Garonne
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox/Début Modèle:Infobox/Titre Modèle:Infobox/Image {{#if:MapGaronne.jpg
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Hydronymie
Les formes anciennes de la Garonne sont bien connues<ref>DUTRAIT (M.) La Garonne maritime et le Médoc d'après les œuvres d'Ausone. Bull. Société de Géographie Commerciale de Bordeaux, ser. 2 (1897), p.45.</ref> : - en grec, Garounas (Strabon, v. 10 ap. J.-C.), Garouna, Garuna, Garunas, Garina (Ptolémée, v. 150 ap. J.-C.), Garunna, Garounna (Marcien d'Héraclée v. 470); - en latin, Garumna (Jules César<ref>Modèle:Ref-César-Guerre-Gaules</ref>. - 52 av. J.-C.), Garunna (Pline l'Ancien v.100 ap. J.-C.), Garumna, Garunna, Garonna, Garona (Pomponius Mela v.43 ap. J.-C.), Garunda (Sidoine Apollinaire v. 460), Gyrunda, Gyriunda 1242, Garunna 1480, Gironda 1557.
Garonne et Gironde seraient des variantes dialectales. L'alternance -nn- / -nd- a été souvent constatée en gaulois, et c'est elle qui différencie le celtique -onna et le latin unda « eau »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Le premier élément de Garonne pourrait provenir soit d'un radical prélatin *gar- « pierre, rocher, montagne », variante de *kar- et de *gal-, soit, plus vraisemblablement, d'un radical bilabial<ref>Louis Remacle, La différenciation des géminées MM, NN, en MB, ND , 1984, p. 52.</ref> *gw-ar- qui expliquerait mieux les différentes variantes observées. En effet, l'élément occlusif est soit conservé, comme Garonne, Modèle:Page h', Gard, soit perdu comme en celtique ver, Var « eau, rivière »<ref>Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue Gauloise, Éditions Errance, 2003, Modèle:P..</ref>.
Le second élément est aussi un suffixe hydronymique -onna (onno « fleuve », est cité comme gaulois dans le Glossaire d'Endlicher<ref>Modèle:Ouvrage</ref>).
Selon la première hypothèse, Garonne signifierait « la rivière du roc, la rivière caillouteuse »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Selon la seconde, elle signifierait « la rivière de (Celle de) l'Eau », divinisation du cours d'eau bien connue chez les Celtes<ref>Albert Carnoy, « La Divinisation des rivières et la toponymie. » in L'antiquité classique, 1951, t. 20, pp. 103-106.</ref>,<ref>Jacques Bonnin, L'Eau dans l'Antiquité, 1984, Modèle:P..</ref>.
La Garonne s'appelle en occitan Modèle:Lang.
Remarque : garona dans le fabla aragonés (ou patois aragonais, fabla signifiant « patois ») est un nom commun. En effet, l'une des sources de la Garonne se trouve dans la Comarque de la Ribagorce, qui appartient à la province de Huesca, et donc à l'Aragon (communauté autonome). En fabla aragonés, garona possède plusieurs sens : « site inondé, détrempé ou rempli d'eau » (Modèle:Ex La cosina esta feta una garona « la cuisine est inondée »), « rivière torrentielle », « personne au fort tempérament ou colérique » . (Modèle:Ex La muller yera feta una garona)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Géographie
Le cours de la Garonne
La Garonne est partagée en plusieurs parties, d'amont en aval :
- un parcours montagneux de direction Sud-Nord, depuis sa formation dans les Pyrénées centrales espagnoles ;
- un parcours de piémont de direction Ouest-Est, longeant la chaine centrale pyrénéenne ;
- un premier parcours de plaine de direction Sud-Ouest - Nord-Est, jusqu'à la confluence avec l'Ariège et la ville de Toulouse ;
- un second parcours de plaine de direction Sud-Est - Nord-Ouest jusqu'à Bordeaux ;
- l'embouchure à partir de la ville de Bordeaux et de la confluence avec la Dordogne jusqu'au golfe de Gascogne.
Le point triple entre les trois lignes de partage des eaux de la Garonne, de la Loire et du Rhône se trouve en Lozère à un « sommet » du mont Planas (Modèle:Coord, altitude : Modèle:Unité) sur la commune d'Allenc très proche de la limite avec celle de Belvezet, au nord-ouest du « Carrefour de la Pierre Plantée » avec un menhir à proximité.
Les sources
Selon les auteurs, trois sources distinctes peuvent être reconnues pour la Garonne :
- pour les Aranais du Val d'Aran, la véritable source, l'Uelh dera Garona (œil de la Garonne), se situe dans les pâturages du Plã de Béret (Modèle:Coord, altitude : Modèle:Unité), à proximité de la station de ski Baqueira Beret ;
- d'après Norbert Casteret<ref>Modèle:Article.</ref>, la source principale se trouve à l'est du massif de la Maladeta (Modèle:Coord, altitude : Modèle:Unité), en Aragon, depuis les névés nord et est du pic d'Aneto, dont l'eau s'engouffre au Forau d'Aigualluts ou Trou du Toro (Modèle:Coord, altitude : Modèle:Unité), pour changer de vallée par une résurgence aux Uelhs de Joeu<ref>Modèle:Ouvrage</ref> (Yeux du juif) (Modèle:Coord, altitude : Modèle:Unité). C'est l'Arriu Joeu ;
- enfin, l'Arriu Garona de Ruda puis Arriu de Saboredo venant des lacs de Saboredo (Modèle:Coord, altitude : Modèle:Unité), passant à proximité du port de la Bonaigua. Cette branche serait la plus longue<ref name="larousse">Encyclopédie Larousse, La Garonne, http://www.larousse.fr/encyclopedie/riviere-lac/la_Garonne/111428</ref> Modèle:Référence souhaitée. C'est la Garonne orientale. Nota : il existe aussi l'Arriu Unhòla, qui remonte au pied du Plan de Beret vers le nord et la frontière française, et n'est considéré que comme un affluent, alors que son cours est bien plus long.
-
Source aranaise : « Uelh dera Garona », au Pla de Beret.
-
Les Uelhs de Joèu (Ulls del Jueu en catalan, les Yeux du juif), résurgence dans le Val d'Aran des eaux perdues dans le Trou du Toro.
-
Disparition de l'eau des Barrancs et Escaleta (Maladeta) dans le sol au Forau de Aigualluts ou Trou du Toro.
-
Principal lac de Saboredo et Pic de Saboredo, tête de la vallée de la Garonne.
Montagne et piémont
Le fleuve se dirige au nord, entre en France au Pont du Roy à Fos. La longueur de son parcours restant en France jusqu'à l'embouchure est de Modèle:Unité<ref name=sandre>Modèle:Sandre</ref>.
Il reçoit ensuite la Pique descendue des massifs de Luchon. Il quitte les Pyrénées après avoir arrosé le site antique de Saint-Bertrand-de-Comminges, puis il reçoit la Neste à Montréjeau, change de direction pour se diriger vers le nord-est en une large vallée (plaine de Rivière), il arrose Saint-Gaudens, franchit les Petites Pyrénées entre Saint-Martory et Martres-Tolosane, reçoit le Salat descendu de Saint-Girons.
La vallée de la Garonne
La vallée très large s'étage en terrasses alluviales étagées sur la rive gauche (basse et relativement plate, par rapport à la rive droite plus haute et plus escarpée), cette dissymétrie traduisant, lors des phases de remblaiement fluviatile, une migration progressive du cours du fleuve vers le nord et vers l'est. Modèle:Citation
Le fleuve traverse Muret, reçoit l'Ariège à Portet-sur-Garonne pour atteindre Toulouse où il change de direction en se dirigeant au nord-ouest pour se jeter dans l'Atlantique à son embouchure en commun avec la Dordogne où les deux fleuves forment l'estuaire de la Gironde.
Entre Toulouse et Bordeaux, le fleuve traverse Agen et reçoit ses principaux affluents sur la rive droite, le Tarn et le Lot issus du système hydrologique du Massif central.
Le fleuve est navigable de l'océan à Langon. Un canal latéral a été construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour joindre Langon (Castets-en-Dorthe) à Toulouse (liaison avec le canal du Midi de Toulouse à Sète). La marée se fait sentir jusqu'à Casseuil, soit Modèle:Unité en amont de Langon<ref name="chro">Modèle:Lien web</ref>. Des oscillations caractéristiques sont aussi observables à La Réole, Modèle:Unité plus amont (lorsque le débit est suffisamment faible)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Des Pyrénées à Toulouse, le fleuve est aménagé pour l'industrie hydroélectrique. Plus récemment, deux centrales nucléaires sont implantées sur les rives :
- La Vallée de la Garonne
-
La Garonne à Boussens -
La Garonne à Salles-sur-Garonne -
Quais de Garonne à Toulouse
Départements et principales villes traversés
- Val d'Aran (Espagne) : Vielha e Mijaran
- Haute-Garonne : Montréjeau, Saint-Gaudens, Muret, Toulouse, Blagnac
- Tarn-et-Garonne : Verdun-sur-Garonne, Castelsarrasin
- Lot-et-Garonne : Agen, Tonneins, Marmande
- Gironde : La Réole, Langon, Bordeaux
Principaux affluents
En descendant le cours du fleuve, on rencontre les affluents suivants, de plus de Modèle:Unité de long :
Modèle:Colonnes Diagramme comparatif des bassins versants des principaux affluents, supérieurs à Modèle:Unité : <timeline> TimeAxis = orientation:horizontal format:xxxx ImageSize = width:700 height:auto barincrement:25 PlotArea = left:10 right:10 top:10 bottom:40 AlignBars = justify
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L'Estuaire
À Bordeaux, le fleuve est très large et sous l'influence des marées. À marée montante se forme un mascaret qui remonte le fleuve<ref name="Chanson_etal2010">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="Simon_et_al2011">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="Chanson_etal2012">Modèle:Ouvrage</ref>. L'eau salée de l'océan remonte à Bordeaux en période d'étiage<ref name="chro"/>, quand le mascaret peut être observé jusqu'en amont de Cadillac en périodes de grandes marées.
- L'Estuaire
-
Bordeaux, bateaux sur la Garonne
Eugène Boudin, 1876
Columbus Museum of Art -
Le pont de pierre de Bordeaux avec ses dix-sept arches -
Vue aérienne de l'estuaire.
Hydrographie
Dans sa partie supérieure, à l'amont de Toulouse, son débit dépend de l'enneigement et de la fonte des neiges et, dans sa partie inférieure, elle a une alimentation pluviale due à ses principaux affluents.
La Garonne alimente aussi plusieurs canaux :
- le canal de Saint-Martory avec la prise d'eau à Saint-Martory, prélève Modèle:Unité/s au fleuve<ref>Site de la préfecture de la Haute-Garonne, page sur l'irrigation</ref> ;
- le canal latéral à la Garonne avec la prise d'eau à Toulouse par le canal de Brienne.
Le SANDRE attribue à la Garonne le numéro d'identité hydrographique 0---00000 et le code générique O---0000<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Crues de la Garonne
À Toulouse, la Garonne a subi de nombreuses crues, notamment depuis que sa rive gauche est habitée. Il y aurait ainsi eu des crues vers 1177, en 1220, en 1258, en 1430, en 1523, en 1536 et en 1589, en 1608, en 1658, en 1673, en 1675, en 1709, en 1712<ref>Modèle:Cf. l'Errata 1, en page 454</ref>, en 1727, en 1750, en 1772, 1788, 1804 et 1810, et en 1827 et en 1835, en 1855, en 1856<ref name="dramesdelinondation">Les drames de l'inondation à Toulouse / Théophile Astrié Auteur : Astrié, Théophile Éditeur : Arnaud et Labat (Paris) Éditeur : Librairie centrale (Toulouse), 1875 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5778575j</ref>.
À Toulouse, en 1827, la Garonne à quatre mètres au-dessus du niveau ordinaire remplit les arches du pont de Pierre ou Pont neuf. En 1835, la Garonne monte à cinq mètres 35 au-dessus de l'étiage et passe par les quatre lunes du pont. En 1772, la Garonne atteint 8 mètres 50<ref name="dramesdelinondation" /> .
- Crue de la Garonne en 1835 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 1855 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 1875 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf (ou 8m32 d'après vigicrue).
- Crue de la Garonne en 1879 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 1890 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 1900 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 1905 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de 1927 en Aquitaine, particulièrement imposante après le confluent de la Garonne avec le Lot (dont elle est restée crue de référence), insignifiante en amont<ref>Modèle:Article</ref>.
- Crue de la Garonne en 1952 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 1977 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 2000 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 2004 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf
- Crue de la Garonne en 2022 : Modèle:Unité à Toulouse Pont-Neuf le 11 janvier <ref>Clémence Fulleda, « Intempéries en Haute-Garonne : la Garonne à plus de 4 mètres à Toulouse, des écoles fermées, le point ce mardi » », France Bleu Occitanie, 11 janvier 2022 Modèle:Lire en ligne</ref>
En 1777, la Garonne subit une crue extraordinaire au point que le curé de Bourdelles prit la peine de retranscrire l'événement, à la fin des actes de l'année, dans le registre paroissial des baptêmes, mariages et décès :
Hydrologie - Les débits
La Garonne au Mas-d'Agenais
Le débit de la Garonne a été observé sur une période de 76 ans (1913-1988), au Mas-d'Agenais, localité du département de Lot-et-Garonne située à une douzaine de kilomètres en amont de la ville de Marmande<ref name=hydro>Modèle:Hydro</ref>. La surface prise en compte est de Modèle:Unité, ce qui correspond à près de 95 % du bassin versant total du fleuve qui fait plus ou moins Modèle:Unité.
Le module du fleuve au Mas-d'Agenais est de Modèle:Unité (plus que la Seine à son embouchure qui fait plus ou moins Modèle:Unité).
La Garonne présente des fluctuations saisonnières de débit bien marquées<ref>Modèle:Lien web</ref>, mais pas excessives. Les hautes eaux se situent en hiver et au printemps, et se caractérisent par des débits mensuels moyens allant de 832 à Modèle:Unité, de décembre à mai inclus (avec un léger sommet en février). Dès fin mai, le débit diminue progressivement ce qui mène aux basses eaux d'été. Celles-ci ont lieu de juillet à octobre inclus, et s'accompagnent d'une baisse du débit mensuel moyen jusqu'au niveau de Modèle:Unité au mois d'août, ce qui reste considérable. Mais les fluctuations de débit sont plus importantes selon les années, ou observées sur de courtes périodes.
Étiage ou basses eaux
Aux étiages, le VCN3 peut chuter jusqu'à Modèle:Unité, en cas de période quinquennale sèche, ce qui est loin d'être sévère. Le débit de la Garonne se maintient ainsi bien mieux que ceux de la Seine ou de la Loire, en période de sècheresse.
Crues
-
La Garonne à Bourret (département de Tarn-et-Garonne).
-
La Garonne à Toulouse lors d'une crue hivernale.
-
Crue de janvier 2022 à Toulouse.
D'autre part, les crues du fleuve peuvent être assez importantes, aggravées par la taille élevée de son bassin versant. Les QIX 2 et QIX 5 valent respectivement Modèle:Unité et Modèle:Unité. Le QIX 10 se monte à Modèle:Unité, et le QIX 20 en vaut Modèle:Unité. Quant au QIX 50, il se monte à pas moins de Modèle:Unité, soit presque le débit moyen ou module du Danube en fin de parcours. Ainsi la possibilité d'importants débordements menace constamment.
Le débit journalier maximal enregistré au Mas-d'Agenais a été de Modèle:Unité le 5 mars 1930, lors de l'inondation historique de 1930. En comparant cette valeur à l'échelle des QIX exposée plus haut, il apparaît que cette crue était un peu plus importante que la crue vicennale calculée par le QIX 20 (une crue vicennale a, chaque année, une probabilité de 1/20 de se produire).
