Chavagne

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Modèle:Voir paronymes Modèle:Infobox Commune de France

Chavagne est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne. Ses habitants, qui étaient 4015 au recensement de 2017, sont les Chavagnais et les Chavagnaises.

Géographie

Localisation

Fichier:Map commune FR insee code 35076.png
Carte de la commune.

Chavagne est d'une superficie de Modèle:Unité, située à Modèle:Unité au sud ouest de Rennes, entre la route départementale 34 (dite deuxième ceinture de Rennes), la route nationale 24 (axe Rennes-Lorient), et les axes de Redon et de Nantes.

Elle fait partie de Rennes Métropole.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La commune a un relief très plat et est située à 25 m d'altitude<ref>Modèle:Lien web.</ref>.Modèle:…

Hydrographie

Fichier:Vilaine River Drainage Basin map-fr.svg
Chavagne se trouve intégralement dans le bassin versant de la Vilaine.

La commune est limitée à l’est par la Vilaine, au sud par le Meu et à l’ouest par le ruisseau de Beaumont.

Transports en commun

Chavagne est desservie par les bus du service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole.

Les arrêts des lignes desservant Chavagne sont pour la plupart accessibles aux personnes à mobilité réduite<ref>Le star</ref>. Il s'agit des lignes 56 et 156ex.

Le dimanche et jour fériés, la commune est desservie par la ligne 55. Les vendredis et samedis soir au départ de Rennes (République), la commune est desservie par la ligne 54.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 3,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Chavagne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Chavagne, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), zones agricoles hétérogènes (32 %), zones urbanisées (12,5 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (4,7 %), prairies (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %), forêts (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Chavagne et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017<ref name="logement" group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="logement35" group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement à Chavagne en 2017
Chavagne Ille-et-Vilaine
Parc immobilier total (en nombre d'habitations) 1 796 546 440
Part des résidences principales (en %) 91,5 86,2
Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 6,9
Part des logements vacants (en %) 7,7 6,9
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 74,1 59,8

Morphologie urbaine

Modèle:...

Chavagne dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du 19 décembre 2019<ref>Un Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) pour 43 communes, sur metropole.rennes.fr</ref>. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.

Noms de rues

Modèle:...

Projets d'aménagements

Modèle:...

Toponymie

Les formes anciennes attestées du nom de la localité sont : Cabana en 1034; Cavana en 1040; Chavenne en 1158<ref>Modèle:Ouvrage</ref>; Chaveignes vers 1330<ref name="Dauzat">Modèle:Ouvrage</ref>.

Albert Dauzat hésite à rattacher Chavagnes directement à l'étymon bas latin capanna « cabane »<ref name="Dauzat"/>. En effet, il ne cite qu'une forme tardive (Chaveignes 1330) dans laquelle il croit reconnaître un *capannia, c'est-à-dire capanna + suffixe -ia au sens de « groupe de cabanes, d'habitations rurales » comme pour Chavagnes (Maine-et-Loire, Cavania 690 - 707)<ref name="Dauzat"/>, à moins qu'il ne s'agisse d'un Cavannia (villa), formé sur le nom de personne Cavannius, comme dans Chavagnes-en-Paillers (Vendée, villa Cavannis Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) et Chavaignes (Maine-et-Loire, Cavaniae colonia 862)<ref name="Dauzat"/>. Les formes anciennes fournies par Jean-Yves Le Moing (voir supra) permettent d'invalider ces deux dernières hypothèses et de faire remonter directement Chavagne au type capanna, tout comme les toponymes Chavannes-sur-Reyssouze (Ain, in Cavannas 920); Chevannes (Côte-d'Or, Cavanna 1164)<ref name="Dauzat"/>, etc.

Le bas latin capanna, sans doute préroman, a donné le nom commun français cabane au sens initial de « petite habitation sommaire », mentionné seulement à partir de 1387 et passé en français par l'intermédiaire de l'occitan cabana « cabane, chaumière »<ref name="CNRTL">Site du CNRTL : étymologie de cabane (lire en ligne)</ref>. Il est cependant attesté dans la France du nord par les Gloses de Reichenau au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sous la forme cauanna<ref name="CNRTL"/> et s'est fixé dans la toponymie où il a subi la palatalisation régulière du groupe /ca/ propre au français central et au domaine d'oïl occidental, tout comme le passage de [p] à [v] (type sapere > savoir, alors que le vieil occitan et l'ibero-roman ont saber), d'où Cha-vanne / Che-vanne.

En gallo, le nom s’écrit Chavagn (écriture Moga)<ref>Noms de lieudits et de personnes à Rennes (35), Bèrtran Ôbrée et Mathieu Guitton, Chubri, Modèle:P..</ref> ou Chavayn<ref>Fiche descriptive de la ville de Chavagne sur Geobreizh.</ref>.

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Modèle:Langue<ref name="Ofis">Modèle:Lien web.</ref>.

Histoire

Sur le quartier de la Touche, des fouilles archéologiques ont débuté en 2011 et ont permis la découverte de vestiges datant du néolithique<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dès la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le bourg de Chavagne, « vicus qui vocatur Cavana », appartenait à un seigneur nommé le vicomte Eudon. Ce dernier, n'ayant pas d'enfants, légua tous ses biens à son suzerain, Geffroy Ier, duc de Bretagne, et quand Geffroy épousa Havoise de Normandie, il fit entrer dans le douaire de cette princesse le bourg de Chavagne, vers l'an 996<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Modèle:...

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Circonscriptions de rattachement

Chavagne appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton du Rheu, créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune appartenait au canton de Mordelles.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis Modèle:Date par Mickaël Bouloux (PS-NUPES). Sous la [[Troisième République (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} République]], elle appartenait à la deuxième circonscription de Rennes, de 1958 à 1986 à la [[Deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:2e circonscription]] (Rennes-Sud) et de 1986 à 2010 à la [[Troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:3e circonscription]] (Rennes-Montfort).

Intercommunalité

La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le Modèle:Date. Chavagne faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le Modèle:Date.

Chavagne fait aussi partie du Pays de Rennes.

Institutions judiciaires

Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le Modèle:1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.

Conseil municipal actuel

Les Modèle:Nombre composant le conseil municipal ont été pourvus le Modèle:Date- lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est réparti comme suit :

Groupe Effectif Statut
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs| « Chavagne ensemble » (PS-EÉLV) 27 majorité
Fichier:Chavagne CM2020.svg

Chavagne est l'une des rares communes de la métropole rennaise où aucune opposition n'est présente au conseil municipal.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article détaillé Modèle:Article connexe Modèle:...

Liste des maires

Modèle:Article connexe

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Fichier:Chavagne - Quartier de la Touche.jpg
Chavagne - Quartier de la Touche

Modèle:Population de France/section

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

La commune ne compte aucun monument historique et 17 bâtiments inventoriés<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Patrimoine religieux

Fichier:Chavagne - Eglise St Martin.jpg
Façade principale de l’église Saint-Martin.

L'église Saint-Martin édifiée à partir des plans de l'architecte Édouard Brossay Saint-Marc entre 1861-1869 en remplacement d’un ancien édifice religieux. La partie haute du clocher est d’Arthur Regnault<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Glad.</ref>.

Le cimetière et sa chapelle Saint-Nicolas<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. La tombe (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) d'un chevalier armé d'une épée est située dans le cimetière.

L’ancien presbytère et actuelle bibliothèque (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).

La chapelle Sainte-Anne, autrefois située au bourg.

Manoirs et Moulins

Le manoir du Breil : situé route ouest de Moigné. Propriété successive des familles des Vignes (en 1482), de Brays (en 1513), le Meilleur (vers 1583), du Pont (avant 1766), le Brun (en 1766).

Le manoir de Ménard<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> situé au lieu dit Ménard. Il possède un cadran solaire. Il possédait aussi jadis une chapelle privée dédiée à Saint-Guillaume et un colombier. La présence d'un manoir est attestée sur le site dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le logis qui remonte au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle a été remanié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, étendu à ses deux extrémités au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et de nouvelles baies ont été percées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La chapelle datée 1657 (date portée dans un écu sur structure d'ensemble). Il appartenait en 1427 au Le Prestre, seigneurs de la Lohière. Il passa par alliance en 1555 aux d'Avaugour et il a été vendu en 1634 aux De Lessart. Il fut vendu à nouveau en 1650 aux Cormier, sieurs de la Vieuville et passa par alliance vers 1693 aux De La Monneraye qui semblaient le posséder encore à la Révolution.

Le manoir de la Chupelinaye : situé route ouest de Moigné. Propriété successive des familles de Loriays (en 1480), le Prestre seigneurs de Ménart (en 1513 et en 1576) - d'Avaugour (avant 1634), de Lessart (en 1634), Cormier (en 1729).

Le manoir des Fontenelles<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> : situé avenue des Fontenelles. Il possédait jadis une chapelle privée édifiée en 1726. Propriété successive des familles des Vignes (en 1427) - de Brays (au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), de Guitté (en 1565), des Fontaines (vers 1583), le Corgne seigneurs de la Villeneuve (avant 1637), le Jay seigneurs de la Guiberdière (vers 1670), de Miniac (en 1712), du Pont sieurs d'Ouville (en 1726), le Brun (en 1766).

Le manoir de la Pimoraye : situé route d'Apigné. Propriété successive des familles des Vignes (en 1480), le Febvre (en 1513 et en 1540), de Guitté (en 1563), le Corgne (avant 1645), Aougstin sieurs de la Morinaye (en 1645), Champion seigneurs de Cicé (avant 1675) et de Renée Foucault dame du Crévy ;

Le manoir de la Touche<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> : il possédait une chapelle privée au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Propriété successive des familles des Barres (en 1401 et en 1540), Bruslon seigneurs de Beaumont (en 1546), le Febvre sieurs de la Sillandais (en 1680 et au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). L'ensemble qui a été remanié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle a été acheté récemment par la commune, puis par Rennes Métropole.

Le manoir de la Frogerais (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). Propriété successive des familles de Beauchesne (en 1427), Racine (en 1513 et en 1648), Fournel sieurs de la Fontaine, puis Prioul sieurs de la Cormelaye (en 1692), Montgermont (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).

Le manoir de la Robinaye : il possédait autrefois une chapelle privée. Le 20 mai 1686, Gilles Privat, sieur du Haut-Chemin, demeurant à Rennes, présenta Antoine Macart, prêtre, pour desservir « la chapelle de son manoir de la Robinaye », dotée de 64 livres de rente et fondée de deux messes par semaine, le dimanche et le vendredi <ref>Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 42</ref>. Aux approches de la Révolution, M. de la Bourdonnaye de Blossac présentait cette chapellenie, dont le dernier titulaire fut Yves Cloirec, clerc de Vannes (Pouillé de Rennes). Propriété successive des familles Blanchart (en 1457), de Lessart (en 1497), Prioul seigneurs du Haut-Chemin (en 1674), de la Bourdonnaye seigneurs de Blossac (à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et en 1789).

Le manoir de la Sillandais ou Silandaye<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> possède un corps central accosté de deux pavillons. On y voit une fuie, une chapelle privée et un cadran solaire. Propriété successive des familles Levesque seigneurs du Molant (en 1380), le Febvre (en 1648), Champion seigneurs de Cicé (vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), Drouet seigneurs du Tertre, puis de la famille Hubert de la Massue (au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et en 1787) dont Joseph Hubert de La Massue de la Sillandais archiviste de La compagnie des Chevaliers catholiques. Puis, M. de Bontteville et la famille Torquat le posséderont successivement. En 1979, le manoir se trouve alors en très piteux état. Son nouveau propriétaire va entièrement se consacrer à sa rénovation pour lui donner le visage qu'on lui connaît aujourd'hui.

Le manoir de la Billaudaye ou Ville-Hodais : propriété successive des familles de la Roche (en 1416), de la Tourneraye (en 1506 et en 1583), de Bregel, le Febvre seigneurs de la Silandais (en 1662 et en 1703), de la Monneraye (en 1784).

Le manoir de Buris<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> situé au Bas Bury, il possédait une chapelle et un droit de haute justice en bordure du Meu. Il subsiste un ancien logis du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Propriété successive des seigneurs de Buris (en 1379), puis des familles Thierry seigneurs de la Prévalaye (en 1506), Becdelièvre seigneurs de la Fontaine (en 1510), de Lantivy (en 1694), de la Bourdonnaye seigneurs de Blossac (en 1767).

Le manoir de la Théalais : propriété successive des familles Aougstin du Perray (1718), Félix Joseph Marie Vatar (1824), Auvêpre (1923), Evellin (1930), Calonnec (1978 à 1982) Guillemois (1983 à nos jours). Le manoir a été construit sous la Restauration (1820), mais l'origine de la Théalais est ancienne. Dans les registres paroissiaux nous trouvons entre 1556 et 1561 le nom de noble Homme George de Lessart sieur de la Téhallaye, époux de Jeanne de Brays dame des Fontenelles, la terre dépend alors de la baronnie de Cicé.

Le manoir du Haut-Cramou : situé route de Mordelles. Propriété successive des familles le Febvre (en 1513), Robinaud (en 1544 et en 1578), Botherel seigneurs d'Apigné (avant 1617), Fauchet (en 1617 et en 1648), le Vacher (en 1770). Le manoir de Cramou : propriété d'Isabeau de Montfort, épouse de Guillaume Raguenel vicomte de la Bellière, puis des familles Raguenel (en 1422), de Cramou (en 1427 et en 1440), le Breton, Aulnette sieurs de la Borgnière (avant 1564), Becdelièvre seigneurs de Buris (en 1564), Julienne seigneurs des Chapelais (en 1641), Mousset (en 1680), Bodin sieurs de la Chesnaye (en 1707).

Le manoir de Babelouze, situé à environ 2 kilomètres au nord-est du bourg, est construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par la famille Le Sage. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il est la propriété de la famille Nouvel, puis de la famille Visdelou. L'édifice a donné son nom à une grande pâture dans laquelle se tenait une grande foire le 18 octobre de chaque année.

Le manoir de la Guignardière.

Le manoir de l'Egacé.

Le moulin de Bury sur le Meu.

Le moulin de Champcors sur la Vilaine.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Archives

  • Baronnie de Cicé en Chavagne, cotes 23 J 580 à 23 J 589, 23 J 942 à 23 J 947, 23 J 951 > Fonds de La Bourdonnaye-Montluc (23 J), Archives I&V.

Notes

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Cartes

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Références

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Liens externes

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