Baliracq-Maumusson

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Baliracq-Maumusson (en béarnais Valirac e Maumusson ou Balirac-Maumussoû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Baliracois<ref>Gentilé sur habitants.fr</ref>.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Carte interactive

La commune de Baliracq-Maumusson se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine<ref name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Serres-Castet<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin<ref name=meta/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Garlin (Modèle:Unité), Mascaraàs-Haron (Modèle:Unité), Castetpugon (Modèle:Unité), Ribarrouy (Modèle:Unité), Taron-Sadirac-Viellenave (Modèle:Unité), Moncla (Modèle:Unité), Boueilh-Boueilho-Lasque (Modèle:Unité), Tadousse-Ussau (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Baliracq-Maumusson fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Baliracq-Maumusson.

La commune est drainée par le Léès, le Gabassot, le Laas et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.

Le Léès, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Sedzère et s'écoule du sud vers le nord. Il longe le territoire communal sur son côté est et en constitue la limite séparative avec Mascaraàs-Haron et Castetpugon, puis se jette dans le Léez à Lannux, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Le Laas (Modèle:Unité) prend sa source dans la commune de Coslédaà-Lube-Boast et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léès en limite sud-est du territoire communal, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Le Gabassot, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Sévignacq et s'écoule vers le nord. Il longe le territoire communal au nord et se jette dans le Léès à Garlin, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 6,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-Disse », sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Baliracq-Maumusson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), prairies (28,8 %), forêts (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux

Fichier:Entrée dans Baliracq.JPG
Entrée dans Baliracq.

Modèle:Colonnes

Voies de communication et transports

La commune est desservie par la D211

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Baliracq-Maumusson est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Léès, le Laas et le Gabassot. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2018<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:64090-Baliracq-Maumusson-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Baliracq-Maumusson.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 42,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Le toponyme Baliracq apparaît sous les formes Saint-Félix de Balirac (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Raymond">Modèle:Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées.</ref>, d'après Pierre de Marca<ref name="Marca">D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn</ref>), Vallirag et Valliracum (vers 1100<ref name="Grosclaude">Modèle:Dictionnaire toponymique des communes du Béarn.</ref>, cartulaire de Lucq-de-Béarn), Balirag (1443<ref name="Raymond"/>, contrats de Carresse<ref name="Carresse">Contrats retenus par Carresse, notaire de Béarn - Manuscrit du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>), ’'Baliracq, (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Grosclaude"/>, carte de Cassini). Balirac (1793<ref name="Cassini3">Modèle:Cassini-Ehess.</ref> ou an II) Balyrac (1801<ref name="Cassini3"/>, Bulletin des lois) et Balirac (1863<ref name="Raymond"/>, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>).
Selon Michel Grosclaude<ref name="Grosclaude"/>, le toponyme vient très probablement d’un patronyme latin, Valerus, augmenté du suffixe gallo-romain -acum, pour donner « domaine de Valerus ».

Son nom béarnais est Valirac-Maumusson<ref>Modèle:Lien web.</ref> ou Balirac-Maumussoû<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le toponyme Maumusson apparaît sous les graphies Maumussou (1774<ref name="Raymond"/>, terrier de Baliracq, E 177) et Maumusson, (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Grosclaude2">Modèle:Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, page 106</ref>, carte de Cassini).
Michel Grosclaude<ref name="Grosclaude2"/> propose là encore comme origine, un patronyme, gascon cette fois-ci, le sobriquet mau (« mauvais »), allié à mus (« museau ») et augmenté du suffixe -on, qui donne « mal aimable, renfrogné ».

Le toponyme Castéra apparaît sous la forme Casterar (1542<ref name="Raymond"/>, réformation de Béarn<ref name="Réformation de Béarn">Modèle:Réformation de Béarn</ref>).

Histoire

Paul Raymond<ref name="Raymond"/> note que Baliracq était vassal de la vicomté de Béarn.

Baliracq et Maumusson se sont unies en 1828.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" |

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Intercommunalité

Baliracq-Maumusson fait partie de six structures intercommunales<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • la Communauté de communes des Luys en Béarn ;
  • le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
  • le SIVU du Lées et affluents ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Léès ;
  • le syndicat intercommunal des cinq rivières.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section Les tableaux démographiques ci-dessus ne concernent, avant 1828, que la commune de Baliracq. Avant cette date, Maumusson a connu l'évolution suivante :

Modèle:Tableau population

Économie

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

Au lieu-dit Castéra, la topographie, visiblement modifiée par la main de l'homme, atteste la présence ancienne d'un ensemble fortifié, avec des remblais importants et un chemin de ronde circulaire encore visible. Il pouvait s'agir d'un fort en pieux de bois accolés car aucun vestige en pierre n'a été mis au jour. L'ouvrage pourrait donc dater du haut Moyen Âge, encore qu'il ne soit pas exclu qu'il s'agisse là des vestiges d'une agglomération préhistorique<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Une fortification d'agglomération<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, tracé circulaire d'un talus, date également de la même époque.

Une demeure de notable<ref name="Florence">Modèle:Base Mérimée.</ref>, dite château de Milly, datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle se dresse au lieu-dit Maumusson-Florence, alors qu'une autre, dite maison Lafon<ref name="Crédey">Modèle:Base Mérimée.</ref>, datant de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est visible au lieu-dit Maumusson-Crédey.

La commune présente des fermes et maisons<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref name="Bouquehort">Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref name="Tardan">Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref name="Castéra">Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref name="Sansot">Modèle:Base Mérimée.</ref> datant des {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIIe{{#if:|  }} }}, {{#switch: XIX

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}}

}}.

Enfin à Baliracq, on peut voir un moulin<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> datant de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Patrimoine religieux

L'église Saint-Pierre<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> possède des vestiges datant des {{#switch: e

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}. Elle recèle du mobilier (ensemble du maître-autel<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, un ensemble autel, tabernacle, retable et statues<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, un autel secondaire<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, des lambris de revêtement<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, un fauteuil de célébrant<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, un bénitier<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, une chaire à prêcher<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, un confessionnal<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, une clôture de chœur<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> et un tabernacle à ailes<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>), des tableaux (un tableau d'autel représentant la remise des clés à saint Pierre<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> et une lithographie représentant un chemin de croix<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>), des statues (deux statues représentant saint Félix et saint Pierre<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>) et des objets (chandeliers<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, vase d'autel<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, encensoir<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> et ostensoir<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements

Modèle:...

Personnalités liées à la commune

Modèle:...

Pour approfondir

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail