Cours Belsunce

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Voie de Marseille Le cours Belsunce est une voie située dans le [[1er arrondissement de Marseille|Modèle:1er]] de Marseille.

Situation et accès

Il relie la rue de Rome et le cours Saint-louis à la rue d'Aix. C'est l'axe principal du quartier du même nom. Il a été considéré comme une des plus belles places de l'Europe baroque dont il ne reste plus que quelques vestiges.

Fichier:Marseille - Tramway - Belsunce (7667971984).jpg
Tramway sur le cours en 2012

Le cours Belsunce est traversé par la ligne 2 Arenc Le Silo-La Blancarde du tramway, mise en service le Modèle:Date-, et par la ligne 3 Arenc Le Silo-Castellane, mise en service le Modèle:Date-. Il est desservi par la station Belsunce-Alcazar.

La station de bus Canebière-Bourse du réseau de bus de Marseille, terminus des lignes de bus desservant le nord de l’agglomération, jouxte le cours.

Origine du nom

Elle rend hommage à François-Xavier de Belsunce de Castelmoron, évêque de Marseille qui s'est distingué en 1720 lors de la grande peste de Marseille, à qui il est aussi décidé d'ériger une statue sur le cours, au niveau de la rue du Petit Saint-Jean, où il a célébré la messe le Modèle:Date- au terme d’une procession expiatoire qui a traversé la ville<ref name="codex">Modèle:Lien web.</ref>.

Historique

L'origine du cours

Fichier:Le Cours d'après le plan Razaud (1743).png
Extrait du plan geometral de la ville citadelles port et arcenaux de Marseille dressé par Joseph Razaud (ingénieur militaire, cartographe), 1743 (n°14ː le Cours, n°12 la Canebière)

Il est dénommé à l’origine « cours Saint-Hommebon », du nom de la congrégation de Saint-Hommebon implantée à partir de 1636 à l’emplacement de l’actuelle bibliothèque de l’Alcazar<ref>l'Atlas archéologique de l'INRAP.</ref> puis « Le Cours » ou « Le Grand Cours », artère majeure de l'agrandissement de Marseille prescrit par Louis XIV (lettres patentes du Modèle:Date-), est créé en 1670. Il se situe entre la vieille ville et les faubourg des Roubauds et des Oliers qui connaissement un début d'urbanisation, sur un glacis militaire à l’est du rempart voués à la démolition. Cet espace, dit « Lou grand Caire » (le grand côté) est déjà un lieu de promenade agrémenté de fontaines et, d’arbres d’ornement<ref name=Blès/>,<ref name="Hénin">Modèle:Chapitre.</ref>.

Le modèle du cours, élément caractéristique de la ville baroque italienne est introduit en France sous Marie de Médicis. Le terme italien corso vient d’une voie de la Rome Antique lieu de flânerie et de divertissements. Le cours à carrosses, large avenue hors les murs est d’abord réservé aux nobles et à la bonne société qui s’y montrent en tenue d’apparat, puis devient un lieu de processions, de foires et de marchés. Il est plantés d’arbres : marronniers, micocouliers, mûriers ou ormeaux, alors que ceux-ci sont absents à l’intérieur des remparts<ref name="Marseillaise1">Modèle:Lien web.</ref>. Dix ans avant Marseille Aix-en-Provence est la première ville française, après Paris, à se doter d’un cours à l'emplacement de son rempart sud. Les deux promenades assurent l'articulation entre vieille ville et nouveaux quartiers, mais le cours marseillais diffère de l'aixois par la régularité de ses façades dont l’ordonnancement parait inspirée par les palais italiens, en particulier ceux de la strada Nuova de Gênes<ref name="Chancel">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="Durousseau">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="Vial">Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'influence de Pierre Puget

En 1667, alors qu’il travaille à Gênes le sculpteur, dessinateur, peintre et architecte marseillais Pierre Puget reçoit des échevins marseillais la commande des plans d’extension de la ville. De toutes ses propositions, dont une place royale qui aurait dû se situer entre l’extrémité sud du cours et l’arsenal des galères, seul le Cours est réalisé, par son frère Gaspard Puget et par Mathieu Portal, maîtres-maçon et architectes, mais dans des dimensions réduites par rapport au projet initial jugé trop coûteux. Le principe du cours à carrosses est même un temps refusé par Nicolas Arnoul, membre de la commission chargée par Louis XIV de gérer les travaux dans l’agrandissement, partisan d’une simple voie permettant de traverser la ville nouvelle de la porte Royale à la porte de Rome<ref name="Hénin" />,<ref name="Vial"/>.

Fichier:Cours Belsunce maison XVIIe siècle.jpg
Exemple de modénature imposée sur le Cours au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La part de Pierre Puget dans réalisation du cours fait débat, il semble que certains de ses biographes l’aient exagérée, peut-être du fait d'une confusion entre les deux frères Puget<ref name="Lavedan2">Modèle:Ouvrage.</ref>. Mais le père Joseph Bougerel, son premier biographe au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, qui a vu des dessins de Pierre Puget perdus depuis, témoigne de son influence. Il écrit : Modèle:Citation<ref name="RevueM2"> Modèle:Chapitre.</ref>.

L'architecture du cours

Fichier:Michel Serre-Peste-Cours Belsunce.jpg
Vue du Cours pendant la peste de 1720, tableau de Michel Serre

Le Cours est l’une des premières réalisations de l'agrandissement<ref name="Fabre_T5-2" />. Les immeubles sont pour l’essentiel construits entre Modèle:Date- et Modèle:Date- selon un modèle imposé par le Bureau de l'agrandissement : soubassement avec entresol, deux étages encadrés par des pilastres, attique sous un entablement débordant, pierre de taille des carrières de la Couronne, balcons en ferronnerie, mascarons. Les portes peuvent être ornées de cariatides ou d'atlantes comme celle de l’hôtel Pesciolini, seul exemple qui a résisté au temps, inscrite aux monuments historiques en Modèle:Date-. La continuité des toitures veut donner l'impression d'une grandiose suite de palais, bien que, derrière les façades, les immeubles soient plus proches de la maison de rapport, avec des boutiques au rez-de-chaussée, que des prestigieux hôtels particuliers du cours à carrosses d'Aix-en-Provence<ref name="Hénin" />,<ref name=Chancel/>,<ref name=Vial/>.

Le tableau de Michel Serre : Vue du Cours pendant la peste de 1720, permet de se représenter l'imposante perspective du cours, exemple exceptionnel d'urbanisme baroque, dont l'historien Antoine de Ruffi a écrit à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle qu'elle fait de Marseille « l'une des belles villes du Royaume »<ref>Modèle:Ouvrage cité dans Modèle:Article.</ref>.

La promenade

La promenade occupe le terre-plein central, le charroi passant par les deux allées latérales le long des immeubles. Des arbres d’alignement marquent la longue perspective, d’abord des micocouliers, puis de mûriers plantés en Modèle:Date-, des ormeaux en Modèle:Date- et des platanes en 1840. C’est l’un des seuls endroit de Marseille où l’on puisse se mettre à l’ombre note un voyageur à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Tavernier">Modèle:Ouvrage.</ref>. Dès Modèle:Date- la Ville fait installer sur les côtés des bancs de pierre. Contrairement au cours d’Aix-en-Provence pourvu de nombreuses fontaines, le cours marseillais n’en a que deux : la fontaine Saint-Louis au niveau de la Canebière, et, près de la rue Tapis-Vert, une fontaine plus monumentale avec cinquante jets d’eau, dite « fontaine des Méduses » probablement à cause de la présence de sculptures de méduses crachant de l'eau. En Modèle:Date- la Ville fait construire de chaque côté de celle-ci des abreuvoirs de marbre sculptés par Marchetti (ou Marquetti) que l’on continue à nommer « Méduses » après la suppression de la fontaine centrale. En Modèle:Date- les Méduses et la fontaine Saint-Louis sont remplacées par deux bassins octogonaux avec vasque en fonte portée par des dauphins, dessinés par l’architecte Pascal Coste<ref name="Fabre_T5">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="RevueM1">Modèle:Chapitre.</ref>.

Le cours de la fin du XVIIe siècle aux années 1830

Le cours est tout au long du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle le lieu de visibilité mondaine le plus apprécié des Marseillais. Les classes populaires occupent le Petit Cours au nord de l’axe Grand Rue-rue Tapis Vert, alors que les Modèle:Citation investissent le Grand Cours Jusqu’à la rue Noailles. Les gravures du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle le représentent « peuplé de belles dames et de gentilshommes »<ref name="Tavernier" />. Selon Augustin Fabre, Modèle:Citation<ref name="Fabre_T5" />

Pendant la Révolution, il devient le « Cours de Phocéens ».

C'est également le lieu des entrées triomphales depuis la porte Royale (porte d’Aix), des parades, des cérémonies publiques et des processions vers la collégiale Saint-Martin. Le Modèle:Date-, durant l’épidémie de peste, Modèle:Mgr Belsunce y célèbre la messe. Au même endroit, le Modèle:Date-, une autre messe y commémore le centenaire de la fin de l’épidémie. Pendant la Révolution, le Modèle:Date-, un autel consacré à la Patrie est dressé lors de la fête de la Fédération, à l'angle du Grand Cours et de la Canebière, des messes y sont célébrées ainsi que des serments d'obéissance aux loisModèle:Référence souhaitée. C’est à ce même carrefour qu’ont lieu les exécutions capitales, et que les condamnés sont exposés au pilori<ref name="RevueM1" />.

Les cafés sont nombreux sur le cours, le public s’y réparti selon son rang social et ses opinions politiques. Bonapartistes, royalistes et républicains ont chacun le leur et se défient volontiers en pleine rue<ref name="M188">Modèle:Chapitre.</ref>,<ref name=RevueM1 />.

Plus vaste espace public de la cité, le cours est également un lieu de commerce. Le marché s'y tient tous les matins. De nombreux commerces de détail, représentés sur le Plan Lavastre<ref>Plan-relief représentant les lieux des journées insurrectionnelles 22 et 23 juin 1848 à Marseille. Voir Modèle:Lien web</ref>, occupent les rez-de-chaussée des immeubles. La promenade accueille les deux grandes foires traditionnelles de la cité : la foire de la Saint-Jean à la fin du mois de juin, et la foire de Saint-Lazare, du 31 août au 15 septembre. Cette dernière, dont les baraques débordent sur la Canebière, s’y tient de Modèle:Date à Modèle:Date, avec un passage par les allées de Meilhan de Modèle:Date à Modèle:Date. Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle s’y ajoute à Noël la foire aux santons, transférée en Modèle:Date aux allées de Meilhan<ref name=RevueM1 />,<ref name="M188" />.

Mutations urbaines et déclin du cours au long du XIXe siècle

De la monarchie de Juillet au Second Empire l'essor économique et le développement urbain de Marseille modifient profondément les fonctions du cours. La bourgeoisie marseillaise se déplace vers de nouveaux lieux à la mode : les grands cafés de la rue Beauveau puis de la Canebière, les riches demeures du boulevard Longchamp, du cours Bourbon puis de la promenade du Prado. Le Modèle:Date, le Conseil municipal décide de lui attribuer le nom de « Cours Belsunce ». Proche du nouveau port marchand de la Joliette ouvert en Modèle:Date, et de la gare Saint-Charles mise en service en Modèle:Date le « quartier Belsunce » voit arriver une population plus modeste. Si le cours perd de son prestige il n’en reste pas moins un lieu central et commercial, dont l’animation est décrite par le voyageur Stendhal en Modèle:Date, et par le marseillais Horace Bertin en Modèle:Date et Modèle:Date<ref name="Marseillaise3">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="M188" />,<ref name="RevueM2" />.

La statue, commandée au sculpteur Joseph Marius Ramus, est inaugurée en grande pompe le Modèle:Date- en présence des autorités civiles et militaires, de l’arrière-petit-neveu de Modèle:Mgr de Belsunce et de l’évêque de Marseille Eugène de Mazenod, dans un contexte politique marqué par la réaction à la révolution républicaine de 1848<ref name="Fabre_T5-2">Modèle:Ouvrage.</ref>.

En 1870 il prend le nom de « cours de la Fédération » puis l'année d'après il reprend le nom de « Cours Belsunce »<ref name="Blès">Modèle:Ouvrage.</ref>.

1891 : la promenade cède la place à une voie de circulation

Le trafic est intense sur les deux étroites voies charretières de part et d’autre de la promenade, constamment encombrées de charrettes, de diligences, de transports en tout genre péniblement tirés par des chevaux<ref name="M188" />,<ref name="RevueM2" />. Au long du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle le transfert de cette circulation sur le large terre-plein central au détriment de la promenade devient objet de controverses. Le principe en est voté en Modèle:Date par le Conseil municipal sur proposition d'Augustin Fabre, historien et également conseiller municipal. Selon Fabre répondant à ceux qui sont d’avis que « le Conseil doit respecter ce qu'ont fait nos pères », Modèle:Citation. Mais en Modèle:Date, sur avis du Ministère des travaux publics, le Conseil municipal revient sur cette décision à laquelle s’opposent aussi les propriétaires des maisons du cours<ref name="Fabre_T5" />.

En Modèle:Date le projet est toujours en débat. Le journaliste Henri Verne, qui pourtant dans ses articles multiplie les propositions de percement et d’élargissement des voies marseillaises, plaide pour conserver « au peuple sa promenade favorite ». Modèle:Citation<ref name="Verne">Modèle:Ouvrage.</ref>.

En Modèle:Date, après l’ouverture de la rue Colbert, dernière percée haussmannienne marseillaise, une voie carrossable remplace finalement la promenade. Les monuments occupant son axe central sont enlevés : les fontaines sont déplacées l’une place de la Joliette et l’autre place de Strasbourg, la statue de Mrg. Belsunce devant l’Évêché puis devant la Cathédrale. Le cours Belsunce devient l’une des principales artères de la ville, lieu de passage obligé. En Modèle:Date il accueille le terminus de la ligne de tramway Belsunce-Saint-Louis, première ligne électrique à Marseille et en France, qui dessert le nord industriel et ouvrier de Marseille<ref name="M188" />,<ref name="RevueM2" />.

XIXe et XXe siècle : effacement progressif de la perspective monumentale

Fichier:INCONNU - MARSEILLE - Cours Belsunce.jpg
Tramway sur le cours en 1920

À partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle l’architecture du cours subit des remaniements et des destructions, et perd son unité architecturale. Les propriétés de la communauté religieuse de Saint-Hommebon, à l‘angle nord-est du cours, sont vendues en Modèle:Date- comme biens nationaux. Une auberge pour les rouliers et un bureau de voitures publiques à destination d’Aix-en-Provence s’y implantent avant que ne s’y construise vers Modèle:Date- le théâtre de l’Alcazar. Le percement de la rue Colbert à partir de Modèle:Date- détruit le monumental immeuble édifié à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sur l’îlot nord-ouest ainsi que, en fond de perspective, l’immeuble faisant pendant à l’hôtel Pesciolini dans l'axe de la rue d'Aix. Si l'est du cours conserve son alignement ce n’est pas le cas sur l'autre rive qui va subir de plus en plus de discontinuité. Dans le contexte de la démolition du quartier dit « derrière la Bourse », décidée en Modèle:Date-, la plupart des immeubles subsistant y disparaissent entre Modèle:Date- et Modèle:Date-. Sur les lieux de ces démolitions, terrains vagues en plein centre ville durant pendant trente ans, les plans esquissés par l'architecte Gaston Castel avant la guerre de 1939-1945 aboutissent en Modèle:Date--Modèle:Date- à la construction des « Tours Labourdette »<ref>Modèle:Lien web</ref>. Enfin le dernier témoin subsistant sur cette rive ouest du cours, entre la Canebière et la rue des Fabres, est remplacé en Modèle:Date- par un immeuble de facture contemporaine<ref name="RevueM1" />,<ref name="Blès" />,<ref name="Fabre_T5" />.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Au carrefour de la Canebière et des cours Saint-Louis et Belsunce, se trouve le point géodésique zéro de Marseille permettant le calcul de la distance de Marseille à Paris, ainsi que le numérotage des immeubles, établi en Modèle:Date.

Fichier:Cours Belsunce maison deux médaillons.jpg
La maison aux deux médaillons, angle cours Belsunce / rue Tapis-vert

Située à l’angle de la rue Tapis-vert, la Maison aux deux médaillons date de Modèle:Date-. Les deux fenêtres du premier étage sont surmontées chacune d’un médaillon avec les portraits d’un homme et d’une femme, probablement les constructeurs-propriétaires de l'immeuble<ref name="RevueM47">Modèle:Chapitre.</ref>.

Fichier:La marquise de l'Alcazar (Marseille) (14045215730).jpg
L’entrée de la bibliothèque a conservé la marquise et la porte de l'ancien théâtre de l'Alcazar

La bibliothèque municipale à vocation régionale, dite bibliothèque de l'Alcazar, est construite sur l’emplacement de l'ancien théâtre l'Alcazar. Elle a ouvert se portes au public le Modèle:Date-.

Sur la rive ouest du cours, les Immeubles de la Bourse et les Tours Labourdettes<ref>Modèle:Lien web.</ref>, ensemble construit en Modèle:Date--Modèle:Date- par les architectes Jacques Henri-Labourdette et Roger Boileau, et l’ingénieur Jean-Louis Sarf. En Modèle:Date- l’opposition à un projet d’agrandissement du centre commercial mitoyen est à l’origine de l’association « Les Labourdettes » créée par des habitants des tours afin de valoriser cet exemple d’architecture moderne de la seconde partie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les immeubles ont reçu en 2006 le [[Label « Patrimoine du XXe siècle »|label patrimoine Modèle:S mini-]].

Le Centre Bourse, centre commercial construit à partir de Modèle:Date-, dispose de deux entrées sur le cours. Il accueille également le Musée d'histoire de Marseille.

Sur l’immeuble à l’angle de la rue des Fabres une plaque en son honneur de rappelle qu’« Ici a vécu Julie Pellizzone (Marseille Modèle:Date--Modèle:Date- mémorialiste de Marseille ».

Musique

Chanson en rapport avec ce quartier du centre-ville marseillais :

  • "Belsunce Breakdown" de Bouga sur la B.O.F "Comme un aimant", où le rappeur décrit la vie du quartier. Sortie en 2000, elle reste toutefois encore d'actualité.

Voir aussi

Article connexe

Bibliographie

  • Charles Bastide-Fouque, Le cours de Marseille, un exemple de l’embellissement des villes au XVIIe siècle, mémoire de master, Université Aix-Marseille, 2014, 2 vol., 236 p.

Références

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