Cailhau

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Modèle:Infobox Commune de France Cailhau Modèle:API-fr est une commune française, située dans le Nord-Ouest du département de l'Aude en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Razès, un pays historiquement très étendu, qui ne se résume aujourd'hui qu'aux collines de la Malepère et au bas Razès au centre et au sud, limité par le pays de Sault. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Sou, le ruisseau du Pech et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « massif de la Malepère ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Cailhau est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne. Ses habitants sont appelés les Cailhautais ou Cailhautaises.

Le nom de Cailhau vient de l'occitan cailha qui veut dire caillou, pierre. Cailhau signifie donc la pierre du haut, car le village est construit sur une colline. Plus bas, un autre village porte le nom de Cailhavel, pierre du bas.

Fichier:Cailhau.jpg

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Cailhau est un village du Bas Razès situé non loin de la vallée de l'Aude.

Il fait partie des 48 circulades de France.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Modèle:... Caillau se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)<ref>Plan séisme</ref>.

Hydrographie

La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »<ref>Modèle:Lien web</ref>, au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Sou, le ruisseau du Pech et le ruisseau de Gaure, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le Sou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Massac et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Orbieu à Vignevieille, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune est du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 9,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Alaigne », sur la commune d'Alaigne, mise en service en 1971<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Fichier:11058-Cailhau-Natura2000.png
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « massif de la Malepère »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, un site boisé présentant un intérêt biogéographique vu sa position intermédiaire sous les influences des climats méditerranéen et atlantique. De nombreuses espèces sont en limite d'aire. Il s'agit d'un site important pour des chauves-souris d'intérêt communautaire avec six espèces présentes : le Grand Rhinolophe, le Petit Rhinolophe, le Murin à oreilles échancrées, le Rhinolophe euryale, le Minioptère de Schreibers et la Barbastelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Fichier:11058-Cailhau-ZNIEFF1.png
Carte des ZNIEFF de Modèle:Nobr localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « collines du Bas Razès » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et le « massif de la Malepère » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Cailhau est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58 %), cultures permanentes (32,3 %), forêts (6,7 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Cailhau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:11058-Cailhau-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cailhau.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 180 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Modèle:…

Histoire

Origines

Cailhau a été construite en circulade, maison après maison durant plus d'un millénaire. La plus ancienne mention de ce lieu, figure dans les actes de l'archevêché de Narbonne en l'an 779. Dans un de ces actes, il est fait mention d'un jugement dépossédant le comte Milon de Narbonne d'une villa sise à Cailhau près de la Malepère, au profit de l'archevêque Daniel de Narbonne. Un héritage spirituel et matériel qu'il étendit à tout le Razès et ses habitants, entièrement soumis à l'église de Narbonne.

Moyen Âge

C'est donc au Moyen Âge que les premières habitations virent le jour à Cailhau, probablement autour de l'habitat seigneurial primitif. Là même où se trouvent les ruines d'un moulin à vent (la Motte) au point le plus haut du village. Ce moulin est bâti sur une colline de grès dans laquelle ont été taillés des silos à grains, certains murés, d'autres visibles. À l'emplacement de l'église, une forteresse située à l'extrême nord-ouest, reliée au moulin par quelques maisons perchées. Cet édifice et habitats étaient protégés à leur pied, par des fossés remplis d'eau.

En deçà de ce que l'on peut appeler la calotte de la cité, le chemin du tour des fossés, avec la porta Aquaria (le porche) et le chemin de la Terrasse où des constructions apparurent et de nouveaux fossés dissuasifs installés. Plus bas encore, le chemin de la Fontaine, qui ceinture le village au niveau le plus étendu, des puits et jardins.

La fin du premier millénaire voit la cure de Cailhau s'unir à l'abbaye de Montolieu, comme la plupart des communes du Haut Moyen Âge (Brézilhac, Gramazie...). Vers 1191, les chevaliers de Cailhau (dont Guilhem et Raimon) se rendent à Sauzens, pour jurer fidélité à Trencavel, comte de Carcassonne.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Cailhau eut de nombreux seigneurs et chevaliers : vers l'an 1220, Robert de Cailhau, Dame Na Cavaers coseigneuresse de Fanjeaux et qui avait des sympathies pour l'hérésie cathare, François de Malhaurens (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)...

Protestantisme

Durant et après 1560 les guerres de Religion, les protestants se rassemblent dans cette région, Cailhau, Alet, Brugairolles, sont occupés. Laviston, gouverneur de Carcassonne chasse les protestants de Carcassonne, du Cabardès et du Lauragais. Il accorda son aide au consul de Limoux et contribua à délivrer Cailhau, Alet et quelques autres places en 1575. En 1580, la guerre recommence, et la région demeure dans la tourmente. En 1586, le vicomte de Mirepoix s'installe à Cailhau. Henri IV abjure le protestantisme en 1593.

Époque moderne

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'école publique était mixte : une classe pour les grands et une pour les petits. L'école communale ferma ses portes en 1991. Se succédèrent comme enseignants : le couple Sire, Modèle:Mme Fabre...

Il existait également une école privée, située Grande-Rue, maison appartenant aujourd’hui à Marthe Guy (Pawlak). Cette école fut fermée vers 1958 par décision de Modèle:Mgr, évêque de Carcassonne.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Cailhau est membre de la communauté de communes du Limouxin<ref name="meta2"/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Limoux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Piège au Razès pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2"/>, et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 70,2 % d'actifs (62,8 % ayant un emploi et 7,4 % de chômeurs) et 29,8 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Carcassonne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 24 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 85, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 85 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 19 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 85,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

23 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Cailhau au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 43,5 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 23 entreprises implantées à Cailhau), contre 13,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Razès »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et le polyélevage<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 21 lors du recensement agricoleModèle:Note de 1988 à 21 en 2000 puis à 14 en 2010<ref name="Agreste" />, soit une baisse de 33 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

 | e | er | = 
   {{#switch: e
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
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}}

}}, fortifiée, remaniée au Modèle:S mini- : clocher vert insolite dominant le village ; guette carrée au sud-ouest de l'édifice. L'église actuelle a été intégrée dans la forteresse. L'évêque Dalmace consacra l'autel de la paroisse en l'an 1088. Le clocher faisant partie de la forteresse, date du Modèle:S mini-. La guérite (égauchette) a été construite en brique rouge au Modèle:S mini-, dans l'esprit de l'ancien château fort. L'église a été maintes fois endommagée, réparée, intérieur, extérieur et clocher rafistolé.. Au Modèle:S mini- l'intérieur a été transformé en gothique, et les chapelles latérales sont créées. La porte a été reconstituée à partir d'éléments déplacés, en vrai gothique, du Modèle:S mini-. La flèche verte du clocher date de 1925. Quant aux cloches, il en est une qui date du Modèle:S mini- et qui est classée au titre des monuments historiques. Signalons que le clocher, a été restauré en 2002 à l'initiative du conseil municipal et du maire.

  • Sur le parvis de l'église se trouve une croix en pierre datée de 1645.
  • Croix 1643 devant l'église.

Personnalités liées à la commune

Fichier:Beaux-Arts de Carcassonne - La route de Cailhau 1910 - Achille Laugé.jpg
La route de Cailhau (1910) - Achille Laugé.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail