Félix Mayol

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Modèle:Infobox Musique classique (personnalité) Modèle:Voir homonymes

Félix Mayol est un chanteur français né à Toulon le Modèle:Date et mort dans la même ville le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Sommaire

Biographie

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Mayol et sa troupe, affiche d'Adrien Barrère, 1915.

Après des débuts modestes à Toulon et au Palais de Cristal de Marseille, Félix Mayol est engagé à Paris au Concert parisien le Modèle:Date-, où il connaît rapidement le succès<ref name="Caradec313">François Caradec, Alain Weill, Le Café-concert, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>. Une anecdote publiée dans ses mémoires rapporte que faute de trouver un camélia, que les hommes élégants portaient à l'époque au revers de leur redingote, il prend un brin de muguet qui devient son emblème<ref name="Caradec313"/>. La prohéminente houppe de cheveux qu'il arbore Modèle:Incise devient également si célèbre qu'elle inspire de nombreux imitateurs : Romerty, Doray, Rosel, De Certos, Elvhard<ref name="Caradec313"/> ; des chanteurs débutent dans le « répertoire Mayol », comme Georgel et Alibert.

Il connaît son premier grand succès en 1896 avec La Paimpolaise de Théodore Botrel. En 1900, après un bref passage à l'Eldorado où il chante À la cabane bambou, il est engagé à la Scala. C'est là qu'il crée le titre qui le rendra aussi riche que célèbre : Viens, poupoule !, d'après une chanson allemande arrangée par Henri Christiné et Alexandre Trébitsch (1902). Il récidive en 1905 avec La Matchiche, l'adaptation d'une chanson-danse espagnole à la mode. La même année, il tourne treize phonoscènes sous la direction d'Alice Guy. Il a déjà à son actif de nombreux enregistrements sur cylindres et sur disques<ref name="Caradec317">François Caradec, Alain Weill, Le Café-concert, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

En 1907, son opérette Cinderella à la Scala ne convainc pas, contrairement à l'une des chansons du spectacle, Les Mains de femmes qui devient un succès, suivi en 1908 de Cousine<ref name="Caradec317"/>. Son cachet atteint alors la somme de Modèle:Monnaie, ce qui lui permet de racheter en 1910 le Concert parisien qui prend désormais son nom, le concert Mayol<ref>L'immeuble qui abritait le concert Mayol au 10, rue de l'Échiquier à Paris, existe toujours, bien que la salle ait été détruite en 1976. À la place, on trouve un restaurant : Le Jardin des voluptés.</ref>. Vedette principale des spectacles qui s'y jouent, il lance à son tour de jeunes artistes, parmi lesquels Valentin Sardou (père de Fernand et grand-père de Michel Sardou), Maurice Chevalier, Émile Audiffred et Raimu<ref>Paul Olivier, Raimu ou l'Épopée de César, éditions France-Empire, 1977.</ref>. Il passe la main à Oscar Dufrenne en 1914.

Il entame alors une tournée dans la France entière et les pays francophones avec les tournées Baret. Sa renommée passe si bien les frontières que Charlie Chaplin vient l'écouterModèle:Refnec. La période 1914-1918 est marquée, comme pour de nombreux artistes, par de nombreuses chansons anti-allemandes, destinées à maintenir le moral des troupes. Sa carrière marque le pas après la Première Guerre mondiale. Il publie ses Souvenirs en 1929, fait « sept adieux au public parisien » en 1938<ref name="Brunschwig260">Chantal Brunschwig, Louis-Jean Calvet, Jean-Claude Klein, Cent ans de chanson française, Modèle:P..</ref> et se retire à Toulon.

Il y recueillera notamment en 1932 à la villa Fémina, dans sa propriété du Cap-Brun dit « Clos Mayol »<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'ancienne artiste de café-concert et comédienne Paula Brébion<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui y restera jusqu'à son décès en 1952.

Fichier:Félix Mayol donnant le coup d'envoi du match Olympique de Paris-Toulon, en novembre 1924.jpg
Félix Mayol donnant le coup d'envoi du match olympique de Paris-Toulon, en Modèle:Date-.

Attaché à sa ville natale et particulièrement à son club de rugby, il offre Modèle:Monnaie pour financer la construction d’un stade qui porte son nom, le stade Mayol<ref>Son buste trône en haut des escaliers de la tribune Lafontan.</ref>. Le muguet porte-bonheur qu'il affectionnait est devenu l'emblème du club et le somptueux dîner qu'il offrit aux joueurs pour fêter le titre de 1931 est resté dans les annales. Le traditionnel muguet de sa boutonnière était artificiel car il ne pouvait pas en supporter le parfum<ref name="Merlin1962" />.

L'homosexualité de Mayol, liée à son « jeu de scène efféminé », fait de Mayol la cible des journalistes ; à l'époque, les chansonniers et autres auteurs y font souvent allusion, tel le mariage entre Mayol et Mistinguett inventé de toutes pièces et qui fit beaucoup rire. Dans ses Mémoires, Mayol évoque sa Modèle:Citation. Mais un témoignage de Louis Merlin dans ses Mémoires<ref name="Merlin1962" /> restitue que Mayol Modèle:Citation.

Dans ses chansons, souvent très graveleuses, Mayol emploie la plupart du temps le « nous » du collectif masculin. Ces chansons mettent en scène des prostituées ou des femmes toujours accueillantes à la rencontre sexuelle<ref>Pour une étude sur les relations amoureuses en chansons, voir Anne Simon, « Tu m’as donné le grand frisson : Les Mots pour le dire dans la chanson populaire française du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle », Clio Modèle:N° « Érotiques », 2010.</ref>.

Mayol est enterré au cimetière central de Toulon<ref>Cimetières de France et d'ailleurs.</ref>.

Répertoire Mayol

Fichier:Felix Mayol PQC250 (image 1).jpg
Félix Mayol chantant La Fifille à sa mère, photographe anonyme<ref>Paris qui chante Modèle:N°, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
Fichier:Mayol et Gaby de Morlay-1912.jpg
Félix Mayol avec l’actrice Gaby Morlay, en 1912.

Selon ce qu'il indique dans ses Mémoires, Mayol aurait créé au cours de sa carrière environ un demi-millier de chansons, 495 très exactement Modèle:Incise. Ce nombre d'environ 500 créations peut-être mis en perspective avec les Modèle:Nbr chansons que Paulus aurait créées selon la revue Les chansons de Paris (1903)<ref>Chansons de Paris, Modèle:N°, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>, soit cinq fois plus, pour des carrières à la longévité identique, environ 30 ans, et pour des chanteurs tous les deux éditeurs de leur répertoire.

La liste alphabétique ci-dessous<ref>Selon les conventions bibliographiques, seuls les articles définis la, le, les sont ignorés pour le classement.</ref>, non exhaustive, regroupe dans une première section les chansons de l'édition musicale dite « graphique » (partitions de petits, moyens et grands « formats », placards, recueils, revues…) où apparaît le nom ou la photographie de Mayol comme créateur ou interprète ou celles où figure la mention « Répertoire Mayol ». Elle est basée sur les informations disponibles sur Gallica, le catalogue général de la BNF ainsi que sur la collection d'images de partitions déposées sur Médihal<ref name="Medihal">Éliane Daphy, Répertoire Mayol avec couvertures des petits formats et catalogues des éditeurs sur Médihal.</ref> et sur la banque d'images du site Illustrated Sheet Music<ref>Site anglophone qui présente plus de 10 000 illustrations de partitions (en majorité des grands formats) et fournit des indications précises sur la date, l'éditeur, le cotage.</ref>.

Les précisions apportées à chaque titre de chansons imprimées où figurent la mention « créé(e) par Mayol<ref>Les mentions « crée(e) par », « chanté(e) par », « dit(e) par », « raconté(e)s par » sont toujours accordées Modèle:Incise sur le sous-titre de la chanson. Par exemple : un monologue crée, chanté, raconté par… ; une chansonnette créée, chantée, interprétée par…</ref> » ou « création Mayol », celles avec la mention « chantées par », celles avec la mention « répertoire Mayol »… ont permis de faire un classement entre les chansons « créées » ou « cocréées », interprétées… par Mayol. Selon les principes de vérifiabilité, ne sont intégrés dans cette section que les partitions dont le lieu de consultation est précisé ; la mention d'un titre sans visuel, nom des auteurs, ou avec des dates imprécises, n'est pas considérée comme une attestation d'existence d'une chanson en édition graphique.

Dans une seconde section, sont présentés les titres pour lesquels existe une attribution Mayol, mais aucune confirmation fiable en édition « graphique », à savoir ceux cités :

  • dans les Mémoires de Mayol ;
  • dans les catalogues des éditeurs (verso des petits, moyens et grands formats) ;
  • dans des programmes de spectacles ou les journaux les annonçant ;
  • dans la presse musicale de l'époque.

Enfin dans une troisième section, sont regroupées les chansons enregistrées par Mayol mais sans certaines attestations graphiques sur les partitions, comme Elle vendait des petits gâteaux.

Édition graphique

Mention création Mayol (reclassement en cours)

  1. À demain ou À d‘main, p'tite amie<ref>Modèle:P.2 du petit format.</ref> (1912), « chansonnette comique créée par Mayol au concert Mayol », paroles de L. Mellinger, musique de Henri Roberty, éd. Georges Ondet (GO4736) ;
    Création FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « Travaillant tous les deux, Ils se fir‘nt les yeux doux. »
  2. Ah ! la musique américaine (1913), « créée par Mayol », paroles de Henri Christiné et Alexandre Trébitsch, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C788)<ref name="Medihal"/>,<ref>Voir le grand format illustré par H. Armengol sur ISM.</ref>. ;
    Création FM ; Illustrations : frise signée PEN (petit format), H. Armengol (grand format) ; incipit : « Jadis au music-hall, c‘était la coutume, les revues avaient d‘ l‘esprit. »
  3. Ah ! le joli jeu (1907), « créé par Mayol, chantée par Esther Lekain à Parisiana et Lidia à la Scala, répertoire Mayol », paroles de E. Christien et Armand Foucher, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C499)<ref>Voir le grand format illustré par Clérice frères sur ISM.</ref> ;
    Création FM + répertoire ; illustration anonyme ; incipit : « Bien des amoureux raffolent d‘un p‘tit jeu comm‘ pigeon vole. »
  4. Ah ! qu'on est bête (1913), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Henri Christiné et Henri Poupon, musique de Henri Christiné, éd. Christiné (C779)<ref name="Medihal"/> ;
    Création FM ; Frise anonyme ; incipit : « On répét‘ tout l‘ temps Que l‘amour c'est vraiment charmant. »
  5. À la cabane bambou (1899), « lamentations d'un jeune nègre perdu dans Paris, racontées par Mayol à la Scala », paroles de Paul Marinier, musique arrangée et harmonisée par Paul Marinier<ref>Sur la musique de la chanson traditionnelle de Guadeloupe Adieu foulard, adieu Madras.</ref>, éd. Georges Ondet (GO1390)<ref>Fiche de l’œuvre sur ISM.</ref> ;
    Création FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « Moi, bon nègre tout noir, tout noir, de la tête aux pieds »
  6. Allemagne au-dessous de tout. 1914 ! Réplique française à Deutschland Uber Alles (1914), « créée par Mayol dans les casernes et dans les hôpitaux », paroles de Jean Aicard (de l'Académie française), musique de Blanche Poupon, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (sans cotage)<ref name="Allemagne">Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Création FM ; illustration de Clérice Frères ; incipit : « Les Allemands sont debout ! Ils vont chantant que l‘Allemagne triomphe au-dessus de tout. »
  7. Les Alliances de Guillaume (circa 1909-1910)<ref name="datation">Datation par cotage.</ref>, « créée par Mayol aux Ambassadeurs », paroles de Paul Marinier, musique recueillie et arrangée par Adrien Serge, éd. Marcel Labbé (ML8034)<ref name="Alliances">Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Création FM ; dédicace : « À nos amis Charlus, Fernandez et Anthonus » ; photo Mayol anonyme ; incipit : « Cherchant pour l’Allemagne des alliances partout, Guillaum’ dit à l’Espagne. »
  8. Allô ! mademoiselle, ou la Demoiselle et le Pompier (1911)<ref>Datation par la mention sur le petit format illustré par Léon Pousthomis et la cotation des éditions Louis Bénech (LBP152) qui confirme cette date.</ref>, « chansonnette créée par Mayol », paroles de Ferdinand-Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Louis Bénech (LBP152)<ref name="Medihal"/> ;
    Création FM ; illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Très bien fait‘ de sa petit‘ personne, jolis yeux un minois chiffonné. »
  9. Allons mademoiselle ! (1903), « chanson naïve créée par Mayol à la Scala », paroles de Paul Briollet, musique de A. M. Fechner, éd. J. Rueff (JR146) ;
    Création FM ; illustration de E. Gros Fils ; incipit : « Un jour je vis un‘ brunette t'nant les yeux baissés. »
  10. Amour noir et blanc (1907), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique Henri Christiné, éd. Christiné (C452)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref>,<ref>Voir le grand format illustré par Georges Liodet sur ISM.</ref> ;
    Création FM ; photo Mayol anonyme ; incipit : « Un‘ petit‘ femm‘ tout en blanc à l'air aguichant. »
  11. L'Amour à chaque étage (sans date), paroles de Georges Arnould et Henry Moreau, musique de Charles d'Orvict, éd. L. Maurel Aux répertoires réunis (sans cotage)
    Source : grand format artiste (sans couverture) ; rondeau créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol ; incipit : « L’amour est un gamin des plus volages, il est partout »
  12. Amours de trottins (1903), « chanson mime créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol de la Scala », paroles de Henri Dorsay et Eugène Joullot, musique de Charles Borel-Clerc, éd. G. Ricordi et Cie (109667)<ref name="Medihal"/> ;
    Création FM ; illustration de [Georges Dola]<ref>Voir le grand format sur ISM.</ref> ; incipit : « L'autre jour, ru‘ d‘ la Paix, je suivais un trottin blond comme un ange. »
  13. Arpettes Marche (1909), paroles de René Champigny et Ferdinand-Louis Bénech, musique de Désiré Berniaux, éd. Marguaritat (sans cotage)<ref>Paris qui chante Modèle:N°, 31 octobre 1909, Modèle:Pp., qui mentionne en bas de page : « publiée avec l'autorisation de M. Marguaritat »</ref>,<ref name="Medihal"/> ;
    Incipit : « On voit chaqu‘ matin les p’ti‘s arpettes passer guill‘rettes sur les boul‘vards. »
  14. L‘Autre Cortège (1916), « créé par Mayol au front le 14 juillet 1916, dit par l'auteur et Modèle:Mme Madeleine Roch de la Comédie française », récit de Jean Bastia, musique de scène de Charles Helmer, éd. Roger Myra (sans cotage)<ref name="Cortège">Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Création FM ; caricature Mayol anonyme ; incipit : « Quand Joffre reviendra par les Champs-Élysées. »
  15. La Ballade du roy Henri (1913) « légende béarnaise créée par Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie, musique de Gaston Gabaroche, [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM165)<ref>Voir le grand format sur ISM</ref> ;
    Création FM ; illustration de Clérice frères (grand format).
  16. Ballade moyennageuse (sic!) (1900)<ref name="datation"/>, « créée par Mayol à l'Eldorado », paroles de A. de Reuss, musique de J. Guédon, éd. A. Dorey et A. Gruny (ADAG166)<ref name="Medihal"/> ;
    Création FM ; illustration de Léon Pousthomis (sous réserves)<ref name="Medihal"/> ; incipit : « Jadis, au Moyen Âge, vivait un chevalier, son épouse était sage et son glaive d’acier. »
  17. La Baltique (1913), « chanson créée par Mayol », paroles de Bertal-Maubon, musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC125)<ref name="Medihal"/>,<ref>Voir le grand format sur ISM.</ref> ;
    Création FM ; illustration Clérice Frères ; incipit : « Après un’ traversée un Français rencontra dans un port non loin du Zuyderzée. »
  18. Banane et Printemps (1909), « monologue de Will créé par Mayol au Concert parisien et par l'auteur au cabaret du Grelot », éd. Charles Mayol (sans cotage)<ref>Publié in Mayol : Recueil de douze chansons, Modèle:Opcit.</ref>,<ref name="Medihal"/> ;
    Création FM ; incipit : « C’était au printemps enchanté ce printemps fou qui vous énerve. »
  19. Blonde Lisette (1908), « chanson créée par Mayol au Moulin rouge, répertoire Mayol », éd. Charles Mayol ;
    Création FM (attribuée au « genre Gil », puis « genre Esther Lekain et Carmen Vildez)<ref name="Catalogues Mayol"/> ; illustration Léon Pousthomis (série bouquet), photo Mayol (anonyme)
  20. Bonjour m'amour (1909), « créée par Mayol au Concert parisien, chantée par Esther Lekain à Parisiana et Suzanne Chevalier à la Gaité-Rochechouart », paroles de Gaston Dumestre, musique de Tarelli et Pompilis, éd. Charles Mayol ;
    Création FM (« genre Esther Lekain et Carmen Vildez »)<ref name="Catalogues Mayol">Cf. catalogues des éditions Mayol.</ref> ; illustration de Serge<ref name="Serge"/>.
  21. Bonjour, toi ! (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala, Esther Lekain, Anna Thibaud, répertoire Mayol », paroles de E. Christien<ref name="Anagramme"/>, musique de Henri Christiné, éd. Christiné (C467)<ref name="Medihal"/> ;
    Création FM et autres, illustration de H. Viollet ; incipit : « Quand il la rencontra, elle avait dis-huit ans et tout le charme exquis d’un beau jour de printemps. »
  22. Bou-dou-ba-da-bouh ! (1913), « chanson nègre créée par Félix Mayol, le chanteur populaire, répertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM168)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Création FM ; photo de Mayol, cliché Walery (petit format) ; illustration de Clérice Frères (grand format)<ref>Grand format sur ISM.</ref> ; incipit : « Parmi les Sénégalais qu’on fit venir pour la revue l’ jour du Quatorze-Juillet. »
  23. Ce que disent les yeux (non daté)<ref>Fin Modèle:S mini- (datation par l'éditeur).</ref>, « chanson créée par Mayol à la Scala, Stelly à l'Eldorado, Dowe au Petit Casino », paroles de Horace Delattre, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM223)<ref>Voir le petit format illustré sur ISM.</ref>;
    Création FM ; illustration de Ed. Maquis.
  24. C‘est le radium (1904), « chansonnette créée par Mayol à la Scala », paroles de Eugène Lemercier, musique de F. Pradines, éd. J. Rueff (JR257) ;
    Création FM ; photo anonyme ; incipit : « Chimistes par vocation, Monsieur et madam‘ (sic) Curie ont fait une révolution. »
  25. C‘est Rosalie. Chanson-marche (1915), paroles de Alcide, musique de Jack-Bill, éd. Ch. Mayol (sans cotage)<ref>Publiée in Chansons des poilus recueillies et publiées par le Journal sur le Vif, hors série Modèle:N°, Modèle:P.. cf. medihal-00591142</ref> ;
    'Créée par Mayol dans les casernes et dans les hôpitaux ; incipit : « Depuis qu’ils sont en campagne, là-bas sur les lign’s de feu »
    Attribuée à « genre Mayol » ou « genre Mayol Mansuelle » sur les catalogues
  26. Chanson d'adieu (non daté), « dernières créations de Mayol au Concert parisien », poésie et musique de Xavier Privas, accompagnement de Jacques Forest, éd. Gruny (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de L. Denis ; incipit : « Je t'ai rencontré un soir de décembre où tu te trouvais sans abri, sans pain. »
  27. La Chanson des mouchoirs (1911), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie, musique de Gaston Gabaroche, [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM142)<ref>Chanson des mouchoirs Petits formats sur Médihal.</ref> ;
    Illustrateur anonyme<ref name="StyleS">Dans le style de Serge = monogramme SS</ref>, photo Mayol Panajou<ref>Les ré-impressions n'ont que la photo de Mayol.</ref> ; incipit : « Connaissez-vous quelque chose sur terre de plus varié que ceci : le mouchoir ? »
  28. Le Chapeau à la main (1911), « chansonnette créée par Mayol », paroles de Ferdinand-Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Bénech (LBP147) ;
    Illustration de Verjez ; incipit : « C’était un jeune garçon qui était amoureux d’une jolie fleuriste. »
    Illustration de L. Denis ; incipit : « Je t'ai rencontré un soir de décembre où tu te trouvais sans abri, sans pain. »
  29. La Chasse (non daté), « chansonnette créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique de Paul Marinier, éd. Smyth (Aux succès du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) (sans cotage) ;
    Frise de ED ; incipit : « Aux dernièr’s ombres de la nuit, le brave chasseur part de chez lui. »
  30. Le Cœur des mamans (1907)<ref name="datation"/>, « chanson créée par Mayol », paroles de Will et Plébus, musique de Gaston Maquis, éd. Rouart-Lerolle (RL&Cie4519)<ref name="Medihal"/> ;
    Incipit : « Jean vivait près de sa maman, qu'il aimait de toute son âme. »
  31. Cousine (1911), « idylle provençale, chanson créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. Charles Mayol (C132M)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustration de Sem<ref>Illustration utilisée en série, i.e. ayant servi à illustrer plusieurs petits formats de chansons différentes.</ref> ; incipit : « Autrefois, ma cousine Hortense arrivait de temps en temps chez mes parents. »
  32. La Croix de fer du Kaizer (1914)<ref>Datation par le petit format illustré par Marcel Capy et l'édition [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]].</ref>, « chanson anti-allemande créée par Mayol dans les casernes et dans les hôpitaux », paroles et musique de Louis Beaufraux, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM1?4)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustration de Marcel Capy ; incipit : « Pas de parade ! Boche ! Moche ! Boche ! L’empereur de la sal’ mitraill’. »
  33. La Dame et l’ Monsieur (v. 1902-1903)<ref>Datation par cotage éditeur 1902-1903.</ref>, « chansonnette créée par Mayol aux Ambassadeurs, répertoire Mayol », paroles de Eugène Joullot et Émile Ronn, musique de Léo Daniderff, éd. Eugène Joullot & Cie (EJ414)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Un monsieur de mœurs honnêtes en flânant rencontre un’ p’tit’ femm’ coquette. »
  34. Dans l'ascenseur (non daté)<ref>Circa début Modèle:S mini-.</ref>, « chanson chantée par Gabrielle Lange, créée par Mayol aux Ambassadeurs », paroles d'Armand Foucher et Geraum<ref>Pseudonyme de Georges Mauger (18..-1939), source BNF.</ref>, musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC4)<ref name="Medihal"/> ;
    Photo Mayol L. Martin ; incipit : « Y avait dans un grand magasin un jouvenceau des plus malins. »
  35. Dans le biplan (1909), « chanson aéroplane répertoire Mayol », paroles de Jules Texier, musique de Chiarolanza et Raoul Soler, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (n.p.)<ref>Fiche de l'œuvre sur ISM</ref> ;
    Illustration Léon Pousthomis.
  36. Dix neuf-cent ! Quel joli temps (non daté)<ref>Premier quart du Modèle:S mini-.</ref>, « nouveau répertoire des chansonniers de Montmartre, fantaisie créée par Mayol », fantaisie de Paul Marinier, éd. Gaston Gross (GG1271)<ref name="Medihal"/> ;
    Incipit : « Dix neuf cent ! Ah ! Dix neuf cent ! Et chacun s’en va répétant. »
  37. D'où ça vient-il donc ? (non daté)<ref>Circa fin Modèle:S mini-.</ref>, « chanson créée par Mayol à la Scala », paroles d'Alexandre Trébitsch, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM275) ;
    Illustration de Georges Dola ; incipit : « D’où ça vient-il donc qu’ nous somm’s tous vivants qu’ nous pouvons aller le nez en avant. »
  38. Elle a... (non daté), « chanson créée par Mayol », paroles de Marc-Hély, musique de Albert Valsien, éd. Mayol (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration anonyme ; incipit : « Ell’ demeur’ dans l’ faubourg Saint-Martin pas très loin. »
  39. Entôlage espagnol (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol », paroles de La Tulipe, musique de F. Pradines, éd. Christiné (C470) ;
    Frise de H. Viollet ; incipit : « Voyageant à Pampelune un soir au clair de la lune. »
  40. Et même autre chose (circa 1905-1906)<ref name="datation"/>, « chantée par Modèle:Mme Novelli à l’Eldorado, Modèle:Mme Laurence Deschamps au Petit Casino, répertoire Mayol », paroles de Drouin de Bercy, musique de Anne de Bercy, éd. Marcel Labbé « successeur de la Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris » (ML7532) ;
    Frise anonyme ; incipit : « D’puis qu’qu’ temps, la gentille Yvonne pour Éloi se sentait un doux penchant. »
  41. Faut s’ r’poser le dimanche (non daté), « chansonnette créée par Mayol », paroles de Belhiatus, musique de Désiré Berniaux, éd. Henri Christiné (C505)<ref name="Medihal"/> ;
    Incipit : « C’est vraiment chic tout d’ mêm’ cett’ loi, la loi du r’pos hebdomadaire. »
  42. Le Gosse et le Chien (1912), « chanson créée par Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie et Jack Aymel, musique de Gaston Gabaroche et Jack Aymel, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM154)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustrateur anonyme<ref name="StyleS"/> ; incipit : « C‘est la nuit, il fait froid, sur le boulevard sombre un gamin de treize ans. »
  43. Le Gosse et le Trottin (1910)<ref>Modèle:Lien web</ref>, « chansonnette vécue, répertoire Mayol », paroles de Senga, musique de R. Tassin, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM106)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de Serge<ref name="Serge"/> ; incipit : « Lui c’était un p’tit commis d’ magasin dans la mêm’ maison elle était trottin. »
  44. Il était syndiqué (non daté), « chanson créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Marc-Hély, musique de Albert Valsien, éd. Mayol (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Photo de Mayol avec casquette et foulard (anonyme) ; incipit : « J’ai surpris l’aut’ jour dans mon usine un ouvrier qui mettait dans l’ tuyau d’ la machine pour s’amuser. »
  45. Instruisons (non daté)<ref name="ref-1" />, « chansonnette comique créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Paul Briollet et Léo Lelièvre, musique de Henri Christiné, éd. Marcel Labbé (SA1547) ;
    Frise anonyme, photo Payol ; incipit : « En France depuis qu’l’instruction est obligatoire. »
  46. La Javanette (1923), « java chantée à une ou deux voix, le triomphe de Mayol, répertoire Mayol », paroles de Louis Lemarchand, musique de Harold de Bozi, éd. du Music-hall Enoch et Cie (E&Cie8282) ;
    Caricature de SA ; incipit : « Appuyée au pilier d'un petit bal de quartier une enfant de seize ans. »
  47. Je ressemble à Mayol (1925), « créée par Mayol », paroles de Roger Myra et Géo Koger , musique de Vincent Scotto, éd. Mayol en dépôt chez Scotto (sans cotage) ;
    Photo Mayol (?) ; incipit : « Comme j'ai la min‘ réjouie les copains m'ont dit en chœur. »
  48. La Jolie Boiteuse (1907), « chanson-marche créée par Mayol à la Scala, chantée par Darbon, Darcet et le petit Alfred, répertoire Mayol », paroles de Paul Briollet et Léo Lelièvre, musique de Désiré Berniaux, éd. Charles Mayol (CM17)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « La fill’ de ma concierge est un peu boiteuse. »
  49. J’ suis un bon garçon (1908), « chanson créée par Mayol », paroles de Christien<ref name="Anagramme"/> et Rimbault, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C574) ;
    Frise anonyme, photo Mayol Panajou frères ; incipit : « Moi, j’ai l’ caractère très bien fait ; on dit c’ qu’on veut je ne me fâch’ jamais. »
  50. Leçon de musette (non daté)<ref>Circa fin Modèle:S mini-- début Modèle:S mini-</ref>, « chansonnette créée par Mayol », paroles de D. Pinet et G. Chimènes, musique de L. Lust, Aux 100.000 chansons, éd. A. Dorey (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Photo anonyme ; incipit : « J‘ vais ma belle Ninette t‘ donner une leçon. »
  51. Lettre à Colombine (1909), «créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Gaston Dumestre, éd. L. Digoudé-Diodet (sans cotage) ;
    Incipit : « Ma Colombine bien-aimée je t'écris du petit lit blanc. »
  52. La Lettre du gabier (1900)<ref name="datation"/>, « chanson créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Théodore Botrel, éd. Georges Ondet (GO2561) ;
    Illustration de Georges Redon ; incipit : « Hier matin, notre commandant, nous a dit que le bâtiment, s’en allait partir à la guerre. »
  53. Lettre d'un déserteur (1903), « chanson créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Gaston Dumestre, éd. Georges Ondet ;
    Illustration de Georges Dola.
  54. Lilas blanc (1904), « idylle créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Théodore Botrel, éd. Georges Ondet (GO3370) ;
    Illustration de Dillon ; incipit : « Elle naquit par un dimanche du plus joli des mois de mai. »
  55. Les Litanies des pieds (1903), « chanson créée par Mayol à la Scala et chantée par Lucien Boyer au Cabaret des Quat' z' arts », paroles de Numa Blès et Lucien Boyer, musique de Édouard Mathé, éd. J. Rueff (JR173)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Création FM ; illustration de E. Gros fils (grand format) ; incipit : « Dans tous les temps les poètes en herbe, ont célébré le pied de leur beauté, pied japonais pied cambré pied superbe. »
  56. Ma cousine Lison (non daté), « chansonnette, répertoire Mayol », paroles de V. Telly, musique de Colo-Bonnet et Laurent Halet, éd. Mayol (sans cotage) ;
    Photo Panajou ; incipit : « Ma p’tit’ cousin’ Lison a dix huit ans et de grands yeux innocents. »
  57. Les Mains de femme (1906), « sur les motifs de Arpettes-Marche, créée par Mayol dans Cinderella au théâtre de la Porte-Saint-Martin et au Ambassadeurs<ref>Cf. rectos ou pages 2 des partitions petits formats ; datation par la signature de l'illustration. Aucun des six petits formats (images sur médihal) ne porte de cotage.</ref> », paroles d'Émile Herbel, musique de Désiré Berniaux, éd. Margueritat, père, fils et gendre (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de Clérice Frères ; incipit : « Les mains des p’tit’s femm’s sont admirables, et tout semblables à des oiseaux. »
  58. La Malakoff (1911), « chanson russe », paroles de Paul Briollet, musique de Fattorini et Raoul Soler, éd. Gaston Gross (GG403)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustration Clérice frères ; incipit : « Fill’ jolie d’ la Russie elle avait quitté les prairies. »
  59. Margot, les p‘tits défauts (1913), « chanson créée par Félix Mayol le chanteur populaire français (chanson provençale - intérieur) », paroles de Léognan, musique de De Nod, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM157) ;
    Photo Mayol (cliché Walery) ; incipit : « Margot, c'est un‘ fill‘ de Toulon Je n’ puis vous dir‘ que son prénom. »
  60. La Mattchiche (1905)<ref>Modèle:Lien web</ref>, « sur les motifs populaires de la célèbre marche espagnole, le grand succès de 1905, chansonnette créée par Mayol, chantée par (liste d'artistes dont Esther Lekain », paroles Léo Lelièvre et Paul Briollet, musique arrangée par Charles Borel-Clerc, éd. Hachette Aux succès du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (H&Cie2482)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de ED ; incipit : « Un espagnol sévère d’une ouvrière au Moulin d’ la galette. »
  61. Les Mémoires d'une pendule (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala », musique de Léo Lelièvre et Élie Giraudet, musique de Byrec, éd. Henri Christiné (C134)<ref name="Medihal"/> ;
    Photo Mayol (anonyme) ; incipit : « Au fond d'une arrière-boutique, un‘ vieill‘ pendule en désaroi. »
  62. Les Midinettes de Paris (7 mai 1903)<ref>Date annoncée pour la représentation, Paris qui chante Modèle:N°, Modèle:1re, 19 avril 1903, couv. verso.</ref>, « (Modèle:1er prix ex-æquo (chansonnettes) du Concours de Paris qui chante, créé par Mayol à la matinée de Paris qui chante », musique de E. Rimbault et Desmarets, musique de J. Mérot, Paris qui chante Modèle:N°, Modèle:1re, 14 juin 1903, Modèle:Pp. ;
    Incipit : « Ru’ d’ la Paix, lorsque midi sonne, comme des abeill’s. »
  63. La Mokote (Femme de Provence) (1908-1909)<ref>Datation par les catalogues de l'édition Charles Mayol.</ref>, « chanson créée par Mayol à la fête du Cap Brun (Toulon) », paroles de Gaston Dumestre, musique de Eugène Poncin, éd. Charles Mayol ;
    Dédicace : « Hommage à mes compatriotes, les jolies Toulonnaises » ; illustration de Léon Pousthomis.
  64. La Musique des trottins (1908), « chansonnette-mime sur l'air de Colombia-Marche créée par Mayol à l'Apollo, répertoire Félix Mayol », paroles de Schmit et Geraum, musique de Jules Vercolier et C. Jardin, éd. Charles Mayol (CM001)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de Léon Pousthomis, photo Mayol anonyme ; incipit : « Dans un’ vieill’ ville calme et tranquille, un’ musiqu’ militaire. »
  65. N’importe quoi (1916), « chanson créée par Mayol », paroles d'Henri Christiné et Roger Myra, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C845)<ref name="Medihal"/> ;
    Frise de Pen, photo Mayol Panajou ; incipit : « Tous les auteurs de chansons d‘amour, vous racontent que ça s‘ passe toujours. »
  66. Noël à bord (circa 1897-1898)<ref name="datation"/>, « chansons de Bretagne par Théodore Botrel chantée par Mayol au Parisien », paroles de Théodore Botrel, musique de E. Feautrier, éd. Georges Ondet (OG2172)<ref name="Medihal"/> ;
    Dédicace « à Monsieur l’abbé Fouéré-Magé, recteur de Lehon» (Modèle:P.) ; illustration d'Eugène Hervé Vincent ; incipit : « Amis, veillons tous à genoux : Noël va venir parmi nous ! »
  67. L'Objet de ses amours (?), paroles de Briollet et Hiks (pseudonyme de Léon de Bercy), musique de Charles d'Orvict, éd. J. Rueff<ref name="Medihal"/> ;
    Chanson créée par Mayol, publiée in Paris qui chante Modèle:N° (Modèle:P.), 28 février 1904 ; incipit : « Plus d'un ne comprend pas s'il adore une blonde »
  68. Où allez-vous comme ça ?… (1911), « chanson créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Willy Redstone, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (sans cotage) ;
    Montage photos Mayol par Panajou ; incipit : « Le plus bel amour comme toujours par un‘ banale aventure. »
  69. Où donc tu vas ? (1908), « chansonnette, répertoire Mayol<ref>Cette chanson du « répertoire Mayol » est renseignée comme « genre Darius M. » sur les catalogues les plus anciens des éditions Mayol ; voir en ligne l'image sans la mention Mayol sur ISM.</ref> », paroles de Belem, musique d'A. Terrier et Albert Valsien, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM18)<ref>Datation et renseignements à l'intérieur du petit format illustré sur Médihal.</ref> ;
    Illustration Léon Pousthomis (bouquet, réédition) ; incipit : « Quand je partis de mon village, j’étais frais comme un p’tit n‘enfant. »
    Création Bruel à l'Eldorado et Bosset à la Scala ; « genre Darius M. » (catalogues)
  70. La Paimpolaise (1895), « chanson des pêcheurs d'Islande, créée par Mayol à la Scala », paroles de Théodore Botrel, musique de Eugène Feautrier, éd. Goerges Ondet (GO1998)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de Falco ; incipit : « Quittant ses genêts et sa lande, quand le breton se fait marin. »
  71. Petite Moucheronne. Lettre d'Afrique (1908), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de G. Dumestre, musique de E. Ponçin, éd. Charles Mayol (CM035)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Petit‘ Moucheronne aimé‘, j‘ t‘écris d‘ Bou-Sa-â-da qu’est un sal‘ trou perdu dans l‘ désert . »
  72. Petite femme honnête (1903 ?), « créée par Mayol à la Scala », paroles de Paul Briollet et Rémus, musique de Henri Christiné, éd. Mérot (sans cotage)<ref>Paris qui chante Modèle:N°, 26 avril 1903, Modèle:Pp., avec mention en bas de page : « Le format de piano est en vente chez Mérot, éditeur, 7 rue d'Enghien ».</ref> ;
    Incipit : « À l'heure où goûte la mondaine, je suivais hier par hasard. »
  73. Petite Maîtresse (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala, Modèle:Mme Paula Brébion à l'Eldorado, chantée par Karl Ditan au Moulin rouge », paroles de Félix Mortreuil, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM243) ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Te souviens-tu, belle maîtresse au quartier latin de ce jour. »
  74. Le Petit Mandarin (1909), « chinoiserie créée par Mayol au Concert parisien », paroles de Paul Ardot et Albert Laroche, musique d’Émile Lassailly, éd. Charles Mayol (CM74)<ref name="Mandarin">Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustration de Serge<ref name="Serge"/> ; incipit : « Un p’tit Chinois très grivois cherchait en tapinois, au bois un minois. »
  75. Le Philtre et la Saucisse (circa 1898)<ref name="datation"/>, « vieille histoire dite par Mayol à l'Olympia », paroles de Eugène Lemercier, musique de Paul Daubry, éd. Emile Benoit (EB7795)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration anonyme ; incipit : « Digne d’être coulée en bronze, une brune aux lèvres de feu. »
  76. Le Poilu et le Tommy (circa 1915-1918)<ref>Datation par contexte : chanson de la Grande Guerre.</ref>, « chanson créée par Mayol, répertoire Mayol, paroles de Alcide, musique de Albert Triollet, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Deux photos Mayol anonymes ; incipit : « Il y avait un brav‘ poilu, énormément barbu et surtout très velu ; dans sa tranché‘, avec lui, y avait aussi, un joyeux et brav‘ Tommy. »
  77. Polka des Englishs (1898)<ref name="datation"/>, « chansonnette créée par Mayol au Concert parisien et Portal à la Scala, paroles de F. Morteuil, musique arrangée par Henri Christiné d'après la Polka des clowns de G. Allier, éd. Ista-Beausier (IB122)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de Etienne ; incipit : « Quand ils quitt’nt l’Angleterre pour parcourir la terre les Anglais nos amis. »
    Enregistrement : Henri Thomas, La Voix de son maître 1499 (2-3-1899)<ref>Alan Kelly, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>
  78. Polka des trottins (1902)<ref name="datation"/>, « créé par Mayol à la Scala », paroles d'Alexandre Trebitsch, musique d'Henri Christiné, éd. Mérot éditeur, Société anonyme (SA1451)<ref>Également publié in Paris qui chante, Modèle:N°, Modèle:1re année, 24 janvier 1903, Modèle:Pp., 3 photos de Mayol, et mention sour le titre « créée par Mayol à la Scala ».</ref> ;
    Illustration P. Dubois ; incipit : « Gais trottins le matin quand d’un pied mutin. »
  79. Pour ses parents, « Hommage à l'ami Bertal » (1916), paroles et musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C841)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal ; Fiche Sacem ; la mention de Mayol créateur n'est précisé sous le tire ni à l'intérieur du grand format, ni sur la partition sans couverture destinée aux artistes.</ref> ;
    Frise A. Kerbinier (petit format) ; Médaillon P.D. et photo Panajou (grand format) ; incipit : « Avec sa figure ingénue, ses cheveux d’or, ses yeux innocents. »
  80. Le printemps chante (1902), « chanson-marche créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Paul Marinier, musique de E. Poncin et Paul Marinier, éd. Smith et O. Dufrenne (H1344) ;
    Frise de ED, photo Bonfort (éd. originale), frise et photo anonyme (Modèle:11e mille) ; incipit : « Sitôt que le printemps apparaît sous les cieux. » ;
  81. Promenade nocturne (1917), « chanson créée par Mayol », paroles et musique d'Henri Christiné, éd. Christiné (C868) ;
    Frise de PEN ; incipit : « C’est le soir dans Paris tout est noir. »
  82. La P’tit’ Dame des galeries (1912)<ref>1918 selon DTCFM.</ref>, « chansonnette<ref>Recto : « chanson », intérieur « chansonnette ».</ref> créée par Mayol », paroles de Lucien Boyer et Henri Bataille, musique de Lao Silésu, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM148) ;
    Frise anonyme ; photo Mayol (cliché Panajou) ; Incipit : « L’autr’ jour aux Galeries Lafayette je me promenais en sondeur. »
  83. Rêve de fleur (non daté), « répertoire Mayol », paroles de R. Gaël, musique de Romain Desmoulins, éd. Mayol (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Frise anonyme ; incipit : « Un jour dans les prés une marguerite disait à sa sœur mignonne et petite. »
  84. Les Robes de Colibri (1908)<ref name="datation"/>, « historiette créée par Mayol », paroles de Pierre Chapelle (Will), musique de Chantrier et F. Heintz, éd. Pathé frères (PF101) ;
    Incipit : « Quand il rencontra Colibri, elle était pauvre et sans abri, mais ses yeux si noirs. »
  85. Le Rondeau du café-concert (1910), « chanson rosse créée par Nine Pinson à l’Eldorado et par Pierly au Concert Mayol, répertoire Mayol », paroles de Pierre Chapelle, musique de Paul Fauchey, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] éditeur (CM77)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de Serge<ref name="Serge"/> ; incipit : « Deux époux modestes savourent les restes hélas indigestes d’un veau marengo. »
  86. Schujette (1913), « chanson Auvergnate créée par Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. A. Bosc (AB1729)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustration de Clérice frères ; incipit : « On l’appelait Schujete son père était bougnat. »
  87. Signorina (non daté), « chanson napolitaine créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles d'Henri Christiné et E. Christien<ref name="Anagramme">Anagramme d'Henri Christiné.</ref>, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C492) ;
    Frise de H. Viollet ; incipit : « Quoiqu'on dise des Français qu'ils ne voyagent jamais. »
  88. Tes jolies choses (non daté), « chanson créée par Mayol (intérieur : à l'Alcazar) », paroles de William Burtey, musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC23)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « P'tit‘ Loulou ! donne ta menotte disait son ami doux. »
  89. Tire, tire, Ninette (non daté)<ref>Avant 1910, le catalogue verso affichant « derniers succès 1910 ».</ref>, « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique de Henri Christiné, éd. Christiné (sans cotage) ;
    Frise de Georges Liodet ; incipit : « C'était une midinette, c'était un p‘tit employé. »
  90. Tout au clou (1903)<ref>Datation par catalogue verso : « supplément au catalogue général 1903 ».</ref>, « chanson créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol », paroles de Edgard Favart, musique de Tassin, éd. Au répertoire réunis (sans cotage) ;
    Caricature de Bossard ; incipit : « Quand il la rencontra ell‘ portait ce jour-là un‘ p‘tit‘ rob‘ d'alpaga. »
  91. Tout petit (1916)<ref>Dates et cotages similaires sur deux partitions (grand format piano et artiste), confirmation de la date par la notice BNF.</ref>, « créée par Mayol », paroles d'Henri Christiné et Roger Myra, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C843) ;
    Photo Panajou (grand format) ; incipit : « Je dinais au restaurant l'autre soir, près de moi un‘ jeun‘ femme vint s'asseoir. »
  92. Tout’s les femmes (1910), « chanson-marche créée par Mayol au Concert Mayol », paroles de Ferdinand-Louis Bénech et V. Telly, musique de Ch. de Bucovich, éd. Bénech (LBP133) ;
    Illustration de Verjez ; incipit : « Toutes les femmes sont des amours, c‘est gentil la nuit comme le jour. »
  93. Le Trottin qui trotte (non daté)<ref>Entre 1914 et 1918, la chanson évoquant un « poilu ».</ref>, « chansonnette créée par Mayol », paroles de Vincent Telly, musique de Paul Marinier et F. Heintz, éd. Mayol (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Photo Mayol anonyme ; incipit : « Un p’tit trottin, dam’, il faut toujours que ça trotte, d’ ses p’tits mollets, soir et matin faut qu’ ça tricote. »
  94. Le Tzar en Italie (circa 1897-1898)<ref>Datation par contexte historique.</ref>, « créée par Mayol et chantée par l’auteur à la Lune rousse », paroles de Paul Marinier sur l'air de Funiculi funicula, éd. Paul Marinier (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Incipit : « Le Tzar, quand il mit l’ pied dans la partrie de La Patti, ça l’épata ! »
  95. Un bal chez le Mikado (1909), « chansonnette comique créée par Darius M. à l’Alhambra, Gabrielle Lange à l’Eldorado, Sardou au Concert parisien, répertoire Mayol », paroles de G. Monge, musique de Marius Chaneur, éd. Charles Mayol (CM65)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Création Darius M., Gabrielle Lange, Valentin Sardou ; Répertoire FM ; illustration de Serge<ref name="Serge"/> ; incipit : « De passage à Tokio je reçus aussitôt un mot du mikado. »
  96. Un point c'est tout (1917), « répertoire Mayol », paroles de Roland Gaël, musique de Vincent Scotto, éd. O. Dufrenne (OD237) ;
    Répertoire FM ; frise anonyme ; incipit : « Sur le boul’vard une jolie femme a perdu ses gants tout à coup. »
  97. Un p'tit bout d'homme (v. 1908)<ref>Datation approximative par cotage éditeur sur le petit format.</ref>, « chansonnette créée par Mayol à la Scala », paroles de Jules Baldran, musique de Gustave Goublier, éd. Charles Mayol (CM38)<ref name="Medihal"/> ;
    Création FM (« genre Lanthenay »)<ref>Cf. catalogue CM66CMFM35.</ref> ; illustration Raoul Tellier, photo de Mayol (cliché anonyme) ; incipit : « Certain soir, ru’ Bergère une jeune ouvrière » ;
  98. Un p'tit quéqu' chose (1909), « chansonnette créée par Mayol à l'Alcazar d'été », paroles et musique de Paul Marinier, éd. Charles Mayol (CM38)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Création FM ; illustration de Léon Pousthomis, photo de Mayol (cliché Pillischer) ; incipit : « C‘était un petit trottin qui s‘en allait chaqu‘ matin. »
  99. V‘là l‘ béguin (1905)<ref name="datation"/>, « chanson créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol<ref>Précision intérieure : « visé sous le titre Béguin-Marche ».</ref> », paroles de Émile Ronn, musique de Léo Daniderff, éd. Georges Ondet (GO4208) ;
    Création FM ; caricature de L. Damaré ; incipit : « C‘est charmant, ravissant, la petit‘ femme qui passe avec un bagage bien ferme. »
  100. Le Verger de madame Humbert. Épilogue (circa 1898-1899)<ref name="datation"/>, « créée par Mayol à la Scala et aux Ambassadeurs », paroles de Dominique Bonnaud et Jean Varney, sur l'air V‘là les poires !, éd. Georges Ondet (CM243) ;
    Chanson d'actualité sur Thérèse Humbert.
    Création FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « L’étonnant Robert-Houdin nous parait bien anodin et le gigantesque Arton fait l’effet d’un avorton. » ;
  101. Viens, poupoule ! (1902), « chanson créée par Mayol à la Scala, chantée par Max-Morel à la Cigale, Portal au Moulin rouge, à Joanyd, à Modèle:Mlle Morly, à Gabrielle Lange, à Gavrochinette, hommage à Modèle:Mlle Villepré du Concert parisien », paroles d'Henri Christiné et Alexandre Trébitsch, musique d'Adolf Spahn arrangée par Henri Christiné, éd. Société anonyme (SA1496)<ref>Également publié in Paris qui chante, Modèle:N°, Modèle:1re année, 22 janvier 1903, Modèle:Pp..</ref>,<ref name="Medihal"/> ;
    Création FM ; frise anonyme ; incipit : « Le sam’di soir, après l’ turbin, l’ouvrier parisien. »
  102. Voilà pourquoi (1911), « chansonnette créée par Mayol, répertoire Mayol<ref>Mention « répertoire» Modèle:P..</ref> », paroles de Léognan, musique de Albert Valsien, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM128)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Création FM ; illustration de Léon Pousthomis, photo de Mayol (cliché Panajou) ; incipit : « Non, tu n’es pas jolie, ma Loulou, mais j’ t’aim’rai tout’ la vie comme un fou. »

Attestation de création (incertaines ou contradictoires)

Quelques chansons sont imprimées en plusieurs éditions contradictoires sur le recto des partitions : l'une avec mention Mayol créateur, l'autre sans. Les mentions sur les pages intérieures des partitions sont également contradictoires : il est courant que les chansons pour lesquelles sont attestées plusieurs éditions mentionnant en recto des créateurs différents soient vierges de toute indication à l'intérieur.

  1. Ah ! Si vous voulez d'l'amour, parodie (1907), « célèbre marche chantée, créée par Mayol aux Ambassadeurs, chantée par Darbon, Baldy, Jean Flor, Rosel, Menotti, Vilette », paroles de William Burtey, musique de Vincent Scotto, éd. L. Digoudé-Diodet (DD946)<ref name="Medihal"/> ;
    Incipit : « Nos aïeux quand ils faisaient la fête ne craignaient pas d’être pompettes »
    Plusieurs petits formats illustrés (illustration de H. Viollet ou sans illustration), attribuant la création à des artistes différents : Adeline Lanthenay (à la Scala, 1907), Esther Lekain (à Parisianna, 1907), Félix Mayol (aux Ambassadeurs, 1907)… Dans ses Mémoires, Mayol cite cette chanson parmi ses « triomphes » (Modèle:P.) et comme « chanson lancée » (Modèle:P.), ce qui n'est pas une revendication de création.
    Aucun enregistrement par Mayol, nombreux enregistrements par plusieurs artistes dont en 1908 Bérard, Karl Ditan, Dalbret, Adeline Lanthenay, Charlus, etc., par plusieurs orchestres ; puis Esther Lekain (1931), puis chanson intégrée au répertoire des orchestres (Jacques Hélian, Aimable,
  2. Le Bon Chemin (1912), « chansonnette anglaise », paroles de Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Bénech (LBP176) ;
    Incipit : « C'était une petite miss d'Angleterre qui n'aimait ni le calcul ni la grammaire »
    Plusieurs petits formats illustrés (illustration de Léon Pousthomis), créée par Mayol ou sans mention ; la page intérieure des différentes éditions porte toujours la mention « créée par Mayol, au Concert Mayol » ; dans les recueils des éditions Bénech, la chanson ne porte pas la mention « créée par Mayol »
  3. Une noce à la cascade (1895), paroles de Paul Marinier, musique de Eugène Poncin, éd. Henry Cas (HC234) puis Georges Ondet ;
    Incipit : « Trois, quatr', cinq, six, sept, huit voitures »
    Un petit format édité par Henry Cas (illustration signée, illisible)<ref>medihal-00595111</ref>, dédicacé « à l'ami Mauris» (chanteur pensionnaire de la Scala)<ref>Mauris est un chanteur pensionnaire de la Scala dont on retrouve le nom dans la presse spécialisée.</ref>, porte les mentions « créée par Mayol à Ba-ta-Clan » et « créée par Dalbret à la Pépinière » ; l'intérieur ne mentionne aucun chanteur et précise « conforme au visa du 2 décembre 1995 ». Un petit format différent (illustration Georges Dola), publié plus tardivement par les éditions Ondet, signale Mayol comme seul créateur, avec dédicace « à nos amis Dalbret et Mauris ». Martin Pénet, qui précise Ondet comme premier éditeur, donne Mayol seul comme interprète<ref>Martin Pénet, Modèle:P..</ref>.
    Dans ses mémoires (Modèle:P.), Mayol affirme être le créateur de cette chanson en octobre 1896 : « J'eus la chance (…) de créer une ravissante chanson (…) de Paul Marinier qui réussit au-delà de toute espérance ».
    Enregistrements : , Mayol (Zonophone 11661 12 septembre 1902<ref>Datation par catalogue Christian Zwarg.</ref> ; Gramophone 2-32120), Sévianne (1904, Voix de son maître 3694<ref>Kelly, Modèle:P..</ref>)
    Rien dans l'état actuel de la documentation disponible ne permet d'affirmer qui est le créateur de la chanson : Mauris, Dalbret ou Mayol ; nous ne disposons d'aucune information sur la trajectoire de cette chanson entre sa date de visa par la censure (décembre 1895) et la date de création revendiquée par Mayol (octobre 1896). L'hypothèse est que Mauris a été le premier créateur, et que Dalbret et Mayol, alors en début de carrière, ont repris un succès ; elle est renforcée par le fait qu'aucune mention de créateur n'est mentionné sur la page intérieure.

Répertoire Mayol (sans précision création)

  1. Ah ! Dis-moi tu (1911), paroles et musique de Paul Marinier, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM131)<ref>Source, in Recueil 10 chansons nouvelles, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]], 1911.</ref>
    Incipit : « Il l’avait rencontré un soir que l’temps s’était mis à pleuvoir »
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur).
    PFI non attesté
    Enregistrements Mayol (1913)
  2. Ah ! mad’moiselle... dites-moi donc ! (1910), « chansonnette », paroles de G. Arnoult, musique de Gustave Goublier, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (sans cotage)<ref name="Medihal"/> ;
    Incipit : « Dans un Music-Hall de Paris, un‘ blonde et légère danseuse. »
    PFI illustration de Léon Pousthomis
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur)
  3. Ah ! voui ! (1909), paroles et musique de Paul Marinier et Henri Christiné, éd. Christiné (C649)<ref name="Medihal"/>,<ref>Précisons que 1) la date donnée dans ce catalogue (1909) est celle du copyright mentionné sur la partition. Pour Martin Pénet in Mémoire de la chanson française (T.1, Modèle:P.) : « Interprètes : Mayol, Angèle Moreau (à l'Eldorado - septembre 1906 puis aux Ambassadeurs - juillet 1907) ». Pour Mayol, in Mémoires (Modèle:P.) : « création 1908 », sans précision d'établissement, ce qui est cohérent avec la date du © (1909), Mayol évoquant la « saison » 1908, donc automne 1908-printemps 1909.</ref> ;
    Répertoire Mayol ; illustration de Clérice Frères ; incipit : « Il l'avait rencontrée Un jour près du squar‘ Montholon. »
  4. Arrouah… Sidi (1910), « chanson arabe », paroles de Paul Briollet et Jules Combe, musique de Albert Valsien, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM103) ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Serge<ref name="Serge">Monogramme « SS » pour Serge de Solomko (1867-1928).</ref> ; incipit : « Étant de passage à Mascara, Arbi, chouïa, barka ! »
  5. Aubade à la rose (1910), « chansonnette », paroles de G. Monge, Pin Sylvestre et Henri Poupon, musique de Vincent Puget, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (CM085) ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Serge<ref name="Serge"/> ; incipit : « C'est aujourd'hui la fête, la fêt‘ de tes quinze ans, ouvre moi ta chambrette. »
  6. Avec madame Durand (1918)<ref>Datation par un petit format de la chanson, créée par Priollet, éd. Herpin.</ref>, « chansonnette, répertoire Mayol », paroles de Alcide, musique de Jack Bill, éd. Félix (FM202)<ref name="Medihal"/> ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Léon Pousthomis<ref>Utilisée sur de nombreux petits formats avec des présentations et couleurs différentes (ré-impression). Cf. série « Bouquet muguet rond » sur Médihal.</ref>, photo Mayol (cliché Panajou) ; incipit : « Un jeun’ méd’cin pour e faire un’ clientèle, vint un jour à Jouy-sur-Lot. »
  7. Ça n’est pas grand-chose (1910), « chansonnette, répertoire Mayol », paroles de Henri Christiné, musique de V. Valente, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (sans cotage)<ref>Voir le petit format sur ISM.</ref> ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Serge<ref name="Serge"/>.
  8. La Ceinture (1909), « chanson moyenâgeuse créée par Mayol à la Scala », paroles d'Alcide, musique d'Eugène de Grossi, éd. Charles Mayol (sans cotage)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues) ; illustration de Serge<ref name="Serge"/> ; incipit : « Partant pour la croisade un sire très jaloux de l’honneur de son nom. »

Interprétation (avec ou sans mention de création par d'autres chanteurs)

  1. Celle qu’on aime (non daté)<ref name="ref-1" />, paroles de L. Garnier et Gaston Maquis, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM99)<ref>Voir le petit format illustré sur ISM ; le petit format a été aussi imprimé sans la mention « chantée par Mayol », cf. sur Médihal.</ref> ;
    Répertoire Mercadier, chanson chantée par Mayol au Jardin de Paris ; illustration de Edmond André Rocher ; incipit : « Quand on est aimé d'une femme et qu'on l'adore également. »
    Enregistrement : Mercadier, La Voix de son maître 1133G (7-1900)<ref>Alan Kelly, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>
  2. Ce qui nous reste (1903)<ref>Datation par catalogue.</ref>, paroles de Félix Mortreuil, musique d'Henri Christiné, éd. Maurel (sans cotage)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Créée par Portal à la Scala, Max-Morel à la Cigale, chantée par Mayol au Concert parisien ; illustration de G. Delgronge ; incipit : « Je suis de l'avis du poète, et comme dit la chanson »
  3. C’est toi ! bonjour (1909), « chansonnette », paroles de Roland Gaël, musique de Léon Dequin, éd. Charles Mayol (CM68)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Créée par Anna Thibaud à la Scala, répertoire Mayol ; Répertoire FM ; illustration de Serge<ref name="Serge"/>, photo Mayol Walery ; incipit : « C’était une charmant’ midinette ; un jeune homme lui contait fleurette. »
  4. La Chanson du pâtour (1900)<ref name="datation"/>, paroles et musique de Théodore Botrel, éd. G. Ondet (GO2267)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Dédicace (intérieure) : « À mes interprètes Mayol et Yvain » ; illustration non signée ; incipit : « Celle que j'adore en cachette a les yeux bleus…»
  5. Premier Froid (1898)<ref>Datation par signature illustrateur.</ref>, paroles de Félix Mortreuil, musique de Gaston Maquis, éd. À la chanson moderne (CM160)<ref name="Medihal"/> ;
    Illustration de P. H. Lobel ; incipit : « Lorsqu’on est amant et maîtresse, Ah ! qu’ils sont beaux, les premiers temps ! »
    Répertoire Mercadier, chantée par Mayol au Concert parisien et Karl Ditan au Nouveau-Concert
  6. Pretty-May - Le Joli mai (1909), paroles de E. Codey et Paul Marinier, musique de Paul Marinier et E. Poncin, éd. Charles Mayol (CM44)<ref>Fiche de l’œuvre sur Médihal.</ref> ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Avec le premier mai, reviennent les chansons : rossignols et pinsons. »
    Créée par Villepré à Parisiana, Carmen Vildez à l'Eldorado, répertoire Mayol

Dédicace ou photo Mayol (sans mention répertoire ou création Mayol)

  1. À la Martinique (1912), « chanson nègre », paroles d'Henri Christiné, musique de G. M. Cohan et Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C759)<ref name="Medihal"/> ;
    Répertoire Fragson ; aucune attestation graphique avec « chantée par Mayol » ou «répertoire Mayol » ; dédicace : « Hommage à Mayol, le chanteur populaire », photo Fragson (cliché Christiné) ; incipit : « Y‘ avait un négro, tout jeune et déjà costaud qui, venant d' la Martinique ».

Attestation graphique sans mention Mayol (avec enregistrement par Mayol)

  1. Les Tambours du régiment (1895)<ref name="datation"/>, paroles de H. Darsay & Jost, musique de Félicien Vargues, Éd. E. Meuriot (EM1725)
    Incipit : « Il était un' fois un p'tit gars/Qui suivait toujours les soldats »
    Créée par Modèle:Mlle Irène Théry, Modèle:M. Perval ; illustration signée C. Lavigne<ref>Médihal</ref>
     : Enregistrements : Perval des concerts de Paris (Gramophone 3-32950 232022, 22 janvier 1909)<ref>Kelly, op. cit., Modèle:P. ; selon notice BNF, Gramophone 2-32173 FRBNF37890516.</ref>, Maréchal (Odéon 36713, 1906)<ref>Datation par catalogue Christian Zwarg ; consultable FRBNF38344015.</ref>, Mayol (Gramophone 2-32170 2128F - 1903)<ref>Kelly, op. cit., Modèle:P..</ref>

Titres attribués à Mayol

Catalogue des éditeurs

Cette section propose les chansons portant la mention Mayol sur les catalogues éditeurs (verso des petits, moyens et grands formats) mais dont il n'existe pour l'instant pas de confirmation attestée fiable ou consultable en édition graphique (petits formats, recueils, revues, etc.).

Éditions Georges Ondet

Georges Ondet est le principal éditeur chez qui Mayol, alors interprète des chansonniers, choisit ses chansons lors de ses débuts.

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Sources : Répertoire de Mayol de la Scala<ref name="medihal-00591672">Mayol interprète des chansonniers modernes, au verso de plusieurs chansons de Mayol sur Médihal.</ref>, catalogue en recto de la chanson Tout à son utilité<ref name="medihal-00591723">Répertoire et créations de Mayol sur Médihal.</ref>, catalogue en recto de la chanson J‘ réchauffe des marrons glacés !...<ref name="medihal-00550785">Catalogue Ondet sur Médihal.</ref>.

Catalogue des éditeurs avec mention Mayol créateur ou genre

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Catalogue des éditeurs (mention Mayol créateur ou genre) et attestations avec d'autres chanteurs (édition graphique) Modèle:Colonnes

Éditions Charles Mayol

Sont regroupés ici les titres présents sur un ou plusieurs catalogues des éditions Mayol, où Félix Mayol est mentionné comme « genre » ou « répertoire », et pour lesquels n'a pas été trouvé pour le moment d'attestation en édition graphique. Les indications en deuxième ligne après les titres renseignent sur les évolutions de « genre » mentionnés sur les catalogues des éditions Mayol, des premiers catalogues aux catalogues tardifs. Mayol – chanteur et éditeur – a la maîtrise sur les informations publiées sur les catalogues de ses éditions. Il est légitime de considérer les évolutions des attributions (« genre » des chansons) comme une politique éditoriale, et donc de classer ces titres dans une sous-section.

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Sources : Catalogues des éditions Mayol, en ligne sur Médihal

Mémoires de Mayol

Dans ses Mémoires, Mayol évoque plus de 200 chansons, dont deux données en exemple d'anecdotes. Les précisions données par le chanteur lui-même montrent que toutes ces chansons ne sont pas revendiquées comme des « créations ».

  1. L‘Accordeur de pianos (non daté)<ref>Selon les Mémoires de Mayol (Modèle:P.) : « Lancée au Concert Parisien » à la saison 1897 (soit 1897-1898). La cocréation n'est pas mentionnée.</ref> ;
  2. L'Adoration du schah (1912)<ref>Mémoires de Mayol, Modèle:P.</ref>, « chansonnette répertoire Mayol », paroles de Phylo, musique de Laurent Halet, éd. [[Charles Mayol|Modèle:Vve Charles Mayol]] (cotage n. p.) ;
    Répertoire FM (« genre Mayol » catalogues)
  3. Les Bonnes Grosses Dames (1896), de Jean Bataille, éd. Georges Ondet<ref>Mémoires de Mayol, Modèle:P. : « Créée à Alger […] qui réussit assez bien ».</ref>‘<ref>Catalogue des éditions Ondet.</ref>
  4. Le Chien policier, éd. Mayol (catalogues : « genre Mayol »)
  5. Comme une cigarette (1910)<ref>Mémoires de Mayol (Modèle:P.)</ref> ;
    Illustration de Serge<ref name="Serge"/>.
  6. Elle vendait des petits gâteaux, chansonnette grivoise, paroles de Jean Bertet et Vincent Scotto, musique de Vincent Scotto ;
  7. Les Trois Ulhans, de Paul Marinier, éd. Félix (catalogues : « genre Mayol »)

Programmes et presse

  1. Effet de saisons, éd. Fouquet<ref>Music-hall revue : Organe des auteurs, compositeurs, éditeurs et artistes Modèle:N°, Modèle:1re année, 5 janvier 1902, Modèle:P. (annonce « chez les éditeurs ») .</ref> ;
  2. Jour de dêche, éd. Ondet<ref>ML'Art lyrique et le music-hall. Journal indépendant des cafés-concerts, concerts et théâtres 1896 Modèle:N°, Modèle:1re année, 5 janvier 1902, Modèle:P. (annonce « chez les éditeurs ») .</ref> ;
  3. Lettre d’un prisonnier boer, Alcazar de Marseille, 30 décembre 1901<ref name="Music-hall revue (Nice)">Music-hall revue : Organe des auteurs, compositeurs, éditeurs et artistes Modèle:N°, Modèle:1re, 5 janvier 1902, Modèle:P..</ref> ;
  4. Oh ! la jolie saison, Alcazar de Marseille, 30 décembre 1901<ref name="Music-hall revue (Nice)"/> ;
  5. Visite au salon ou ces dames au salon, Alcazar de Marseille, 30 décembre 1901<ref name="Music-hall revue (Nice)"/>.

Enregistrements sans attestation graphique

Cette section présente les œuvres enregistrées par Mayol, dont l'attestation en édition graphique n'a pas encore été trouvée ; l'enregistrement du titre par d'autres artistes est mentionné au cas où elle est connue. Les références discographiques sont issues des catalogues discographiques disponibles (cf. sources). Au cas où une référence en édition graphique sans mention de chanteur, ou attribuée à d'autres chanteurs que Félix Mayol (Harry Fragson, Paul Marinier, etc.), est attestée, le titre est intégré dans le catalogue « édition graphique ». Lors de la période d'activité de Mayol, la diffusion des chansons étant assurée par l'édition graphique, l'hypothèse est que des attestations graphiques seront à terme retrouvées pour tous les titres enregistrés par Mayol.

Précisions : l'identification d'une chanson par les références phonographiques exige des recoupements et des vérifications. Les étiquettes des premiers disques mentionnent les compositeurs, mais ni les éditeurs, ni les paroliers ne sont indiqués. Les titres sur les étiquettes ne sont pas toujours identiques à ceux des éditions graphiques ; de plus, l'existence de nombreux titres de chansons homonymes ou très proches (les titres n'étant pas protégés par le droit d'auteur) est source récurrente d'erreurs.

  1. Aïcha la brune, musique de M. Franceschini, Pathé (saphir 4439), sans date<ref>FRBNF37955512 Notice BNF</ref>
  2. Les Caniches, musique de L. Gangloff, Gramophone and Typewritter (futur La Voix de son maître)(2-32170/2127-F), avril 1903<ref name="Kelly 100">Alan Kelly, His master's voice/La Voix de son maître : The French Catalogue, Modèle:P..</ref>
    Attribuée à Goudezki, catalogue Ondet en recto (répertoire et création de Mayol), chanson Tout à son utilité !... (1895)<ref>medihal-00591723</ref>
  3. Le Célibataire ou l’Homme sans femme ;
    Titre attribué à Dranem, catalogue des éditions Mayol
  4. Ce que rêvent les hommes, chansonnette, musique de Fragson, Gramophone and Typeweitter (2-32160 / 2047-F, disque 17 cm), avril 1903<ref name="Kelly 100"/>
    Mayol évoque cette chanson dans ses Mémoires (Modèle:P.) comme un de ses « succès » de l'année 1896 au Concert parisien (sans préciser « création »)
  5. Charmante, Pathé (saphir) 4451/3216 (sans date)<ref>Notice BNF</ref>
    Valse extraite de l'opérette La Dame en rose (The Pink Lady, paroles originales de Hugh Morton, musique de Ivan Caryll, créée à Broadway en 1912 puis dans une version française de Louis Verneuil en 1916<ref>Cf. partitions sur ISM.</ref>
  6. Les Chiens sauveteurs, chanson d'actualité, Zonophone 11657 (12 septembre 1902)<ref>Catalogue Christian Zwarg, sans précision (compositeur/parolier)</ref>
  7. Les Trois petits enrhumés ou La Ballade des trois petits enrhumés (1897-1898)<ref>Datation par les Mémoires de Mayol, qui évoque cette chanson : « J'étrennais à Bordeaux la Ballade des trois petits enrhumés… » (Modèle:P.).</ref> ;
  8. Vertus de femmes (1903), paroles de Gil, musique de Gaston Maquis (éditeur non-précisé);

Sources :

  • Alan Kelly (dir.), His master's voice/La Voix de son maître : The French Catalogue. A Complete Numerical Catalogue of French Gramophone Recordinds made from 1898 to 1929 in France and elsewhere by The Gramophone Company Ltd, with the cooperation of the EMI Music Archive, Greenwood Press, New York-London, 1990, 679 p. Modèle:ISBN
  • Catalogue de la BNF
  • Christian Zwarg, Firmendiscographine (catalogues formats XL téléchargeables)

Extraits de chansons

Ah ! mad'moiselle… dites-moi donc !

<poem> Paroles de G. Arnoult, musique de Gustave Goublier (1910) Ah! mad‘moiselle, dites-moi donc ! Et‘s-vous d‘ Grenelle ou de London ? Donnez-moi votre pied avec la cuisse par-dessus le marché ! Vous êt‘s enfant d‘ Bohême, Tenez, je vois bien ça, […] La petit‘ sans se fair‘ prier Emm‘na le jeune homme chez elle ; […] Puis ell‘ lui dit : « Joli garçon Pendant que j'allum‘ la chandelle, Il faut que tu frottes, mon mignon. » </poem>

Allemagne au-dessous de tout

<poem> Chanson patriotique, paroles de Jean Aicard, musique de Blanche Poupon (1914)<ref name="Allemagne"/> La honteuse Allemagne Tombe plus bas que tout. Des soldats pris au bagne N'inspirent que dégoût. Parmi les pleurs, les râles, Ils sont ivres de vin, Brûlent nos cathédrales ! Reims et Louvain Nous crient : « Vengeance ! » Vive la France ! </poem>

Les Alliances de Guillaume

<poem> Créé aux Ambassadeurs (circa 1910), paroles de Paul Marinier, musique recueillie
et arrangée par Adrien Serge, éd. Marcel Labbé (ML8034)<ref name="Alliances"/>
Cherchant pour l'Allemagne Des alliances partout, Guillaum‘ dit à l'Espagne: « Soyez donc avec nous ! » Ou ! ou ! ou ! ou ! c'est un sal‘ coup Mais l'Espagn‘ très gentille Lui dit dans l'embarras « J‘ viens de rec‘voir Émile… Pour l'instant je n‘ peux pas ! » Ah ! Ah ! Ah! Ah! </poem>

L'Amour muet

<poem> Chansonnette créée à l'Alcazar d'été (1908)<ref>Petit et grand formats, illustrés par Pousthomis sur le site Illustrated Sheet Music.</ref>, paroles de F.-L. Bénech, musique de D. Berniaux Quand je la rencontrais, elle était à g‘noux D‘vant la statu‘ d'Saint-Antoin‘ de Padoue, Ses grands yeux au ciel, l'air un peu morose J‘ pensai : Cett‘ dame a perdu quelque chose </poem>

Arpettes-Marche

<poem> Paroles de L. Champigny et F.-L. Bénech, musique de D. Berniaux (1909)<ref>Paris qui chante Modèle:N°, 31 octobre 1909, Modèle:P..</ref> On voit chaqu‘ matin les p‘tites arpettes Passer guill‘rettes Sur les boul'vards Cousett‘es modillons, trottins, fleuristes, Ont à leur piste de vieux paillards Aussi sous la pluie La mine réjouie L'arpette en traversant Le ruisseau débordant Pense à des rivièr‘s de diamant </poem>

L'Autre Cortège

<poem> Récit créé au front le 14 juillet 1916, par l'auteur et Madeleine Roch de la Comédie-Française,
texte de Jean Bastia, musique de scène de Charles Helmer<ref name="Cortège"/>.
Quand Joffre reviendra par les Champs-Élysées Au milieu des clameurs dont les foules grisées Salueront son retour vainqueur Quand les cœurs libérés enfin de leur malaise Battront le ban de gloire et que la Marseillaise Ne sera qu'un immense chœur ; Lorsque, derrière lui, viendront, dorés sur tranches, Ses généraux, tous les héros de la revanche, Les capitaines d'aujourd'hui : Pétain qui gardera Verdun inviolée </poem>

Le Bon Chemin

<poem> Chansonnette anglaise créée par Mayol (1912), paroles de Ferdinand-Louis Bénech,
musique de Romain Desmoulins, éd. L. Bénech (LBP176).
(Refrain final) Aoh ! Ce n'est pas le bon chemin, Vous n'arriv'rez jamais à rien. Vous faites fauss' route, Dit la p'tite petite Louloutte Laissez-moi vous conduire gentiment Donnez-moi donc votr' main Je vais la conduire Dans le bon chemin! </poem>

Le Chien sergent de ville

<poem> Paroles de Lucien Boyer et Henri Bataille, musique d'Adolph Stanislas, éd. S. Eichard (S47E)<ref>Datation impossible.</ref>. (Premier couplet)<ref>Chanson à strophe sans refrain</ref> Mesdam's et Messieurs, faut qu' tout le mond' le sache, Bientôt, dans Paris, y aura plus d'apaches: On pourra chez soi rentrer l' soir à pied Car on vient d' créer le chien policier ! (Second couplet) Ben c' lui qu'a trouvé le chien sergent d' ville Est loin mes amis d'être un imbécile, Car un chien, ça court pus vit' qu'un agent Et ç'a l'avantag' d'être intelligent </poem>

Le Petit Mandarin

<poem> Chinoiserie (1909), paroles de P. Ardot et A. Laroche, musique d'Émile Lasailly, éd. Ch. Mayol<ref name="Mandarin"/>. (Incipit) Un p'tit chinois, Très grivois Cherchait en tapinois, Au bois, Un minois, Rencontre une jeun‘ bergère </poem>

Le Poilu et le Tommy

<poem> Chansonnette (1914-1918?)<ref>Le petit format dont sont tirées les paroles ne permet pas de dater précisément la chanson.</ref>, paroles de Alcide, musique d'Albert Triollet, éd. Modèle:Vve Ch. Mayol. Il y avait un brav' poilu, Énormément barbu Et surtout très velu ; Dans sa tranché', avec lui, y avait aussi Un joyeux et brav' Tommy. Ils devinr'nt de bons copains, Unis par le destin Et toujours pleins d'entrain. On les voyaient tous les deux, S'élancer gaiement au feu. </poem>

Pour ses parents

<poem> Paroles et musique d'Henri Christiné (1916). Ah ! monsieur ! c'est pour mes parents, Si vous saviez comm‘ ce sont des brav‘s gens, Moi, j‘ suis une honnête fille Et j'ador‘ ma famille (Refrain final) Mes parents m‘ répètent tous les jours « Evit‘ le mal et prends garde à l'amour Fais le bien ». Alors moi, monsieur, Je l‘ fais aussi bien que j‘ peux ! </poem>

Filmographie

Mayol a été filmé à plusieurs reprises par Gaumont pour les Actualités ; on peut signaler la séquence Une soirée mondaine de Henri Diamant-Berger, tournée en 1917, mise en musique par Jean Wiener dans les années 1970<ref>Archives Gaumont 1917PFIC 00010, catalogué comme « fiction ».</ref>

Films synchronisés avec des enregistrements sonores

L'inventaire des Phonoscènes Gaumont de Mayol est publié dans les catalogues de la firme<ref>Reproduction en fac-similé, cf.Thomas Louis Jacques Schmitt, « Scènes primitives… », 2010, Modèle:P..</ref>. Modèle:Colonnes

Longs métrages :

Discographie

Une partie des chansons de Mayol n'a cessé d'être rééditée, au fur et à mesure de l'évolution de l'édition phonographique : sur 33 tours vinyl, puis depuis l'invention du CD au travers d'anthologies (par artiste, thème ou année).

Rééditions CD :

  • Mayol (23 titres), coll. Chansophone DK 040, 1995 – Livret de 7 pages de Jacques Primack et Gilles Pétard<ref>Notice BNF.</ref>.

Bibliographie

Sources historiques

  • Mayol, Mémoires recueillis par Charles Cluny, éd. Louis Querelle, 1929, 335 p.
    Plusieurs index : « liste alphabétique des personnalités, villes, œuvres et établissements cités au cours du présent ouvrage » ; « Chansons » (Modèle:P.) ; « Œuvres littéraires et théâtrales » (Modèle:P.) ; « Villes » (Modèle:P.) ; « Établissements » (Modèle:P.).
  • Une heure de musique avec Mayol, préface de Charles Cluny, série légère Modèle:N°, coll. du musicien, éd. Cosmopolites, 1930.
  • G. Périchard, « Mayol », Les Hommes du jour. Annales politiques, sociales, littéraires et artistiques Modèle:N° (Modèle:5e), 6 avril 1912, dessins de G. Raïeter).
  • Georges Pioch, « Monsieur Mayol », Les Hommes du jour. Annales politiques, sociales, littéraires et artistiques Modèle:N°, 27 octobre 1917, Modèle:P. (photo Mayol par Henri Manuel en couverture.

Édition musicale : revues, recueils et placards

  • La Musique pour tous Modèle:N°, « Mayol (Modèle:1re série) », s.d.
    Dix chansons : Le Printemps chante, Le Petit Panier, Les Plaisirs de la plage, Sérénade à l'inconnue, Folichonnade, L'Amour à chaque étage, Family-House, Souviens-toi, La Neige, Au r'voir.
  • La Musique pour tous Modèle:N°, janvier 1908, « Mayol (Modèle:2e série) »<ref>Modèle:BNF brut Notice BNF</ref>
    Contient : Catalogue (Modèle:P.) ; « Un chanteur populaire Mayol », article de Jean-Pascal (Modèle:Pp.) ; « Mayol et la presse » (Modèle:P.) ; Dix chansons : Le Vrai Diabolo, Le Jeune Homme et le Trottin, Celle qui vous aime, Le Repos du dimanche, La Chasse, La Fifille à sa mère, Quand on voyage, L'Amour qui s'en va, Les Suicides d'un auteur, L'Espérantelle.
  • La Musique pour tous Modèle:N°, « Mayol (Modèle:3e série », s.d. (illustration couverture par Joë Bridge)
    Contient : Mayol chez lui par Eugène Joullot ; dix chansons : Clématite. Polka japonaise, Les Mains de femmes, Chand d'amour, Leur fille, La Dame et l' monsieur, C'était sa gosse, Petite Nichonette, Elle est gentille, Quand vient l'été, Les « Panpan ».
  • La Petite musique pour tous Modèle:N°, éd. universelle, « Les grands succès de Mayol », s.d.
    Contient
    Bou-dou-ba-da-bouh !, Come darling, Le Gosse et le Chien, Mon blanc Muguet, Lettre d'un petit tambour.
  • Mayol
    Recueil de douze chansons avec la musique
    (exemplaire incomplet), piano-chant, éd. Charles Mayol, 1910
    Chansons illustrées par des miniatures (non-signées) inspirées des frises de Léon Pousthomis. Contient
    publicité liqueur Mon médecin ; photo Mayol en Égypte (1908) ; Avis
    « À partir du Modèle:1er septembre 1910, Mayol devient directeur du grand Concert parisien. C'est dans cet établissement qu'il interprétera les nombreuses chansons qu'il a l'habitude de lancer chaque année à Paris. Il sera entouré d'une troupe d'artistes de premier ordre. » (Modèle:P.) ; Huit chansons (avec la date du copyright et une partie des cotages)
    Les Fraises de Plougastel, Petite Moucheronne, La Ceinture, Dans le biplan, Amoureux Sauvetage, Le Métier des amours, J'étais pure et Banane et Printemps ; publicités A. and S. J. Van Arpels ; manufactures de pianos Henri Pruvost, Cheveux coiffures Loisel, Christiné compositeur-éditeur de musique ; Sylvain Rosenthal, tailleur de Mayol, Hygiène et antisepsie de la bouche La Mayoline (avant-dernière page).
  • Environ 100 enregistrements de Mayol en ligne sur la Phonobase

Notes et références

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Voir aussi

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Liens externes

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