Canton de Grenoble-1
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Le canton de Grenoble-1 est une circonscription électorale française située dans le département de l'Isère et la région Auvergne-Rhône-Alpes. Modèle:Sommaire
Histoire
Le canton de Grenoble-I a été créée par le décret du Modèle:Date- à la suite du démantèlement des anciens cantons de Grenoble-Est, Grenoble-Nord et Grenoble-Sud<ref name="Décret1973">Décret Modèle:N°73-766 du 2 août 1973 portant création de cantons dans le département de l'Isère.</ref>.
Un nouveau découpage territorial de l'Isère entre en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015. Il est défini par le décret du Modèle:Date France<ref name="Décret2014">Modèle:Légifrance portant délimitation des cantons dans le département de l'Isère.</ref>, en application des lois du Modèle:Date (loi organique 2013-402 et loi 2013-403)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les conseillers départementaux sont, à compter de ces élections, élus au scrutin majoritaire binominal mixte. Les électeurs de chaque canton élisent au Conseil départemental, nouvelle appellation du Conseil général, deux membres de sexe différent, qui se présentent en binôme de candidats. Les conseillers départementaux sont élus pour Modèle:Unité au scrutin binominal majoritaire à deux tours, l'accès au second tour nécessitant 12,5 % des inscrits au Modèle:1er. En outre la totalité des conseillers départementaux est renouvelée. Ce nouveau mode de scrutin nécessite un redécoupage des cantons dont le nombre est divisé par deux avec arrondi à l'unité impaire supérieure si ce nombre n'est pas entier impair, assorti de conditions de seuils minimaux<ref>Article 4 de la loi du 17 mai 2013 modifiant l'article L 191 -1 du code électoral.</ref>. Dans l'Isère, le nombre de cantons passe ainsi de 58 à 29. Le canton de Grenoble-1 est modifié par ce décret.
Géographie
Ce canton est organisé autour de Grenoble dans l'arrondissement de Grenoble. Son altitude varie de Modèle:Unité (Grenoble) à Modèle:Unité (Grenoble) pour une altitude moyenne de Modèle:Unité.
Représentation
Représentation avant 1973
Conseillers généraux du canton de Grenoble-Est (1833 à 1973)
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Conseillers d'arrondissement de Grenoble-Est (de 1833 à 1940)
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Elu Modèle:Élu Modèle:Elu Modèle:Elu Modèle:Elu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Conseillers généraux du canton de Grenoble-Nord (1833 à 1973)
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Conseillers d'arrondissement de Grenoble Nord (de 1833 à 1940)
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Conseillers généraux du canton de Grenoble-Sud-Est (1833 à 1973)
- De 1833 à 1848, les cantons de Domène et de Grenoble Sud-Est avaient le même conseiller général<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
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Conseillers d'arrondissement de Grenoble Sud-Est (de 1833 à 1940)
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Canton de Grenoble-1 : Conseillers généraux de 1973 à 2015
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Résultats électoraux
- Élections cantonales de 2004 : Olivier Bertrand (VEC) est élu au Modèle:2e avec 55,46 % des suffrages exprimés, devant Jean-Paul Giraud (PS) (44,54 %). Le taux de participation est de 60,08 % (Modèle:Unité sur Modèle:Unité)<ref>Résultats de l’élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 20 mai 2013.</ref>.
- Élections cantonales de 2011 : Olivier Bertrand (VEC) est élu au Modèle:2e avec 54,32 % des suffrages exprimés, devant Céline Deslattes (PS) (45,68 %). Le taux de participation est de 33,11 % (Modèle:Unité sur Modèle:Unité)<ref>Résultats de l’élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 20 mai 2013.</ref>.
Conseillers départementaux depuis 2015
Modèle:ÉluDébut2 Modèle:Élu2 Modèle:Élu2 Modèle:ÉluFin
Résultats détaillés
Élections de mars 2015
À l'issue du Modèle:1er des élections départementales de 2015, deux binômes sont en ballottage : Nadia Kirat et Benjamin Trocmé (DVG, 31,49 %) et Pascal Garcia et Hakima Necib (Union de la Gauche, 23,32 %). Le taux de participation est de 46,82 % (Modèle:Unité sur Modèle:Unité)<ref name="ResultatsCanton">Modèle:Lien web</ref> contre 49,24 % au niveau départemental<ref name="ResultatsDep">Modèle:Lien web</ref> et 50,17 % au niveau national<ref name="ResultatsFE">Modèle:Lien web</ref>.
Au second tour, Nadia Kirat et Benjamin Trocmé (DVG) sont élus avec 57,33 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 39,97 % (Modèle:Unité pour Modèle:Unité et Modèle:Unité)<ref name="ResultatsCanton2">Modèle:Lien web</ref>.
Nadia Kirat et Benjamin Trocmé sont membres du groupe "Rassemblement des citoyens - Solidarité et écologie"<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Élections de juin 2021
Modèle:Article détaillé Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Dans le canton de Grenoble-1, ce taux de participation est de 31,65 % (Modèle:Unité sur Modèle:Unité)<ref name="Canton2021">Modèle:Lien web</ref> contre 31,88 % au niveau départemental<ref name="Dep2021">Modèle:Lien web</ref>. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Sophie Romera et Benjamin Trocmé (Union à gauche avec des écologistes, 59,41 %) et Louve Carrière et Alain Cœur (REM, 16,57 %)<ref name="Canton2021"/>.
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,36 % au niveau national<ref >Modèle:Lien web</ref>, 32,23 % dans le département<ref name="Dep2021"/> et 32,49 % dans le canton de Grenoble-1<ref name="Canton2021"/>. Sophie Romera et Benjamin Trocmé (Union à gauche avec des écologistes) sont élus avec 66,89 % des suffrages exprimés (Modèle:Unité pour Modèle:Unité et Modèle:Unité)<ref name="Canton2021"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Composition
Composition de 1973 à 2015
Lors de sa création en 1973, le canton de Grenoble-I comprenait la portion du territoire de Grenoble déterminée<ref name="Décret1973" /> :
- au Nord, par un angle dont le sommet est constitué par le point d'intersection des communes de La Tronche et de Saint-Martin-le-Vinoux, le côté gauche de l'angle par une ligne longeant à partir du sommet, la limite de la commune de Saint-Martin-le-Vinoux jusqu'au fossé d'enceinte du fort de la Bastille, puis la ligne intérieure des remparts du fort jusqu'à la rue Maurice-Gignoux, le côté droit de l'angle étant formé par la limite de la commune de La Tronche ;
- à l'Est, par les limites des communes de La Tronche puis de Saint-Martin-d'Hères jusqu'à son intersection avec la limite de la commune d'Eybens ;
- au Sud, par une ligne partant de l'intersection des limites des communes de Saint-Martin-d'Hères et d'Eybens jusqu'au Sud de la place Jean-Racine ;
- à l'Ouest, par une ligne déterminée par l'axe des voies ci-après : rue Maurice-Gignoux, montée de Chalemont, place de la Cymaise, pont Saint-Laurent, rue de Lionne, rue Renauldon, place aux Herbes, rue Barnave, rue Pierre-Duclot, place Sainte-Claire, rue Alphand, rue Raoul-Blanchard, rue du Général-Marchand, place de Verdun côté de l'hôtel de la Division et côté Est, rue Haxo, boulevard Jean-Pain, place Paul-Mistral, avenue Jean-Perrot et place Jean-Racine.
Composition depuis 2015
Modèle:Composition Division de France
Le canton de Grenoble-1 est désormais composé de la partie de la commune de Grenoble située à l'ouest d'une ligne définie par l'axe des voies et limites suivantes : depuis la limite territoriale de la commune d'Échirolles, avenue des États-Généraux, rond-point Pierre-et-Marie-Curie, avenue Edmond-Esmonin, avenue Paul-Verlaine, rue Albert-Reynier, cours de la Libération-et-du-Général-de-Gaulle, chemin des Marronniers, rue André-Rivoire, rue Charles-Péguy, rue Louis-Le-Cardonnel, boulevard Joseph-Vallier, rue Pierre-Termier, rue Pierre-Dupont, cours Jean-Jaurès, place Hubert-Dubedout, voie de Corato, cours de l'Isère, jusqu'à la limite territoriale de la commune de Saint-Égrève<ref name="Décret2014"/>.
Démographie
Démographie avant 2015
En 2010, le canton de Grenoble-1 comptait Modèle:Unité, soit une baisse de -4,4 % par rapport à la population de 1999 qui était de Modèle:Unité<ref group="Note">Le tableau et le graphique présentent les populations légales publiées par l'Insee et issues des recensements de population. Les enquêtes de recensement étant, depuis la réforme de 2004, réparties sur cinq années, il est recommandé de calculer des évolutions sur des périodes d'au moins Modèle:Nombre. Ainsi la population de 2009, par exemple, ne peut être comparée qu'avec une population antérieure de plus de Modèle:Nombre, à savoir, celle de 1999.</ref>.
Modèle:Tableau population de canton de France Modèle:Graphique population de canton de France
Démographie depuis 2015
Modèle:Population de France/section
