Corgengoux

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Modèle:Infobox Commune de France

Corgengoux est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

Communes limitrophes

Urbanisme

Typologie

Corgengoux est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaune, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,2 %), forêts (18,7 %), prairies (15 %), zones urbanisées (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Héraldique

Modèle:Blasonnement

Démographie

Modèle:Population de France/section

Lieux et monuments

  • Fichier:Carte Postale de Paruey .jpg
    Château de Parruey (Paruey à l'origine), route de Verdun, édifié entre 1800 et 1815 à l'emplacement d'un ancien relais de poste. En effet, au Moyen Âge, les terres de Parruey relèvent de la propriété de différents ordres religieux, avec l'hypothèse d'une possession vers 1165 par l'Ordre cistercien<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> avant qu'elles n'appartiennent au chapitre de l'Abbatiale Saint-Bénigne de Dijon jusqu'à la Révolution Française<ref>En 1760, on compte à Paruey "5 laboureurs, 7 vignerons, 2 pâtres, 2 artisans, 4 manœuvriers et 8 veuves" (cf. Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : États du duché de Bourgogne, comtés et pays adjacents ; p.457)</ref>. Jean-Chrétien de Macheco<ref>Mort en 1803</ref>, marquis de Prémeaux, fils de Chrétien-Gaspard de Macheco, président du Parlement de Bourgogne, est le dernier seigneur de Corgengoux, Paruet, Mazerotte et Grosbois. En 1869<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, des fouilles archéologiques mettent au jour les restes d'une villa gallo-romaine incendiée<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> d'où seront notamment découverts des objets en terre de Samos, une hachette en jadéite et des médailles à l'effigie de Marc-Aurèle. Ces fouilles ont confirmé la proximité d'un ancien camp romain<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> longeant la Via Agrippa<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, au croisement entre La Sereine et La Bouzaise. Propriété du Général Labrune qui en fait sa demeure dès 1880<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, le Château reçoit notamment la visite du préfet Jean-Baptiste Phelut en 1908. Agrandi après la Séparation des Églises et de l'État, le corps de bâtiment principal est complété par un pigeonnier à clocheton (reconstruit depuis), et une aile de dépendances est ajoutée vers l'est avec pour certaines des grilles indépendantes et plusieurs cours traversantes. Le parc est surélevé et se trouve agrémenté d'un jardin à l'anglaise planté sous la direction de Paul Maupied, membre titulaire de la Société d'horticulture et de viticulture de Bourgogne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le château se compose d'une large maison bourgeoise dans un parc<ref>Modèle:Article.</ref> de 30 hectares<ref>Modèle:Article.</ref> construite en deux étages sur soubassements, dont un sous combles (surmontées à l'origine par des fléchettes en cuivre), précédée par un jardin d'agrément et une cour d'honneur. Il reprend les codes de l'architecture traditionnelle de Bourgogne avec l'utilisation de dalles en pierre de Bourgogne, de marbres et d'une imposante charpente en chêne. Un ancien four à pain, des écuries aux portes frappées de l'écu des Valois-Bourgogne, deux puits et un bâtiment agricole avec son grenier à grains jouxtent le logis. Ces dernières façades d'apparence austères sont réalisées en pierre de taille et bordées de corniches. La présence de vignes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, arrachées par la suite, est supposée sur le domaine au tournant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Pendant la Seconde Guerre mondiale, une partie du château est occupée avant que l'ensemble ne soit revendu dans un état dégradé. En 1955, la famille Leblanc remodèle et modernise une partie des lieux en faisant réaliser une copie des lanternes en fer forgé installées par Vincent Auriol au Palais de l'Élysée, et en dessinant un nouveau parvis doté de statues d'angelots romantiques complété par un escalier à double balustrade simplifié sur la façade nord. Le parc, ceinturé par un mur d'enceinte, est divisé et ne sont conservés du jardin à l'anglaise que les chemins de traverse, demi-lunes, haies, plates-bandes de fleurs ainsi qu'une sculpture de pierre pittoresque au sud. Une surface boisée est aménagée et est bordée d'une prairie pour l'entraînement des chevaux, tandis qu'en bordure du domaine des terrains sont lotis et cédés pour être consacrés à la culture agricole. Une rénovation est assurée par la famille Pagès avant le rachat du Château par la famille Magnien-Merme en 1974. Inaccessible au public, le château renferme encore dans son parc des arbres centenaires dont une quinzaine d'Aesculus flava, différents arbres fruitiers et deux sapins du Colorado.
  • Moulin de Parruey, attesté avant 1790<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et situé au bord du Meuzin, il connaît une activité intense<ref>Modèle:Article.</ref>. Doté de quatre tournants et deux turbines, il fournissait en grain l'ensemble des villages environnants.Modèle:...

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Liens externes

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