Christian-Joseph Guyonvarc'h

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Christian-Joseph Guyonvarc'h, né le Modèle:Date de naissance<ref>Modèle:Lien web</ref> à Auray et mort le Modèle:Date de décès<ref>« Rennes 2 disparition de Christian J. Guyonvarc'h, spécialiste international des études celtiques », http://www.rennes.maville.com/actu/actudet_-Rennes-2-disparition-de-Christian-J.-Guyonvarc-h-specialiste-international-des-etudes-celtiques-_fil-2086077_actu.Htm</ref> à Bohars, est un mythographe et linguiste français, professeur de gaulois et de vieil irlandais, spécialiste du monde celtique antique. Il était l'époux de Françoise Le Roux, morte en 2004.

Études celtiques

Spécialiste du monde celtique et du druidisme, Christian-Joseph Guyonvarc'h était philologue et linguiste, expert des langues celtiques antiques. Pendant 50 ans, avec sa femme, ils vont réaliser conjointement une œuvre scientifique, qui va révolutionner la compréhension du monde celtique. L'idée directrice de leurs travaux fut d'appréhender le monde celtique dans le cadre indo-européen et lui appliquer le schéma trifonctionnel, tel qu'il avait été mis en lumière par Georges Dumézil. Il était spécialisé depuis très longtemps dans l'étude des textes irlandais médiévaux. En 1988, Bernard Sergent le décrit avec son épouse Françoise Le Roux comme « les meilleurs connaisseurs français contemporains de la religion celtique, des langues et littératures celtiques »<ref name="Sergent1988">Bernard Sergent, Françoise Le Roux, Christian-J. Guyonvarc'h. Les Druides (compte-rendu), Revue de l'histoire des religions, Année 1988, 205-2, Modèle:P.</ref>

Seul, ou avec sa femme, il écrit une vingtaine d'ouvrages et environ 300 articles, édités dans des publications spécialisées. Ils avaient repris des mains de celtomanes la revue Ogam Celticum, basée à Rennes, qui devint une maison d'édition. Ce fut un formidable outil pour la diffusion des études celtiques. En 1986, ils publient aux éditions Ouest-France une édition augmentée de Les Druides, qui va contribuer à la diffusion de leurs travaux, et connaître plusieurs rééditions, ainsi que d’autres titres (voir publications).

La rigueur scientifique de ses travaux avec sa femme est reconnue au niveau international. L'étude des textes, leur analyse comparative dans le contexte indo-européen et la comparaison avec les travaux d'autres chercheurs ont contribué à clarifier et enrichir notre connaissance de la civilisation celtique et sa compréhension<ref>[1] Je suis mort, biographie - ]</ref>,<ref>Encyclopédie Universalis</ref>,<ref>[2]</ref>.

De 1979 à 1981, il appartient au comité de patronage de Nouvelle École<ref>Modèle:Chapitre.</ref>.

Christian-J. Guyonvarc'h a collaboré à l’Encyclopædia Universalis.

Membre du Bezen Perrot

Comme l'attestent plusieurs dépositions qu'il a faites à la Libération (en novembre 1944, juin 1945 et juillet 1945), Christian-Joseph Guyonvarc'h fut membre de l'unité SS dénommée Bezen Perrot<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Il avait 18 ans. Cette participation lui valut une condamnation à 10 ans de travaux forcés mais il bénéficia de circonstances atténuantes lors du procès en raison de sa coopération avec les services de police et fut libéré en février 1946<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Œuvres

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Prix

Références

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Annexes

Articles connexes

Liens externes

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