Lamonzie-Montastruc
Modèle:Infobox Commune de France
Lamonzie-Montastruc est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
Au sud du département de la Dordogne, en Périgord pourpre, la commune de Lamonzie-Montastruc est située dans l'aire urbaine de Bergerac.
Entouré d'une végétation boisée, une centaine de mètres à l'est de la route départementale 21, le village de Lamonzie-Montastruc se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres au nord-est de Bergerac et treize kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde.
La commune est également desservie par la route nationale 21 sur toute sa bordure ouest ainsi que par les routes départementales 32 au sud-est et 21E1 au sud-ouest.
Communes limitrophes
Lamonzie-Montastruc est limitrophe de six autres communes dont Liorac-sur-Louyre à l'est sur environ Modèle:Unité. Au sud-ouest, le territoire communal de Creysse n'est distant que d'environ Modèle:Unité de celui de Lamonzie-Montastruc.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lamonzie-Montastruc est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Modèle:Nobr, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> au sud-ouest du lieu-dit Landrevie Basse, là où le Caudeau quitte la commune pour servir de limite entre celles de Lembras et Saint-Sauveur et 162<ref name="Cassini"/> ou Modèle:Unité<ref>Modèle:Géoportail.</ref> à l'extrême nord, en bordure de la commune de Saint-Georges-de-Montclard, à l'ouest du lieu-dit le Garry<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Caudeau, la Louyre, la Seyze, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le Caudeau, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite à Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac<ref>Modèle:Sandre</ref>. Il traverse la commune sur six kilomètres du nord-est au sud-ouest, marquant la limite avec Saint-Sauveur sur plus de deux kilomètres.
La Louyre, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Val de Louyre et Caudeau (territoire de l'ancienne commune de Cendrieux) et se jette dans le Caudeau en rive gauche sur la commune, une centaine de mètres à l'ouest du bourg<ref>Modèle:Sandre</ref>, après avoir traversé l'est de la commune sur trois kilomètres.
La Seyze (ou Galinat dans sa partie amont), d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source à Montagnac-la-Crempse et se jette dans le Caudeau en rive droite à Lembras, face à Creysse<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle sert de limite territoriale à l'ouest avec Queyssac sur près de deux kilomètres et demi.
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Le Caudeau marque la limite entre Lamonzie-Montastruc et Saint-Sauveur.
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La Louyre juste en amont de son confluent avec le Caudeau.
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La Seyze marque la limite entre Lamonzie-Montastruc et Queyssac.
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Réseaux hydrographique et routier de Lamonzie-Montastruc.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Lamonzie-Montastruc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,2 %), prairies (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), terres arables (3,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Lamonzie-Montastruc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Caudeau et la Louyre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée du Caudeau », couvrant Modèle:Nobr et approuvé le Modèle:Date-, pour les crues du Caudeau<ref>Modèle:Lien web, liste des risques par communes, pages 111-133.</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.
Lamonzie-Montastruc est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 62,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Les premières mentions du village de « Lamonzie » remontent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sous les formes La Monzia puis La Monsia. Tiré de l'occitan « mongia » qui représente un couvent de moniales, le nom du village atteste l'existence d'un ancien établissement religieux<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Modèle:P., éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN.</ref>. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de la Mongie<ref>Modèle:Géoportail.</ref>.
« Montastruc » est également relevé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sous les formes Montastrucus et Rappayrium de Monte Astruco (repaire de Montastruc), qui indiquent la position surélevée du lieu (en occitan mont, provenant du latin mons). Astruc peut se référer soit à un nom de personne chanceuse, soit à la position favorable du lieu<ref name=lieux/>.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - La Móngia de Mont Astruc sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
Des traces de présences acheuléenne<ref name=lieux/> et moustérienne ont été découvertes dans la grotte du Gué de la Roque<ref>Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Modèle:P., Ouest-France, 1987, Modèle:ISBN.</ref>.
Des habitats troglodytiques sont présents sur le site du château de Montastruc.
Au début de la Révolution, l'ancienne commune du Quartier de Villebois fusionne avec celle de Lamonzie-Montastruc<ref>Modèle:Cassini-Ehess</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Lamonzie-Montastruc a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Bergerac dépendant de l'arrondissement de Bergerac. En 1973, le canton de Bergerac est scindé en deux et Lamonzie-Montastruc est désormais rattachée au canton de Bergerac-2<ref name="Cassini"/>.
Intercommunalité
En 2002, Lamonzie-Montastruc intègre la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au Modèle:Date- la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au Modèle:Date- pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Enseignement
En 2012, Lamonzie-Montastruc est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)<ref>École primaire publique à Lamonzie-Montastruc sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 10 mai 2012.</ref> avec la commune de Saint-Sauveur au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure le cours préparatoire et la maternelle, les classes de cours élémentaire et de cours moyen s'effectuant à Saint-Sauveur<ref>Agenda 2012 de la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois, p. 18, 20.</ref>.
Justice
Dans le domaine judiciaire, Lamonzie-Montastruc relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
- Fête locale le Modèle:Date-.
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Lamonzie-Montastruc (24224) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 45,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-sept) a plus que doublé par rapport à 2010 (vingt-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,2 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte soixante-cinq établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, seize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, huit dans la construction, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Lamonzie-Montastruc (24224) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.</ref>.
Entreprises
La « SA Carrières de Thiviers » exploite une carrière de calcaire crétacé au lieu-dit le Gué de la Roque. La capacité d'extraction est de 350 000 tonnes par an<ref>Carrière de Lamonzie-Montastruc (archive) sur le site des Carrières de Thiviers, consulté le 28 septembre 2015.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Le château de Bellegarde, implanté à 300 mètres au sud du village, sur une hauteur, a été construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et restauré aux {{#switch: e
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| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
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| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}}. Il comporte une porte médiévale et un pavillon Renaissance. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 2006<ref>Modèle:Base Mérimée. Consulté le 13 avril 2010.</ref>.
Le château de Montastruc est situé 200 mètres au nord-ouest du village. C'était au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle l'un des fiefs de la famille d'Abzac de la Douze. Rasé en 1438, le château fut reconstruit en 1471 moyennant la soumission de la veuve de Bertrand d'Abzac à l'autorité royale. Après une inscription partielle en 1973 au titre des monuments historiques, il a été inscrit en totalité en 2001<ref>Modèle:Base Mérimée. Consulté le 13 avril 2010.</ref>.
À plus d'un kilomètre au nord-est du village, le château de Lescot (ou manoir de Lescot) date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Modèle:P., éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN.</ref>.
Le manoir de Monsac<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Modèle:P., éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN.</ref> et la chartreuse de la Fourtonie<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Modèle:P., éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN.</ref> ont été construits au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
-
Le château de Bellegarde. -
Le château de Montastruc. -
L'entrée du château de Lescot.
Patrimoine religieux
L'église romane Notre-Dame de l'Assomption présente un portail à voussures du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et une coupole à la croisée du transept. À l'intérieur de l'église sur le sol git une clé de voûte qui pourrait être l'ancienne clé datant d'avant la reconstruction du clocher dans la première moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Hormis le clocher, l'église a été inscrite aux monuments historiques en 1974<ref>Modèle:Base Mérimée. Consulté le 13 avril 2010.</ref>,<ref>Marquis de Fayolle, L'église de La Monzie-Montastruc, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1897, tome 24, Modèle:P. (lire en ligne)</ref>.
-
Le clocher de l'église. -
Le portail occidental. -
Vitrail du
couronnement de Marie. -
La nef et la chaire.
Patrimoine naturel
Au sud-est de la commune, un petit secteur d'une cinquantaine d'hectares situé au sud de la route départementale 32 fait partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II : la forêt de Liorac, refuge de la grande faune<ref>Forêt de Liorac, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017.</ref>,<ref>Carte de localisation de la Forêt de Liorac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».</ref>.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Liste des demeures de la Dordogne
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes