Saint-Sauveur (Dordogne)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Bandeau homonymie
Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Sauveur (nom officiel), ou Saint-Sauveur-de-Bergerac (nom local), est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
En Périgord pourpre et dans l'unité urbaine de Bergerac, la commune de Saint-Sauveur, située en rive droite de la Dordogne, n'est cependant pas bordée par elle, séparée de son cours par une bande de terre d'environ Modèle:Unité de large appartenant à la commune de Mouleydier<ref name=IGN>Carte IGN 1836 E</ref>. Au nord, le territoire communal est limité par le Caudeau, un petit affluent de la Dordogne.
Le village de Saint-Sauveur, traversé par la route départementale (RD) 21, est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'est-nord-est de Bergerac et douze kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde.
La commune est également desservie au nord par la route départementale RD 21E1, en limite sud par la RD 21E2, et du sud-ouest au nord-est par la RD 32.
Communes limitrophes
Saint-Sauveur est limitrophe de cinq autres communes dont Lembras au nord-ouest sur environ Modèle:Unité. Au sud, son territoire est distant d'environ Modèle:Unité de celui de Saint-Germain-et-Mons.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Sauveur est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5d, date du Modèle:Nobr, des calcaires crayo-marneux grisâtres et des calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides. La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> au nord-ouest, là où le bras sud du Caudeau, appelé Vieux Caudeau, quitte la commune pour servir de limite entre celles de Lembras et Creysse, et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> en deux endroits, de part et d'autre de la route départementale 32 et du lieu-dit Piquecaillou<ref name=IGN/>, Modèle:Unité au nord et Modèle:Unité au nord-ouest du bourg de Saint-Sauveur<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée uniquement par le Caudeau et ses bras méridionaux, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le Caudeau, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite à Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac<ref>Modèle:Sandre</ref>. Il borde la commune au nord sur deux kilomètres et demi, face à Lamonzie-Montastruc et Lembras.
-
Le Caudeau en limite de Lamonzie-Montastruc (à gauche) et de Saint-Sauveur.
-
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Sauveur.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Sauveur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), prairies (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), zones urbanisées (10,3 %), terres arables (4,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-Sauveur est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Caudeau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée du Caudeau », couvrant Modèle:Nobr et approuvé le Modèle:Date-, pour les crues du Caudeau<ref>Modèle:Lien web, liste des risques par communes, pages 111-133.</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.
Saint-Sauveur est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 44,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Bien que le nom officiel de la commune soit Saint-Sauveur<ref>Commune de Saint-Sauveur (24499) sur le site de l'Insee, consulté le 6 mars 2018.</ref>, elle porte localement le nom de Saint Sauveur de Bergerac, comme le prouvent les panneaux routiers du bourg et le site internet du Pays du Grand Bergeracois<ref>Mairie de Saint Sauveur de Bergerac, Pays du Grand Bergeracois, consulté le 6 mars 2018.</ref>, du fait de la proximité de Bergerac et à cause de l'homonymie avec Saint-Sauveur-Lalande (anciennement appelée Saint-Sauveur<ref>Modèle:Cassini-Ehess</ref>), située dans le même département, à trente kilomètres au nord-ouest, à vol d'oiseau.
La première mention écrite connue du village remonte au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sous la forme latine Sanctus Salvator de la Mongia, se référant au village proche de La Mongie, situé au nord. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle apparaît le nom de Saint-Sauveur de Clairans, par rapport à Clairans, à l'est<ref name=lieux/>.
Saint-Sauveur est le nom mystique de Jésus-Christ<ref>A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Modèle:2e, Librairie Guénégaud, Modèle:1re en 1963, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Salvador sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
En plusieurs lieux du territoire communal ont été révélées des traces d'occupation humaine au Paléolithique<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.
La commune de Saint-Sauveur a été créée en 1790, en même temps que la plupart des autres communes françaises.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Sauveur a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Bergerac dépendant de l'arrondissement de Bergerac<ref name="Cassini"/>. En 1973, le canton de Bergerac est scindé en deux et Saint-Sauveur est désormais rattachée au canton de Bergerac-2.
Intercommunalité
En 2002, Saint-Sauveur intègre dès sa création la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au Modèle:Date- la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au Modèle:Date- pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune<ref>Site des villes et villages fleuris, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Équipements et services publics
Enseignement
En 2012, Saint-Sauveur est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)<ref>École primaire publique à Saint-Sauveur sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 10 mai 2012.</ref> avec la commune de Lamonzie-Montastruc au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure les classes de cours élémentaire et de cours moyen, les classes de maternelle et de cours préparatoire s'effectuant à Lamonzie-Montastruc<ref>Agenda 2012 de la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois, p. 18, 20.</ref>.
Justice
En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Sauveur relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Les habitants de Saint-Sauveur se nomment les Salvadoriens<ref>Annuaire des maires de la Dordogne 2009, Modèle:P..</ref>.
Modèle:Population de France/section
Économie
AOC
La commune de Saint-Sauveur est l'une des quatre communes (avec Bergerac, Creysse et Lembras) où est cultivé le vignoble qui produit l'AOC pécharmant<ref>Modèle:Pdf Aire géographique AOC pécharmant, INAO, consulté le 23 février 2020.</ref>.
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Saint-Sauveur (24499) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 46,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-huit) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,8 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte cinquante-huit établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont trente-deux au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, huit relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Saint-Sauveur (24499) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Biran, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle,dans un domaine viticole
- Château de Grateloup, {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXIX
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}}, partiellement inscrit aux monuments historiques depuis 1997<ref>Modèle:Base Mérimée. Consulté le 29 mars 2010.</ref>, dans un site inscrit depuis 1973<ref name=Grateloup/>.
- Manoir de Tourondel
- Chartreuse des Bourdies (ou des Bourdiés)
- Église Transfiguration de Notre-Seigneur, de style néogothique
- Tombe de Maine de Biran<ref>Visites en Aquitaine : Tombe de Pierre Gontier de Biran, dit Maine de Biran</ref>.
-
Le clocher-mur de l'église. -
Le portail de l'église. -
La chartreuse des Bourdies. -
Tombes de la famille de Biran, dont celle de Maine de Biran.
Patrimoine naturel
La commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :
- à la pointe nord-est du territoire communal, sur environ Modèle:Unité, une ZNIEFF de type II : la forêt de Liorac, refuge de la grande faune<ref>Forêt de Liorac, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017.</ref>,<ref>Carte de localisation de la Forêt de Liorac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».</ref>.
- sur Modèle:Unité au nord de la route départementale 32, entre les lieux-dits le Fournicou et les Grands Bois, une ZNIEFF de type I : la station botanique du Fournicou, site sur lequel se rencontre une fougère plutôt endémique des zones montagnardes<ref>Modèle:Pdf DIREN Aquitaine - Station botanique du Fournicou. Consulté le 30 mars 2010</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 27350000 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 30 mars 2010</ref>, le polystic à aiguillons (Polystichum aculeatum)<ref>Station botanique du Fournicou sur le site de l'INPN. Consulté le 30 mars 2010</ref>.
Par ailleurs, le château de Grateloup et ses environs représentent sur plus de Modèle:Unité, un site inscrit<ref name=Grateloup>Château de Grateloup et ses abords sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 30 mars 2010.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Famille Gontier de Biran
- Maine de Biran (1766-1824), philosophe, vécut en partie au château de Grateloup. Il fut inhumé à Paris mais ses restes furent rapatriés en 1866 à Saint-Sauveur, dans le tombeau de la famille<ref>Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Modèle:P., éditions Fanlac, 1999, Modèle:ISBN.</ref>.
- Henri Sicard (1914-1992), est un homme politique, né à Saint-Sauveur.
Héraldique
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Liste des demeures de la Dordogne
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes