La Chapelle-Faucher
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
La Chapelle-Faucher est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
La Chapelle-Faucher est une commune du nord de la Dordogne, en Périgord central, traversée d'est en ouest par la Côle, un important affluent de la Dronne.
À moins d'un kilomètre de la route départementale Modèle:Nobr et traversé par la Modèle:Nobr, le petit bourg de La Chapelle-Faucher est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'est de Brantôme et quatorze kilomètres au sud-ouest du centre-ville de Thiviers.
Le territoire communal est également desservi au nord-est par la Modèle:Nobr.
Communes limitrophes
La Chapelle-Faucher est limitrophe de six autres communes.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Chapelle-Faucher est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2a, date du Turonien inférieur, composée de calcaire crayeux blanchâtre en plaquettes ou noduleux. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « Modèle:N° - Thiviers » et « Modèle:N° - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et leurs notices associées<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Côle et divers petits cours d'eau qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Côle, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Firbeix et se jette dans la Dronne en rive gauche, en limite de Brantôme en Périgord et de Condat-sur-Trincou<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse la commune d'est en ouest sur plus de cinq kilomètres, servant de limite naturelle sur plus d'un kilomètre et demi, en deux tronçons, face à Saint-Pierre-de-Côle à l'est et Condat-sur-Trincou à l'ouest.
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La Côle au bas du bourg de La Chapelle-Faucher.
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Idem, en période de crue.
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Réseaux hydrographique et routier de la Chapelle-Faucher.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
La Chapelle-Faucher est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (36,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,5 %), terres arables (4,7 %), prairies (1,5 %), zones urbanisées (1,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de La Chapelle-Faucher est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Côle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1999 et 2021<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
La Chapelle-Faucher est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 58,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - La Chapela Fouchier sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.</ref>.
Histoire
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, un moine nommé Fulchurius bâtit un édifice religieux<ref name=nom>Panneau d'information à l'extérieur de l'église, à côté du portail</ref>. Il est à l'origine du nom du village<ref name=nom/> qui s'appellera successivement Chapelle Fulchurius, puis La Chapelle Fulchier, La Chapelle Fouchet sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, et aujourd'hui La Chapelle-Faucher.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, La Chapelle-Faucher et Jumillac-le-Petit étaient deux des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac<ref>Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.</ref>.
Pendant la Guerre de Cent Ans, le Prince Noir incendia le village qui resta inoccupé une centaine d'années<ref name=nom/>.
En 1569, l’armée des protestants de l’amiral de Coligny fit enfermer 300 paysans dans le château et y mit le feu en représailles aux attaques subies par l'armée protestante<ref>Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, page 161, Éditions Ouest France, 1987</ref>.
En 1827, la commune de Jumillac-de-Cole (village qui s'appelle de nos jours Petit Jumilhac) fusionne avec La Chapelle-Faucher.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune est rattachée du canton de Champagnac-de-Belair Modèle:Incise qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Nontron<ref name=Cassini/>.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 août 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, La Chapelle-Faucher relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Les habitants de La Chapelle-Faucher se nomment les Chapellois<ref>Fiche commune La Chapelle-Faucher, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.</ref>.
Démographie de Jumillac-de-Cole
Jusqu'en 1827, les communes de Jumillac-de-Cole et La Chapelle-Faucher étaient indépendantes.
{{#invoke:Démographie|demographie}}
Démographie de La Chapelle-Faucher
Modèle:Population de France/section
Remarque
La fusion des deux communes en 1827 a abouti à un apogée autour de 900 habitants qui a duré environ un demi-siècle (maximums : 923 habitants en 1836 et 921 en 1866). C'est ensuite un lent déclin qui continue au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle avec le plus bas niveau enregistré en 2006 (372 habitants).
Cultes
L'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption dépend du diocèse de Périgueux et Sarlat.
La chapelle orthodoxe Notre-Dame de la Sainte-Trinité dépend de l'Église syriaque orthodoxe antiochienne.
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de la Chapelle-Faucher (24107) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 42,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (seize) a augmenté par rapport à 2010 (douze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,9 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte trente-quatre établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont onze au niveau des commerces, transports ou services, six dans la construction, six dans l'industrie, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale<ref>Dossier complet - Commune de la Chapelle-Faucher (24107) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.</ref>.
Entreprises
Dans le secteur de l'industrie, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Barbarie » (fabrication de palettes) située à La Chapelle-Faucher se classe en Modèle:22e quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec Modèle:Unité<ref>« Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>. Tous secteurs confondus, elle figure parmi les cinquante premières de la Dordogne, quant au chiffre d'affaires à l'exportation, se classant Modèle:24e avec Modèle:Unité<ref>« Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>.
Tourisme
À compter du Modèle:Date- et pour une durée de cinq ans, La Chapelle-Faucher est déclarée commune touristique, en même temps que cinq autres communes de la communauté de communes Dronne et Belle : Bourdeilles, Brantôme en Périgord, Mareuil, Saint-Crépin-de-Richemont et Villars<ref>Préfecture de la Dordogne, « Arrêté Modèle:N° du Modèle:Date- prononçant dénomination commune touristique 6 communes membres CC Dronne Belle », Recueil des actes administratifs de la Dordogne normal Modèle:N°, août 2016, Modèle:P..</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame-de-L'Assomption, inscrite aux monuments historiques depuis 1938. Bâtie au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il s'agissait d'un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Charroux<ref name=nom/>. Lors de l'incendie du village par les troupes du Prince Noir pendant la Guerre de Cent Ans<ref name=nom/>, elle fut pillée et partiellement détruite et ne fut reconstruite qu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, plus de 100 ans après.
- Ruines de la chapelle Saint-Roch, au cimetière du bourg
- Église romane de Petit Jumilhac du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, inscrite aux monuments historiques depuis 1948
- Prieuré Notre-Dame de Puymartin (en ruines), {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXIII
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}}, inscrit aux monuments historiques depuis 1948, propriété privée
- Église orthodoxe Notre-Dame de la Sainte-Trinité - Ermitage de Saint-Colomban<ref>Ermitage Saint-Colomban</ref>(église malankare orthodoxe syrienne).
-
L'église Notre-Dame de l'Assomption. -
Vierge à l'enfant sculptée au-dessus du portail de l'église. -
Vitrail représentant Saint-Pierre (église Notre-Dame de l'Assomption). -
Les vestiges de la chapelle Saint-Roch. -
L'église de Petit Jumilhac. -
Les ruines du prieuré de Puymartin. -
Clocher-mur du prieuré avec modillon sculpté. -
L'église orthodoxe Notre-Dame de la Sainte-Trinité.
- Château de La Chapelle-Faucher, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, classé monument historique depuis 2001, (en remplacement de l'inscription datant de 1948<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>), y compris le pigeonnier situé à côté du pont sur la Côle, propriété privée
- Manoir de Boslaurent, propriété privée
- Manoir de Las Font, propriété privée
- Plusieurs anciens moulins établis sur la Côle
- Falaise de Rochecaille surplombant la Côle
- Site de las Font (ou las Fons), inscrit depuis 1992<ref>Modèle:Pdf DIREN Aquitaine - Site de Las-Fons</ref>
-
Le château de La Chapelle-Faucher. -
Le châtelet d'entrée du château. -
Le pigeonnier du château. -
Le manoir de Boslaurent. -
Le manoir de las Font. -
L'ancien moulin de las Font. -
La falaise et les grottes de Rochecaille. -
Le lavoir sur la Côle.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Communauté de communes Dronne et Belle
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Liste des demeures de la Dordogne
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes