Démocrate fédéraliste indépendant

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Démocrate fédéraliste indépendant (DéFI) est un parti politique belge francophone anciennement connu sous le sigle Front démocratique des francophones (FDF) de 1964 à janvier 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis Fédéralistes démocrates francophones jusqu'en novembre 2015<ref name=":1">Modèle:Lien web.</ref>.

Il fut créé en 1964 pour assurer la défense des intérêts et des droits des francophones, dans la région de Bruxelles-Capitale et dans la Périphérie bruxelloise, mais également en Wallonie, où le parti dispose de cinq fédérations provinciales<ref>Le parti avait déjà fait des tentatives d'implantation dans le Brabant wallon et dans le Hainaut, aux élections de 1991 notamment.</ref>. Il se classe au centre sur l'échiquier politique<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref name="kaz" /> même s'il se revendique comme libéral-social<ref name=":2" />.

Histoire

Origines

Il fut créé le Modèle:Date-, en réaction à l'établissement des frontières linguistiques en Belgique en 1963, par André Lagasse, René Bourgeois, Paul Brien, Léon Defosset, Jean Hoffman, Marcel Hombert, Victor Laloux, Marcel Lengrand, Léopold Molle, Lucien Outers, Eugène Pauly , Marcel Thiry et Georges Avelange, treize personnes issues, d'une part, des différents mouvements wallons, d'autre part, du Rassemblement pour le Droit et la Liberté et du Bloc de la Liberté Linguistique <ref>Pascal Delwit, La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours, Bruxelles, Éditions de l'Université de Bruxelles, 2010, Modèle:P.</ref>. Le groupe de fondateurs qui s'élève contre la « tyrannie linguistique » se nomme originellement « Front démocratique des francophones de Bruxelles » puis en tant que parti Front démocratique des francophones<ref name="dujardin">Vincent DUJARDIN, Vincent DELCORPS, FDF : Modèle:Nombre d’engagement politique, Éditions Racine, Bruxelles, Modèle:P..</ref>,<ref>Pascal Delwit, La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours, Bruxelles, Éditions de l'Université de Bruxelles, 2010, Modèle:P..</ref>.

Association avec le RW (1964-1992)

Fichier:FDF.png
Un logo du FDF.

Pendant longtemps, le FDF collabore avec le Rassemblement wallon, un parti autonomiste wallon, avec lequel il forme un groupe parlementaire commun et présente des listes communes lors des élections européennes par exemple.

Plusieurs personnalités marquantes de la vie politique belge furent les fondateurs du FDF en 1964. Parmi ceux-ci, Paul Brien, André Lagasse, Lucien Outers ou Marcel Thiry ont contribué aux débats démocratiques fondateurs des grands changements institutionnels belges qui ont permis l'émancipation de Bruxelles et de la Wallonie comme régions à part entière au sein de la Belgique fédérale.

Dans la nuit du vendredi Modèle:Date- au samedi Modèle:Date-, un militant FDF, Jacques Georgin, collait des affiches avec trois compagnons dans une artère de Laeken, lorsqu'il fut attaqué par une dizaine de militants du Vlaamse Militanten Orde. Il devait mourir quelques minutes plus tard, victime de la violence des coups reçus.

De 1977 à 1980 le FDF participe à deux gouvernements fédéraux dirigés par Leo Tindemans, puis Wilfried Martens.

Une personnalité remarquée du FDF fut Roger Nols, bourgmestre de Schaerbeek durant une vingtaine d’années, pendant lesquelles il a marqué la vie politique du pays, notamment au cours des années 1970, époque où il militait pour le FDF dans l’affaire des guichets de SchaerbeekModèle:Référence souhaitée. En 1982, les dérives politiques xénophobes de Roger Nols furent telles que Lucien Outers, alors président du FDF, dû constater qu'il ne pouvait plus appartenir à son parti.

Au sein de la famille libérale wallonne (1992-2011)

À la suite de l'introduction de nouvelles règles de financement public des partis politiques qui le font désormais dépendre de sa présence au Sénat, où il ne dispose que d'un seul siège et n'est pas sûr de le conserver, le FDF forme dès 1992 avec le Parti réformateur libéral une fédération, qui se traduit par des cartels électoraux à diverses élections régionales et législatives, ainsi que dans plusieurs communes (mais pas toutes) à l'occasion des élections communales.

Le Modèle:Date-, le FDF constitue le Mouvement réformateur avec le Parti réformateur libéral, le Mouvement des citoyens pour le changement et le Partei für Freiheit und Fortschritt (parti libéral germanophone)<ref>Nicolas Dedecker, « Le Mouvement réformateur (MR) », in Pascal Delwit, Jean-Benoit Pilet, Émilie van Haute (eds), Les partis politiques en Belgique, Bruxelles, Éditions de l'Université de Bruxelles, 2011, Modèle:P..</ref>.

Le Modèle:Date-, le président sortant Olivier Maingain a été réélu à la tête de son parti.

Dès novembre 2009, le FDF crée des représentations provinciales à dans les provinces de Liège, Namur, Hainaut et Luxembourg en plus de celle existant déjà en Brabant wallon. Des sections ont été créées à Hannut, Huy-Waremme, Liège, Ottignies, Ecaussinnes, Charleroi et Libramont-Chevigny.

La problématique de Bruxelles-Hal-Vilvorde (dont le résultat des négociations est attendu le 19 avril 2010) a remis les fédéralistes francophones sur le devant de la scène. Les Fédéralistes démocrates francophones s'opposent au confédéralisme de la N-VA, qu'ils voient comme l'antichambre du séparatisme<ref>Dessine-moi un plan B, Robert Van Apeldoorn, Trends Tendances, 4 novembre 2010.</ref>.Selon les professeurs de la KUL André Decoster et Stef Proost<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la régionalisation de l’impôt des personnes physiques, dans les cartons de l’ensemble des partis flamands, ne serait « économiquement pas efficace », car cela conduirait à une hausse globale de l’imposition et à des décisions inefficaces. En effet, l'existence d'une base taxable séparée pour la Région et le Fédéral implique des interactions verticales comme le fait que des décisions fédérales opérant sur cette base taxable peuvent avoir un impact sur les recettes régionales et inversement.

Modèle:Refnec,Modèle:Précision nécessaire.

Protestant contre la non-nomination des quatre bourgmestres des communes à facilités de la périphérie bruxelloise, ayant enfreint selon le gouvernement flamand la loi électorale, ce qu'ils considèrent être un déni de démocratie, les Fédéralistes démocrates francophones interpellent l'Union européenne, le Conseil de l'Europe et le Conseil des droits de l'homme de l'ONU<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sortie du MR (depuis 2011)

En septembre 2011, le FDF décide de quitter la coalition MR à la suite de la décision du MR d'accepter une scission partielle de l'arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Aux yeux du FDF, les compensations pour les francophones de Belgique sont insuffisantes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ainsi, le dimanche 25 septembre 2011 en soirée, les membres du FDF se sont réunis en Conseil général et ont voté à l'unanimité moins trois abstentions leur départ du Mouvement Réformateur<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Depuis le départ du FDF du MR, le parti amarante est la cinquième force politique francophone en Belgique et le quatrième parti bruxellois, à égalité avec le CDH (onze députés chacun).

En septembre 2011, le parti faisait état de plus de Modèle:Nombre. Des fédérations provinciales ainsi que des sections locales et d'arrondissements couvrent l'ensemble de la Wallonie et de Bruxelles. À la suite de la rupture avec le MR, une importante augmentation des adhésions au sein du parti se déroula durant une quinzaine de jours, à raison de 50 à 60 demandes d'adhésion par jour, toujours selon le partiModèle:Citation nécessaire. Olivier Maingain a précisé lors du Congrès du FDF du 9 octobre 2011 que des listes FDF seront présentes dans toutes les provinces de Wallonie ainsi que dans les villes et communes où le parti est bien implanté, comme à Charleroi, en vue des élections communales et provinciales de 2012. En outre, le président du parti a annoncé la tenue d'un congrès doctrinal le 15 janvier 2012, en vue de redéployer le parti et d'apporter la réponse du parti aux grands enjeux institutionnels, sociétaux et socio-économiques<ref>Modèle:Lien web.</ref> et de préparer la campagne pour les élections d'octobre 2012.

En Modèle:Date-, Olivier Maingain est réélu à la présidence du FDF pour un septième mandat consécutif. Des présidences régionales sont également créées, avec l'élection de Caroline Persoons à la présidence bruxelloise, de Christian Van Eyken à la présidence de la périphérie et de Hugues Lannoy à la présidence wallonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Changement de nom

Le parti par l'entremise de son président envisage le changement de nom du parti<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La consultation des militants en internes appuie cette décision. Un nouveau nom, DéFI (pour Démocrate fédéraliste indépendant), est officialisé le 13 novembre 2015Modèle:Référence nécessaire.

Idéologie et positionnement politique<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>

Modèle:...

Le parti se définit comme libéral, progressiste et pro-européen. Il a, à ses débuts, rassemblé des personnalités issues de différents courants politiques belges (libéraux, chrétiens, socialistes voire communistes). Depuis quelques années, il a mis au centre de son programme la laïcité et le libéralisme-social<ref name=":0" />. Sur l'échiquier politique, il se veut plus humaniste<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref> et plus indépendant vis-à-vis du nationalisme flamand que le MR<ref name=":2">Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>, avec qui il formait un cartel jusqu'en 2012. Défi décrit ses idéaux et engagements fondamentaux dans sa Charte.

Organisation

Présidence du parti

Liste des présidents du parti depuis sa création<ref>Vincent DUJARDIN, Vincent DELCORPS, FDF : Modèle:Nombre d’engagement politique, Éditions Racine, Bruxelles, Modèle:P..</ref>.

Centre d'études Jacques Georgin

Le Centre d'études de DéFI est le Centre d'études Jacques Georgin, du nom d'un militant FDF tué par des extrémistes flamands du Vlaamse Militanten Orde le 12 septembre 1970.

Organisation de jeunesse

Modèle:Article détaillé Les Fédéralistes démocrates francophones ont créé en 1966 une organisation de jeunesse, les Jeunes FDF<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le 4 décembre 2015, les Jeunes FDF, réunis en Assemblée générale, votent à l’unanimité pour le changement de nom de leur association. Jeunes FDF devient alors DéFI Jeunes. Ce changement répond à la volonté d’être partie prenante des évolutions du parti DéFI. Jérôme De Mot est confirmé comme président et devient donc le premier président de DéFI Jeunes. Deborah Lorenzino, conseillère communale à Schaerbeek lui succède le 23 septembre 2016<ref>Modèle:Lien web.</ref> et ce, jusqu'au 9 novembre 2019. En novembre 2019, une nouvelle équipe est élue à la tête de DéFI jeunes. Antoine Couvreur en prend la tête comme Président<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Membres

Modèle:Catégorie détaillée

Personnalités politiques passées et présentes du FDF/DéFI

Modèle:Début de colonnes

Modèle:Fin de colonnes

Députés fédéraux

Bourgmestres, échevins et présidents du CPAS

Modèle:Début de colonnes Communes disposant d'un bourgmestre DéFI :

  • Auderghem
    • Didier Gosuin, bourgmestre en titre
      • Alain Lefebvre
      • Bruno Collard
      • Jeannine Crucifix
      • Sophie de Vos
      • Christian Coppens
      • Eloïse Defosset
      • Florence Couldrey
      • Jean-Claude Vitoux, président du CPAS

Modèle:Fin de colonnes Autres communes bénéficiant d'au moins un échevin (ou président du CPAS): Modèle:Début de colonnes

Modèle:Fin de colonnes

Députés régionaux

Modèle:Article détaillé

Le parti DéFI dispose de Modèle:Nombre au Parlement de la région de Bruxelles-Capitale, de trois députés au Parlement de la Communauté française de Belgique

  1. Élu de Bruxelles-Capitale député de la Communauté française Nicole Nketo Bomele
  2. Élu de Bruxelles-Capitale député de la Communauté française Sadik Koksal
  3. Élu de Bruxelles-Capitale Marie Nagy, cheffe de groupe adjointe au Parlement francophone bruxellois - chargée des matières environnementales
  4. Élu de Bruxelles-Capitale Emmanuel De Bock, chef de groupe au Parlement régional bruxellois
  5. Élu de Bruxelles-Capitale député de la Communauté française Michaël Vossaert, chef de groupe au Parlement de la Communauté française et président de la Commission des Affaires économiques et de l'emploi du Parlement régional bruxellois
  6. Élu de Bruxelles-Capitale Ariane de Lobkowicz-d'Ursel
  7. Élu de Bruxelles-Capitale Marc Loewenstein
  8. Élu de Bruxelles-Capitale Christophe Magdalijns
  9. Élu de Bruxelles-Capitale Joëlle Maison, ancienne cheffe de groupe au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles
  10. Élu de Bruxelles-Capitale Jonathan de Patoul

Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale

Depuis 2014, le parti DéFI est associé au gouvernement de la région de Bruxelles-Capitale faisant partie de la majorité PS-cdH-OpenVLD-sp.a-CD&V du Gouvernement Vervoort II avec Didier Gosuin comme ministre de l'Emploi et de l'Économie, et Cécile Jodogne comme secrétaire d'État au Commerce extérieur, de 2014 à 2019 Après les Élections régionales belges de 2019, DéFI reste dans la majorité, au sein du Gouvernement Vervoort III avec Bernard Clerfayt reprenant le poste de Didier Gosuin

Résultats électoraux

Parlement fédéral

Année Chambre des représentants Sénat Gouvernement
Voix % Sièges<ref name="dujardin" /> Voix % Sièges<ref name="dujardin" />
1965 74 675 1,4 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1968 154 023 2,9 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 293 433<ref group="n">Avec le Rassemblement wallon et le PDLD.</ref> 5,7 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1971 286 639<ref name="RW" group="n">Avec le Rassemblement wallon.</ref> 5,4 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 598 768<ref name="RW" group="n" /> 11,5 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1974 301 303<ref group="n">Avec le PLDP.</ref> 5,7 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 589 553<ref group="n">Avec le PLDP et le Rassemblement wallon.</ref> 11,4 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1977 263 104<ref name="RW" group="n" /> 4,7 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 246 367 4,5 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges [[Gouvernement Tindemans IV|Tindemans Modèle:IV]]
1978 259 019<ref name="RW" group="n" /> 4,7 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 266 713<ref name="RW" group="n" /> 4,9 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges [[Gouvernement Vanden Boeynants II|Vanden Boeynants Modèle:II]] (1978-1979), [[Gouvernement Martens I|Martens Modèle:Rom-maj]] (1979-1980), opposition (1980-1981)
1981 253 720<ref name="RW" group="n" /> 4,2 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 255 727<ref name="RW" group="n" /> 4,3 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1985 72 361 1,2 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 70 239 1,2 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1987 71 338 1,2 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 77 522 1,3 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1991 90 813<ref name="PPW" group="n">Avec le PPW.</ref> 1,5 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 86 026<ref name="PPW" group="n" /> 1,4 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1995 au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1999 au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Verhofstadt I
2003 au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Verhofstadt II
2007 au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Verhofstadt III (2007-2008), Leterme I (2008), Van Rompuy (2008-2009), Leterme II (2009-2010)
2010 au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2014 121 384 1,8 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2019 150 394 2,22 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition

Parlement européen

Modèle:... Résultats dans le collège francophone.

Année Voix % Sièges Groupe
1979 414 603 19,7 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges NI
1984 142 879 6,4 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
1989 85 867 3,8 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
1994 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges ELDR
1999 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
2004 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
2009 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
2014 82 631 3,4 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
2019 144,555 5,92 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

Entités fédérées

Parlement wallon

Année Voix % Sièges Gouvernement
1995 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1999 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2004 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2009 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2014 51 543 2,6 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
2019 84 219 4,14 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale

Année Voix % Sièges<ref name="dujardin" /> Gouvernement
1989 64 489 14,7 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Picqué I
1995 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Picqué II
1999 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Simonet I (1999-2000), Donnea (2000-2003), Ducarme (2003-2004) et Simonet II (2004)
2004 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2009 Au sein du MR Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2014 60 611 14,8 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Vervoort II
2019 53 638 13,81 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Vervoort III

Parlement flamand

Année Voix % Sièges Gouvernement
1995 Au sein de l'UF Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
1999 Au sein de l'UF Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2004 Au sein de l'UF Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2009 Au sein de l'UF Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2014 Au sein de l'UF Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2019 Au sein de l'UF Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail