sa tombe est toujours visible.

Voir aussi

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Autres projets

Modèle:Portail