Eyvirat

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Modèle:Infobox Ancienne commune de France

Eyvirat est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Au Modèle:Date-, elle est intégrée à la commune nouvelle (élargie) de Brantôme en Périgord en tant que commune déléguée.

Géographie

Généralités

Dans la moitié nord du département de la Dordogne, en Périgord central, la commune déléguée d'Eyvirat s'étend sur Modèle:Unité. Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux<ref>Modèle:Lien web.</ref>, elle est située sur les hauteurs entre les vallées de la Côle et de la Beauronne. La commune possède une diversité de paysages allant de zones agricoles à des zones boisées parcourues par trois circuits de randonnées.

L'altitude minimale avec Modèle:Unité se trouve localisée au sud-ouest, au sud du lieu-dit le Méneyplé, là où le Maret Modèle:Incise quitte la commune et entre sur celle d'Agonac. L'altitude maximale avec Modèle:Unité est située au nord-est du bourg, au niveau du château d'eau<ref>Modèle:Géoportail.</ref>. Sur le plan géologique, le sol se compose principalement de calcaires du Crétacé, et au nord-est et au sud-est, de sables, d'argiles ou de graviers du Pléistocène<ref>Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

À l'écart des routes principales, le bourg d'Eyvirat est situé en distances orthodromiques, neuf kilomètres au sud-est de Brantôme, et quinze kilomètres au nord de Périgueux, la préfecture. Le territoire communal est cependant desservi par les routes départementales 3, 69 et 74.

Communes limitrophes

En 2018, année précédant son intégration à la commune nouvelle de Brantôme en Périgord, Eyvirat était limitrophe de six autres communes.

Modèle:Communes limitrophes

Urbanisme

Villages, hameaux et lieux-dits

La situation géographique d'Eyvirat favorise la poursuite de l’évolution de la commune : de nombreuses maisons se sont construites autour des hameaux existants permettant ainsi leur aménagement.

Outre le bourg d'Eyvirat proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits<ref>Modèle:Géoportail</ref> : Modèle:Liste horizontale

Toponymie

La première mention écrite connue du lieu apparaît dans un pouillé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, sous la forme latinisée Eyviracum<ref name=Gourgues>Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Eyvirat », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.</ref> ; on trouve ensuite Ebiracam en 1281 puis Esviracam en 1460<ref name=Gourgues/>. L'origine du nom correspond à un nom de personne d'origine gauloise, Eburius, auquel est apposé le suffixe –acum, indiquant le « domaine d'Eburius », cohérent avec les traces de vie gallo-romaine retrouvées sur le site<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom d'Eyvirac<ref>Modèle:Géoportail.</ref>.

En occitan, la commune porte le nom d'Modèle:Lang<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Eivirac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 28 septembre 2021.</ref>.

Histoire

Modèle:Référence nécessaire.

La commune est située dans une région riche en histoire (Agonac, Bourdeilles, Brantôme). Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Eyvirat était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac<ref>Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.</ref>.

Au Modèle:Date-, la commune fusionne avec six autres communes pour former la commune nouvelle (élargie) de Brantôme en Périgord<ref name=création>Modèle:Lien web</ref>. À cette date, les sept communes fondatrices deviennent communes déléguées.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune d'Eyvirat (appelée dans un premier temps Eyvirac) a été rattachée, dès 1790, au canton d'Agonat qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Agonat en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme dépendant de l'arrondissement de Périgueux<ref name=Cassini/>.

En 2017, Eyvirat est rattachée à l'arrondissement de Nontron<ref name=Communes>Modèle:Pdf « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.</ref>,<ref>Modèle:Pdf Anciens et nouveaux arrondissements au Modèle:1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.</ref> et en 2020 le canton de Brantôme est renommé canton de Brantôme en Périgord.

Intercommunalité

Le Modèle:Date-, la commune adhère à la communauté de communes du Brantômois. Celle-ci disparaît le Modèle:Date-, remplacée au Modèle:Date- par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Dronne et Belle.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2011, onze conseillers municipaux ont été élus en 2014<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 novembre 2018.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 11 novembre 2018.</ref>. Ceux-ci sont membres d'office du conseil municipal de la commune nouvelle de Brantôme en Périgord, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020.

Liste des maires puis maires délégués

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Instances judiciaires

Dans les domaines judiciaire et administratif, Eyvirat relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :

Population et société

Démographie

Modèle:Articles connexes

Les habitants d'Eyvirat se nomment les Eyviracois<ref>Fiche commune Eyvirat, Union des maires de la Dordogne, consultée le 22 novembre 2016.</ref>.

En Modèle:Population de France/dernière année, dernière année en tant que commune indépendante, Eyvirat comptait Modèle:Nombre. À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les recensements des communes de moins de Modèle:Unité ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014 pour Eyvirat<ref>Modèle:Lien web</ref>). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales.

Au Modèle:Date-, la commune déléguée d'Eyvirat compte Modèle:Nobr<ref>Modèle:Pdf Populations légales 2020 à compter du Modèle:Date- - Fichier Dordogne, Modèle:P. sur le site de l'Insee, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Oscillant entre 500 et 700 habitants depuis la Révolution (avec un maximum à 667 en 1856) jusqu'à la veille de la Première Guerre mondiale, la population de la commune a ensuite décru régulièrement pour atteindre son minimum en 1975 avec 234 habitants. Depuis, elle progresse lentement.

Enseignement

Eyvirat et Lempzours qui n'ont plus d'école sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) au niveau des classes de maternelle et de primaire avec La Chapelle-Faucher, Saint-Front-d'Alemps et Saint-Pierre-de-Côle.

Économie

Les données économiques d'Eyvirat sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Brantôme en Périgord.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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}}

}}<ref>Inventaire général du patrimoine culturel, Modèle:Base Mérimée, consultée le 13 décembre 2018.</ref>.

Patrimoine culturel

Tradition populaire :

La tradition de la rosière est née sous Louis XIII. Oubliée de la population, elle ressurgit en 1886, quand Élie Boutier, un habitant d'Eyvirat, du petit village de Piras, s'est inspiré de cette tradition dans son testament. Il donne alors pouvoir au maire de récompenser une jeune fille de la commune, digne d'éloges, et lègue à la commune une somme de Modèle:Nombre. Ce pactole constituera un « trésor de guerre » pour Eyvirat. La rosière a alors obligation d'entretenir la tombe de la famille du testateur. Le premier couronnement a eu lieu en 1891 et se déroule depuis, le deuxième dimanche d'août.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Portail