François-Joseph Bosio

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox biographie2 François-Joseph Bosio, né à Monaco en 1768, et mort à Paris en 1845, est un sculpteur, peintre, dessinateur et graveur franco-monégasque<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Artiste néo-classique du Premier Empire et la Restauration, il fut également professeur de dessin à l'École polytechnique à Paris.

Biographie

Fichier:François-Joseph Bosio, dit Baron Bosio, médaillon par David d'Angers.jpg
Bosion, médaillon de David d'Angers.

Né à Monaco, Bosio fut l'élève du sculpteur Augustin Pajou et travailla d'abord en Italie pour des églises, dans les années 1790. Il fut ensuite recruté par Dominique Vivant Denon en 1808 qui lui confia la réalisation de bas-reliefs pour la colonne de la Grande Armée, place Vendôme à Paris, et pour être le portraitiste de [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] et de sa famille. Il exécuta ainsi un buste de l'impératrice Joséphine.

Il succéda à Félix Lecomte comme professeur à l'École des beaux-arts de Paris<ref>Frédéric Chappey, « Les Professeurs de l'École des Beaux-Arts (1794-1873) », dans Romantisme, 1996. no 93. Modèle:Pp..</ref> en 1816<ref>Jean-Michel Leniaud et Catherine Giraudon, Procès-verbaux de l'Académie des beaux-arts, vol.II, de 1816 à 1820.</ref>.

Bosio exécutera les allégories de La France et de La Fidélité pour le monument qu'avait conçu l'architecte Louis-Hippolyte Lebas pour le palais de Justice de Paris. Ce dernier sera inauguré en décembre 1822.

En 1821, Louis XVIII l'éleva au rang de chevalier de l'ordre de Saint-Michel. Il sculpta plus tard le Monument à Louis XIV pour la place des Victoires à Paris<ref>« Monument à Louis XIV – Paris, Modèle:1er arr. », notice sur e-monumen.net.</ref>, puis il devint officier de la Légion d'honneur. Charles X en fit un baron en 1825. Il mourut à Paris en juillet 1845. Il est inhumé à Paris au cimetière du Père-Lachaise (Modèle:45e)<ref name="Bauer"/>.

Il est le père de la salonnière Anaïs Bosio, marquise de La Carte, et de Victoire Bosio, épouse du lithographe et peintre André Amédée Charpentier (1822-1884).

Son frère, Jean François Bosio, (1764-1827), fut peintre. Son neveu, Astyanax-Scévola Bosio, (1793-1876), dit « Bosio Le Jeune », fut lui aussi sculpteur.

Œuvres dans les collections publiques

Fichier:Aristaeus Bosio Louvre LL51.jpg
Aristée, dieu des jardins (1817), Paris, musée du Louvre.

États-Unis

France

Russie

Galerie

Distinctions

Hommages

Élèves

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Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

  • Lucien Barbarin, Étude sur Bosio, sa vie et son œuvre, Monaco, 1910.
  • Pierre Kjellberg, Le Nouveau Guide des statues de Paris, La Bibliothèque des Arts, Paris, 1988, Modèle:ISBN.

Liens externes

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