Bruebach

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Modèle:Infobox Commune de France

Bruebach (prononcé Modèle:API-fr ; en alsacien Brüebi, en allemand Brubach) est une commune de la couronne périurbaine de Mulhouse située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le Modèle:Date-, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. La commune est membre de Mulhouse Alsace Agglomération.

Géographie

La commune est située à Modèle:Unité au sud de Mulhouse par la Modèle:Nobr qui la traverse pour continuer vers Steinbrunn-le-Bas et à Modèle:Unité de Brunstatt par la Modèle:Nobr.

Modèle:Communes limitrophes

Toponymie

Bruebach signifie étymologiquement « gonflement formant obstacle, proéminent » du fait de la situation sur des collines. Le village fut aussi nommé : Bruechbach, Brudbach, Brudtbach, Bruembach, Bruobach, Bruotbach, Bruottbach, Brutbach, Prubach, Pruebacensis, Pruebach<ref>Voir le site du CDHF</ref>.

Histoire

Origine

Le site de Bruebach est occupé depuis le Néolithique ancien. Le village est mentionné pour la première fois en 823, sous le nom de Bruchbach. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l'abbaye de Masevaux est propriétaire du village. Jusqu'en 1648, Bruebach fait partie des biens des Habsbourg comme avoué de Masevaux. Le village est détruit en 1445 par les Bâlois, en guerre contre les Habsbourg, puis une deuxième fois lors de l'invasion des Armagnacs. En 1622, au cours de la guerre de Trente Ans, les habitants se réfugient à Mulhouse pour échapper aux exactions des Suédois. Douze ans après, Bruebach devient le quartier général du maréchal de France.

Seconde Guerre mondiale

Comme le reste de l'Alsace, la commune a été annexée de fait par l'Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale. Le village fut libéré, le 20 novembre 1944, par le groupement Lépinay de la [[1re division blindée (France)|Modèle:1re blindée]]. Le groupement traversa le village en arrivant de Steinbrunn-le-Bas pour se diriger vers Brunstatt. Village essentiellement agricole, il ne dispose d'aucune activité industrielle. Bruebach a depuis la fin de la guerre gardé le cachet des villages du Sundgau. Les habitants se déplacent pour la plupart à Bâle, Mulhouse ou travaillent encore à l'hôpital du Moenchberg de Mulhouse.

Héraldique

Modèle:Article connexe

Modèle:Blason-ville-fr

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Jacques-le-Majeur

Fichier:Bruebach, Eglise Saint-Jacques-le-Majeur.jpg
L'église Saint-Jacques-le-Majeur.

Caractéristique de la région, l'église Saint-Jacques-le-Majeur conserve son ancienne tour romane datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. La cloche a été fondue en 1418 par Nicolas Andres de Colmar. La nef a été réaménagée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et prolongée en 1863 vers l'ouest sur un projet de Frédéric Gunther. Elle est agrandie une nouvelle fois par l'adjonction d'un chœur moderne accolé à la façade occidentale. L'église ne possède pas de portail mais seulement une entrée latérale. En 1951, l'édifice est restauré par Robert Gall.

Cloche de l'église

Cette cloche est l'œuvre d'un fondeur colmarien, Nicolas Andres, et elle est la plus ancienne après celle de l'église Saint-Étienne de Mulhouse. Elle pèse 550 kilogrammes.

Tableau de Saint Roch

Le tableau de Saint Roch qui se trouve dans l'église a été probablement exécuté pour l'un des autels latéraux de la chapelle de Sehring à Guebwiller. Saint Roch (1340-1379) naquit à Montpellier vers 1340 et mourut à Voghera en Italie vers 1379. Fils d'un consul de la ville et d'une mère nommée Libère. Il est invoqué contre la peste. Son culte se développe au cours du concile de 1414 à Constance époque où régnait la peste. Roch finit par attraper lui-même la maladie et se retira dans une forêt près de Plaisance pour ne pas contaminer ses coreligionnaires. Seul un chien vint lui rendre visite et lui apporta un pain qu'il avait dérobé à son maître. Intrigué par le manège de son chien, le maître suivit l'animal et découvrit Saint Roch agonisant qu'il secourut. Le tableau contient le nom de Eusèbe Beltz et la date de 1823. Ces mentions, correspondent vraisemblablement à la date d'exécution du tableau ou bien à sa restauration.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

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Références

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