Phylloxéra

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Le phylloxéra de la vigne (Daktulosphaira vitifoliae) est une espèce d'insectes hémiptères de la famille des Phylloxeridae. C'est une variété de pucerons ravageurs parasite de la vigne, néobiote venu de l'Est des États-Unis. Le terme de phylloxéra désigne également, par métonymie, la maladie de la vigne causée par cet insecte.

Taxonomie

Asa Fitch décrit l'espèce en 1855 et la place dans le genre Pemphigus ; c'est Modèle:Lien qui crée pour elle en 1866 le genre Daktulosphaira. En France, la maladie est observée pour la première fois vers 1863 sur le plateau de Pujaut près de Roquemaure, dans le Gard ; en 1866, on la retrouve près de Bordeaux, dans les palus de Floirac ; l'insecte lui-même est trouvé par Félix Sahut le Modèle:Date-, sur les racines de plants qu'il avait arrachés dans un vignoble de Saint-Martin-de-Crau chez M. de Lagoy<ref>Science, Vine and Wine in Modern France de Harry W. Paul</ref>,<ref name=Legros>Modèle:Article</ref>. Jules Émile Planchon, ignorant les noms déjà créés par les entomologistes américains, décrit et nomme l'espèce Rhizaphis vastatrix en 1868 ; puis, le Modèle:Dr Signoret, entomologiste parisien à qui Planchon avait envoyé des spécimens, la place dans le genre Phylloxera, au voisinage de plusieurs autres vivant sur les feuilles de végétaux divers<ref name=Legros/>. Le nom Phylloxera vastatrix sera longtemps utilisé, et l'est encore parfois aujourd'hui.

En 1869, Victor Pulliat crée la Société régionale de viticulture de Lyon et prône par des conférences et des cours le greffage sur porte-greffes résistants pour régénérer la vigne française attaquée par le phylloxéra.

Il existe également un phylloxéra du poirier (Aphanostigma piri), endémique au Portugal, qui est apparu en France pour la première fois en 1945, et un phylloxéra du chêne (deux espèces très proches : Phylloxera quercus, Phylloxera glabra)<ref>Encyclopédie des pucerons (Inra)La Crise du Phylloxera en France dans le monde du vin</ref>.

Description

Le Phylloxéra est un minuscule insecte piqueur inféodé à la vigne, apparenté aux pucerons, doté d'un remarquable polymorphisme :

  • les formes parthénogénétiques, femelles qui se reproduisent par parthénogenèse, sont aptères, de couleur allant du jaune au brun, d'une taille variant de Modèle:Unité ; on distingue :
    • les formes gallicoles, qui vivent sur les feuilles ;
    • les formes radicicoles, qui vivent sur les racines.
  • les formes sexuées, qui ne s'alimentent pas, sont dépourvues de pièces buccales :

Cycle biologique

Fichier:Phylloxera.jpg
Le cycle du phylloxéra.

Il s'agit d'un cas de parthénogenèse cyclique avec plusieurs générations produites par parthénogenèse et une génération produite par reproduction sexuée avec fécondation chaque année. Les insectes mâles et femelles s'accouplent à la fin de l'été. La femelle pond sur les souches un œuf unique appelé œuf d'hiver. Cet œuf, d'abord jaune, puis vert pendant la saison d'hiver, éclot au printemps et donne naissance au phylloxéra aptère (ou sans ailes), qui est toujours une femelle. Dans la plupart des cas, ce phylloxéra aptère descend sur les racines de la vigne, aux dépens desquelles il vit, d'où son nom de phylloxéra radicicole ; mais il peut parfois aller sur les feuilles, faisant naître des galles (on parle alors de phylloxéra gallicole).

Le Phylloxéra radicicole est jaune. Il est muni d'un suçoir qu'il enfonce dans la racine pour en absorber la sève. Il, ou plutôt elle, subit trois mues en une vingtaine de jours, avant de devenir adulte et de se mettre à pondre entre Modèle:Unité, donnant tous, eux aussi, naissance à des femelles, sans qu'il y ait fécondation. Il s'agit d'un cas de parthénogenèse thélytoque. Ce cycle de vingt jours se reproduit à plusieurs reprises, donnant en tout cinq ou six générations.

En été, toutes ces femelles subissent une mue de plus et se transforment en nymphes, qui deviendront elles-mêmes des phylloxéras ailés. Ces phylloxéras ailés pondent à nouveau (sur les bourgeons et les feuilles des vignes), leurs œufs donnant cette fois-ci naissance à des mâles et à des femelles. Ces derniers ne vivent que quelques jours, juste le temps de s'accoupler et de produire l'œuf d'hiver évoqué plus haut.

Dégâts causés à la vigne

L'infestation d'un cep de vigne par le Phylloxéra entraîne sa mort en trois ans. Ce sont les générations radicicoles de l'insecte Modèle:Incise qui sont dangereuses. Leurs piqûres sur les jeunes racines provoquent la formation de tubérosités, qui, par la suite, s'infectent et précipitent la mort du pied. Les générations gallicoles Modèle:Incise entraînent un jaunissement du feuillage, qui n'est pas mortel pour la plante.

Histoire

L'insecte est originaire de l'est des États-Unis et a provoqué une grave crise du vignoble européen à partir de 1864. Il a en effet fallu plus de trente ans pour la surmonter, en utilisant des porte-greffe issus de plants américains naturellement résistants au phylloxéra.

Chronologie de l'invasion du Phylloxéra en Europe et dans le monde

Le Phylloxéra s'est d'abord implanté en France au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Voir notamment Maurice Girard, Le Phylloxera de la vigne, Paris: Librairie Hachette et Cie, 1874 ; Jean-Augustin Barral, La Lutte contre le phylloxéra, Paris: Marpon & Flammarion, 1883 ; les dates des observations indiquées par les auteurs peuvent varier car parfois ils donnent celle où la maladie est constatée, ou l'insecte observé, ou enfin celle où l'on présume qu'il est arrivé (trois ou quatre ans avant).</ref>. Les premiers foyers d'infestation qui apparaissent ici ou là sont dus à l'imprudence de pépiniéristes ou d'expérimentateurs ; puis l'infestation s'étend en tache d'huile plus ou moins vite selon la densité des vignobles et l'influence des vents dominants (en moyenne 30 km/an)<ref name="Bazin">Jean-François Bazin, « Fléau implacable et ère nouvelle pour la viticulture : la lutte contre le phylloxéra de la vigne en France », émission Canal Académie, 2 septembre 2012 </ref>.

Malgré les mesures imposées par les États pour contrôler les importations de ceps, le phylloxéra a progressivement infesté les vignobles du monde entier, n'épargnant que les vignobles plantés en terre sablonneuse et les plants américains résistants. Modèle:Colonnes

La crise du phylloxéra en France

Fichier:Carte du Phylloxéra en 1882.jpg
Carte de l’extension du Phylloxéra en France, en 1882.

L’invasion touche le Bas Languedoc et la Provence au cours des années 1870, les Charentes, puis le Beaujolais, la Loire moyenne, la Haute-Saône dans les années 1880, la Champagne, les Vosges, la Meurthe-et-Moselle après 1890.

La lutte s’organise à partir des années 1870.

  • par traitement de produits sulfurés, coûteux et parfois désastreux car tuant les ceps traités, sur une superficie totale de Modèle:Unité;
  • par submersion des pieds de vigne qui détruit le phylloxéra et ses œufs, méthode plus efficace et moins onéreuse mais d’une application limitée aux vignobles de plaine au sol imperméable et disposant d’un système d’irrigation pour une superficie totale de Modèle:Unité;
  • par greffage des espèces françaises sur des plants américains résistant aux pucerons solution plus généralement adoptée pendant une vingtaine d’années à partir de 1877 quand le gouvernement décide d’accorder des exonérations fiscales pour les vignobles nouvellement plantés. La superficie replantée en 20 ans au total de Modèle:Unité atteint jusqu'à 92 % du vignoble de l'Hérault, 89 % de celui de l'Aude, proportion moindre dans d'autres régions.

Après un maximum de 84 millions d’hectolitres en 1875, la production annuelle s’effondre à 23,2 millions en 1889 puis redémarre à partir de 1890 grâce à l’amélioration du rendement des nouveaux cépages et atteint 52,9 millions sur la période 1901-1905. La surface du vignoble cesse de reculer après 1897<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Cette crise entraine la disparition du vignoble d'Île-de-France.

La destruction d'une partie du vignoble français amène le développement de la viticulture en Algérie avec l'installation de viticulteurs du Languedoc dans les plaines du Tell et les coteaux du littoral.

La fin de la crise et les importations de vins d'Algérie entrainent surproduction et effondrement du prix de Modèle:Unité l’hectolitre au cours de la période 1881-1885 à Modèle:Unité au cours de la période 1901-1905<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Vignobles épargnés par l'invasion

Fichier:Maribor Stara trta 1.jpg
La stara trta de Maribor (Slovénie) en 2007.

Parmi les vignobles ayant résisté au phylloxéra, il y a, dans la vallée de la Barossa en Australie, celui de Langmeil dont les shiraz ont été plantées en 1843. La Barossa Old Vine Charter a été établie pour protéger les vieilles vignes de la région et empêcher leur arrachage<ref>Barossa Vineyards, barossa.com, consulté le 8 octobre 2011.</ref>.

En France, la vigne de Sarragachies (ou « vigne de la Ferme Pédebernade »), située dans le Val d'Adour près du piémont pyrénéen à Sarragachies (Gers) est l'une des plus anciennes vignes de France (la plantation des ceps remonterait aux environs de l'année 1820, soit près de 200 ans). Située au cœur de l'appellation côtes-de-Saint-Mont, elle conserve des cépages non greffés endémiques au piémont pyrénéen ayant résisté à la crise du phylloxéra à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Cette vigne a été inscrite au titre des monuments historiques en 2012. Il s'agit de la première vigne protégée à ce titre en France. Modèle:Refnec.

La maison Bollinger, en Champagne, produit une cuvée Vieilles vignes françaises à partir d'un vignoble épargné par le phylloxéra. Ces vignes de pinot noir sont franches de pied (pied de vigne planté directement, sans porte-greffe), conduites en foule et travaillées manuellement. Cette cuvée n'est commercialisée que millésimée (souvent aux alentours de Modèle:Euro) et permet de retrouver le goût du champagne tel qu'il était au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Bollinger vieilles vignes françaises</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Entre la Camargue et les laves volcaniques d'Agde, le rivage est uniquement composé de sables d'origine marine et éolienne. Ils sont dépourvus d’argile et de limon. Ici, le phylloxéra n'attaque pas les ceps de vigne car le sable, par sa structure et sa mobilité, empêche par écrasement les formes radicicoles de descendre vers les racines<ref>Origine des plantations de vignes dans les sables d'Aigues-Mortes, le Progrès agricole et viticole, n° 10, 9 mars 1890</ref>. Profitant de cette situation exceptionnelle, le domaine de Vassal, à Marseillan, abrite le Conservatoire mondial des ressources génétiques de la vigne de l'INRA. C'est une collection unique au monde de Modèle:Unité qui participe au maintien du patrimoine génétique viticole international<ref name="Lido">Modèle:Ouvrage</ref>. Modèle:Loupe Au Portugal, une parcelle de vigne, dans la vallée du Douro, a été elle aussi préservée du phylloxéra. Dénommé O Nacional, ce vignoble couvre Modèle:Unité et produit le rarissime Porto Vintage Noval Nacional<ref>Porto Vintage Noval Nacional</ref>.

On trouve à Maribor, en Slovénie, une vigne plantée il y a Modèle:Unité. Cette stara trta (« vieille vigne » en slovène) ne produit que Modèle:Unité de raisins par vendange. Son vin est conditionné dans une centaine de bouteilles mignonnettes<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Old Vine, the oldest vine in the world, consulté le 8 octobre 2011.</ref>.

Modèle:Refnec.

État actuel de l'épidémie

Depuis la reconstitution du vignoble, ce ravageur n'a plus qu'une importance secondaire. Les vignobles du monde sont en effet constitués de plants greffés pour la plupart, ou bien sont plantés dans du sable. Parmi les vignobles francs de pied, ceux du Chili sont toujours épargnés, mais le Modèle:Date-, l'insecte a été détecté dans la Yarra Valley, dans l'État australien de Victoria, ainsi qu'en Nouvelle-Zélande, et d'autres découvertes ont suivi en Modèle:Date- en Australie. Modèle:Loupe Le phylloxéra aux États-Unis, son pays d'origine, a longtemps été considéré comme partie négligeable dans le dépérissement des vignobles. À tel point que, dans un état comme la Californie, une grande partie du vignoble, jusqu'à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avait ses vignes toujours plantées franches de pied à l'exemple de Central Valley où le vignoble ne comportait que des plants racinés de Vitis vinifera. C'est seulement dans la Napa Valley et la Sonoma Valley, où l'insecte térébrant était actif, qu'il était nécessaire d'utiliser des porte-greffes. Le choix s'était porté sur l'Aramon x Rupestris ganzin n l, dit A x RI aux États-Unis. En dépit des avertissements des plus grands spécialistes mondiaux, dont le professeur Denis Boubals de l'ENSAM, dénonçant son peu de résistance face au phylloxéra, il fut utilisé massivement, à tel point que, dans les années 1980, il devint le porte-greffe dominant, sinon unique. Dix ans plus tard, les attaques phylloxériques prirent une telle ampleur qu'elles mirent en danger l'ensemble du vignoble de qualité californien<ref>Denis Boubals et Robert Boidron, Modèle:Opcit, p. 19</ref>.

Moyens de lutte utilisés

Viticulteurs et scientifiques se sont d'abord trouvés complètement désarmés devant les désastres occasionnés par l'insecte. L'expérience a rapidement prouvé que les vignes plantées en terrain sablonneux résistaient au phylloxéra (le sable, par sa structure et sa mobilité, empêchant par écrasement les formes radicicoles de descendre vers les racines), mais on pouvait difficilement envisager de transplanter tout le vignoble en terre sablonneuse<ref>Origine des plantations de viges dans les sables d'Aigues-Mortes, le Progrès agricole et viticole, n° 10, 9 mars 1890</ref>. On a donc essayé, souvent de façon empirique, des traitements divers (« submersionistes », « sulfuristes », « américanistes » ou « hybrideurs ») aux résultats plus ou moins heureux<ref name="Bazin" /> :

  • le badigeonnage des souches, afin de détruire l'œuf d'hiver, avec un mélange d'eau, de chaux vive, de naphtalène brut et d'huile lourde de houille. Encore pratiquée au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, cette technique ne s'est pas révélée très efficace ;
  • le traitement par le sulfure de carbone (procédé de l'agronome Paul Thénard) : on introduit dans le sol, à l'aide d'appareils spéciaux, une certaine quantité de sulfure de carbone, liquide très volatil dont les vapeurs vont tuer l'insecte. Le produit était injecté dans le sol à l'aide d'une charrue sulfureuse ou d'un pal injecteur (pal Vermorel). La méthode était assez efficace, mais trop longue et trop coûteuse, tout comme le traitement par le sulfocarbonate de potassium<ref>Sur la suggestion de Jean-Baptiste Dumas.</ref>, qui consistait à creuser une cuvette autour du cep et à y verser une solution liquide ;
  • le traitement par submersion : on noie le vignoble sous une couche d'eau qui va asphyxier l'insecte. Excellente méthode certes, mais ne pouvant s'appliquer qu'aux terrains irrigables, autrement dit les moins propices aux vignobles de qualité ;
  • l’hybridation de cépages européens avec des vignes américaines résistantes<ref name=":0" /> ;
  • la plantation de vignes américaines, dont on s'était aperçu que les vignes de la côte Est étaient immunisées contre le phylloxéra.

Cette dernière méthode était difficilement envisageable, car elle aurait conduit à la perte de tous les cépages français de qualité. Mais elle contenait en germe la bonne solution : utiliser les plants américains comme porte-greffe, technique toujours utilisée aujourd'hui pour se prémunir du phylloxéra.

De nombreuses recherches sur des greffons américains ont été conduites au château des Creissauds, à Aubagne, par M. Marius Olive entre 1870 et 1885 et à l'École nationale supérieure agronomique de Montpellier sur le domaine de la Gaillarde. Ces recherches furent l'objet de très nombreuses publications et manuels de lutte contre le phylloxéra. La replantation de porte-greffes américains<ref>Avec parfois des échecs, les hybrides Vitis solonis x ou V. riparia x étant atteints de chlorose ferrique sur des sols riches en calcaire.</ref> et d’hybrides producteurs directs permet à partir des années 1870 la reconstitution des vignobles adaptés à la mécanisation grâce à la réalisation de rangs de vigne ou de palissage<ref name="Bazin"/>.

Phylloxéra dans l’art

Fichier:Vincent Willem van Gogh 036.jpg
La Vigne rouge, Vincent van Gogh, 1888.

Vincent van Gogh peint La Vigne rouge en 1888. La teinte rouge et jaune des feuilles pendant les vendanges est inhabituelle, elles sont encore vertes lorsque la maturité du raisin est en cours. L'affaissement des rameaux sur le sol peut être un témoin de la faiblesse des ceps. Cela pourrait représenter un signe de la progression de l’épidémie. En 1875, la production viticole française atteint Modèle:Unité d’hectolitres. Elle chute à Modèle:Unité en 1889, un an après la réalisation du tableau<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Laurent Rougier, Instructions pratiques sur la reconstitution des vignobles par les cépages américains, 1887.
  • Marius Olive, Catalogue descriptif des principales variétés de vignes américaines, françaises et franco-américaines cultivées dans le vignoble de Creissaud, 1889.
  • Pierre Galet, Maladies et parasites de la vigne, Montpellier, 1977 (2 vol.).
  • Marcel Lachiver, Vins, vignes et vignerons. Histoire du vignoble français, Paris, Fayard, 1988.
  • Gilbert Garrier, Le Phylloxéra. Une guerre de trente ans (1870-1900), Paris, Albin Michel, 1989.
  • Roger Pouget, Histoire de la lutte contre le phylloxéra de la vigne en France : 1868-1895, Paris, Institut national de la recherche agronomique, 1990.
  • Denis Boubals (ENSAM) et Robert Boidron (ENTAV), Le phylloxéra en Californie, Cépages Magazine, Modèle:N°, Modèle:Date-.
  • Gilbert Garrier, Le Phylloxéra. Une guerre de trente ans (1870-1900), Avenir Œnologie, 2000 (Présentation en ligne).
  • Pierre Galet, "Les maladies et les parasites de la vigne (tome II)", Avenir Œnologie, 2000 (Présentation en ligne).

Articles connexes

Liens externes

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