Condé-Folie

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Condé-Folie est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Modèle:Sommaire

Géographie

Description

Situé dans la vallée de la Somme, à peu près à mi-chemin entre Amiens et Abbeville (Modèle:Unité), le village est desservi par les routes départementales 126 et 128.

Depuis le Modèle:Date-, la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

La commune est desservie par la véloroute de la vallée de la Somme, qui longe le fleuve côtier, elle est traversée par la ligne de Longueau à Boulogne-Ville, mais la station la plus proche est la gare de Longpré-les-Corps-Saints, desservie par des trains régionaux TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions semi-directes ou omnibus entre les gares d'Abbeville et d'Amiens, voire d'Albert (Modèle:Nobr).

En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars Modèle:N° (Saint-Léger - L'Étoile - Flixecourt - Amiens) du réseau inter-urbain Trans'80 <ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Localisation

Hydrographie

Fichier:26 Condé-Folie-L'Etoile Véloroute sur rive gauche.jpg
La Somme est bordée par la Véloroute de la vallée de la Somme.

La rivière Airaines, affluent en rive gauche de la Somme, et qui a son confluent avec le fleuve côtier picard au nord-est du territoire communal. Le canal de la Somme, projeté en 1725, est complètement achevé en 1835<ref name="CIS-Communiquer"/>.

Le nord de ce territoire est limité par la Somme et ses importantes zones de marais.

Urbanisme

Typologie

Condé-Folie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Longpré-les-Corps-Saints, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,8 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (15,3 %), forêts (10,2 %), zones urbanisées (9,5 %), prairies (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Modèle:… Condé haut et Condé bas formait une paroisse, Folie haut et Folie bas en formant une autre. Ces deux entités ont fusionné au cours des siècles pour fonder ensemble, "Condé Folie".

Condé est attesté sous les formes Condatus en 1090  ; Condetum en 1106  ; Condet en 1120  ; Condeium en 1199  ; Condé en 1646  ; Condé-Folie en 1756  ; Condé et Follie en 1763  ; Condé-Follies en 1772  ; Condéfolie en 1801<ref>Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 251 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].</ref>.
Condé du gaulois condate, signifiant « confluent », puisque situé à l’origine dans l'angle formé par « le ruisseau de Longpré » et la rivière de Somme, près des rivières et des marais ( à l'ancien confluent de la Somme et de la Nièvre )<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Folie est attesté sous les formes Stulticia en 1301 ; Folie en 1646 ; Follie en 1657<ref>Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 375 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].</ref>.

Histoire

En 1809, la commune, récemment instituée par la Révolution française, compte un moulin à vent pouvant produire Modèle:Unité de farine par jour, produisant sa mouture à la lyonnaise<ref group="Note">La mouture à la lyonnaise est une mouture à passe unique, sans blutage, par opposition à la mouture à la parisienne et à la grosse.</ref>. Les meules du moulin ont été acquises par le meunier à Abbeville<ref name="CIS-Moulin">Modèle:Article.</ref>.

Le cadastre napoléonien mentionne deux moulins à vent, l’un à Condé au lieudit les Garchettes, l’autre à Folie avec présence de bâtiments au lieudit au Moulin de Folie<ref name="CIS-Moulin"/>.

En 1833, le conseil municipal « accepte le projet de reconstruction du pont entre les communes de l’Étoile et Condé-Folie aux conditions suivantes : les communes de l’Étoile et Condé-Folie et le service de la navigation seraient intéressés pour le paiement aux 4/9 et les étrangers à ces deux communes et à la navigation pour les 5/9 restants. Un droit de péage sur ces étrangers sera affecté au service des intérêts et de l’amortissement de la somme empruntée<ref name="CIS-Communiquer"/> ». Ce pont est reconstruit en 1891<ref name="CIS-Communiquer"/>.

En 1848, la municipalité décide la démolition de l'ancienne école de garçons, devenue trop vétuste, et, en mai 1849, « un arrêté du ministère de l’intérieur autorise la commune de Condé Folie à construire une maison d’école. Le produit d’extraction de la tourbe, dans quatre portions des marais communaux de Condé et de Folie sera employé au paiement des frais de construction. ». En 1874 sont réalisés des travaux dans l'école des filles Modèle:Incise, qui est laïcisée en 1902. La commune en devient propriétaire en 1903 ; elle accueille alors 56 élèves<ref>Modèle:Article.</ref>.

L'usine de tissage est créée à Condé-Folie en 1864 par Fromain et Pivron, puis elle est reprise par les héritiers Fromain<ref name="InventaireHDF_8">Modèle:Lien web.</ref>.

En 1871, existait un bac payant pour franchir la Somme. Il était alors utilisé par les ouvriers de Folie employés à l’usine Saint Frères des Moulins-Bleus. En période d'inondations, le chemin d'accès était impraticable et les ouvriers devaient effectuer un long détour<ref name="CIS-Communiquer"/>.

En 1874, les premières cités ouvrières sont construites, permettant aux ouvriers de disposer d'un logement et d'un jardin moyennant un loyer modique prélevé sur le salaire<ref name="CIS-Textile">Modèle:Article.</ref>.

En 1879, le conseil municipal demande que le village soit rattaché au bureau de poste de Longpré, en remplacement de celui de Flixecourt ; la commune bénéficie de la mise en place de son propre bureau de poste en 1885. En 1897, doté d'un emploi de facteur-receveur, ce bureau est relié au service télégraphique<ref name="CIS-Communiquer">Modèle:Article.</ref>.

En décembre 1881, est mise en service la ligne de Canaples à Longroy - Gamaches, via Condé-Folie<ref name="CIS-Communiquer"/>, mais la halte ferroviaire de Folie est mise en service vers les années 1890 ; le territoire communal est également traversé par la ligne de Longueau à Boulogne-Ville depuis 1847, mais aucune gare n'avait été construite sur cette dernière ligne pour desservir la commune<ref name="CIS-Communiquer"/>. Le recensement de 1881 mentionne 150 tisseurs, dont 127 hommes et 5 manufacturiers, et même une rue de la Fabrique<ref name="CIS-Textile"/>.

En 1901, il existe toujours un moulin à vent, mais il ne produit plus que Modèle:Unité de farine par jour. En 1904, il est mentionné un moulin à eau à Longpré-les-Corps-Saints, en limite de Condé-Folie, sur l'Airaines et proche de son confluent avec la Somme<ref name="CIS-Moulin"/>.

Vers 1911, les frères Saint rachètent le tissage<ref name="CIS-Textile"/>. Paternalistes, ils font installer des coopératives de consommation sous le nom de La Prévoyance. Celle de Condé est installée en face de l'usine, les ouvriers pouvaient y trouver les marchandises nécessaires à la vie de tous les jours : pain, viande, vêtements, linge, chaussures, alcool, charbon<ref name="CIS-Textile"/>.

En 1912, le bureau de poste est déplacé dans l'ancienne maison Lardenois, réaménagée par l'architecte amiénois Cuvillier<ref name="CIS-Communiquer"/>

Première Guerre mondiale

« Le territoire de Condé Folie a souvent servi de cantonnement aux troupes françaises et britanniques, on peut citer les régiments du [[8e régiment de hussards|Modèle:8e]], [[4e régiment de cuirassiers (France)|Modèle:4e]] et [[6e régiment de cuirassiers|Modèle:6e]], [[16e régiment de dragons|Modèle:16e]] et [[21e régiment de dragons|Modèle:21e]], le Modèle:2e Groupe Aviation Escadrille 62. Les propriétaires du village accueillaient les soldats avec leurs chevaux. De ce fait, ils percevaient des indemnités. Ainsi pour un Régiment d’Artillerie de la Modèle:6e DC, Modèle:1re, l’ensemble des propriétaires toucha 8,30F pour 3 journées d’officiers, 106 hommes de troupe, 181 chevaux. Chaque propriétaire touchait 1F par jour pour loger un officier, 5 centimes par jour pour loger un homme de troupe, les chevaux n’étaient pas pris en compte. La municipalité devait aussi réagir vite ; ainsi, le 29 décembre 1916, le commandant du dépôt de chevaux malades d’Abbeville avertit le maire que 73 chevaux convoyés par 26 hommes seront en stationnement sur le territoire de Condé-Folie le 30 décembre de 12 heures à 7 heures du matin le lendemain<ref name="CIS-20">Modèle:Article.</ref> ».

L'entre deux guerres

En 1919, le conseil municipal compte 5 socialistes sur 11 membres, et des conflits sociaux ont lieu à l'usine Saint Frères<ref name="CIS-Textile"/>. « En 1930, dès juillet, commence une grande grève. Le 4 août, les forces de police sont mobilisées, deux pelotons de la garde républicaine sont réunis à Condé et Longpré. La consigne est de dégager les accès aux usines et de faire respecter la liberté du travail<ref name="CIS-Textile"/> ». Après une grève au début du Front populaire qui commence à l'usine le Modèle:Date-, les salaires augmentent de 12 % et le patronat textile de Picardie accepte d'appliquer une convention collective<ref name="CIS-Textile"/>.

Avant la guerre de 1939-1945, on compte 13 cafés dans la commune, qui souvent avaient une autre activité : Café Petit (épicerie), Café Hermand (Épicerie, charcuterie), Café des Pêcheurs, Café Leriche, Café Léontine Gamain, Café Beldame (cartes postales), Café Français (M. Dominois, également maréchal ferrant, tabacs, pompe à essence), Chez Titine, Au Cuirassier Français (M. Mouronval, également hôtel, restaurant, billard), Café Delassus Hénache (également ferme), Café de la Fontaine, Café du Nord (billard) et le Café de l’Usine (M. Miannay). Une halte à Folie, sur la ligne de Canaples à Longroy - Gamaches, facilitait par ailleurs l'accès des pêcheurs aux étangs de la commune<ref>Modèle:Article.</ref>.

Seconde Guerre mondiale<ref>Modèle:Article.</ref>

Lors de la Bataille de France, au début de la Seconde Guerre mondiale, Condé-Folie est bombardé le Modèle:Date- et de très violents combats ont lieu fin Modèle:Date-, après le passage de la Somme par les Allemands<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le village subit d'importantes destructions, dont celle du bureau de poste<ref name="CIS-Communiquer"/>. Modèle:Pas clair.

Les rues du Modèle:22e et du Modèle:53e rappellent l'action du [[22e régiment de marche de Volontaires Étrangers|Modèle:22e de marche de Volontaires Étrangers]] et du [[53e régiment d'infanterie coloniale|Modèle:53e d'infanterie coloniale mixte]] lors de cette bataille de Condé-Folie.

Le village est en partie reconstruit et la nécropole nationale de Condé-Folie est réalisée sous l'administration du maire de l'époque Kléber Fulgence<ref name="CIS18"/>. En 1954, un nouveau bureau de poste est construit au moyen des dommages de guerre<ref name="CIS-Communiquer"/>.

Fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Sous le mandat de Jean Vermoeren, entre 1983 et 1995, sont construits la salle polyvalente et la station d’épuration, avec réalisation des travaux d’assainissement<ref name="CIS18"/>.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouvait dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du Modèle:Date-, la commune en est détachée le Modèle:Date- pour intégrer l'arrondissement d'Abbeville<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle faisait partie du canton de Picquigny<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Flixecourt Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Condé-Folie était membre de la petite communauté de communes de la Région d'Hallencourt, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe), promulguée le Modèle:Date-, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le Modèle:Date-, la communauté d'agglomération de la Baie de Somme dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

Cinq éoliennes ont été implantées dans la commune en 2019, formant avec deux appareils implantés à Bettencourt-Rivière un parc de sept aérogénérateurs de Modèle:Unité de hauteur maximale<ref>Modèle:Article.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Fichier:Condé-Folie, Somme, France (10).JPG
L'école.

En 2016, l'école communale publique accueille Modèle:Nobr en primaire<ref>Modèle:Article.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Notre-Dame-de-la-Visitation. Les deux piliers, à l'entrée, sous le clocher, proviennent de l'église primitive, complètement disparue. Cette église renferme un groupe sculpté en bois de la Visitation Modèle:Classé MH, attribué à Jean-Baptiste Carpentier.
  • Nécropole nationale de Condé-Folie, cimetière militaire français de la Seconde Guerre mondiale situé entre la voie ferrée Amiens-Boulogne et les étangs de la vallée de la Somme. Il abrite les corps de Modèle:Unité, dont un soviétique.
    De 1953 à 1957, la nécropole est agrandie pour accueillir des corps de soldats français tombés dans la Somme au cours de la Seconde Guerre mondiale, exhumés des cimetières communaux du département.
    Le Modèle:Date-, les dépouilles des 135 tirailleurs sénégalais du [[24e régiment de tirailleurs sénégalais|Modèle:24e R.T.S]].. qui reposaient dans le cimetière communal d'Aubigny y sont transférés, ainsi que 31 autres dépouilles provenant du cimetière militaire provisoire de Picquigny.

Modèle:Article connexe

  • Monument aux morts, édifié .le long de l’église dans les années 1920 et déplacé depuis près du cimetière. Il représente un soldat de 1918 avec son fusil.et honore les morts pour la France de la commune lors des guerres de 1914-1918 et de 1939-1945<ref>Modèle:Article.</ref>
  • Une aire aménagée accueille les touristes à l'entrée de la commune, près du marais de Condé<ref>Modèle:Article.</ref>.

Personnalités liées à la commune

  • Jacques Aliamet de Condé (1738 - 1789), conseiller du roi, président trésorier général de France à Amiens, est le dernier seigneur de Condé<ref name=Armorial>Modèle:Lien web.</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Liens internes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

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