Langon (Gironde)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Langon (Lengon, en gascon<ref>Modèle:Lien web.</ref>) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine. Elle est le chef-lieu d'un arrondissement.

Géographie

Localisation

Étape traditionnelle de la route Bordeaux-Toulouse, la ville de Langon et son unité urbaine dans le Sud-Gironde, se trouve sur la rive gauche de la Garonne, près de la limite entre le vignoble des Graves et la lisière de la forêt des Landes, à Modèle:Unité au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département<ref>Distances les plus courtes par la route - La distance orthodromique est de Modèle:Unité pour Bordeaux. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 4 décembre 2011.</ref>.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Saint-Pierre-de-Mons à l'est, Coimères au sud-est, Mazères au sud, Roaillan au sud-ouest sur environ un kilomètre, Fargues à l'ouest et Toulenne à l'ouest. Sur la rive droite de la Garonne, se trouvent les communes de Saint-Maixant au nord et Saint-Macaire au nord-est. Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 8,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauternes », sur la commune de Sauternes, mise en service en 1896<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Langon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Langon, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,8 %), zones urbanisées (28,8 %), forêts (11 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), prairies (4,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %), terres arables (1,1 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Voies de communication et transports

Fichier:Langon, Gironde.jpg
Langon depuis le pont routier sur la Garonne Modèle:Nobr

La ville est traversée par la route départementale D1113, ancienne route nationale 113, qui mène vers le nord-est à Saint-Macaire et au-delà à La Réole et vers le nord-ouest à Toulenne et en direction de Bordeaux. La D1113 franchit la Garonne par le pont routier de Langon. Plusieurs routes commencent dans le territoire communal, la route départementale D116, à l'ouest, en direction du Sauternais et de Landiras, la route départementale D8, au sud-ouest, en direction de Fargues et Villandraut, la route départementale D222, au sud-sud-ouest, en direction de Roaillan, la route nationale N524 (anciennement route départementale D932), au sud, en direction de Bazas, la route départementale D10, au sud-ouest, en direction d'Auros, la route départementale D224, à l'est, en direction de Saint-Pierre-de-Mons et Castets et Castillon.

L'accès no 3, dit de Langon, à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) se situe sur le territoire communal.

L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à Modèle:Unité vers le sud.

La ville est desservie par la SNCF, à la gare de Langon, dans l'ouest de la commune, sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine qui franchit la Garonne ici par le pont ferroviaire de Langon.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Langon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, le ruisseau de Grusson et le ruisseau de Brion. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1988, 1991, 1995, 1997, 1999, 2005, 2009, 2018, 2019, 2020 et 2021<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:33227-Langon-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Langon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 2 506 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS"/>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Selon la chronique de Benjamin Fillon sur la commune « Le Langon » dans la Vendée, Le Langon, Véluire et le Poiré (imprimerie de Robuchon, Fontenay-le-Comte, 1867) « Le nom celtique de ce très ancien bourg, situé sur les confins de la plaine et du marais méridional de la Vendée, était vraisemblablement Alingo, comme celui de Langon sur Gironde. On en fit d’abord l’Alingon, puis l’Alangon, et enfin le Langon. »<ref>Le Langon - entre plaine et marais poitevin - Accueil Vendée</ref>.

Le nom celtique « Alingo » figure ici et là autour de Langon, mais de moins en moins. Il y a encore le club Rando Alingo de randonnée pédestre<ref>Ville de Langon : L'annuaire des associations (Sports individuels)</ref> et le Centre Medical Alingo dans le Cours des Fossés, mais l'ancien Café Alingo<ref>La belle époque des cafés de Langon - Le Républicain, Sud-Gironde.</ref> est devenu « Le Cochon Volant »<ref>Nouveau gérant du café Alingo - Le Républicain, Sud-Gironde.</ref>,<ref>L’ouverture du « Cochon volant » - Le Républicain, Sud-Gironde.</ref>.

Histoire

L'histoire de la ville est indissociable de celle de Bazas, à une quinzaine de kilomètres au sud, important centre militaire et religieux de l'Antiquité jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dont Langon est le port sur la Garonne, rivalisant un temps avec celui de Bordeaux. Profitant de sa situation privilégiée autour d'un coude du fleuve, au confluent avec le Brion, Langon devient une ville de marchés, sur la route entre Bordeaux et Agen. Elle compte deux paroisses dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Notre-Dame et Saint-Gervais, formant deux bourgs dont la ville est la réunion. Pour plus d'information sur la situation de la commune au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein<ref>Modèle:Ouvrage, article 6.I, pages 215-224</ref>.

À la Révolution, la paroisse Saint-Gervais de Langon forme la commune de Langon<ref>Historique des communes, Modèle:P., sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 7 avril 2013.</ref>.

Langon a été marquée par la vigne, qui fit sa richesse en tant que port, au carrefour du vignoble des Graves et de celui du Sauternais. La commune elle-même est sur le territoire des Graves. Tandis que Bazas entre dans un déclin relatif à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, perdant son diocèse après la Révolution, son tribunal de grande instance au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et une bonne partie de son artisanat, Langon connaît un essor commercial et industriel. En 1926, les arrondissements de Bazas et de La Réole fusionnent avec celui de Langon, et c'est Langon, légèrement plus peuplée<ref group=Note>En 1926, la population de Langon était de Modèle:Unité, celle de Bazas de Modèle:Unité et celle de La Réole de Modèle:Unité. Depuis, la population de Langon a presque doublé tandis que les populations des deux autres villes ont quasiment stagné (2015).</ref>, qui récupère la sous-préfecture.

Culturellement, Langon se situe dans l'aire gasconne. Le nom de la ville en occitan est Lengon (prononcer Lengoun). Elle fait partie de la région historique du Bazadais.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelages

Les jumelages de la ville de Langon sont les suivants<ref>Ville de Langon : Jumelage</ref> :

Intercommunalité

Le Modèle:Date-, la communauté de communes du Pays de Langon ayant été supprimée, la commune de Langon s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Langonnais<ref>Nom des habitants de la commune sur Habitants.fr, consulté le 4 décembre 2011.</ref>.

L'unité urbaine de Langon compte, à périmètre identique à 1999, Modèle:Unité en 2006 contre Modèle:Unité au recensement de 1999 soit une augmentation de 18 %. Les autres communes de l'unité urbaine sont Toulenne (Modèle:Unité), Fargues (Modèle:Unité), Saint-Pierre-de-Mons (Modèle:Unité), Saint-Pardon-de-Conques (Modèle:Unité) et Saint-Loubert (Modèle:Unité).

L'aire urbaine compte quant à elle, à périmètre identique à 1999, Modèle:Unité en 2006 contre Modèle:Unité au recensement de 1999 soit une augmentation de 20 % et trois communes de plus : Fargues (Modèle:Unité), Roaillan (Modèle:Unité) et Saint-Pardon-de-Conques (497 habitants). La croissance démographique, due à l'étalement de l'agglomération bordelaise, est actuellement très soutenue et devrait se traduire par des chiffres en hausse lors du prochain recensement.

Modèle:Population de France/section

Services publics

Langon héberge une sous-préfecture, un centre hospitalier du Sud-Gironde dont le siège administratif se trouve à La Réole après la fusion des deux hôpitaux la partie chirurgicale étant située à Langon, un service départemental d'incendie et de secours, une gendarmerie, une poste, un centre des impôts, une maison de retraite, un office de tourisme, un pôle emploi, une CPAM.

Enseignement

  • L'éducation est assurée sur la commune de Langon depuis la crèche, en passant par l'école maternelle (EM Anne-Frank et Ste-Marie Jeanne d'Arc), l'école élémentaire (EP Antoine-de-Saint-Éxupéry et Ste-Marie Jeanne d'Arc) et le collège (collège Jules-Ferry et collège Toulouse-Lautrec ainsi que le collège Ste-Marie Jeanne d'Arc), jusqu'au lycée aussi bien d'enseignement général (lycée mixte Jean-Moulin) que d'enseignement professionnel (lycée des Métiers Sud-Gironde), une antenne du Greta et un lycée d'enseignement professionnel privé: le LP AGIR.
  • Une bibliothèque municipale complète cet aspect éducation, manifestations culturelles et festivités
  • Le festival de musique Nuits atypiques a pour projet de valoriser la diversité culturelle en faisant découvrir des « musiques du monde » tous les ans en juillet.
  • L'association L'Ours polar a pour vocation d'assurer la promotion du roman policier et du roman noir.

Médias

  • Le Républicain Sud-Gironde, journal de presse hebdomadaire régionale, est installé à Langon depuis le début des années 1990.
  • La radio ARL (Aquitaine Radio Live) a ses studios à Langon.

Sports

Fichier:Stade Comberlin, tribune Alain-Garuet 2018-09-22.jpg
Le stade Comberlin.

Économie

Fichier:Gironde map routes villes.png
Langon en Gironde

Agriculture

Modèle:Unité de la commune ont un usage agricole dont 282 correspondent à des vignobles en appellation contrôlée produisant graves-supérieures (blancs moelleux) et graves (rouges et blancs)<ref name=tissuEco>Chiffres de 2002 fournis pas le site de la mairie.</ref>.

Commerce et industrie

La commune totalise Modèle:Unité de zones économiques répartis ainsi<ref name=tissuEco/> :

En matière de commerce, la commune héberge 192 entreprises réparties en commerce de gros (37), établissements multirayons (7), commerces alimentaires (26) et commerces non alimentaires (122)<ref name=tissuEco/>.

En matière d'industrie, la commune abrite une entreprise industrielle alimentaire, dix entreprises artisanales liées à l’équipement de la maison et de la personne, 29 entreprises artisanales de production et 36 entreprises de BTP<ref name=tissuEco/>.

En matière de services, 205 entreprises sont actives à savoir 32 cafés, hôtels, restaurants, 29 dans le domaine de la finance, de l'immobilier ou de l'assurance, 51 dans les services à caractère personnel et 93 dans des services autres<ref name=tissuEco/>.

La commune dispose d'une délégation de la Chambre de commerce et d'industrie de Bordeaux.

Culture locale et patrimoine

  • Le crime de Langon est un fait-divers sordide : l'assassinat crapuleux de Jean-Théodore Monget, un agent d'assurances, dans le Café de la gare à Langon (Gironde), le Modèle:Date-. Elle sort de l'ordinaire par sa couverture dans la presse nationale et des répercussions sur l'application effective de la peine de mort.

Lieux et monuments

Équipements culturels

  • Le Centre culturel des Carmes<ref>Centre culturel des Carmes.</ref> propose un calendrier varié de spectacles, des expositions d'art (libre d'entrée), des ateliers d'arts plastiques et héberge certaines associations culturelles (danse, chant…) ainsi qu'une partie de l'École de Musique intercommunale.
  • L'Espace Claude-Nougaro, ancien marché couvert, est une salle destinée aux spectacles de Modèle:Unité, capable d'accueillir des manifestations de grande envergure<ref>L'Espace Claude-Nougaro sur le site de la mairie.</ref>.

Personnalités liées à la commune

  • Pierre de La Montagne (1755-1820), homme de lettres et traducteur ;
  • Raymond Derancy (1755-1840) premier maire élu (1790).
  • Jean Lafargue (1767 à Langon- 1850 à Langon), Notaire et historiographe de la commune (ses "cahiers " sont une source précieuse de renseignements).
  • Pierre-Dominique Martin (1771-1855), ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, concepteur du pont suspendu de Langon (1831) ;
  • Charles Joseph Brannens (1786-1851 à Langon), Maire et conseiller général, batelier sur la Garonne (bateaux à vapeur);
  • Jean Baptiste Théry (1789-1840 à Langon), Médecin;
  • Gustave Lugeol (1799-1866), Vice-amiral de France;
  • Napoléon Theil (1808 à Langon-1878), Savant, Philologue, Grammairien (Grec et Latin);
  • Amand Dumeau (1811 à Langon-1896), Batelier sur la Garonne (bateaux à vapeur);
  • Jean Pierre Théry (1816 à Langon-1895 à Langon), Médecin, Maire et Conseiller général, nombreux ouvrages médicaux à son actif;
  • Jérome David (1823-1882), Petit fils du célèbre peintre Jacques-Louis David, Maire Conseiller général et Député;
  • Laurent Léopold Micé (1832 à Langon-1907), Médecin, Professeur d'université, Recteur d'Académie;
  • Pierre Gabriel Deydou (1837 à Langon-1909), Ecclésiastique, Historien, Auteur de la première biographie de Louis Beaulieu;
  • Louis Ducos du Hauron (1837 à Langon-1920), physicien, inventeur du procédé de trichromie pour la photographie couleur ;
  • Louis Beaulieu (1840 à Langon-1866), prêtre des Missions étrangères de Paris, martyr de Corée, saint ;
  • Amand Papon (1854 à Langon-1933 à Langon), Médecin, Maire sept fois de suite (1898 à 1932), Conseiller général,
  • Louis Fabre (1861 à Langon-1920 à Langon), Notaire, Maire, Conseiller général;
  • Guillaume Léonce Duprat (1872-1956 à langon), Professeur de Sociologie et d’Économie sociale à l'université de Genève, Secrétaire Général de l'Institut International de Sociologie;
  • Jean Louis Chelle (1881 à Langon-1960), Chimiste français, Universitaire;
  • François Mauriac (1885-1970), qui y avait un oncle, situe à Langon l'action de son roman Genitrix (1923) ;
  • Joseph Gabriel Escudey (1891 à Langon-1973), Ecclésiastique, Poète, Historien;
  • René Rougerie (1891-1981), Peintre de la Lande girondine;
  • Georges Barbot (1894 à langon-1988), Premier aviateur langonnais, Croix de guerre avec étoile;
  • Jean Max Eylaud (1896-1979), Médecin, Conférencier, Homme de lettres (pièces de théâtre), Docteur en Sociologie;
  • Abbé Arnaud Ferrand (1849-1907), Membre de l'Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux. Auteur-compositeur en 1905 de la célèbre "LANGONNAISE" (4 couplets et 1 refrain): hymne à la gloire des Langonnais et des membres du patronage Saint Joseph des Jeunes de Langon (création en 1875);
  • Abbé Marcel Lacave (?,?), Curé de Lignan de Bazas, Historiographe de la commune de Langon (un ouvrage parut en 1903);
  • Jean Piaubert (1900-2002), Peintre français (art abstrait);
  • Gaston Duturon (1906 à Langon-1987), Historien, Journaliste;
  • Raymond Oliver (1909 à Langon-1990), cuisinier ;
  • Paul Larrey (1910-1998), Photographe, Créateur d'un des premiers laboratoires couleurs de la Gironde;
  • Robert Vouin (1913 à langon-1975 à Langon), Maire, Agrégé de Droit, Professeur d'Université;
  • Pierre Lagorce (1914-2002), Maire, Conseiller général, Député, homme de culture, la commune lui doit beaucoup;
  • Albert Brouste (1918-2006 à Langon), Joueur et entraineur emblématique du Club de rugby à XV le "Stade Langonnais";
  • Robert Escarpit (1919-2000 à Langon), universitaire, journaliste et écrivain ;
  • Henri Labit (1920-1942 à Langon), officier, résistant mort en 1942 pour sauvegarder son réseau, compagnon de la Libération ; la place devant la gare porte son nom, avec une stèle commémorative ;
  • Marie-Madeleine Gauthier (1920 à Langon- 1998 à langon), Universitaire, Chercheur au CNRS, Spécialiste d'émaillerie médiévale.
  • Édouard Kargulewicz dit "Kargu" (1925-2010), Footballer professionnel français et international (11 sélections), Meilleur buteur de première division (actuelle ligue 1 avec les "Girondins de Bordeaux" (saison 1953-1954, 27 réalisations), Champion de France avec les "Girondins de Bordeaux" (ligue 1, saison 1949-1950), Capitaine-entraineur du club les "Jeunes de Langon", a permis à ce club d’accéder à la division d'honneur de l'époque (Modèle:4e échelon actuel) et d'aller en finale de la Coupe du Sud-Ouest en 1961 (aujourd'hui coupe d'Aquitaine);
  • André Sapaly (1928-2008), Professeur d'Histoire-Géographie, Historiographe de Langon; ses ouvrages font autorité.
  • Jean-Claude Ranouil (1937-), Footballer Professionnel français, Capitaine-entraineur des "Jeunes de Langon";
  • Collette Besson (1946-2005), Championne Olympique du 400m (Jeux Olympiques de Mexico 1968), Recordman du 400m à Athènes en 1969;
  • Jean Claude Dubouil (1948-2003), Footballer professionnel français, Capitaine-entraineur du club "Langon-Castets FC";
  • Martine Faure (1948 à Langon), députée de la Gironde, Modèle:9e, conseillère générale de la Gironde. A beaucoup œuvré pour l'action culturelle de la commune. Principale cheville ouvrière de la rénovation des locaux du Centre Culturel des Carmes et notamment de l'édification de la salle de spectacle (inauguration : mai 2000).
  • Christian Latrille (1948 à Langon), Clarinettiste, Fondateur en 1977 avec la municipalité Pierre Lagorce du Centre culturel des Carmes et de l’École municipale de musique (aujourd'hui, École inter-communale), créateur du célèbre Big-Band des Carmes;
  • André Demptos (1953 à Langon), Dramaturge ;
  • Francis Valonne (1954 à Langon-1984), Saxophoniste concertiste, Premier prix du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Musicien de Jazz, Enseignant au Conservatoire National de Région de Bordeaux;
  • Marie Récalde (1965 à Langon), députée de la Modèle:6e de la Gironde
  • David Martimort (1967 à Langon), meilleur jeune économiste de France 2004, professeur à l’École d’Économie de Paris
  • Joris Lacoste (1973 à Langon), dramaturge et metteur en scène français.
  • Henri-Pierre Vermis (1980 à Langon), joueur de rugby à XV ;
  • Loïc Mansencal (1983 à Langon), Professeur d'Histoire-Géographe, Historiographe de la commune;
  • Mathieu Valbuena (1984), Footballer professionnel et international (52 sélections), a joué au club "Langon-Castets FC" de 2003 à 2004;
  • Anthony Soubervie (1984), Footballer professionnel, a joué au club "Langon-Castets FC" de 2005 à 2007;
  • Benjamin Sore (1987 à Langon), joueur de rugby à XV au SC Albi ;
  • Benjamin Fall (1989 à Langon), joueur de rugby à XV.
  • Pierre Lees-Melou (1993 à Langon), joueur de football professionnel.
  • Thomas Boudat (1994 à Langon), coureur cycliste sur piste et sur route.
  • Benjamin Sene (1994 à Langon), basketteur

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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