On peut aussi noter les estimations de la crue de la Garonne en 1875 où au moins Modèle:Unité auraient transité en aval du confluent avec le Tarn<ref>Modèle:Article</ref>.
Lame d'eau et débit spécifique
Bien qu'une bonne partie des plaines de son bassin soient peu arrosées, au point de nécessiter des ouvrages d'irrigation, la Garonne est un fleuve abondant, puissamment alimenté par les fortes précipitations des hauts sommets des Pyrénées centrales, et d'une bonne partie du Massif central. La lame d'eau écoulée dans son bassin versant se monte à 384 millimètres annuellement, ce qui est nettement supérieur à la moyenne d'ensemble de la France tous bassins confondus (320 millimètres par an). Le débit spécifique (ou Qsp) atteint 12,1 litres par seconde et par kilomètre carré de bassin.
Hydrologie - l'étiage (juillet-octobre)
Les débits généralement faibles en été et en automne, période appelée étiage, coïncident avec des prélèvements importants. Afin de limiter les risques pour la Garonne et éviter les conflits entre usage, une réalimentation du fleuve est assurée à partir de réservoirs situés dans les Pyrénées.
Les usages préleveurs (données moyennes sur l'aire du Plan de Gestion d'Étiage du Modèle:1er juillet au 31 octobre) :
- L'eau potable : réguliers sur l’année, les prélèvements d’eau potable représentent, à l’étiage, environ 60 millions de mètres cubes (hmModèle:3). Un tiers est consommé, les deux tiers sont restitués au milieu. Cependant, les effluents des stations d’épuration ont un impact d’autant plus important que le niveau d’eau est faible.
- L'industrie : les prélèvements industriels (nucléaire, hydroélectricité, papeteries…) réguliers sur l’année, représentent à l’étiage 108 hmModèle:3. Cette eau est largement restituée, la consommation nette représente à peine 7 % du prélèvement, mais peut engendrer des variations instantanées de débits préjudiciables à l’écosystème et aux autres activités.
- L'agriculture : l’irrigation représente 40 % des prélèvements à l’étiage, mais 80 % de la consommation, peu d'eau d'irrigation revenant au milieu. Toutefois, le cycle biologique des plantes allant de mai à septembre, les premiers besoins sont servis par l’hydrologie naturelle et les pluies. L’impact éventuel des pompages agricoles ne débute qu’à la mi-juillet et s’estompe début septembre. S’il reste faible par rapport aux débits naturels, en années humides, il peut être déterminant en années sèches (mini 93 hmModèle:3, maxi 188 hmModèle:3).
À l'aval du bassin, le prélèvement net agricole (non compensé, donc pouvant peser sur la ressource naturelle) peut atteindre, au plus fort de la campagne d'irrigation (entre le 25 juillet et le 5 août), 20 à Modèle:Unité/s ; l'objectif d'étiage étant quant à lui de Modèle:Unité/s. - Les transferts d'eau : représentent jusqu'à 212 hmModèle:3. Trois canaux prélèvent de l’eau sur les quatre mois d’étiage : le canal de Garonne et de celui de Saint-Martory (dont les prélèvements en Garonne, non compensés, pèsent sur la ressource naturelle quand elle vient à manquer) et le canal de la Neste (dont le prélèvement en Neste d'Aure est compensé à 50 % par les lacs d'altitude du Néouvielle).
Le soutien d'étiage : Des conventions pluriannuelles de soutien d’étiage mobilisent déjà et ce depuis 1993, plus de 50 millions de mètres cubes (hmModèle:3) de ressources en amont de Toulouse (de 30 à 70 hmModèle:3 mobilisables selon les années). Sur ce stock, la moyenne du volume mobilisé est de 25 hmModèle:3 (mini 12 hmModèle:3 et maxi 46 hmModèle:3), car il y a des étés humides, des étés secs et des pluies automnales plus ou moins tardives<ref>Voir les données statistique et les prévisions quotidiennes</ref>.
Couleur de la Garonne
Si de ses sources jusqu'aux limites du Lot-et-Garonne, le fleuve arbore une couleur habituelle allant du vert au bleu, en traversant le département de la Gironde, elle prend une couleur caramel. Cela s'explique par la rencontre des eaux douces chargées d'argile avec la marée qui remonte jusqu'à la ville de La Réole. Une réaction appelée floculation entraine alors l’agglomération des particules d'argile que les courants de marée remettent en suspension<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Autrefois la Garonne était un axe important de navigation et de transport de marchandises, autant fluvial que maritime. La navigabilité de la Garonne a déjà été établie dans des temps anciens sur une bonne longueur<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle a ainsi permis à Bordeaux de devenir, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le premier port français, et le deuxième port mondial après Londres<ref>Modèle:Lien web</ref>. La partie fluviale s'effectuait quant à elle au moyen de gabares, bateaux à fond plat conçus pour remonter les cours d'eau.
En 1822, la construction du pont de pierre a mis un terme au transport maritime en amont de Bordeaux. Puis, progressivement, l'activité portuaire a migré en aval de la ville. Elle commence désormais au terminal de Bassens, et s'étend jusqu'à celui du Verdon, en passant par les sites de Blaye et Pauillac.
En amont du pont d'Aquitaine, le trafic est presque exclusivement dédié aux bateau de croisière et au tourisme fluvial.
Transport des pièces de l'A380
Entre 2004 et 2021, la Garonne a servi à acheminer des pièces de l'avion A380, des sites de productions européens, vers les ateliers d'Airbus à Toulouse. L'arrivée dans l'estuaire s'effectuait d'abord en roulier (le Ville de Bordeaux) jusqu'à Pauillac, puis les pièces étaient transportées par barge (le Breuil et le Brion) jusqu'à Langon, la suite s'effectuant par route<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Avec l'abandon de la production de ces avions géants, ce trafic s'est arrêté en 2021<ref>Modèle:Article</ref>.
En 2013, TBM, le réseau de transport public de Bordeaux, a mis en place un bateau-bus, le Bat3. Conçus et fabriqués par des entreprises girondine, en forme de catamaran, ces bateaux hybrides permettent aux usagers d'aller d'une rive à l'autre avec un ticket de transport.
L'exploitation de cette navette fluviale est assurée par l'entreprise Bordeaux River Cruise.
« Garonne fertile »
Au printemps 2021, est lancé Modèle:Citation, un projet de fret fluvial alimentaire entre Damazan, en Lot-et-Garonne, et Bordeaux. Une péniche chargée de produits alimentaires a ainsi effectué, entre le 3 et le 8 mai, un premier trajet de 110 km en empruntant canal et Garonne. Pour le collectif qui porte le projet, les objectifs sont autant économiques qu'environnementaux, et il espère fédérer plusieurs acteurs sur le potentiel d'un transport fluvial au service des territoires<ref>Modèle:Lien web</ref>. Un deuxième voyage a lieu du 18 février au 24 avril 2022<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>.
Anciennes pratiques
Ponts
Au fil de son histoire, la Garonne a été dotée de ponts qui permettent de la franchir, notamment à Bordeaux et à Toulouse.
En 1789, le pont en bas de Montréjeau était en bois<ref>Fragmens d'un voyage sentimental et pittoresque dans les Pyrénées ou Lettre écrite de ces montagnes / par M. de St-Amans Auteur : Saint-Amans, Jean-Florimond Boudon de (1748-1831) Éditeur : Devilly (Metz) Date d'édition : 1789 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k351540/f11.image</ref>.
En 1860, la Compagnie des chemins de fer du Midi pour relier Toulouse à Tarbes (avant d'arriver à Bayonne) a construit six ponts sur la Garonne :
- Deux ponts à Empalot à Toulouse : rive droite: cinq et deux arches ; rive gauche : neuf et deux arches ;
- Deux ponts aux lieux-dits Fourqs et Appas ;
- Deux ponts à Valentine et à Montréjeau<ref>Nouvelles annales de la construction : publication rapide et économique des documents les plus récents et les plus intéressants relatifs à la construction française et étrangère... / C.-A. Oppermann Titre : New annals of the construction Titre : Neue Annalen der Baukunst Éditeur : V. Dalmont (Paris) Éditeur : V. Dalmont (Paris) Éditeur : Dunod (Paris) Éditeur : J. Baudry (Paris) Éditeur : C. Béranger (Paris) Date d'édition : 1860-11 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55770432/f5.item</ref>.
Flottage
Le flottage a été utilisé pour acheminer les poutres maîtresses de la cathédrale de Montauban à partir des forêts de la vallée d'Aure<ref>Bulletin de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne, 1994, lire en ligne</ref>.
Le flottage a disparu avec la construction d'une ligne de chemin de fer (aujourd'hui remplacée par un service d'autocar) entre Luchon et Montréjeau<ref>Rapports et délibérations, Conseil général de la Haute-Garonne, 1938, lire en ligne</ref>.
La Garonne a également servi au flottage de bois de chauffage et de construction, qui venait du Val d'Aran, jusqu'à Cazères ou jusqu'à Toulouse. Ce flottage se faisait dans le cadre de libres échanges commerciaux, qui ont par la suite été encadrés par des privilèges, sujets de différends nationaux, jusqu'à leur disparition. Ainsi 500 à 600 hommes coupaient Modèle:Nombre cannes de bois annuellement pour la région toulousaine. Les escales se réalisaient aux ports de Bossòst, Les, Saint-Béat et Fos<ref>Revue de Comminges, Société des études du Comminges (Saint-Gaudens, Haute-Garonne), Société Julien Sacaze, 1958, lire en ligne</ref>. Par ailleurs, Julien Sacaze suppose que Lugdunum Convenarum était un port antique.
Ainsi, en Haute-Garonne, en 1878, la Garonne était navigable sur Modèle:Unité environ<ref>Usages locaux ayant force de loi dans le département de la Haute-Garonne (Modèle:2e revue, augmentée et corrigée...), Victor Fons (1801-1882), éditeur Brun-Rey (Toulouse), 1878 lire en ligne</ref>.
Ports et quais
En 1847, Toulouse comptait sur la Garonne des quais et trois ports<ref>Plan géométrique de la ville de Toulouse, dressé d'après les plans du cadastre / par P. J. Bellot... Auteur : Bellot, Pierre-Joseph (Aîné). Dessinateur Auteur : Raynaud frères (Toulouse). Auteur du texte Éditeur : impr. de Raynaud frères (Toulouse) Date d'édition : 1847 gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53060495j/f1.item</ref>.
Péages
L'histoire des péages de la Garonne et de ses affluents au Moyen Âge a été étudiée par le professeur C. Higounet. Il en existait notamment une trentaine entre Bordeaux et Toulouse<ref>Modèle:Article.</ref>.
Poissons migrateurs
La Garonne et son estuaire accueillent encore les huit espèces de migrateurs amphihalins : la grande alose, l'alose feinte, l'anguille, l'esturgeon européen, la lamproie fluviatile, la lamproie marine, le saumon atlantique et la truite de mer.
La Garonne constitue l'axe majeur de migration pour les poissons grands migrateurs, reliant l'Atlantique jusqu’aux Pyrénées. L'estuaire de la Gironde, véritable milieu de transition, joue un rôle clé dans l’adaptation physiologique des poissons grands migrateurs au passage d’un milieu marin à un milieu fluvial, et vice versa. La Garonne est un lieu de reproduction et les graviers de son lit abritent les œufs. C'est aussi un milieu nourricier.
Petit à petit, les incidences de certaines activités humaines ont commencé de porter tort à ces populations fragiles. Les prélèvements intensifs de granulats, la pollution de l’eau et surtout les barrages ont bouleversé les écosystèmes, rendant souvent inaccessibles les zones de frai quand ils ne les détruisaient pas simplement.
Il a fallu attendre les années 1970-1980 pour que les pouvoirs publics étendent le plan de sauvetage du saumon à l’ensemble des espèces migratrices, imposent des dispositifs de franchissement de barrages, prévoient des alevinages, limitent la pêche et redonnent un avenir à des espèces emblématiques en pays de Garonne<ref>Voir le dernier bilan des migrations sur la Garonne</ref>.
L'esturgeon européen : il est sur la liste rouge des espèces menacée de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Le système Gironde-Garonne-Dordogne abrite les dernières frayères.
L'anguille : longtemps considérée comme nuisible, elle fait actuellement l’objet de toutes les attentions. Des mesures d'urgence aux niveaux national et local s’imposent pour la sauvegarde de l’espèce.
La grande alose : la Garonne et la Dordogne ont longtemps accueilli la population de grande alose la plus importante d'Europe. Aujourd'hui, cette espèce, de la famille de la sardine, connaît une baisse d'effectif préoccupante. Un plan de sauvegarde de l'espèce a été mis en place en 2008.
La lamproie marine : elle est pêchée dans la partie aval de la Garonne, au filet ou dans des nasses. Cuisinée « à la bordelaise », en civet, elle est ensuite commercialisée en conserve. C'est l'espèce migratrice la plus abondante.
Le saumon atlantique : disparu dans les années 1970, le saumon atlantique repeuple peu à peu le bassin de la Garonne, grâce au plan de restauration.
Liste des principaux franchissements
Activités touristiques
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Croisière sur la Garonne à Bordeaux.
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Cabane de pêche au filet carré (carrelet) sur pilotis.
En littérature et en musique
La Garonne est, Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>. L'œuvre de Pierre Gamarra a en effet pour cadre la Gascogne et le Haut Languedoc, des Pyrénées à la région de la moyenne Garonne, pays toulousains et tarnais. Dans son recueil de poèmes Romances de Garonne<ref>Modèle:Ouvrage</ref> publié en 1990, il situe son inspiration entre les deux fleuves nourriciers que sont pour lui le Rhône et la Garonne<ref>Modèle:Article</ref>.
Julos Beaucarne met en musique en 1976 sur une mélodie originale<ref>Modèle:Lien web</ref> la chanson à dire La Garonne (Si la Garonne avait voulu) publiée en 1895 par Gustave Nadaud<ref>Modèle:Lien web</ref> et interprétée en 1903 par Charlus<ref>Modèle:Lien web</ref> où l'on apprend que Modèle:Citation bloc
Toulousain emblématique et chantre de sa ville dans l'accent de laquelle roule un torrent de cailloux<ref>Modèle:Lien web</ref>, Claude Nougaro est aussi l'enfant du fleuve qu'il célèbre en 1993 dans C'est une Garonne sur la musique de Ray Lema<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Notes et références
Voir aussi
Modèle:Autres projets Modèle:GeoGroup
Bibliographie
- Les Caprices du Temps dans le Sud-Ouest, numéro spécial de la revue d'histoire Arkheia, Montauban, 2009. À lire notamment, Max Lagarrigue, L'inondation du siècle, mars 1930.
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- Modèle:Article.
Articles connexes
- Garoumnes, tribu proto-basque de l'Aquitaine antique
- Liste de ponts sur la Garonne
- Le Bassin de la Garonne
- La Liste de fleuves dans le monde classés par continent
- La liste des fleuves de France
- Les débits des cours d'eau du bassin de la Garonne
- Liste des principaux cours d'eau de la France par bassin versant
- Liste des communes de France portant la mention rajoutée des grands fleuves français
- (180) Garumna, astéroïde nommé d'après le nom latin du fleuve.
Liens externes
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- Modèle:Dictionnaires
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- Portail de la Garonne
- Initiatives pour l'avenir des grands fleuves - La Garonne
- Site du syndicat mixte d'Études et d'Aménagement de la Garonne
- L'histoire de la source de la Garonne
- Le port d'Auvillar, au bord de la Garonne, depuis le Moyen Âge
- La crue de juin 1875 à Toulouse (articles de presse)
- La collaboration franco-espagnole
- Suivi et historisation des données hydrologiques à Toulouse
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- Garonne Fertile