Cornillon-en-Trièves

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Cornillon-en-Trièves est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Cornillon en Trièves est une commune du sud Isère et du centre du Trièves. Elle se situe à environ Modèle:Unité au sud de Grenoble. Le point culminant de la commune est Le Grand Fays qui s'élève à 1 106 mètres d'altitude. Le point le plus bas de la commune se situe sur les berges du lac de Monteynard (célèbre pour les véliplanchistes).

Géographie

Situation et description

Cornillon-en-Trièves est une commune de moyenne montagne à l'aspect essentiellement rurale, positionnée dans la région naturelle du Trièves au sud de Grenoble et à proximité immédiate de Mens.

Communes limitrophes

La commune de Cornillon-en-Trièves compte six communes limitrophes, toutes situées en Isère. Modèle:Communes limitrophes

Géologie

Modèle:...

Climat

Modèle:Article connexe La région naturelle du Trièves, dans laquelle se situe le territoire de Cornillon-en-Trièves, est essentiellement une zone de basse et de moyenne montagne entourée de massifs élevés, quelque peu abritée des flux d'ouest par le Vercors est une des parties de l'Isère la plus méridionale. Comme les Écrins, cette région, à pluviosité plus réduite connait un climat de transition entre les Alpes du Nord humides et les Alpes du Sud relativement sèches.

Hydrographie

Le territoire communal est bordé dans sa partie la plus septentrionale par le torrent du Drac, cours d'eau alpin de 130 km<ref>Modèle:Sandre</ref>, affluent de l'Isère et sous affluent du Rhône.

Voies de communication

La commune est situé hors des grands axes de communication.

Urbanisme

Typologie

Cornillon-en-Trièves est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,1 %), terres arables (22,9 %), prairies (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et écarts

Il existe trois hameaux principaux : Villard Julien (Modèle:Unité d'altitude), le Grand Oriol (Modèle:Unité) et le Petit Oriol (Modèle:Unité). On peut aussi noter la présence de divers petits hameaux (quelques maisons ou fermes) : la Grange du Baron, le château de Cornillon, la Combe d'Andrieu, l'Aubépin, les Richards, Blanchardeyres, la Citadelle.

Risques naturels et technologiques

Risques sismiques

Modèle:Article connexe L'ensemble du territoire de la commune de Cornillon-en-Trièves est situé en zone de sismicité Modèle:N° dite « modérée » (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique. Elle se situe cependant non loin de la limite d'une zone sismique classifiée de « moyenne », située plus au nord<ref>Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité</ref>.

Terminologie des zones sismiques<ref name="Légifrance_2010">Arrêté du Modèle:Date- relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance</ref>
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = Modèle:Unité

Autres risques

Modèle:...

Toponymie

Modèle:…

Histoire

Modèle:Article connexe

Antiquité

Selon une tradition légendaire, des "troupes régulières de Rome" seraient intervenues dans cette partie des Alpes à la demande d'une peuplade gauloise en conflit avec ses voisines. Ce serait l'origine de la présence romaine dans la région. On sait qu'en réalité le processus d'intégration de cette région est lié au contrôle progressivement assuré par Rome. Il fait suite à la défaite des Allobroges en 121 av. J.-C. et se termine un peu plus d'un siècle plus tard sous l'Empereur Auguste comme en témoigne l'érection en 6 av. J.-C. du Trophée des Alpes à La Turbie.

Selon des monographies portant sur la région, une voie romaine passait au col de Cornillon et continuait vers la ville de Mens où se situait un relais au croisement de deux voies. L'Empereur Néron y aurait fait construire une villa fortifiée. Un patricien gallo-romain du nom de Cornélius qui aurait occupé une villa sous le col à l’emplacement actuel du vieux hameau aurait laissé son nom à l’endroit. Ces hypothèses sont fondées sur l'interprétation des toponymes Mens et Cornillon. Mens dériverait du latin mansio et Cornillon du nom gentilice latin Cornelius.

Une monographie récente place à Cornillon en Trièves la station de Geminas qui figure entre Luc en Diois et Montgenèvre sur la Table de Peutinger<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

De l'époque féodale à la Révolution

Modèle:Refnec

Politique et administration

Administration municipale

Modèle:...

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelages

Modèle:...

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias

Historiquement, le quotidien régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Romanche et Oisans, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune, de son canton, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales.

Cultes

Modèle:...

Économie

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Construit vers 1530 par Jean Faure de Vercors de Chypre, il est aujourd'hui en cours de restauration. Le château fut le centre de la châtellenie de Cornillon.

Patrimoine naturel

C'est à Cornillon-en-Trièves qu'ont été découvertes les fameuses eaux minérales d'Oriol. Elles sont étudiées en 1639 dans un fascicule publié à Grenoble par un médecin, Pierre Vulson. Elles ont été exploitées par la société « Les Eaux d'Oriol », et sont actuellement fermées. Elles passent pour être les seules eaux minérales naturellement gazeuses des Alpes françaises.

Héraldique

Modèle:Blasonnement

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Modèle:Palette Modèle:Portail