Barry Lyndon

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin

Modèle:Langue est un film historique anglo-américain écrit et réalisé par Stanley Kubrick et sorti en 1975. Il est adapté des Mémoires de Barry Lyndon, roman picaresque de William Makepeace Thackeray<ref>[1]</ref>.

Avec dans les rôles principaux Ryan O'Neal et Marisa Berenson, le film évoque le destin d'un jeune intrigant irlandais sans le sou dans la fastueuse société anglaise du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, de son ascension sociale pleine d'audace et de perversité<ref group="Note">Le roman qui a inspiré le film se termine par « la propriété irlandaise est louée en toutes petites fermes aux paysans, qui racontent encore aux étrangers les histoires de l'audace, de la diablerie, de la perversité et de la chute de Barry Lyndon ».</ref> après avoir épousé une lady qui lui apportera une fortune considérable et lui donnera un fils, jusqu'à sa déchéance finale.

Barry Lyndon fait grand usage de la lumière naturelle et des décors d’époque. Le film a été nommé sept fois aux Oscars du cinéma et remporta quatre récompenses. Il est cependant à sa sortie un échec commercial dans les pays anglophones, malgré de bonnes critiques.

Synopsis

Le film se divise en deux parties et un épilogue<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Script de Barry Lyndon, Modèle:Langue.</ref> :

Acte I

Modèle:Citation étrangère (Modèle:Citation)

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, en Irlande, dans les années 1750, le père de Redmond Barry est tué en duel pour une querelle au sujet de l'achat d'un cheval. Sa veuve, Belle (Marie Kean), dédaigne toutes les offres de mariage pour se consacrer à l'éducation de son fils unique.

Barry (Ryan O'Neal) tombe amoureux de sa cousine Nora (Gay Hamilton), laquelle le séduit. Mais quand John Quin, un riche capitaine anglais, lui fait la cour, sa cousine délaisse Barry qui n'a pas d'argent. La perspective d'un mariage entre leur sœur et un officier fortuné n'échappe pas aux frères de Nora. Barry, lui, refuse la situation et provoque Quin en duel. Il croit avoir tué son rival et, pressé par les frères de Nora, prend la route de Dublin pour se faire oublier quelque temps.

N'ayant jamais voyagé, il tombe dans une embuscade tendue par un bandit de grand chemin, le « capitaine » Feeney (Arthur O'Sullivan), qui lui prend son cheval, son argent et tout son équipement. Brisé et sans le sou, il s'engage dans l'armée britannique comme simple soldat. Il est rejoint dans son régiment par un ami de la famille, le capitaine Grogan (Godfrey Quigley), qui l'informe qu'il n'a pas tué Quin, son pistolet étant chargé d'une inoffensive balle d'étoupe. Le duel a été truqué pour forcer Barry à s'éloigner afin que sa cousine puisse se marier avec Quin et éponger les dettes de la famille. Pour prix de son silence, Grogan a reçu de la famille de Nora une forte somme d'argent, qu'il s'offre à partager avec Barry. Le régiment de Barry est envoyé combattre les Français sur le continent. Nous sommes au début de la guerre de Sept Ans et l'Angleterre est alors alliée à la Prusse, qui affronte la France, la Suède, la Russie et l'Autriche.

Grogan est blessé par les Français et, avant de mourir, avoue à Barry qu'il a perdu au jeu la moitié de l'argent qui lui était destiné. Désormais seul, Barry décide de déserter. Surprenant deux officiers homosexuels en train de se baigner, il s'empare de l'uniforme, du cheval, des papiers d'identité et d'un ordre de déplacement. Après avoir chevauché une nuit et une journée entière, il rencontre une jeune paysanne, dont le mari est à la guerre depuis longtemps. Elle accepte de l'héberger. Barry va rester plusieurs mois chez elle.

Il finit par se décider à reprendre sa route. Son intention est de rejoindre la Hollande, restée neutre dans le conflit, et de regagner ensuite son île natale. En chemin, il est intercepté par une patrouille prussienne, commandée par le capitaine Potzdorf (Hardy Krüger). Celui-ci le traite avec égards mais, discrètement, le soumet à un interrogatoire et finit par le démasquer. Il lui offre le choix d'être livré à l'armée anglaise qu'il a désertée ou de s'engager dans l'armée prussienne. Barry se retrouve alors soldat dans l'armée prussienne, dont il va connaître la discipline proverbiale. Lors de la bataille de Warburg, il sauve la vie de Potzdorf, blessé par un tir d'artillerie.

À la fin de la guerre, en 1763, son régiment est envoyé en garnison dans la capitale prussienne. Le capitaine Potzdorf, à qui Barry avait sauvé la vie, l'introduit auprès de son oncle, ministre de la Police. En effet, Barry semble avoir toutes les qualifications pour s'acquitter d'une mission délicate : surveiller de près, en se plaçant à son service, un certain chevalier de Balibari (Patrick Magee), arrivé à Berlin sur mandat de l'impératrice d'Autriche. Il est connu pour être un joueur et un libertin, mais les Prussiens le soupçonnent d'être en réalité un espion d'origine irlandaise. Barry accepte la mission. Il entre au service du chevalier mais, soudain pris d'une forte émotion devant ce compatriote, lui avoue tout le stratagème (dans le roman, cet aveu est facilité par le fait que Barry reconnaît en lui son propre oncle). Le chevalier, tout aussi ému que lui, va le traiter en ami. Barry fera régulièrement son rapport à ses chefs, mais il ne transmettra que des renseignements sans importance. Chez le chevalier, il devient son complice dans les tricheries aux cartes. Le chevalier devant soudain être expulsé de Prusse, Barry profite de l'occasion pour quitter la Prusse sans papiers ni passeport. Barry et le chevalier s'associent alors comme joueurs professionnels et prouvent leur habileté dans toutes les cours d'Europe. Barry défie tous les débiteurs en duel. Son habileté aux armes garantit le paiement des plus récalcitrants.

Prenant conscience que cette vie, malgré ses côtés plaisants, le condamne à une errance perpétuelle, Barry se met en tête d'épouser une femme possédant fortune et titres. Il jette son dévolu sur la belle et très riche comtesse de Lyndon (Marisa Berenson), dont le mari, sir Charles Lyndon (Frank Middlemass), est gravement malade. Il n'a que peu de difficultés pour la séduire. Son mari décède d'une crise d'asthme. Une année plus tard, Barry épouse la comtesse. Il a alors atteint le sommet de sa fortune.

Acte II

Modèle:Citation étrangère (Modèle:Citation)

Après son mariage en 1773, Barry s'installe en Angleterre pour profiter de sa fortune et prend, avec autorisation royale, le nom de Barry Lyndon. Mais le destin saura frapper. Bien qu'il soit devenu un Lyndon, il ne dispose pas de fortune personnelle. Son beau-fils, lord Bullingdon, fils de Sir Charles et âgé de 10 ans, le déteste et le voit comme un vil opportuniste qui a pris la place de son père et qui dilapide la fortune familiale. Barry Lyndon le corrige régulièrement. Le mariage est malheureux. La comtesse met au monde un enfant, Bryan Patrick. Barry dilapide l'argent de sa femme et la rend malheureuse en la trompant et en la réduisant à rester seule à la maison à s'occuper des enfants. Plus tard, il revient à la raison et s'excuse auprès d'elle. Mais si la comtesse pardonne ses écarts à son mari et se réconcilie avec lui, ce n'est absolument pas le cas de lord Bullingdon, dont la haine envers Barry ne va plus cesser de croître.

Des années plus tard, la mère de Barry vient vivre avec lui. Elle se rend compte de la fragilité de la position sociale de son fils. En effet, si lady Lyndon venait à mourir, la fortune familiale irait à son fils, lord Bullingdon (qui est maintenant un jeune homme, joué par Leon Vitali), et laisserait Barry et son fils sans le sou. La mère de Barry le pousse à obtenir un titre nobiliaire pour se prémunir contre cette éventualité. Il cultive des relations avec l'influent lord Wendover (André Morell) en dépensant beaucoup d'argent pour atteindre cet objectif. Tous ses efforts sont sans effet. Le jour de l'anniversaire de lady Lyndon, lord Bullingdon proclame sa haine envers son beau-père et ce dernier se met alors à le rosser copieusement devant l'assemblée composée de nombreux invités. Après cela, lord Bullingdon annonce qu'il quitte sur le champ la demeure familiale et qu'il n'y reviendra pas tant que Barry sera en vie. En même temps, cet incident donne à Barry une réputation exécrable qui lui fait perdre tous ses amis et ses appuis dans l'aristocratie anglaise, qu'il avait mis des années à se gagner au prix de multiples efforts.

Aussi mal qu'il traite son beau-fils, il est à l'inverse bon père et compatissant avec son fils Bryan, avec lequel il passe tout son temps. Cependant, le jour précédent son neuvième anniversaire, le garçon est désarçonné du cheval que son père lui avait promis pour ses neuf ans Modèle:Incise, fait une lourde chute sur la tête et meurt un peu plus tard. Fou de chagrin, et se sentant responsable, Barry sombre dans l'alcoolisme, tandis que lady Lyndon trouve son réconfort dans la religion avec excès, assisté par le révérend Samuel Runt (Murray Melvin), premier tuteur de lord Bullingdon et ensuite de Bryan.

Cependant, la mère de Barry congédie le révérend, d'abord parce que le départ de lord Bullingdon et la mort de Bryan ont rendu inutile la présence d'un précepteur, mais aussi parce qu'elle considère qu'il exerce une influence néfaste sur lady Lyndon. Plongeant plus encore dans le désespoir, elle tente de se suicider. Au courant des dernières nouvelles, lord Bullingdon revient en Angleterre et défie Barry en duel.

Dans la grange où le duel a lieu, le tirage au sort donne à lord Bullingdon le privilège de tirer en premier. Le pistolet se déclenche de manière inopportune. Barry, de manière volontaire et magnanime, tire au sol. Mais lord Bullingdon refuse d'arrêter le duel. Il fait feu et, cette fois, son tir touche la jambe de son adversaire. Barry doit être amputé sous le genou.

Durant la convalescence de Barry, lord Bullingdon prend le contrôle de son patrimoine. Il envoie son comptable et émissaire Graham (Philip Stone) à son cottage, où Barry récupère, pour lui faire une offre. Lord Bullingdon garantit une rente annuelle de 500 guinées à vie s'il quitte l'Angleterre et met fin au mariage avec lady Lyndon, sinon sa rente et son compte en banque seront annulés et lord Bullingdon veillera personnellement à ce que ses débiteurs puissent le jeter en prison. Brisé psychologiquement et physiquement, Barry accepte l'offre. Il se rend en Irlande avec sa mère, puis il voyage à travers le continent européen en redevenant un joueur professionnel, mais bien loin de ses succès d'antan. Il ne reverra plus lady Lyndon. La scène finale, en 1789, montre lady Lyndon, entre deux âges, signant d'un air nostalgique le chèque de la rente annuelle de Barry sous le regard de lord Bullingdon.

Épilogue

Le film se termine par cet épilogue : Modèle:Citation étrangère (Modèle:Citation)<ref group="Note">Ce passage ne se trouve pas dans le roman. En revanche, la dernière page contient un passage à la tonalité assez proche : Modèle:Citation</ref>.

Fiche technique

Distribution

Modèle:Début de colonnes

Modèle:Fin de colonnes

Source et légende : Version française (VF) sur Allodoublage<ref>Fiche de doublage français du film sur Allodoublage, consulté le 16 février 2013.</ref>

Production

Scénario

Modèle:Refnec.

On retrouve dans ce film beaucoup d'éléments présents dans La Bataille de Culloden de Peter Watkins : le thème de la bataille, le rythme assez lent et répétitif et l'utilisation de la voix off (Michael Hordern dans la version originale, Jean-Claude Brialy dans la version française).

Tournage

Le film a été tourné en Irlande<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>, en Angleterre et en Allemagne.

Esthétique du film

Depuis 1969 et la préparation de son Napoléon, Kubrick a en tête de tourner avec pour seul éclairage des bougies<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Malheureusement, à ce moment-là, l'idée est impossible à mettre en œuvre techniquement et sera un des éléments empêchant la réalisation de ce film<ref name="expo">Modèle:Pdf Stanley Kubrick, l'exposition, Cinémathèque française.</ref>. En 1973, année du début du tournage de Barry Lyndon, l'idée d'éclairer un film à la bougie refait surface. Kubrick, ancien photographe, se documente énormément sur la question.

Le film bénéficie d'une photographie exceptionnelle qui lui confère une esthétique plutôt sombre et très particulière, tout à fait dans le ton de l'histoire et des peintures de genre de l'époque. Il fut tourné entièrement en décors d’époque (au château Howard notamment), fit au maximum usage de la lumière naturelle grâce à des objectifs de caméra très lumineux. On utilisa notamment un Zeiss de focale Modèle:Unité et d'ouverture f/0,7 conçu initialement pour la NASA, monté sur la caméra Mitchell BNC déjà utilisée pour Orange mécanique et sacrifiée pour l'occasion puisqu'elle subit des modifications irréversibles afin de la rendre compatible avec l'objectif<ref name="objectif">« Two Special Lenses for Barry Lyndon »</ref>, et un traitement spécial des pellicules.

Fichier:Barrylyndon.suits2.jpg
Costumes du film :
à gauche, un uniforme de l'armée britannique ; à droite, un uniforme de l'armée française.
Fichier:Suits.BarryLyndon.jpg
Costumes portés par Barry Lyndon dans le film.

Les costumes présents dans le film (simples vêtements ou uniformes militaires) ont été conçus à partir de modèles authentiques ; ainsi, le drapeau régimentaire français qu'on voit dans la scène de bataille est celui du régiment de Flandre. La création a pris environ un an et demi.

Le spectateur se trouve ainsi de fait plongé dans l'intimité des personnages, ainsi que le désirait Kubrick, qui voulait réaliser un documentaire qui se serait passé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il disait à ce propos : Modèle:Citation Ces exigences expliquent que le film a nécessité un an de préparation<ref>Jean-Pierre Frimbois, Les Cent Chefs-d'œuvre du film historique, Marabout, 1989 Modèle:ISBN, Modèle:P.34.</ref>.

Pour les extérieurs, Kubrick utilisa des focales de Modèle:Unité et de faibles ouvertures ; la profondeur de champ importante qui en résulte confère aux paysages une allure de peinture filmée. Pour les scènes éclairées à la bougie, Kubrick a utilisé des candélabres de soixante-dix bougies, souvent avec l'appoint de candélabres de trois ou cinq bougies sur la table<ref name="alcott">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} John Alcott cité dans Great Cinematographers.</ref>, ainsi qu'un modificateur de focale transformant le Modèle:Unité f/0,7 en Modèle:Unité<ref name="objectif"/>.

La plupart des prises en extérieur ont été tournées en Irlande, de même pour les scènes se passant en Angleterre et en Prusse durant la guerre de Sept Ans. L'inspiration artistique de Kubrick, Ken Adams et de Roy Walker provient essentiellement des artistes de l'école anglaise de peinture, avec pour les portraits, Gainsborough et Joshua Reynolds, les paysages inspirés de John Constable et les scènes d'intérieurs de William Hogarth et Joseph Wright of Derby, notamment dans son traitement du clair-obscur<ref>La splendeur visuelle de Barry Lyndon (1975) : entre esthétique et influences picturales, par Laure Nermel, In: Un art anglais ?, le 24 mai 2014.</ref>.

Le tournage dura trois cents jours, du printemps 1973 jusqu'au début de 1974, avec une interruption pour Noël<ref>Modèle:Harvsp</ref>. Le budget du film atteignit Modèle:Unité de dollars.

Rôle du narrateur

Kubrick utilise la narration depuis ses premiers films (notamment L'Ultime Razzia ou Lolita). Dans Barry Lyndon, elle permet à Kubrick de limiter les dialogues entre les différents protagonistes, de préciser les lieux et les dates, mais il l'utilise également pour contredire les images. Elle permet également à Kubrick d'annoncer à l'avance les moments importants de l'intrigue pour renforcer le côté « inévitable » de ce qui doit se passer<ref>Modèle:Harvsp</ref>.

Contrairement au roman qui est à la première personne, le conteur dans le film utilise la troisième personne. Kubrick pensait que, dans le livre, la première personne avait pour but de présenter les faits réels de manière déformée. Selon lui, un film montrant une réalité objective racontée par un héros de manière faussée ne pouvait être qu'une comédie, ce qu'il ne voulait pas<ref>Modèle:Harvsp</ref>.

Bande originale

Contrairement à ses films précédents, Kubrick choisit des musiques d'époque et non une partition originale<ref name="Ciment"/>.

La bande originale (Oscar de la meilleure musique de film 1976) mêle donc folklore irlandais (joué par The Chieftains), marches militaires et musique classique, avec entre autres :

Kubrick explique : Modèle:Citation bloc

Accueil

Critique

Modèle:Infobox Critique presse Barry Lyndon rencontre un accueil critique majoritairement positif.

Sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes, le film obtient un score de 90 % d'opinions favorables, sur la base de 73 critiques collectées ; le consensus du site indique : Modèle:Citation<ref name="rottentomatoes">Modèle:Lien web.</ref>. Sur Metacritic, le film obtient une note moyenne pondérée de Modèle:Nobr, sur la base de Modèle:Unité collectées ; le consensus du site indique : Modèle:Citation (Universal Acclaim)<ref name="metacritic">Modèle:Lien web</ref>.

En France, le site Allociné lui attribue une note moyenne de Modèle:Nobr, sur la base de 7 critiques collectées<ref name="allopresse">Modèle:Lien web</ref>.

Box-office

Il est un échec commercial au box-office dans les pays anglo-saxons. Le réalisateur Stanley Kubrick fut particulièrement affecté par le fait que son travail de retranscription de l'esthétique du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle n'ait pas été accueilli avec enthousiasme.Modèle:Référence souhaitée

En revanche le film connaît un certain succès en Europe, notamment en FranceModèle:Nombre sont comptabilisées ; en Allemagne de l'Ouest, Italie et Espagne. Au niveau mondial, le film cumule Modèle:Unité de dollars de recettes totales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Distinctions

Récompenses

Nominations

Autour du film

Notes et références

Notes

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Références

Modèle:Références

Voir aussi

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Bibliographie

Liens externes

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