Bergerac (Dordogne)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Bergerac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Classée ville d'art et d'histoire, elle est la deuxième ville du département en population, légèrement moins peuplée que la préfecture Périgueux. Chef-lieu de l'arrondissement de Bergerac et bureau centralisateur de deux cantons : Bergerac-1 et Bergerac-2, elle est l'une des trois sous-préfectures du département.
Géographie
Situation
La ville est située dans le Périgord pourpre, sur la Dordogne. Elle est également arrosée par ses affluents le Caudeau et la Conne.
La ville se trouve entre Bordeaux (Modèle:Unité à l'ouest), Périgueux (Modèle:Unité au nord), Agen (Modèle:Unité au sud), et Cahors (Modèle:Unité au sud-est). Libourne est à Modèle:Unité à l'ouest.
Le parc naturel régional des Causses du Quercy est à Modèle:Unité à l'est, celui du Périgord-Limousin à Modèle:Unité au nord<ref name="googlemapsDstnceBergerac">Modèle:Lien web.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "itinéraires".</ref>.
Avec Modèle:Unité, c'est la onzième commune la plus étendue de la Dordogne.
Communes limitrophes
Bergerac est limitrophe de dix autres communes.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bergerac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5e, date du Modèle:Nobr, des calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « Modèle:N° - Bergerac » et « Modèle:N° - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et leurs notices associées<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Dordogne, le Caudeau, la Conne, la Gouyne, le Marmelet, le ruisseau de Lespinassat, la Tortefeyssole, le Gaillardet, le ruisseau de Gabanelle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Dordogne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (Modèle:Unité), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse la commune d'est en ouest sur plus de huit kilomètres dont un kilomètre, en deux tronçons, en limite de Cours-de-Pile et de Prigonrieux.
Le Caudeau, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite, sur la commune, juste en aval du barrage de Bergerac<ref>Modèle:Sandre</ref>. Il baigne le territoire communal du nord-est à l'ouest sur huit kilomètres et demi.
La Conne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Faux et se jette dans la Dordogne en rive gauche, sur la commune<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle arrose le territoire communal sur plus de quatre kilomètres et demi dont deux kilomètres et demi face à Cours-de-Pile.
La Gouyne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Ginestet et se jette dans la Dordogne en rive droite à Prigonrieux, face à Lamonzie-Saint-Martin<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle marque la limite territoriale sur quatre kilomètres au nord-ouest et à l'ouest entre Bergerac et Ginestet puis Prigonrieux.
Le Marmelet, ou ruisseau de Ladoux dans sa partie amont, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Eyraud-Crempse-Maurens et se jette dans le Caudeau en rive droite sur la commune, Modèle:Unité en amont de la confluence Caudeau-Dordogne<ref>Modèle:Sandre</ref>. Il baigne le nord-ouest de la commune sur six kilomètres.
Affluent de rive droite du ruisseau de Ladoux, le Gaillardet borde le nord-est du territoire communal sur Modèle:Unité face à Eyraud-Crempse-Maurens.
Autre affluent de rive droite du Caudeau, le Tortefeyssole arrose le nord de la commune sur plus de deux kilomètres dont Modèle:Nobr en limite de Lembras.
Deux autres affluents de rive gauche de la Dordogne baignent le territoire communal au sud : le ruisseau de Lespinassat sur cinq kilomètres et, plus à l'ouest, le ruisseau de Gabanelle sur quatre kilomètres dont un kilomètre et demi en limite de Saint-Laurent-des-Vignes.
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La Dordogne à Bergerac.
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Le Caudeau, juste avant sa confluence avec la Dordogne.
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La Conne en aval du pont de la Modèle:Nobr.
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La branche orientale du Marmelet au pont de la Modèle:Nobr.
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Réseaux hydrographique et routier de Bergerac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1988 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Climat
Dans le département de la Dordogne, Bergerac cumule trois records météorologiques<ref>« Les records météo absolus enregistrés en Périgord », Sud Ouest édition Dordogne, 22 février 2018, Modèle:P., d'après Météo France - Centre météorologique d'Agen.</ref> :
- la température journalière la plus basse le Modèle:Date-, avec Modèle:Tmp ;
- l'année la plus sèche en 1989 avec Modèle:Unité de pluie ;
- l'année la plus ensoleillée en 1989 avec Modèle:Unité de soleil.
Accès
- Paris : A10–A71–A20–A89–RD709
- Lyon : A6–A89–RN21
- Bordeaux : RN10–RN89–A89–RD709
- Toulouse : A62–RD931–RN21
Transports
Ferroviaires
Modèle:Article détaillé La gare de Bergerac est située sur la ligne Libourne - Le Buisson qui permet la liaison entre Bordeaux et Sarlat par le TER Nouvelle-Aquitaine. En 2020 près de 200 000 voyageurs ont fréquenté la gare<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Aériens
Modèle:Article détaillé L’aéroport de Bergerac-Dordogne-Périgord est relié actuellement à plusieurs villes du Royaume-Uni, à Rotterdam, à Bruxelles-Charleroi et à Porto, essentiellement grâce à des compagnies à bas prix.
Milieux naturels et biodiversité
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les Modèle:Nobr riveraines de la Dordogne, dont Bergerac<ref>- FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à [[Directive habitats#Annexe II|Modèle:Nobr]] de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées<ref>Espèces, INPN, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
ZNIEFF
Bergerac fait partie des Modèle:Nobr concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de Modèle:Nobr « La Dordogne »<ref>Modèle:Pdf - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>, dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales<ref>Espèces, INPN, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Bergerac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (19,9 %), cultures permanentes (13,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,4 %), prairies (10,1 %), terres arables (9,1 %), forêts (7,9 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Quartiers, villages, hameaux et lieux-dits
Outre la ville de Bergerac proprement dite, le territoire se compose de quartiers, de villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits<ref name="geoprtl">Modèle:Géoportail.</ref> : Modèle:Liste horizontale
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Bergerac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses, le risque industriel et la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les Modèle:Nobr (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernées par un risque de débordement de la Dordogne, un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les événements significatifs antérieurs à 2014 sont la crue de 1843 (Modèle:Unité à Bergerac, la crue de référence historique de période de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (période de retour de Modèle:Unité) et les crues de 1982 et 1994 (période de retour de Modèle:Unité). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1996, 1999, 2006, 2018 et 2020<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne - Bergeracois », couvrant Modèle:Nobr et approuvé le Modèle:Date-, pour les crues de la Dordogne<ref name="DDRM">Modèle:Lien web, liste des risques par communes, pages 111-133.</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> et du PPRI « vallée du Caudeau », couvrant Modèle:Nobr et approuvé le Modèle:Date-, pour les crues du Caudeau<ref name="DDRM" /> ,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.
Bergerac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 98 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2001<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire de deux entreprises soumises à la directive européenne SEVESO, classées seuil haut : Eurenco, dont les activités sont soumises à autorisation pour le stockage et la manipulation d'explosifs et le stockage d'acides (acide nitrique, acide sulfurique), et Manuco, achetée par le groupe Eurenco<ref>Modèle:Lien web</ref> et leader mondial pour la fourniture de nitrocellulose énergétique pour les industries de la défense, de la sécurité, de la pyrotechnie et des explosifs civils<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name=Géorisques/>. Le Modèle:Date-, quatre déflagrations soufflent un hangar de stockage de nitrocellulose de l'entreprise Eurenco, faisant huit blessés, dont un gravement. Un accident similaire avait eu lieu le Modèle:Date- où neuf cents tonnes de nitrocellulose avaient pris feu dans plusieurs bâtiments, en faisant un blessé<ref name="Monde-3aou22">Modèle:Lien web</ref>. Le règlement du plan de prévention des risques technologiques (PPRT) de la plate forme industrielle de Bergerac, regroupant les sociétés Eurenco SA, SAS Manuco et Chromadurlin, a été approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>. Une commission de suivi de site se réunit périodiquement pour en assurer le suivi<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque industriel.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe AModèle:Note situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
La localité a été successivement mentionnée sous les formes suivantes<ref>J. Castanet, Bergerac résumé historique, 1895</ref> Brageyrack (1100)<ref name=lieux/>, Braiaracum (1116)<ref name=lieux/>, Brajeracum (1122), Bragaac (1198), Brageyriacum (1207)<ref name=lieux/>, Bragiaracum (1233), Bragayriacum (1238), Brageriacum (1254), Brivairiacum (1254), Berguerac (1379), Braggeriacum et Bragerac (1388), Bragueyrac (1455), Brigrake ou Brygerake (Eulogium)<ref>Eulogium Historiarum sive Temporis)</ref>, Brageyrac (Froissart), Bregerat en 1608.
Il peut s'agir du dérivé d'un nom de personnage gallo-roman Bracarius accompagné du suffixe -acum<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref> indiquant le « domaine de Bracarius ». Le bracarius est à l'origine un nom de métier gaulois, correspondant à un fabricant de braies<ref name=lieux/>. Selon Léo Fayolle, Bergerac pourrait être issu du latin berbicaria (bergerie) mais la première syllabe du nom « Bra- » que l'on retrouve dans les différentes appellations du lieu du {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXIV
}} rend cette hypothèse peu plausible<ref name=lieux/>. Une autre possibilité serait que Bergerac a pour origine un nom de personnage germanique « Berger » signifiant montagnard<ref name=lieux/>.
En occitan, la ville porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Brageirac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>. Le linguiste et toponymiste Yves Lavalade cite également la forme Brajairac, conforme à l’étymologie ainsi qu'à la prononciation [brɒtsɒj'ra] pratiquée, entre autres, dans les alentours du village de Domme. Cette seconde graphie est d'ailleurs attestée dans des documents anciens, notamment chez le troubadour périgordin Salh d'Escola<ref>Exemple d’attestation de la forme « Brajairac » (Salh d'Escola ± 1195)</ref>.
Histoire
Bergerac est situé le long de la Dordogne et son développement est historiquement lié au transport fluvial. En effet, les fleuves ont longtemps été grâce aux gabares le moyen le plus rapide et le plus sûr de faire circuler des marchandises. À la descente, la production viticole de la région est transportée vers Bordeaux et, à la remonte, grâce aux chemins de halage, diverses denrées et des matériaux de construction. Cette activité est conséquente : par exemple, au premier semestre 1859, Modèle:Unité tonneaux de vin partent pour la capitale aquitaine depuis Bergerac et Modèle:Unité au second. Cette tradition de la batellerie décline avec l'apparition du chemin de fer et disparaît dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Lui succèdent les bateaux-sabliers au milieu du siècle puis le tourisme fluvial depuis la fin du siècle, représenté notamment à Bergerac par des balades à bord de gabares<ref>Jacques Reix, La Dordogne batelière. Images au fil de l'Onde, Les Dossiers d'Aquitaine, 2010, p. 5-25, 40-42, 66-69 et 79-80.</ref>.
Préhistoire
- À Corbiac (à environ Modèle:Unité au nord-est de Bergerac, à moins de Modèle:Unité du Caudeau qui forme la limite de communes avec Lembras<ref name="geoportlCorbiacHydro">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).</ref>), la pelouse du château est un gisement préhistorique avec quatre couches de Périgordien et une couche sous-jacente de Moustérien de tradition acheuléenne (MTA). La dernière couche déposée (couche supérieure) de Périgordien et celle de MTA sont particulièrement riches. La couche supérieure de Périgordien a livré plus de Modèle:Unité en plus des lames<ref name="1970bordes105">Modèle:Article, Modèle:P..</ref> (plus de Modèle:Nb<ref name="1970bordes113">Modèle:Harvsp.</ref>), nucléus et éclats, à partir desquels François Bordes invente en 1970 le « burin de Corbiac », un burin triédrique sur tranchant<ref name="1970bordes105"/>. Le site a aussi fourni des lames à encoches proximales ou distales (que Bouyssonie avait prises pour des pendeloques)<ref name="1970bordes113"/> et les plus grandes pointes de la Gravette connues, à l'époque de la découverte du site<ref name="vid">Modèle:Lien web.</ref>, dont l'analyse a permis à M. O'Farrell de déterminer des différences notables entre les techniques de chasse du Gravettien et celles de l'Aurignacien<ref name="2004ofarrellResume">Modèle:Article.</ref>. La très grande quantité de pièces lithiques au Périgordien évolué désigne le site comme un atelier de taille du silex, la région étant connue pour l'abondance et la qualité de ses gîtes à silex<ref name="2004ofarrellR122">Modèle:Harvsp.</ref>.
- Les vestiges d'un village néolithique datant de Modèle:Nb à Modèle:Unité sont découverts dans le quartier des Vaures à Bergerac. Plus de vingt habitations sont mises au jour, montrant des plans rectangulaires mais aux extrémités convexes, longues de Modèle:Unité, larges de Modèle:Unité, reposant sur des fondations de bois dont seules subsistent aujourd'hui les traces négatives. Leurs toits, à double pente, étaient probablement réalisés en matériaux végétaux. On y trouve aussi un long four à pierres chauffées de forme et de procédé uniques pour l'époque, notamment en France. Sont également présents des préformes de haches et de haches polies, de grattoirs, de perçoirs, de couteaux, de pointes de flèches tranchantes réalisés dans le silex du Bergeracois, des fragments de céramiques, des meules à grains, des polissoirs et des outils en os<ref name="bergerac">Modèle:Lien web.</ref>.
Moyen Âge
- Sur le site du Bout-des-Vergnes, les sépultures d'une nécropole mérovingienne des {{#switch: VI
| e | er | = {{#switch: VI
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: VI|-| – | VI }}Modèle:S mini siècle{{{3}}}
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: VI|-| – | VI }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}} sont mises au jour en 2012 lors du chantier de la rocade ouest de Bergerac<ref>« Retard pour la rocade Ouest de Bergerac », Sud Ouest édition Dordogne, 23 novembre 2012.</ref>.
- En 1254, Bergerac accède à l'autonomie communale. De 1322 à 1904, la municipalité siège dans l'ostal Malbec, place de la Halle (actuelle place Malbec), dans un bâtiment détruit en 1908. Le nouvel hôtel de ville est situé rue Neuve-d'Argenson : il est construit à l'emplacement de l'ancienne maison des Dames de la foi, un couvent fondé en 1678 et dédié aux malades, aux pauvres et à l'enseignement, détruit sous la Révolution, remplacé par un hôpital public que fit construire Joseph Lakanal sous le même régime et qui y restera jusqu'en 1895, avant que ses murs n'accueillent depuis la municipalité<ref>Plaque explicative du parcours historique « Pas de Cyrano », située place Doublet.</ref>.
- Situées rue d'Albret, les maisons dites des Consuls sont typiques des édifices bourgeois du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Leur rez-de-chaussée en arcades servaient d'écuries, d'entrepôts, d'ateliers ou de boutiques, les appartements privés se trouvant à l'étage, sains, confortables et fonctionnels. Les baies qui ornaient ces derniers ont été remplacées au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par des fenêtres quadrangulaires. Le deuxième étage, moins cossu, servait aussi d'appartement, tandis que les combles abritaient logements ou lieux de stockage. Les étages ne disposant pas toujours de cheminée, les cuisines étaient généralement en rez-de-chaussée<ref>Plaque explicative du parcours historique « Pas de Cyrano », située rue d'Albret.</ref>.
- Le Modèle:Date, au début de la guerre de Cent Ans, la ville est prise d’assaut par Henry de Grosmont, comte de Derby.
- En mai 1472, le roi Louis XI confirme par lettres patentes les privilèges de la ville octroyés par ses prédécesseurs, à la suite de la mort du duc de Guyenne<ref name="1820pastoret494">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="1828pastoret463">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Époque moderne
- Le Modèle:Date, la statue de Notre-Dame est jetée dans la Dordogne par des protestants avant le passage d'Henri II<ref name="shpvd">Modèle:Lien brisé. (voir la page sur http://archive.is.)</ref>.
- En 1553, des cultes protestants publics sont attestés dans la ville<ref name="shpvd"/>.
- En 1563, Armand de Piles prend la ville, occupée par une garnison catholique laissée par Montluc ; la garnison et le curé sont exécutés le 12 mars<ref name="shpvd"/>.
- En 1565, Charles IX passe dans la ville lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume<ref>Modèle:Guerres de Religion-Miquel, Modèle:P..</ref>.
- En 1567, le pont de Bergerac est détruit pour empêcher les troupes catholiques de passer la Dordogne<ref name="shpvd"/>.
- Fin décembre 1569, Clermont de Piles réussit à reprendre la ville et massacre la garnison catholique.
- Après le massacre de la Saint-Barthélemy en 1572, Bergerac rejoint le camp militaire protestant. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, les progrès de l'artillerie conduisent un certain nombre de villes à se doter de fortifications bastionnées, dotées de bastions pentagonaux. Au-delà du périmètre de l'enceinte médiévale ({{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: XIV|-| – | XIV }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini siècle
}}) est donc aménagé à Bergerac le bastion de Bourbarraud, dit bastion des Carmes, entre 1577 et 1621, en pleines guerres de Religion. Un vestige est découvert place de la République en 2007-2008. Il passait sur le canal de dérivation du Caudeau et avait conduit à la destruction du couvent des Carmes (à l'origine situé au milieu de l'actuelle place), ses pierres servant à l'édification des fortifications<ref name="Plaque 1">Plaque explicative du parcours historique « Pas de Cyrano », située place de la République.</ref>. Le couvent est reconstruit plus bas, vers 1660 ; entre 1816 à 1866, ses bâtiments accueillent le tribunal de Bergerac, finalement détruits pour bâtir en 1867 le palais de justice qui existe encore de nos jours<ref>Plaque historique accrochée au vestige du bastion des Carmes, place de la République.</ref>.
- Le Modèle:Date, au cours des guerres de Religion, une trêve est signée à Bergerac : la paix de Bergerac.
- Le Modèle:Date, le roi Louis XIII entre à Bergerac et fait démolir les fortifications de la place de sûreté par les Huguenots. Il s'agit en effet d'une des plus importantes places fortes du Sud-Ouest protestant<ref name="Plaque 1"/>.
- En 1675, la révolte du papier timbré, révolte antifiscale du règne de Louis XIV, commencée à Bordeaux, s'étend à Bergerac qui connaît deux jours d'émeutes les 3 et 4 mai<ref name="shpvd"/>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Une troupe de cavalerie ramène l'ordre puis quitte la ville à la mi-mai.
- Le Modèle:Date, le temple est démoli<ref name="shpvd"/>.
- Le Modèle:Date, les premières compagnies de dragons arrivent à Bergerac pour convertir les huguenots. Les 23, 24 et 25 août ont lieu des dragonnades et des conversions forcées<ref>Modèle:Lien brisé. La mairie de Bergerac a cru bon de supprimer cette bonne page informative et les informations qui s'y trouvaient ne sont maintenant visibles que sur lecoindescampingcars.fr. </ref>.
- Le Modèle:Date, le roi Louis XV cède à titre d'échange à Bertrand Nompar de Caumont, marquis de la Force et de Caumont, l'entier domaine de Bergerac et les châtellenies de Maurens et de Mouleydier avec tous les droits de haute, moyenne et basse justice contre la forêt de Senonches. L'acte est définitivement confirmé par lettres patentes en octobre 1773. Quand les commissaires députés par le roi signifient ce contrat aux consuls de la ville, le Modèle:Date-, l'émotion est grande. Les notables, les bourgeois et les habitants de la ville s'indignent que le roi ait pu si légèrement disposer d'eux. La jurade du Modèle:Date- précise qu'elle va s'opposer à la consommation de cet échange. Elle produit des documents rappelant que la ville de Bergerac fait partie du domaine de la couronne qui est inaliénable et rappelle la transaction sous forme de capitulation passée le Modèle:Date- avec le duc d'Anjou, frère du roi Charles V, et les habitants, les lettres patentes du roi Charles VII, en 1451, pour réunir à nouveau à la couronne la justice de la ville, confirmées par Louis XI en 1470, et les lettres patentes d'Henri IV du Modèle:Date- confirmant l'union de la ville à la couronne de France. Malgré ces rappels, le Modèle:Date-, le roi Louis XVI ordonne l'exécution de l'échange. Le marquis de la Force est mort en 1773. La marquise, sa veuve, fait une sommation à la suite du jugement d'un procès le Modèle:Date-. Les maires et consuls réitèrent leurs protestations le Modèle:Date- contre un acte contraire aux lois du royaume. Le cahier de doléances du Modèle:Date- demande la révocation de cet échange. Avec la Révolution, cet échange va disparaître en 1790 en débarrassant la ville de son suzerain et en supprimant les dîmes féodales. Après la suppression de ses droits sur Bergerac, le Modèle:7e duc de la Force demande à être indemnisé. La proclamation de la République termine cet épisode<ref>Modèle:Article</ref>.
Époque contemporaine
(le chemin de fer arrive à Bergerac en 1875).
- En 1794, les anciennes communes de La Conne, La Madeleine, Saint-Christophe-de-Monbazillac et Sainte-Foy-des-Vignes fusionnent avec Bergerac.
- Deux moulins, celui de Piles et celui de Bellegarde, se trouvaient autrefois au niveau de la rue des Conférences, où un espace mémoriel a été aménagé près d'un bâtiment qui porte encore sur sa façade des inscriptions commerciales. Les archives ne remontent pas avant le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle mais l'archéologie permet de dater l'origine de ces moulins aux années 1300, quand le canal du Caudeau fut installé. Ils font partie des quatre moulins que comptait Bergerac avant la Révolution. Une taxe en nature était prélevée chaque année par la municipalité. Jusqu'à la construction de barrages dans la haute vallée, les deux moulins étaient exposés au risque de crue de la Dordogne, qui inondait alors les quartiers bas de la ville. Jusqu'aux années 1760, ils produisent de la farine pour la population bergeracoise puis, intégrés dans une minoterie, se tournent vers l'exportation. En 1834, la minoterie est reconvertie en papeterie et scierie par Chéri Gérard. L'activité de scierie, qui donne lieu à une modernisation du bâtiment, est reprise en 1916 par Louis Bardon et Madeleine de Lespinasse et ferme en 1919<ref>Plaque historique au croisement de la rue de la Mirpe et de la rue des Conférences.</ref>.
- Le 9 novembre 1890 est inauguré au sud de la place de la République le monument des « Mobiles de la Dordogne », en mémoire des morts de la guerre franco-prussienne de 1870. Le jour de l'inauguration est choisi en référence à la victoire de Coulmiers, à laquelle participèrent de nombreux Bergeracois. L'un d'eux, l'acteur Paul Mounet, frère du dramaturge Mounet-Sully (à qui une voie rend par ailleurs hommage à Bergerac) servit de modèle au sculpteur Louis Auguste Roubaud pour créer la statue<ref>Plaque explicative du parcours historique « Pas de Cyrano », située square des Mobiles.</ref>.
- Pendant la Seconde Guerre mondiale, la caserne Chanzy est occupée par les Allemands de fin Modèle:Date- jusqu'au Modèle:Date-. Il s'agit d'une place de garnison, aussi utilisée comme lieu d'interrogatoires et de détention des résistants de la Dordogne<ref>Jacky Tronel, « Les graffiti des cellules disciplinaires de la caserne Chanzy à Bergerac », prisons-cherche-midi-mauzac.com/, 10 février 2012.</ref>.
- Le Modèle:Date-, l'opération de libération des détenus de la prison de Bergerac est préparée dans l'urgence lors d'une réunion au PC du sous-secteur C des Francs-tireurs et partisans à Saint-Jean-d'Eyraud. La Résistance craint que l'occupant n'exécute les prisonniers politiques avant son départ. Participent à la réunion les responsables FTP de la direction du sous-secteur C, le Commissaire aux opérations régionales Édouard Valéry, alias « Lecœur », Pierre Legendre alias « Henri », Pierre Huet alias « Hugues », Roger Faure alias « Jim », le Commissaire aux opérations régionales avec entre autres Michel Schneersohn alias « Michel », responsable du service de renseignement des FTP (service B) pour le sous-secteur. L'opération est un succès. Tous les prisonniers Modèle:Incise sont libérés sans effusion grâce à l'efficacité du plan d'action<ref>[1]</ref>.
- Le Modèle:Date- a lieu la libération de Bergerac<ref>« Bergerac libérée... il y a 70 ans », francetvinfo.fr, 25 août 2014.</ref>.
Vignoble
Le vignoble compte Modèle:Nombre pour treize appellations AOC, et une production annuelle de l'ordre de Modèle:Nombre. Le prix négociant est de Modèle:Unité le tonneau de Modèle:Unité en rouge, un peu plus pour les blancs et le Monbazillac.
Les treize appellations d’origine contrôlée sont les suivantes :
- Bergerac
- Bergerac Rosé
- Bergerac Sec
- Côtes-de-Bergerac
- Côtes-de-Bergerac Blanc
- Côtes-de-Duras
- Côtes-de-montravel
- Montravel (Rouge et blanc)
- Haut-montravel
- Saussignac
- Monbazillac
- Pécharmant
- Rosette
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Bergerac est rattachée au canton de Bergerac qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l'arrondissement de Bergerac<ref name=Cassini/>. En 1973, le canton de Bergerac disparaît et est remplacé par deux autres : Bergerac-1 et Bergerac-2<ref name=Cassini/>. La commune est alors répartie entre ceux-ci : Bergerac-1 au nord de la Dordogne et Bergerac-2 au sud.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, les deux cantons sont conservés lors des élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est toujours partagée entre les deux cantons mais la nouvelle répartition prévoit que la commune s'étend, pour chacun d'entre eux, sur les deux rives de la Dordogne.
Intercommunalité
Fin 2001, Bergerac intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au Modèle:Date- et remplacée au Modèle:Date- par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au Modèle:Date- pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Tendances politiques et résultats
Pour les élections municipales de mars 2014, cinq listes s'affrontent au premier tour : celle de gauche du maire sortant socialiste Dominique Rousseau, deux listes à droite, d'une part pour l'ancien maire et député Daniel Garrigue (DVD) et de l'autre celle de Carmel Fontana (UMP), une du Front national pour Robert Dubois, et une d'EELV pour Lionel Frel<ref name="résultats">Modèle:Lien web.</ref>.
Au premier tour, Dominique Rousseau arrive en tête avec plus de 34 % des voix exprimées, devant Daniel Garrigue (30 %) et Robert Dubois (près de 17,5 %). Les deux autres listes recueillent 11 % des suffrages exprimés pour l'UMP et 7 % pour EELV<ref name="résultats"/>. Pour le second tour, Carmel Fontana, qui envisageait dans un premier temps de se maintenir<ref>Émilie Delpeyrat, Fontana et Frel, les deux grands déçus, Sud Ouest édition Périgueux du 25 mars 2014, Modèle:P..</ref>, se retire sans donner de consigne de vote<ref>Émilie Delpeyrat, Garrigue et Rousseau, prêts à disputer la belle, Sud Ouest édition Périgueux du 27 mars 2014, Modèle:P..</ref>.
Au second tour, Daniel Garrigue l'emporte avec 46,09 % des suffrages, devant Dominique Rousseau (41,30 %), le Front national faisant moins bien (12, 59 %) qu'au premier tour<ref name="résultats"/>.
Récapitulatif de résultats électoraux récents
Scrutin | Modèle:1er tour | Modèle:2d tour | ||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Modèle:1er | % | Modèle:2e | % | Modèle:3e | % | Modèle:4e | % | Modèle:1er | % | Modèle:2e | % | Modèle:3e | % | Modèle:4e | % | |||||||||
Municipales 2014 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | PS | Modèle:Unité | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | DVD | Modèle:Unité | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | Modèle:Unité | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | UMP | Modèle:Unité | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | DVD | Modèle:Unité | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | PS | Modèle:Unité | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | Modèle:Unité | Pas de Modèle:4e | ||
Européennes 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref> | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | 25,32 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | UMP | 21,13 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | PS | 14,69 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | EELV | 9,87 | Tour unique | |||||||||||
Régionales 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref> | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | PS | 30,44 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | 27,28 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LR | 24,93 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | EELV | 5,63 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | PS | 43,89 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LR | 30,51 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | 25,60 | Pas de Modèle:4e | ||
Présidentielle 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref> | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | EM | 23,80 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LFI | 21,53 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | 20,24 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LR | 19,24 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | EM | 66,68 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | 33,32 | Pas de Modèle:3e ni de Modèle:4e | |||||
Législatives 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref> | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LREM | 35,87 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LR | 15,30 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | 13,90 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | EELV | 13,25 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LREM | 68,10 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | FN | 31,90 | Pas de Modèle:3e ni de Modèle:4e | |||||
Européennes 2019<ref>Modèle:Lien web.</ref> | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | RN | 24,50 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LREM | 21,73 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | EELV | 13,28 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | LR | 7,86 | Tour unique | |||||||||||
Municipales 2020 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | DVD | 25,85 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | PS | 24,74 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | DVG | 14,84 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | RN | 12,94 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | DVD | 39,06 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | PS | 34,67 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | DVG | 15,45 | Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | RN | 10,80 |
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 20 000 et Modèle:Unité au recensement de 2017, trente-cinq conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 28 août 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique de développement durable
La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Bergerac, consultée le 27 octobre 2017</ref>.
Jumelages
- Modèle:Jumelage<ref>La ville de Repentigny sur le site de la ville de Bergerac, consulté le 25 septembre 2014.</ref>.
- Modèle:Jumelage<ref>La ville de Faenza sur le site de la ville de Bergerac, consulté le 25 septembre 2014.</ref>.
- Modèle:Jumelage<ref>Grégoire Morizet, « Une union polonaise », Sud Ouest édition Périgueux, 12 octobre 2017, Modèle:P..</ref>.
- Modèle:Jumelage<ref>« Jumelage », Sud Ouest édition Dordogne, 28 avril 2018, Modèle:P..</ref>.
- En 2018, un jumelage est envisagé avec la ville allemande de Hohen Neuendorf, dont le pacte devait être signé au mois d'octobre<ref>Daniel Bozec, « Quand les Allemands sont demandeurs d'un jumelage », Sud Ouest édition Périgueux, 20 août 2018, Modèle:P..</ref>.
Équipements et services publics
Enseignement
Bergerac possède de nombreux établissements éducatifs : 15 écoles (maternelles et élémentaires), 4 collèges, 2 lycées et 9 établissements professionnels. En revanche, aucun établissement éducatif d'enseignement supérieur ne se situe à Bergerac.
Écoles
- Gambetta (maternelle)
- Pauline-Kergomard (maternelle)
- Suzanne-Lacore (maternelle)
- Alba (maternelle et élémentaire)
- Bout des Vergnes (maternelle et élémentaire)
- Edmond-Rostand (maternelle et élémentaire)
- Le Taillis-Naillac (maternelle et élémentaire)
- René-Desmaison (maternelle et élémentaire)
- André-Malraux (élémentaire)
- Jean-Moulin (élémentaire)
- Les Vaures - Simone Veil (élémentaire)
- École privée Saint-Jacques et Sainte-Marthe (anciennement Miséricorde) (maternelle et élémentaire)
- École privée Fénelon-Guy (maternelle et élémentaire)
Collèges
- Eugène-Le Roy
- Henri-IV
- Jacques-Prévert
- Collège privé Sainte-Marthe-Saint-Front
Lycées
- Lycée public Maine-de-Biran
- Lycée public professionnel Jean-Capelle
- Lycée public professionnel Sud-Périgord-Hélène-Duc
- Lycée privé Sainte-Marthe-Saint-Front
Selon le classement établi par l'Éducation nationale en 2022 concernant le baccalauréat 2021, les résultats des lycées de Bergerac sont les suivants<ref>Clément Bouynet, « Réussite et efficacité des lycées de Dordogne en 2021 », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref> :
- en enseignement général et technologique, Maine-de-Biran a un taux de réussite de 97 % et le lycée Sainte-Marthe-Saint-Front est considéré comme « sélectif » avec une réussite de 98 % ;
- en enseignement professionnel, Jean-Capelle a un taux de réussite de 85 %, Sud-Périgord-Hélène-Duc a 81 % et le lycée Sainte-Marthe-Saint-Front est considéré comme « performant » avec 90 %.
Établissements professionnels
- Atelier pédagogique personnalisé (APP)
- Centre de formation d’apprentis du Grand Bergeracois des métiers traditionnels et de la santé (CFA)
- Établissement privé Association consulaire et interprofessionnelle de formation permanente (ACIFOP)
- Établissement privé Centre formation professionnelle sanitaire et sociale en cours d'emploi (CFPSSCE)
- Établissement privé de commerce et de gestion (EPSECO devenu Talis Business School)
- LEP agricole de la Brie
- LEP de l’Alba
- LEP Jean-Capelle
- LEP Sainte-Marthe-Saint-Front
- Lycée des métiers Sud-Périgord Hélène Duc
Santé
Au sein de la commune, les habitants peuvent bénéficier de deux centres médicaux principaux : le centre hospitalier Samuel-Pozzi et la clinique Pasteur.
Centre hospitalier Samuel-Pozzi
La capacité d'accueil de l'établissement est de 222 lits en hospitalisation complète et Modèle:Nombre en hospitalisation de jour. Les activités principales sont<ref>Centre hospitalier Samuel-Pozzi sur site de la Haute Autorité de Santé</ref> :
- Maternité
- Chirurgie ambulatoire
- Urgence
- Médecine de la personne âgée.
Les activités spécifiques sont :
- Urgences
- Cardiologie rythmologique
Clinique Pasteur
La capacité d'accueil de l'établissement est de 96 lits en hospitalisation complète et 41 places en hospitalisation de jour.
Les activités principales sont<ref>Clinique Pasteur sur site de la Haute Autorité de Santé</ref> :
- chirurgie viscérale et digestive, chirurgie uro-gynécologique et chirurgie orthopédique ;
- soins de suite et de réadaptation ;
- hospitalisation à domicile.
Les activités spécifiques sont :
- chirurgie des cancers digestifs ;
- chirurgie des cancers gynécologiques et du sein ;
- chirurgie des cancers urologiques ;
- chirurgie de la hanche ;
- chirurgie ambulatoire.
Justice
Dans le domaine judiciaire, Bergerac relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Bergerac
Les habitants de Bergerac se nomment les Bergeracois<ref>Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.</ref>.
Modèle:Population de France/section
L'agglomération et l'aire urbaine
En 2010, l'unité urbaine de Bergerac (l'agglomération) regroupe Modèle:Nombre<ref>Unité urbaine de Bergerac (00553), Insee, consulté le 19 janvier 2018.</ref> : Bergerac, Cours-de-Pile, Creysse, Le Fleix, La Force, Gardonne, Ginestet, Lamonzie-Saint-Martin, Lembras, Mouleydier, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, Prigonrieux, Saint-Antoine-de-Breuilh, Saint-Germain-et-Mons, Saint-Laurent-des-Vignes, Saint-Nexans, Saint-Pierre-d'Eyraud, Saint-Sauveur, Pineuilh, Saint-Avit-Saint-Nazaire, Sainte-Foy-la-Grande et Saint-Philippe-du-Seignal. Ces quatre dernières communes font partie du département de la Gironde. Elle s'étend d'est en ouest sur près de Modèle:Nombre, le long de la Dordogne depuis Mouleydier jusqu'à Saint-Antoine-de-Breuilh. Avec Modèle:Nombre en 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont 56 072 en Dordogne, c'est la deuxième agglomération du département après celle de Périgueux.
L'aire urbaine de Bergerac plus étendue, regroupe au total Modèle:Nombre<ref>Aire urbaine de Bergerac (109), Insee, consulté le 19 janvier 2018.</ref> et Modèle:Nombre en 2014<ref>Séries historiques sur la population et le logement en 2014 - Aire urbaine de Bergerac (109), sur le site de l'Insee, consulté le 25 janvier 2018.</ref>, dont 71 485 en Dordogne.
Manifestations culturelles et festivités
- Le Salon de la collection se tient chaque année en mars (Modèle:33e en 2023)<ref>« Le Salon de la collection en est a sa Modèle:33e », Sud Ouest, édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
- Le « festival Jazz pourpre » se tient sur trois jours chaque année en mai à Bergerac (Modèle:19e en 2023)<ref>Daniel BozecNancy Ladde, « Dix-neuf ans à se démener pour faire vivre Jazz pourpre », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
- La foire-exposition qui avait lieu habituellement les années paires tous les deux ans en août-septembre, se déroule en juin 2015 et attire Modèle:Unité<ref>Pauline Pierri, « Des signaux positifs », Sud Ouest, édition Dordogne, 2 juin 2015, Modèle:P..</ref>. Après une Modèle:Citation en juin 2016 avec seulement Modèle:Unité, la nouvelle édition début mai 2019 a permis d'enregistrer environ Modèle:Nombre<ref>Daniel Bozec, « Aux alentours de Modèle:Nombre », Sud Ouest, édition Périgueux, 7 mai 2019, Modèle:P..</ref>. N'ayant pas eu lieu en 2021 pour cause de pandémie de Covid-19, une nouvelle édition s'est tenue en mai 2022 avec Modèle:Nobr<ref>Grégoire Morizet, « La foire-exposition fait son grand retour », Sud Ouest, édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
- Les tables de Cyrano rassemblent au mois de juillet en plein air les amateurs de gastronomie locale et de musique de rue<ref>Sud Ouest édition Périgueux, 11 juillet 2009.</ref>.
- Le 10 juillet 2001, Bergerac a accueilli le concert d'Elton John au stade municipal Gaston-Simounet. Seule étape française de sa tournée mondiale, le concert rassembla environ Modèle:Nombre.
- Au mois d'octobre, sur trois jours, festival de musique ancienne « Orgue en fête »<ref>« Pour sa Modèle:10e, Orgue en fête célèbre l'Espagne », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
- Après s'être tenu le 15 août, le « Salon du livre ancien », devenu le « Salon du livre ancien et moderne, et du vieux papier »<ref name="SO06-11-2015">« L'institution du livre d'antan », Sud Ouest édition Dordogne, 6 novembre 2015, Modèle:P..</ref> se déroule depuis 2014 en novembre<ref>Pauline Pierri, « Un renouveau pour le Salon du livre ancien », Sud Ouest édition Périgueux, 8 novembre 2014, Modèle:P..</ref> (Modèle:21e en 2022<ref>Nancy Ladde, « Le salon du livre ancien et moderne fait sa Modèle:21e », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>).
- La félibrée est une fête populaire occitane organisée chaque année, dans une ville ou un village du Périgord. Bergerac l'accueille en 1906, 1926, 1947, 1948, 1961, 1993 et 2013<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sports
- Athlétisme : Bergerac Athlétique Club avec Yohan Durand, vice-champion d'Europe espoirs du Modèle:Unité en 2007, et champion de France du Modèle:Unité en 2012
- Aviron : avec le Sport nautique créé en 1860. Modèle:100e de champion de France en mai 2012.
- Ball-Trap : avec le Ball-Trap Club de Bergerac sur le stand de Tir de Faux-Canguilhem. L'activité de Ball-trap est en cours d'extinction à Bergerac à la suite de la fermeture administrative du stand de tir initié par la municipalité de Faux et la décision de la municipalité de Bergerac de ne pas soutenir le projet de mise aux normes.
- Basket-ball : avec l’USB Basket
- Escalade, alpinisme, raquettes : avec l’Association sportive de la Poudrerie de Bergerac
- Escrime : avec l'association des Cadets de Bergerac
- Football : avec le Bergerac Périgord Football Club en Championnat de France de football de National 2 pour la saison 2021-2022
- Gymnastique artistique féminine : avec le Stella (FSCF) et les Enfants de France (FFG)
- Handball : avec le BPPH en National 1 féminin
- Karaté: avec "OSKCB" (Ohshima Shotokan Karaté Club Bergeracois)
- Kendo : avec l’Association Go Shin No Yama
- Natation : avec le Cercle des nageurs bergeracois (CNB)
- Plongée sous marine : avec l’Association Cyrano Plongée Bergerac
- Rugby : avec l’US Bergerac en championnat de France de Fédérale 2 pour la saison 2021-2022
- Tennis : avec le Bergerac US Tennis et le Tennis Club de Bergerac (TCB)
- Aïkido, boxe française, boxe anglaise, gym tonic, handisport, judo, jujitsu, Racing Car, Randonnée Pédestre, Savate Défense, Taïso, Tennis, Tir, Triathlon avec l’USB Omnisport<ref>Sections USB</ref>
Manifestations sportives
- La Grappe de Cyrano est une épreuve d’enduro de niveau international sur deux jours. Elle part d'une ville du Bergeracois ou du Périgord noir et y revient, se tenant depuis 1987 chaque année, en mars, avril ou mai<ref>Site officiel de la Grappe de Cyrano, consulté le Modèle:Date-.</ref>. Bergerac a notamment servi de point de départ et d'arrivée en 2013<ref>Titia Carrizey-Jasick, « Cap au Sud, Cap au Nord », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref> et 2018<ref>Christian Lacombe, « La Grappe retrouve la vigne », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
- La Botte de Cyrano, compétition d'escrime à l'épée dans le centre historique de Bergerac, fin juin (association : Les Cadets de Bergerac, club d'escrime).
- Bergerac a été deux fois ville étape du Tour de France, en 1961 et en 1994 pour deux étapes contre-la-montre<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La seule étape contre-la-montre du tour 2014 a relié Bergerac à Périgueux<ref>Adrien Vergnolle, « Vingt ans plus tard, il revient », Sud Ouest édition Dordogne, 24 octobre 2013, Modèle:P..</ref>. La veille, lors de la dix-neuvième étape arrivant à Bergerac, Ramūnas Navardauskas est le premier Lituanien à gagner une étape du Tour de France. Bergerac est la ville d'arrivée de la Modèle:10e du Tour de France 2017.
Médias
Presse écrite
- Sud Ouest édition Dordogne (quotidien)
- L'Écho de la Dordogne (quotidien)
- Le Démocrate indépendant (hebdomadaire)
Radios
Les habitants de Bergerac peuvent écouter plusieurs radios locales :
- Radio Orion (87.6 FM) : radio associative<ref>Fiche de Radio Orion sur SchooP</ref>.
- Chérie FM Dordogne (90.2 FM) : programme local de Chérie FM réalisé depuis Périgueux<ref>Ses studios sont situés rue du Vieux-Puits à Champcevinel, à proximité de Périgueux. Plus d'infos ici : Fiche de Chérie FM Dordogne sur SchooP</ref>.
- Bergerac 95 (95.0 FM) : radio locale devenue commerciale (elle a intégré le GIE Les Indés Radios)<ref>Histoire de Bergerac 95</ref>.
- RVB (96.3 FM) : radio associative<ref>Site web de Radio Vallée Bergerac</ref>.
- France Bleu Périgord (99.0 FM) : radio locale publique réalisée depuis Périgueux. Elle émet dans tout le département de la Dordogne mais aussi dans le Lot-et-Garonne et le Limousin<ref>Couverture de France Bleu Périgord</ref>.
Ils peuvent également écouter les radios nationales suivantes :
- 92.3 : France Inter
- 93.2 : Virgin Radio
- 94.0 : France Culture
- 95.5 : Sud Radio
- 97.1 : France Musique
- 98.6 : RTL2
- 101.0 : Skyrock
- 101.8 : NRJ
- 102.6 : Nostalgie
- 103.1 : RMC
- 103.8 : RTL
- 105.5 : France Info
- 106.2 : Europe 1
Télévision
France 3 Périgords propose un journal local traitant de l'actualité du Périgord dans le 19/20 depuis le Centre départemental de la Communication, sur le quai Saint-Georges à Périgueux. À Bergerac, elle est captée depuis le site d'émission TDF de la Baronnie à Audrix<ref>Emetteurs TNT dans la Dordogne</ref>.
Cultes
Catholicisme
Les catholiques de Bergerac relèvent principalement de la paroisse Saint-Jacques-en-Bergeracois, qui s'étend également sur les territoires de quarante communes environnantes, et donc du diocèse de Périgueux et Sarlat.
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix de l'Alba<ref>Site de la Fraternité Saint-Pierre, diocèse de Périgueux-Sarlat, Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, consultée le Modèle:Date-.</ref>, située rue Thomas ; ses offices y sont menés, depuis 1997, par la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre selon la forme tridentine du rite romain.
- Chapelle Sainte-Jeanne-d’Arc et son école traditionaliste hors contrat, affiliées à la Fraternité Saint-Pie X et anciennement situées rue Jules-Michelet, elles sont transférées avenue Foch en 2016<ref>Valérie Hubert-Cassant, « Bergerac: la Fraternité Saint-Pie X agrandit son école », Sud Ouest, Modèle:Date-.</ref>.
- Église Notre-Dame de Bergerac, rue Sainte-Catherine, construite de 1856 à 1865, inscrite aux monuments historiques en 2002.
- Chapelle Notre-Dame de la Famille missionnaire de Notre-Dame, installée depuis 2005 dans l'ancien carmel de Bergerac.
- Chapelle Saint-Luc, rue du Maréchal-Juin.
- Chapelle du Pont-Roux, rue Camille-Saint-Saëns.
- Église Saint-Jean-des-Cordeliers, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, située rue de Clairat, elle fut d'abord le lieu de culte du couvent local des cordeliers, puis connut pendant près de 120 ans une utilisation profane en tant que brasserie puis hôtel-restaurant. Depuis 2004, des messes y sont de nouveau célébrées par les prêtres de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X.
- Église Saint-Jacques-le-Majeur de Bergerac du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, est une des étapes de la Via Lemovicensis pour les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, gage aussi d'un certain tourisme supplémentaire. Inscrite aux monuments historiques en 1974.
- Église de la Madeleine<ref name=Carles>Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, construite en 1843.
Protestantisme
- Grand temple de Bergerac, anciennement de l'Église réformée de France, aujourd'hui de l'Église protestante unie de France, place Cayla<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église évangélique libre, 5 rue Durou<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église évangélique tzigane de France, rue du Tounet<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Islam
- Mosquée de Naillac, impasse Voltaire.
- Mosquée de la rue Leconte-de-l'Isle.
Économie
Bergerac possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de la Dordogne. Le développement touristique constitue depuis plus de 10 ans une priorité avec l’émergence d’une véritable destination : le Pays de Bergerac. La première spécificité en est le tourisme viticole dont le vin de Monbazillac est le plus réputé. Le patrimoine, la rivière Dordogne et les activités de pleine nature complètent une offre touristique très riche. Les touristes étrangers sont en majorité des Anglais, des Hollandais et des Belges notamment grâce au développement de l'aéroport de Bergerac-Dordogne-Périgord qui propose des liaisons quotidiennes vers la Grande-Bretagne, la Belgique et les Pays-Bas.
Monnaie locale
Une monnaie locale, l'Aqui, a été lancée en avril 2018<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Bergerac ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2018, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans<ref>Commune de Bergerac (24037) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4, Insee, consulté le 28 décembre 2021.</ref>, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 38,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (2 034) a diminué par rapport à 2013 (2 335) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,5 %.
L'emploi sur la commune
En 2018, la commune offre Modèle:Unité pour une population de Modèle:Unité<ref name=POPT0-EMPT8>Commune de Bergerac (24037) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 28 décembre 2021.</ref>. Le secteur tertiaire prédomine avec 44,3 % des emplois mais le secteur administratif est également très présent avec 38,6 %.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | ||
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre d'emplois | 312 | 1 430 | 759 | 6 482 | 5 639 | |
Pourcentage | 2,1 % | 9,8 % | 5,2 % | 44,3 % | 38,6 % | |
Source des données<ref name=POPT0-EMPT8/>. |
Établissements
Fin 2018, la commune compte Modèle:Nombre actifs employeurs<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont 897 au niveau des commerces, transports ou services, 180 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 79 dans l'industrie, 74 dans la construction, et 21 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche<ref>Dossier complet - Commune de Bergerac (24037) - Établissements actifs employeurs par secteur d'activité - tableau RES T1 sur le site de l'Insee, consulté le 28 décembre 2021.</ref>.
Entreprises
Une marque d'automobiles bergeracoises a existé de 1901 à 1907, d'abord nommée L'Automotrice (1901–1904), puis Radia (1904–1905) et enfin Baudouin-Radia (1905–1907). Voir en allemand Modèle:Lien.
Créées en 1874<ref>Qui sommes nous, sur le site des pépinières Desmartis, consulté le Modèle:1er octobre 2014.</ref>, les pépinières Desmartis sont à l'origine du développement de la diffusion du Lagerstroemia comme arbre d'ornement en France à partir des années 1950<ref>Émilie Delpeyrat, Lagerstroemia, une success-story bergeracoise, Le Mag no 127, supplément à Sud Ouest du 6 septembre 2014.</ref>. L'actionnaire majoritaire, Jardiland, souhaitait se débarrasser de l'entreprise qui a été reprise par deux de ses cadres en août 2014<ref name="SO11-09-2014">Émilie Delpeyrat, Dans les allées de Desmartis, Sud Ouest édition Dordogne du 11 septembre 2014, Modèle:P..</ref>. Un plan social doit réduire les effectifs d'une quarantaine d'emplois par rapport aux Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="SO11-09-2014"/>.
Tous secteurs confondus, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Bergerac autos » (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers) située à Bergerac se classe Modèle:42e quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec Modèle:Unité<ref>« Chiffres d'affaires : les 50 premières », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>.
Parmi les cinquante premières entreprises de chaque secteur économique dans le département, classées selon le chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, on trouve implantées à Bergerac :
- dans l'industrie, quatre entreprises<ref>« Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>,
- Manuco (fabrication de matières plastiques de base), Modèle:17e avec Modèle:Unité ;
- Mary Arm SA (fabrication d'armes et de munitions), Modèle:28e avec Modèle:Unité ;
- Chaudronnerie Lescaut SA (installation de structures métalliques, chaudronnées et de tuyauterie), Modèle:39e avec Modèle:Unité ;
- Taulou (fabrication de moules et modèles), Modèle:49e avec Modèle:Unité ;
- dans le commerce, quatre entreprises<ref>« Commerce », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>,
- Bergerac autos se classe Modèle:21e ;
- SA Cazes (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), Modèle:37e avec Modèle:Unité ;
- Galinats (supermarchés), Modèle:44e avec Modèle:Unité ;
- DNA Dordogne (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), Modèle:47e avec Modèle:Unité ;
- dans les services, quatre entreprises<ref>« Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>,
- Société clinique Pasteur (activités hospitalières) Modèle:6e avec Modèle:Unité ;
- Fauvel formation (formation continue d'adultes), Modèle:9e avec Modèle:Unité ;
- Société d'exploitation de l'aéroport de Bergerac-Dordogne-Périgord, Modèle:15e avec Modèle:Unité ;
- SELARL imagerie médicale du Bergeracois (activités de radiodiagnostic et de radiothérapie), Modèle:31e avec Modèle:Unité ;
- dans l'agroalimentaire, cinq entreprises<ref>« Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>,
- Prunidor (transformation et conservation de fruits), Modèle:10e avec Modèle:Unité ;
- Pépinières Desmartis (reproduction de plantes), Modèle:12e avec Modèle:Unité ;
- Périgord viandes (transformation et conservation de la viande de boucherie), Modèle:17e avec Modèle:Unité ;
- Tomates d'Aquitaine SAS (transformation et conservation de légumes), Modèle:20e avec Modèle:Unité ;
- SICA Prunidor (transformation et conservation de fruits), Modèle:31e avec Modèle:Unité ;
- dans le BTP, quatre entreprises<ref>« BTP », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>,
- ABTP Biard (construction de routes et autoroutes), Modèle:9e avec Modèle:Unité ;
- Maisons côte Atlantique 24 (construction de maisons individuelles) classée Modèle:27e avec Modèle:Unité ;
- Bâti Aquitaine (travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment), Modèle:29e avec Modèle:Unité ;
- J2L (promotion immobilière de logements), Modèle:36e avec Modèle:Unité.
Tous secteurs confondus, cinq entreprises de Bergerac figurent parmi les cinquante premières de la Dordogne, quant au chiffre d'affaires à l'exportation<ref>« Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>,
- Manuco, Modèle:8e avec Modèle:Unité ;
- Prunidor, Modèle:25e avec Modèle:Unité ;
- Draper France (commerce de gros interentreprises non spécialisé), Modèle:27e avec Modèle:Unité ;
- Périgord millésimes et terroirs (commerce de gros interentreprises de boissons), Modèle:35e avec Modèle:Unité ;
- LMG (commerce de détail de livres en magasin spécialisé), Modèle:44e avec Modèle:Unité.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Musée d'anthropologie du tabac dans le château Peyrarède ou « Henri-IV » (Machine de Dalloz)
- Musée du vin et de la batellerie
- Château de Lespinassat, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, classé
- Château de Mounet-Sully, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, classé
- Le musée Costi du sculpteur Constantin Papachristopoulos, dans le sous-sol de l'ancien presbytère Saint-Jacques
- Temple de l'église protestante unie de France situé au cœur de la vieille ville, place Cayla, le grand temple de Bergerac est installé dans l’ancienne église des Récollets. Concerts réguliers.
- Le cloître des Récollets qui abrite la Maison des Vins de Bergerac<ref>Quai Cyrano</ref>.
- L'église Notre-Dame a été construite en style néogothique par Paul Abadie entre 1852 et 1868. Elle est classée au titre des monuments historiques en 2002<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 6 mai 2012.</ref>.
- Le couvent des Cordeliers qui est devenu un prieuré en 2003 avec la FSSPX.
- La statue de Cyrano de Bergerac réalisée par Dorillac sur les indications de Jean Varoqueaux, inaugurée en 1977 place de la Myrpe.
- La statue de Cyrano de Bergerac située place Pélissière.
- Le monument à Albert Claveille, en bronze situé place de la République. L'original d'Alphonse Camille Terroir est inauguré le 6 septembre 1925, boulevard du 8 mai 1945, à l'extrémité du jardin public. Il est ensuite déplacé place de la République. Sous le régime de Vichy, les éléments en bronze sont déboulonnés et fondus, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Un monument de remplacement est réalisé en 1952 par Jean Varoqueaux.
- Le monument aux morts de 14-18 réalisé par Gabriel Forestier, inauguré le 12 juin 1927 place du maréchal de Lattre de Tassigny.
- Le Mobilisé blessé : Monument aux morts de 1870, réalisé par Louis Auguste Roubaud, ayant Paul Mounet pour servir de modèle. Il est inauguré le 9 novembre 1890 place de la République.
-
Machine à sculpter de Dalloz au musée du tabac. -
La place Pélissière et l’église Saint-Jacques. -
Le temple protestant. -
Statue de Cyrano de Bergerac, place de la Myrpe. -
Statue de Cyrano de Bergerac, place Pélissière. -
Monument aux morts de 14-18. -
Monument aux morts de 1870. -
Maisons du vieux Bergerac.
Bergerac dispose de plusieurs cimetières<ref>Grégoire Morizet, « Comment la Ville gère son parc funéraire », Sud Ouest édition Périgueux, Modèle:1er novembre 2016, Modèle:P..</ref> ; les deux plus importants sont ceux de Beauferrier et la Beylive qui s'étendent chacun sur plus de quatre hectares ; trois autres se situent au pont Saint-Jean, à la Conne et aux Marquets, ce dernier datant de 1783 étant le plus ancien. La ville a également deux columbariums (à Beauferrier et la Beylive) et un jardin cinéraire dans ce dernier site<ref>Pauline Pierri, « Un jardin cinéraire aménagé à la Beylive », Sud Ouest, 17 octobre 2014.</ref>.
Patrimoine environnemental
Bergerac compte deux grandes lignées familiales d'horticulteurs, les Desmartis et surtout les Perdoux, ces derniers s'établissant dans la ville à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Ils acclimatèrent le Lagerstroemia japonica, créèrent des parcs et des jardins et participèrent à la sauvegarde des vieux cépages régionaux après la crise du phylloxéra à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Fondateur de la Société française d'ampélographie, Gabriel Perdoux, accompagné de son fils Léopold, implanta en 1914 en Argentine le vignoble du Mendoza<ref name="Plaque 2">Plaque explicative du parcours historique « Pas de Cyrano », située devant le parc Jean-Jaurès.</ref>.
En 1929 est créé le parc municipal Jean-Jaurès<ref name="Plaque 2"/>.
Après avoir obtenu pendant plusieurs années quatre fleurs au Concours des villes et villages fleuris<ref>Toutes les communes fleuries, Site des villes et villages fleuris, consulté le 21 décembre 2016.</ref>, ainsi que la « fleur d'or » en 2014<ref>« Les Fleurs d'or », Site des villes et villages fleuris, consulté le 20 décembre 2017.</ref>, Bergerac suspend sa participation au concours en 2017<ref>Daniel Bozec, « La mairie fait une croix sur les quatre fleurs », Sud Ouest édition Périgueux, 26 juillet 2017, Modèle:P..</ref>. En 2013, la ville est classée ville d'art et d'histoire<ref>Bergerac est classée Ville d’art et d’histoire sur Sud Ouest du 9 décembre 2013.</ref>.
En mai 2016, la préfecture accorde à Bergerac la dénomination de commune touristique pour une période de cinq ans<ref>Modèle:Pdf Arrêté n° PREF/DDL/2016/0080 prononçant la dénomination commune touristique à la commune de Bergerac, membre de la communauté d'agglomération Bergeracoise, Préfecture de la Dordogne, 10 mai 2016, Modèle:P..</ref>.
La commune de Bergerac a entrepris d'aménager progressivement les berges du Caudeau depuis le parc de Pombonne Modèle:Incise jusqu'à sa confluence avec la Dordogne. Commencée en 1995 avec l'aménagement du parc de Pombonne, l'opération foncière consiste à acheter des parcelles aux riverains pour permettre à terme une coulée verte longue de six kilomètres qui se grefferait sur la véloroute 91, projet de Modèle:Unité de long envisagé pour relier Souillac à Libourne, le long de la Dordogne<ref>Grégoire Morizet, « Au milieu coule le Caudeau », Sud Ouest édition Dordogne, 9 janvier 2020, Modèle:P..</ref>.
Personnalités liées à la commune
Par année de naissance :
- Cyrano de Bergerac, personnage d'Edmond Rostand, provient de Bergerac dans la célèbre pièce de théâtre homonyme, et est évoqué à des fins touristiques et commerciales par la ville. Le Cyrano historique, qui a inspiré le personnage, n'y a jamais vécu. Auteur d'un voyage dans la lune et dans le soleil intitulé L’Autre Monde, il a inspiré la célèbre pièce d’Edmond Rostand. De son vrai nom Savinien de Cyrano, il ajouta à son patronyme le nom de Bergerac. Il utilisa sans doute ce nom à partir du moment où il entra dans une compagnie du régiment des Gardes françaises, où les Gascons étaient en grand nombre.
- Salh d’Escola, né à Bergerac, troubadour de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Famille Gontier de Biran dont plusieurs membres ont été maires de Bergerac, subdélégués et sous-préfets de Bergerac.
- Famille de La Chapelle de Béarnès et de Morthon, mentionnée à Bergerac à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dont une alliance avec la famille Gontier de Biran<ref name="CEA"/>. Elle est anoblie en 1703<ref name="CEA">Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, tome 9, pages 361 à 363 Chapelle de Béarnès et de Morthon (de la).</ref>.
- Pierre Maine de Biran (1766-1824), né à Bergerac, philosophe et homme politique, élu plusieurs fois député de la Dordogne.
- Jean Boudet (1769-1809), inhumé à Bergerac<ref name="cimetière Beauferrier de Bergerac">cimetière Beauferrier de Bergerac</ref>, général de division français.
- Jean Zacharie Mesclop (1775-1844), né à Bergerac, officier des armées de la République puis général de l'Empire en 1813<ref>Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.
- Jean Beaussoleil (1803-1837), inhumé à Bergerac<ref name="cimetière Beauferrier de Bergerac"/>, poète et général de division français.
- Modèle:Référence nécessaire.
- Léonce Guilhaud de Lavergne (1809-1880), né à Bergerac, économiste, homme politique et homme de lettres.
- Armand-Prosper Faugère (1810-1887) né à Bergerac et mort à Paris. Littérateur, diplomate, ministre puis sous-directeur au ministère des Affaires étrangères<ref>Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Modèle:P., éditions Fanlac, 1999, Modèle:ISBN.</ref>. Fut trois fois lauréat de l'Académie française. Écrivit également des articles d'économie politique dans Le Temps, Le Correspondant, etc.
- Louis Léger Vauthier (1815-1901), né à Bergerac ? ingénieur des ponts et chaussées, polytechnicien et homme politique français.
- François Chéri-Rousseau (1826-1908), né à Bergerac, photographe.
- Jean Sully Mounet dit « Mounet-Sully », (1841-1916), né à Bergerac, acteur.
- Samuel Pozzi (1846-1918), né à Bergerac, célèbre gynécologue et chirurgien, protestant, le centre hospitalier de la ville porte son nom. Né et inhumé à Bergerac<ref>cimetière protestant de Bergerac</ref>.
- Paul Mounet (1847-1922), né Jean-Paul Sully à Bergerac, acteur.
- Paul Magnaud (1848-1926), magistrat et homme politique né à Bergerac.
- Catherine Pozzi (1882-1934), fille de Samuel Pozzi, poétesse et femme de lettres française inhumée au cimetière Beauférier de Bergerac<ref>Hommage à Catherine Pozzi</ref>.
- Gaston Ouvrard (1890-1981), né à Bergerac, auteur, compositeur et interprète.
- Desha Delteil (1901-1981), décédée à Bergerac, danseuse classique américaine, célèbre pour ses poses acrobatiques.
- Louis de La Bardonnie (1902-1987), résistant français pendant la Seconde Guerre mondiale, compagnon de la Libération. Il est à l'origine ce qui va devenir la Confrérie Notre-Dame (CND). En son honneur, une place de Bergerac porte son nom.
- Jean Filliol (ou Filiol, selon la graphie de l'état civil) (12 mai 1909 à Bergerac - avant 1975 en Espagne ?) militant nationaliste français qui a fondé avec Eugène Deloncle en 1935, la Cagoule.
- Marcel Orsini (1911- 1999), inhumé à Bergerac<ref name="cimetière Beauferrier de Bergerac"/>, compagnon de la Libération
- Hélène Duc (1917-2014), née à Bergerac, comédienne.
- Jean Bastia (1919-2005), décédé à Bergerac<ref>Modèle:Lien web.</ref>, réalisateur et scénariste
- Jean Rey (1920-1943), inhumé à Bergerac<ref name="cimetière Beauferrier de Bergerac"/>, compagnon de la Libération.
- Guy Augey (1922-2000), né à Bergerac, joueur et entraîneur de rugby à XV et à XIII.
- Modèle:Lien (1924-2018), né à Bergerac, écrivain et traducteur.
- Jean-Marie Rivière (1926-1996), né à Bergerac, personnalité du music-hall.
- René Coicaud (1927-2000), mort à Bergerac, escrimeur français médaille d'argent aux Jeux olympiques d'été de 1956.
- Gerald David Lascelles (1924-1998), mort à Bergerac, petit-fils du roi George V et cousin de la reine Elizabeth II.
- Bernard Malivoire, (1938-1982), né à Bergerac, rameur français, médaillé d'or aux Jeux olympiques de 1952.
- Marie-Pierre de Gérando (1938-), né à Bergerac, acteur, ancien élève du Conservatoire national d'art dramatique.
- Alain Marot (1948), né à Bergerac. Ancien joueur de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France.
- Jean Bonnefon (1950), né à Bergerac, auteur-compositeur-interprète de chansons en français et en occitan ou langue d'oc.
- Michel Philippon (1953), philosophe.
- David Ellis (1957) entraîneur de l'US Bergerac.
- Pascal Obispo (1965), né à Bergerac, auteur, compositeur et interprète de chansons.
- Alexandre Delpérier (1967), né à Bergerac, animateur de radio et de télévision.
- Michel Andrieux (1967), né à Bergerac, rameur d'aviron, champion olympique en 2000.
- Pascal Chanteur (1968), coureur cycliste des années 1990-2000.
- Stephen Lesfargues (1970), né à Bergerac, ancien international de baseball, directeur technique national.
- Tom Smith (1971), entraîneur de l'US Bergerac.
- José de la Línea (1972), guitariste de flamenco franco-espagnol.
- Stephane Nicolet (1973), illustrateur jeunesse international.
- Romain Teulet (1978), né à Bergerac, rugbyman jouant au Castres olympique.
- Jawad El Hajri (1979) né à Bergerac, footballeur international marocain.
- Julien Ranouil alias Pakito (1981), né à Bergerac, DJ-producteur.
- Aurélie Vaneck (1982), a grandi à Bergerac, (Ninon dans le feuilleton télévisé Plus belle la vie).
- Samueli Naulu (1982-2013) joueur fidjien de l'US Bergerac.
- Julien Desprès (1983), formé au Sport nautique de Bergerac, champion d'aviron de niveau international.
- Thibaud Vaneck (1985), a grandi à Bergerac, (Nathan dans le feuilleton télévisé Plus belle la vie).
- Yohan Durand (1985), né à Bergerac, athlète vice-champion d'Europe espoirs 2007.
- Stany Delayre (1987), né à Bergerac, champion d'aviron de niveau international, entraîneur du Sport nautique de Bergerac.
- Rémi Granier (1987), né à Bergerac, volleyeur professionnel.
- Camille Grassineau (1990), née à Bergerac, joueuse française de rugby à sept et de rugby à XV.
- Kendji Girac (1996), chanteur et musicien, vivait à Bergerac lorsqu'il a gagné lors de la saison 3 de The Voice, la plus belle voix<ref>Dordogne : le premier album de Kendji Girac bat des records, Sud Ouest, 18 septembre 2014, consulté le 22 février 2015.</ref>.
Cinéma
Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :
- 1979 : Maigret et le fou de Bergerac, téléfilm d'Yves Allégret<ref name="DordogneCinemaListe">Liste des films tournés sur le site Dordogne Cinéma, consultée le 18 août 2013.</ref>.
- 1995 : La Rivière Espérance, feuilleton télévisé de Josée Dayan<ref name="Esperance">Fiche technique de La Rivière Espérance sur le site Dordogne Cinéma, consulté le 28 janvier 2011.</ref>.
- 2005 : Le Sang des fraises, téléfilm de Manuel Poirier<ref name="DordogneCinemaListe"/>.
- 2008 : Tirez sur le caviste, téléfilm d'Emmanuelle Bercot<ref name="DordogneCinemaListe"/>.
- 2012 : Jappeloup, film de Christian Duguay<ref name="Jappeloup">Laurent Bonamy, Un tournage surtout bergeracois, Sud Ouest édition Dordogne du Modèle:1er mars 2013, Modèle:P..</ref>.
Héraldique
Galerie
-
Gare de Bergerac.
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Le tribunal de grande instance.
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Vieux pont.
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Vue sur Bergerac depuis le château de Monbazillac.
-
Une gabare en réparation sur le quai Salvette.
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Ginkgo biloba en automne (jardins Desmartis).
Pour approfondir
Bibliographie
- Ouvrages généraux
- Anne-Marie Cocula-Vaillières, Michel Genty, Jean-Claude Ignace, Léonard Laborie, Yan Laborie, Bernard Lachaise et Serge Maury, ouvrage collectif sous la direction de Michel Combet, Histoire de Bergerac, 2017, Éditions Fanlac, 440 pages, Modèle:ISBN.
- Anne-Marie Cocula et Yves Manciet, Bergerac - Histoire en images, Les Dossiers d'Aquitaine, 2013.
- Robert Coq, Monographie des rues et places de Bergerac, Société historique et archéologique du Périgord, Bergerac, 1970.
- Annie-Paule Félix et Christian Félix, Bergerac, mémoire en images, éditions Sutton, trois tomes, 1999, 2003 et 2005.
- Annie-Paule Félix et Christian Félix, Bergerac, les années d'espoir, éditions Sutton, 2010.
- Yves Korbendau, Bergerac - Patrimoine et Histoire, ACR, 2007.
- Jacques Louis Lachaud, Bergerac de la préhistoire à nos jours, Imprimerie générale du Sud Ouest, 1987.
- Bergerac et la Dordogne
- Jacques Reix, La Dordogne du temps des bateliers, Fanlac, 1990.
- Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.
- Jacques Reix, La Dordogne batelière. Images au fil de l'Onde, Les Dossiers d'Aquitaine, 2010.
- Articles spécialisés
- Modèle:Article
- Henri Brives, René Costedoat, « Un plan de fortification de Bergerac en 1621 », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1997, Modèle:2e livraison, Modèle:P. (lire en ligne)
- Michel Combet, « Les élites municipales à Bergerac au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : étude prosopographique », dans Annales du Midi, 2000, tome 112, Modèle:N°, Modèle:P. (lire en ligne)
- Ch. Durand, « Un dessin de l'ancien pont de Bergerac », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1903, tome 30, Modèle:P. (lire en ligne)
- Yann Laborie, « Les gabarres de Bergerac », dans revue Arkheia, no 21, 2009 (lire en ligne).
- Jean-Louis Audebert et Hervé Couton, « Les fresques et graffiti de la caserne Chanzy en Dordogne », dans revue Arkheia, Modèle:N°, 2006 (lire en ligne).
- Max Lagarrigue, « Le PCF dans le Sud-Ouest : centre et périphérie », dans revue Arkheia, Modèle:Numéros suppléments (lire en ligne).
- Daniel Garrigue, Le Roman de la 21 (histoire d'une déviation), 2010, Éditions Impression, Modèle:ISBN
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée GR 654
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- [http://societearcheologiquedumidi.fr/_samf/grmaison/geomm/france/24/dordogn2.htm#BERGERAC Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des Modèle:S mini-, {{#switch: XIV
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}} dans le Périgord, août 2000] Modèle:Liens
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes