Fénétrange
Modèle:Infobox Commune de France
Fénétrange (Finschtinge en lorrain et en alsacien, Finstingen en allemand), est une commune française située sur les rives de la Sarre, dans le département de la Moselle, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du pays de Sarrebourg.
Géographie
Fénétrange se situe près de la limite entre la Moselle et l'Alsace bossue. Cette commune fait partie du parc naturel régional de Lorraine<ref>Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, Décret no 2015-73 du 27 janvier 2015 portant renouvellement du classement du parc naturel régional de Lorraine (région Lorraine), (lire en ligne)</ref> et de la ZNIEFF du pays des étangs<ref>Modèle:Lien web.</ref> à cause du Long étang de Fénétrange<ref>Modèle:ZNIEFF.</ref>.
La gare de Fénétrange est située sur la ligne Sarrebourg - Sarre-Union - Sarreguemines. Cependant la gare et la ligne sont fermées à tout trafic.
Accès
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Sarre, le ruisseau du Petit Wackenweiher, le ruisseau le Rodel, le ruisseau le Trinkpack et le ruisseau l'Otterbach<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Sarre, d'une longueur totale de Modèle:Unité, est un affluent de la Moselle et donc un sous-affluent du Rhin, qui coule en Lorraine, en Alsace bossue et dans les Länder allemands de la Sarre (Saarland) et de Rhénanie-Palatinat (Rheinland-Pfalz)<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Sarre, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".</ref>.
Urbanisme
Typologie
Fénétrange est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarrebourg, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,1 %), forêts (38 %), terres arables (10,7 %), zones urbanisées (5,3 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Attestations anciennes
Filestengas (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Marie Thérèse Morlet - Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule Tome 3</ref>, Filistenges et Vinstringen (1070), Philistingis (1136), Phylestanges (1222), Finstingen (1323), Vinstingen (1328), Vinstinga (1340), Fenestranges (1433), Phinstingen (1558), Vinstringium (1675)<ref name="Henri-Lepage"/>, Fénétrange (1793)<ref name="Cassini"/>, Fénestrange (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Bulletin des lois de la République franc̜aise</ref> Finstingen (1871-1918)
En allemand : Finstingen<ref name="Henri-Lepage">Dictionnaire topographique du département de la Meurthe - Henri Lepage (1862)</ref>,<ref name="Calmet notice">Augustin Calmet, Notice de la Lorraine, Nancy, 1756</ref> et Vinstingen<ref name="Calmet notice"/>. En francique lorrain : Finschtinge<ref>Geoplatt</ref>.
Étymologie
Étymologiquement, Fénétrange signifie « habitations au bord d'une courbure<ref>Fenstrainch, Mémoire sur la langue celtique, Bullet, Modèle:P.)</ref> ». Son nom latin est Philestangia. Il fut germanisé en Vinstingen. Selon Ernest Nègre, le toponyme viendrait d'un nom de personne germanique Filisteus suivi du suffixe -ing. Alors que d'autres toponymistes y voient un nom de femme Filista.
Histoire
Le nom de Fénétrange fut mentionné officiellement pour le première fois le 18 septembre 1070, sous le règne de Henri IV<ref name=":0">Guy Trendel, Découverté de Fénétrange: la cité forte...</ref>. Plus précisément dans un document autorisant les abbesses de Remiremont, en partie propriétaire du domaine, à frapper une monnaie à Fénétrange, en échange du versement d'une redevance<ref name=":0" />,<ref name=":1">Modèle:Ouvrage</ref>.
En 1224, Merbode de Malberg devint le premier seigneur de Fénétrange.
Jadis bourg fortifié, Fénétrange était réputé imprenable<ref name=":1" />. Il fut le siège d'une seigneurie relevant du Saint-Empire romain germanique. La famille de Malberg la scinda en 1259 en trois parties pour les deux fils de Merbode de Malberg <ref name=":2">Modèle:Article</ref>:
- la seigneurie indivise, qui comprenait le château,
- le Col-de-Cygne, ou Schwanhals,
- la Tête-de-Braque ou Brackenkopf.
Par la suite, la baronnie de Fénétrange comprit quatre parties : Schwanhals, Brackenkopf, Geroldseck, Rathsamhausen, que possédaient des branches des plus nobles familles de l'époque : Boppart, Lorraine, Salm, Croy, ou Vaudémont.
La veuve de Jean de Fénétrange, Béatrix d'Ogévillers, fonda la collégiale Saint-Pierre avec neuf chanoines vers 1444, et agrandit le chœur de l'église en 1463.
Les Rhingraves introduisirent la Réforme au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, et les chanoines furent contraints de se retirer à Donnelay en 1565 ; la collégiale passa alors aux luthériens, mais au terme d'un Berfried, un traité de paix entre les possesseurs de la seigneurie, la famille de Croy-Havré, en la personne de Diane de Dommartin, put faire ériger une chapelle catholique au château.
Le prince de Vaudémont fait revenir le chapitre en 1664 à la faveur de l'occupation française des duchés. La principauté de Salm-Salm conserve jusqu'en 1751 quelques droits sur la baronnie de Fénétrange. Le temple protestant ne fut construit qu'en 1804<ref>Fénétrange, paroisse luthérienne</ref>.
De 1751 à 1766, le domaine de Fénétrange fut administré par le duc de Lorraine Stanislas Leszczynski<ref name=":2" />. À la mort de celui-ci, Fénétrange fut rattaché au domaine du roi de France, Louis XV<ref name=":2" />.
Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Fénétrange fut annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. En 1914, les Mosellans se battent pour l’Empire allemand. Beaucoup tombèrent sous l’uniforme allemand. La victoire française en 1918 fut toutefois bien acceptée par les habitants du canton. Finstingen redevint Fénétrange<ref>Quelques mots d'histoire sur fenetrangepatrimoine.com</ref>.
La Seconde Guerre mondiale et l'Annexion marquèrent plus longtemps les esprits. La commune ne fut libérée qu'en Modèle:Date-<ref>1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994, Modèle:P..</ref>, au prix d'importantes destructions.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices civils
- Vestiges gallo-romains.
- Le château du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle reconstruit aux {{#switch: e
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}}, transformé en bâtiments publics ; chapelle du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et escalier hélicoïdal classés au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref name=MH0>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Il est partiellement visitable à certaines période de l'année, en été notamment.
- « Porte de France » avec tour ronde : restes de l'enceinte {{#switch: e
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}}.
- Les façades sur rue avec leurs oriels et toitures de l'hôpital, 78, rue de l'Hôpital, sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref name=MH2>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Oriel sculpté de l'immeuble 35, rue des Juifs inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref name=MH3>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Maison, 11, rue de la Cave, dont l'architecture en pan de bois est inscrite par arrêté du Modèle:Date-<ref name=MH4>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Maison, 1, place Marcel-Dassault, datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle inscrite par arrêté du Modèle:Date-<ref name=MH5>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Tour de Kyrbourg.
- Cimetière israélite
-
Maison des baillis de Fénétrange
-
Porte de France
-
Portail du cimetière israélite
Édifices religieux
- Église Saint-Remy, collégiale gothique Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : nef de trois travées flanquée de collatéraux, chœur à deux travées, abside à cinq pans, panneaux de vitrail exécutés par Thibaud de Lixheim fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (en grande partie détruits au cours de la dernière guerre), monument funéraire de Henri de Fénétrange (1385), mobilier et boiseries Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; elle abrite un grand orgue et des verreries des {{#switch: e
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}}. L'édifice est l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par journal officiel du Modèle:Date-<ref name=MH1>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Chapelle Sainte-Anne avec Ermitage « Brudergarten » 1706.
- Chapelle de la Vierge Marie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à l'ancien cimetière : pietà Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Église luthérienne, rue de L'Hôtel-de-Ville construite entre 1805 et 1806.
- Synagogue, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, rue du Vieux-Pensionnat. À l'origine, c'était une simple salle qui fut transmise par donation à la communauté par le sieur Cerf Bloch. L'origine modeste de la synagogue et le fait qu'elle ne fut pas dès le départ construite exclusivement dans un but religieux explique peut-être une singulière particularité : en dessous se trouvait (et se trouve encore aujourd'hui) une étable. La synagogue a été agrandie en 1836, reconstruite en 1865-1867. Des travaux de réfection y furent effectués en 1920-1921. Au moment de l'expulsion de 1940, tout fut détruit ou dispersé. En 1979, la synagogue fut aliénée, l’année d’après, le consistoire israélite vendit la synagogue.
- Ancien pensionnat Notre-Dame de la Providence : la construction débute en 1936 et la bénédiction de la chapelle ainsi que l’inauguration officielle se déroulent le 17 mai 1939. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, l’édifice est occupé successivement par les troupes françaises, allemandes (avec notamment une école des Jeunesses hitlériennes) et américaines. À l’origine réservé aux filles, l’établissement accepte les garçons à partir des années 1980. Il est définitivement fermé en 2001.
-
Église Saint-Remy.
-
Chapelle Sainte-Anne.
-
Chapelle de la Vierge.
-
Église luthérienne.
-
Synagogue.
Lieux liés au tourisme
- Un bureau d'information touristique se trouve au sein de la cour du château.
- La maison du patrimoine, située 18 rue de l'église, abrite des expositions sur la période médiévale et sur les métiers anciens ayant été exercés dans la cité<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Manifestations culturelles et festivités
- En 1978, la ville organise pour la première fois les « Rencontres culturelles de Fénétrange », au cours desquelles eut lieu une série de concerts ; elles se sont transformées depuis en un festival annuel de musique, devenu depuis 2002 le « Festival de Fénétrange, musique et gastronomie »<ref>Festival de Fénétrange</ref>.
- L'association « Les rondes du veilleurs de nuit de Fénétrange » a repris le flambeau de la tradition du veilleur de nuit à Fénétrange, qui a eu cours du Moyen Âge au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle offre la possibilité, durant l'été ou sur demande durant le reste de l'année, de suivre le parcours du veilleur de nuit, vêtu de sa tenue ancestrale, dans la cité<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Tous les ans, la commune organise un marché de Noël<ref>Modèle:Article</ref>. Il est à noter que d'autres évènement sont organisés dans le cadre des fêtes, de fin novembre à début janvier<ref>Modèle:Article</ref>.
Personnalités de la commune
Personnalités nées à Fénétrange
- Victor Antoni (1882-1966), militant autonomiste lorrain, ancien conseiller général de la Moselle et maire de Fénétrange.
- Henri Damien Juncker (1809-1868), évêque d'Alton dans l'Illinois.
- Pierre Charles Petou-Desnoyers (1764-1838), général des armées de la République et de l'Empire y est né.
- Jean de Frimont (1759-1831), général de corps d'armée autrichien.
- Charles Hyacinthe Leclerc de Landremont (1739-1818), général de division français.
- Anne-Catherine Dorothée de Salm-Kyrbourg (1614-1655), duchesse de Wurtemberg.
- Ernest Bogislaw de Croÿ (1620-1684), dernier héritier des ducs héréditaires de Poméranie.
Personnalités liées à Fénétrange
- Henri II de Fénétrange († 1286), archevêque de Trêves.
- Johann Michael Moscherosch (1601-1669) écrivain, homme d'état allemand et un des baillis de la seigneurie de Fénétrange.
- Georges Ditsch (1829-1918), homme politique lorrain, notaire à Fénétrange.
- Diane de Dommartin (1552-1625), baronne de Fénétrange.
- Marcel Dassault dont la famille est originaire de Fénétrange.
- Hans Hammer (1450-1519), architecte, à qui on doit, entre autres, la chaire de la cathédrale de Strasbourg et la collégiale Saint-Rémy de Fénétrange.
Héraldique
Fénétrange dans les Arts
En littérature
Dans sa pièce La Reine des gueux, drame en 5 actes et 11 tableaux, écrite en 1897, Paul Mahalin évoque la cité par l'intermédiaire du personnage de Christian de Sieck qui est, dans cet œuvre, baron de Fénétrange<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Le roman Il faut que jeunesse se passe du dramaturge et romancier Alexandre de Lavergne comprend le personnage du vicomte de Fénestrange<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le château de la cité est également mentionné dans cette œuvre<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le roman L'Aventurier I, d'Alfred Assollant, un personnage du nom de Robert, Baron de Fénestrange apparaît dès le premier chapitre. Ce chapitre est publié en 1868 dans la 1158e édition du Journal pour tous, magazine littéraire illustré<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Fénétrange dans les médias
La commune a fait partie de la sélection 2015 de l'émission Le Village préféré des français<ref>Modèle:Article</ref>.
Voir aussi
Bibliographie
- Louis Benoît, Notes sur la Lorraine allemande. Les corporations de Fénétrange, Nancy, 1864 Modèle:BNF
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
Articles connexes
- Bailliage de Fénétrange
- Communauté de communes du Pays de Fénétrange (1998-2014).
- Canton de Fénétrange (1793-2015)
- Liste des communes de la Moselle
- Festival de Fénétrange
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes